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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 15 novembre 2018

Décryptage VII : Septante chefs d’État pour la paix

« Jupiter » en mission
 
J’avoue qu’il m’épate : Empêtré dans des affaires internes insoutenables (« Benne-Allah », les « Gilets-Jaunes », une perte de popularité incommensurable et j’en passe…), il persiste à tracer son chemin sur le cap fixé (probablement) par d’autres (trilatérale, Bilderberg, maçonnerie, pour avoir été formé par les « Young-leaders »).
Dans la série « décryptage », je vous narrais d’abord, très tôt, « son calendrier » et sa lutte contre les extrémismes pour mieux assoir son pouvoir et avenir politique : Ce qui vous pend au nez, pardi !
Dans un second document, on découvrait la dimension « internationale » de Jupiter dans un chemin balisé par d’autres : Sa vision « Jupitérienne » du monde.
Il avait été élu sur un programme fondamentalement européen, par sur des objectifs diplomatiques internationaux, mais peu lui importait : C’est son véritable « objectif ».
 
Par la suite, il avait repris les « affaires internes » en main à l’occasion de la « conférence des maires » du pays, opération réitérée à l’occasion des « vœux-présidentiels » de ce début d’année qui éclairaient la direction à suivre.
Cap confirmé à deux reprises autour de la « souveraineté » autour de la « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », qui aura nécessité un passage sous le bandeau boisseaux de « mes cousins-Corsi » dirigés par des frangins-trois-points à peine dissimulés : Fin des opérations de « reprises en main ».
Réaction des « fanges dissidentes », probablement en provenance du Grand-Orient : L’affaire « Benne-Allah » que tout le monde croit « enterrée », mais qui a précipité différents « départs » et dont pas les moindres : « Frère Gégé-Collombe » notamment.
Là, on l’a vu totalement isolé : 15 jours pour former un gouvernement à peu-près homogène (avec sa flopée de « retourne la veste » et quantité de « désistements »), un délai tout-à-fait inhabituel !
Avec pour conséquence une « contre-réaction » qui aura visé « Mes-Luches » – qui aura été lui-même des plus auto-contreproductifs à un point tel qu’il est désormais « suspendu » du Grand-Orient : Impossible de le défendre, c’est vous dire… – et l’enterrement de première classe de l’affaire du « twist-de-Filochard » en signe de réconciliation, où le parquet a demandé la relaxe du prévenu soupçonné d’antisémitisme-primaire et viscéral : Jugement ce prochain 12 décembre.
Comme quoi, hein…
On y reviendra, en temps et en heure, naturellement.
 
On l’a laissé « jouer des muscles » l’année dernière à l’encontre de « Deux-Villes-Liées » (un autre « frangin » mais du GLNF, une obédience-frère concurrente), puis en Syrie avec des missiles foireux.
Ça, les « missiles-foireux », on pouvait anticiper : Il a voulu vérifier la réalité de l’efficacité du « Bouton-rouge » (à suivre dans les 14 autres posts de la série « Aux plaisirs du Palais »), comme son prédécesseur « Tagadada-à-la-fraise-des-bois » (et le tir raté d’un missile M51) et même « Le Chi » et ses derniers tirs nucléaires « réels » dans le pacifique avant le moratoire qui a suivi sur les essais.
Et puis ils l’ont invité à faire la démonstration de leurs dogmes à l’occasion du centenaire de la fin de la dernière guerre-mondiale : Qu’il en finisse de faire ses preuves de « bon soldat ».
Si tous ces posts ne vous tissent pas une « toile » de « fils rouges » qui s’entremêlent adroitement sous vos yeux, je veux bien manger mon chapeau (que je n’ai plus : Le dernier a cramé dans mon épisode attentatoire vénitien !) et je ne peux plus rien pour vous…
 
Car c’est devant près de 70 chefs d’État ou de gouvernement réunis pour les commémorations du centenaire de l’Armistice de 1918, que « Jupiter » a martelé son message pour la paix, sans oublier de fustiger le nationalisme-précaire.
Magnifique :
« Faisons une fois de plus le serment de placer la paix au-dessus de tout. »
« Durant ces quatre années, l’Europe manqua de se suicider » (en fait elle l’a fait), a rappelé le chef de l’État dans un discours d’une vingtaine de minutes, face à 72 chefs d’État et de gouvernement, d’autant qu’ils étaient tous là pour commémorer le centenaire de la Grande Guerre, côte à côte et protégés de la pluie par une structure transparente installée pour l’occasion.
Temps fort de la cérémonie, empreinte de gravité et d’émotions : Les lectures de lettres de Poilus ou les mélodies du Boléro de Ravel, joué par l’Orchestre des jeunes de l’Union européenne.
Ce qui n’a pas empêché les Femen d’exciper leurs seins dénudés sur le passage de « Trompe »…
Ambiance : Il n’aura pas pu profiter de « la vue » offerte tellement les forces de l’ordre ont été rapides.
Il paraît que « Paris-sur-la-plage » était peut-être sous la pluie, mais en état-de-siège.
Je ne sais pas, je n’y étais pas…
Je n’étais pas vraiment invité non plus.
 
