Lorsque
le corps humain fut créé,
Toutes les parties voulaient être CHEF.
Le cerveau disait :
« Puisque je commande tout et
que je pense pour tout le monde, je devrais être chef. »
Les pieds disaient :
« Puisque nous transportons le
corps là où il le désire et lui permettons ainsi de faire ce que veut le
cerveau, nous devrions être chef. »
Les mains disaient :
« Puisque nous faisons tout le
travail et gagnons de l’argent pour maintenir tout le corps, nous devrions être
le chef. »
Et ainsi de suite pour le cœur, les yeux, les oreilles, la rate, le foie, le pancréas, l’estomac et
les poumons…
Seule l’appendice s’était tu :
Elle ne sert à rien.
Enfin, le trou du cul se fait entendre et demande à être élu chef.
Les autres parties du corps éclatèrent de rire à l’idée qu’un trou du cul
puisse être chef.
Le trou du cul se mit alors en colère, se referma sur lui-même et refusa
de fonctionner.
Bientôt, le cerveau devint fiévreux, les yeux se croisèrent et devinrent
vitreux, les pieds trop faibles pour marcher, les mains pendaient sans force et
les cœur et les poumons luttaient pour survivre.
Alors, tous supplièrent le cerveau de se laisser fléchir et de permettre
au trou du cul d’être chef.
AINSI FUT FAIT.
Toutes les parties du corps faisaient le travail tandis que le trou du cul
dirigeait tout le monde et s’occupait de la merde, comme tout chef digne de ce
nom.
MORALITE : IL EST NULLEMENT NECESSAIRE D’ÊTRE UN CERVEAU POUR DEVENIR
CHEF, UN TROU DU CUL A NETTEMENT PLUS DE CHANCE…
C’était une « revenue ».
Deux couples jouent aux cartes.
Jean-Marc laisse tomber une de ses cartes par
terre et en penchant pour la ramasser, il découvre que la copine de Jean-Paul
n’a pas de culotte !
Surpris, il se cogne la tête sous la table et rougit.
Plus tard, quand il va à la cuisine pour des rafraîchissements, la copine
de Jean-Paul le suit et demande :
« – As-tu vu quelque chose qui
te plaisait sous la table ?
– Euh… Oui,
effectivement, ça m’a bien plu. »
Elle fait un clin d’œil, sourit et dit :
« Si tu veux, tu peux l’avoir
pour 100 euros… »
Jean-Marc répond qu’il est intéressé.
« Puisque Jean-Paul travaille
vendredi après-midi, viens donc à la maison vers 14 h 00. »
Ce que Jean-Marc fit.
Après avoir payé les 100 euros, ils vont dans la chambre et font l’amour
dans toutes les positions pendant 2 heures, puis Jean-Marc s’en va satisfait de
lui-même.
Jean-Paul rentre vers 18 h 00 et demande :
« – Est-ce que Jean-Marc est
venu cet après-midi ?
– Oui, il est venu
quelques minutes.
– Et est-ce qu’il t’a
donné 100 euros ? »
Elle pense : « Merde, il est déjà au courant ! »
« – Oui, il m’a bien donné 100
euros.
– Très bien.
– Pourquoi ?
– Jean-Marc est passé à
mon bureau ce matin et m’a emprunté 100 euros et il a dit qu’il passerait chez
nous pour me les rendre. C’est super d’avoir des amis honnêtes ! »
C’était aussi une « revenue » où il s’agissait
d’une leçon de management : « Pour éviter des supercheries, il faut
tenir au courant ses collaborateurs du cours des affaires »…
Encore une dernière :
La fille est désespérée.
Elle pleure.
Elle a rompu avec son fiancé et a perdu son emploi.
La vie n’a plus de sens pour elle.
Elle veut se suicider.
Jean-Marc approche.
« – Faut pas pleurer comme ça.
Tu es jeune. Il peut t’arriver plein de belles choses.
– Comme quoi ?
– Tu pourrais faire de
beaux voyages. Découvrir le monde.
– Ouais, mais je suis
seule. Je n’ai pas d’argent.
– Ben viens avec moi. Je
vais t’emmener en Amérique.
– Comment ?
– Tu montes dans le
bateau. Je te cache. On ne paie pas et je vais te nourrir tous les jours.
– Et on va découvrir le
monde ?
– Promis. »
La nuit, elle monte sur le bateau et se cache dans une pièce inutilisée.
Pendant plusieurs semaines, il lui apporte de la nourriture tous les jours
et, chaque fois, ils font l’amour comme des enragés en parlant des pays qu’ils
vont visiter.
Un jour, dans une ronde, le commandant découvre la passagère clandestine.
« – Qu’est-ce que tu fais là?
– Ben mon mec me nourrit
et nous faisons l’amour tous les jours en attendant d’arriver en Amérique.
– En Amérique ? Ça
va être long… Tu es sur la navette de Belle-Île-en-Mer ! »
Une poule et un cochon, se rencontrent à la ferme.
La poule vient de lire, dans un journal financier allemand, le «
Handelsblatt », un article qui a soulevé son enthousiasme et elle en fait l’éloge
au cochon.
« – C’est vraiment formidable
cette Joint-Venture, en as-tu déjà entendu parler ?
– Non », répond le cochon. « Qu’est-ce que c’est qu’une Joint-Venture ?
– Eh bien, voilà », explique la poule, « ce sont deux entités qui se mettent
ensemble. Elles cherchent un produit commun, et réalisent ainsi des bénéfices
beaucoup plus importants que si elles restaient seules.
– Ça sonne bien », dit le cochon. « Ça m’intéresse. Est-ce que nous pourrions,
nous aussi, faire quelque chose de semblable ?
– Bien sûr », rétorque la poule.
Le cochon la regarde d’un air interrogateur :
« Oui, mais alors, il nous faut
un produit commun. »
La poule réfléchit un instant et suggère :
« – Du jambon et des œufs.
– Quoi ? » s’exclame le cochon épouvanté, « mais moi, je vais y rester dans cette
histoire !
– Bien, tu sais », dit la poule, « c’est comme cela que ça se passe… dans une
Joint-Venture, il y en a toujours un qui fait un tour de cochon à l’autre… »
Jean-Marc s’installe au bar.
« Que puis-je vous offrir ? »
demande le barman.
« – Six doigts de
Fernet-Branca.
– 6 doigts ? Avez-vous
une occasion spéciale à célébrer ?
– Oui, ma première pipe !
– Alors dans ce cas,
laissez-moi vous offrir