Et dans son discours, « Jupiter » s’est aussi montré offensif en évoquant le temps présent. « Le patriotisme est l’exact contraire du nationalisme », a-t-il mis en garde, visant sans le nommer « McDonald-Trompe », mutique sur son siège. Il donnait même l’impression de s’emmerder, se demandant probablement ce qu’il foutait là : Même pas un défilé militaire à se mettre sous la dent, hors la PAF…
Là, j’en suis bien d’accord : Le patriotisme, c’est l’amour de sa Patrie.
Le nationalisme, c’est la haine de « l’autre », parfois jusqu’à conduire à la guerre !
C’est dire tout le grand-écart entre les deux notions : On ne le répétera jamais assez.
Et ça a dû passer à des années-lumière du neurone de l’américain…
 
« Additionnons nos espoirs au lieu d’opposer nos peurs », aura-t-il lancé, faisant l’éloge de « l’amitié forgée entre l’Allemagne et la France », de l’Union européenne, ou de l’ONU, autant d’instances visées de son côté par le président américain.
Un : La « Teutonnie », ce n’est plus ce qu’elle a été. Après les « claques » électorales subies par la « Groβ-Ko » et la « préretraite » actée de « Mère-Quelle », elle est devenue incapable de participer au « moteur européen » pour quelques mois.
Finie son arrogance au point que les « Ritaliens » pourront passer leur budget 2019 les doigts dans le nez et une bite dans le kul et que si par hasard les Britishs s’en vont vers des élections anticipées (la faute à un rejet du « plan Chequers » de « Théière-Mais » à défaut de majorité) voire vers un nouveau référendum (c’est une idée qui « grossit » en ce moment de ce côté-ci du Channel), ils seront de nouveau les bienvenus dans l’UE…
À mon sens, ce sera au moins aussi compliqué à mettre en place que leur « Brexit » pas encore abouti : Je n’y crois pas trop.
Le leader (contesté) de l’UE, ça restera « Jupiter » : Une de ses missions au nom des « Maîtres du monde » (qui veulent un monde « ouvert au business » alors que d’autres le referment en jouant sur la migration – un monde de libre-circulation des personnes – attisant la peur de « l’autre », le « métèque » venu de nulle-part [genre Soros])
 
On aura naturellement retenu l'attitude de « Trompe » toujours scotché à son «  America First »… and only.
Le fossé entre lui tourné exclusivement vers les États-Unis, et en particulier vers son électorat, la moitié des électeurs américains, et « Jupiter » tourné vers l’Europe et le monde, n’aura jamais été aussi béant.
Le divorce entre les États-Unis et le reste du monde, et l’Europe en particulier est désormais acté et conforté.
De quoi donner le ton de la seconde partie de journée. Après le déjeuner (homard et petits-légumes) à l’Élysée, au cours duquel le chef de l’État était assis entre « Mère-Q’elle » et l’américain, « Jupiter » a ouvert le Forum de Paris sur la Paix, à la grande halle de la Villette. Un rendez-vous, que ses concepteurs veulent rendre annuel, qui doit servir à débattre de la gouvernance mondiale (au-delà de Davos) au sens large et à prôner le multilatéralisme (justement, je n’ai pas vu Soros qui devait ronger son frein comme par hasard… bizarre-bizarre).
Sauf que l’édition 2018 a eu lieu en l’absence remarquée de l’américain qui avait mis en scène son boycott du rendez-vous.
 
Voulant s’afficher unis malgré l’isolationnisme du président américain, « Jupiter » et la Teutonne auront donc ouvert ce Forum avec le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres (qui s’est fendu de plusieurs interviews télévisuelles). Dans une prise de parole de cinq minutes, le président gauloisien a fustigé les « passions tristes » qui remettent en cause la paix, dénonçant une nouvelle fois « le nationalisme, le racisme, l’antisémitisme, l’extrémisme ».
Message de politique interne où il échoue largement : On aura dit dans la semaine passée que les actes antisémites auront flambé de « + 69 % en un an ».
Je ne sais pas où ils vont chercher tout ça : Moins d’un par jour (il y a plus de femmes qui meurent sous les coups d’un kouillu de leur entourage) contre des dizaines d’actes « christianophobes » par semaine, toutes les semaines, sur la même période, au moins autant que les victimes de « chauffards-de-la-route », soit dix fois plus !
 
La « Teutonne » que le « Gauloisien » a fait applaudir, a enchaîné en rendant hommage à l’amitié franco-allemande (« Une chance nous est offerte de construire un monde meilleur, nous devons la saisir »), a-t-elle exhorté sous les applaudissements, chancelière qui termine son dernier mandat.
Pas sûr qu’une seule chance soit suffisante…
À noter (deux) que dans le public, seul « Vlad-Poux-Tine-l’asperger » sera resté assis à l’arrivée du couple franco-allemand, semblant réservé avant d’aller redonner la piqûre sur « RT Russia », le studio « parigot ».
Lui aussi donnait l’air de s’emmerder à se demander ce qu’il foutait-là…
Convergences. Opportunes ?
« Jupiter » aura encore participé à deux tables rondes, dont une pour présenter un Pacte international sur l’information et la démocratie avec Reporters sans frontières.
Lui et ses fake-news
 
La journée aura eu une suite : Le Forum sur la Paix devait se poursuivre jusqu’à mardi, mais en l’absence des chefs d’État. Au menu, la présentation par des associations ou des entreprises de 120 initiatives « présélectionnées » probablement par les « frangins-trois-points ». Reste à voir ce qu’il en sortira de concret. Pour construire la paix, la symbolique-maçonne des symboles ne suffiront pas.
Je note pour ma part l’absence remarquable de la secte-vaticane (et associés) : C’est quand même curieux, puisque ce sont les seuls à être « neutres », « pacifiques » et même « évangéliques », portant un message d’amour d’autrui et de la planète, en plus que d’être présents sur tous les continents…
 
« Jupiter » qui aura rempli son rôle à cette occasion, aura donc initié ce « Forum de Paris pour la paix », mais c'est une association indépendante qui portée sur les fonds baptismaux.
Tellement indépendante l’association, que ce grand rendez-vous – où chefs d’états ont côtoyé des ONG, entrepreneurs et association – n’a pas été financé par des fonds publics (ni gauloisiens ni internationaux), mais pour l’essentiel par des entreprises privés. Parmi elles, tiens donc : « Gogol », Microsoft, ou encore « Fesses-book », qui ont donné parfois jusqu’à cinq millions d’euros pour l’occasion au nom de leurs futurs clients…
« C’est une volonté du président. Il veut qu’au-delà des États, la société civile s’implique », a détaillé un conseiller gouvernemental.
C’est surtout qu’il n’a plus trop les moyens.
Il n’empêche, lundi matin, « Jean-Yves-LeRiant », « sinistre des Affaires étrangères » après avoir été celui des armées & de la guerre sous un autre Président, recevra tous ces grands donateurs privés lors d’un petit-déjeuner au Quai d’Orsay : Là, c’est bien vous qui avez payé la cantine et les croissants…
 
Trois, vous aurez noté comme moi au moins une chose : Pas un mot sur « Phil-Lippe » comme absent, effacé, ni d’un seul membre du gouvernement pendant cette journée « mémorielle ».
À part les Femen et quelques « gilets-jaunes » (et la pluie : mauvais signe… depuis « Tagada-à-la-fraise-des-bois »), pas trop de fausses notes.
Les deux « hyperpuissances » se reverront en marge du prochain G20 (un « G72 » ce n’est pas assez valorisant pour eux) où le chinois sera aussi présent…
Je n’ai pas entendu dire qu’ils étaient là cette année alors qu’ils « en étaient » l’année dernière. Mais peut-être suis-je mal informé.
Qu’en restera-t-il ?
Pas grand-chose : Un « ballon-sonde » du monde multipolaire qui aura joué l’étoile filante dans ce « Monde d’avant » qui ne veut pas mourir et se referme comme une huître et se prépare à l’ultime-bagarre.
On n’a pas encore les « plans » du « Monde d’après ».
De toute façon, il ne pourra naître et apparaître qu’après de gros bouleversements. Mais on ne sait pas encore lesquels.
 
En attendant, « Jupiter » aura rempli sa part de contrat : Il devrait retrouver une certaine sérénité dans la conduite des affaires du pays où les enjeux réformateurs et budgétaires sont encore largement insuffisants.
Il n’a pas fait le quart de sa feuille de route.
Passionnant…
Et forcément à suivre…

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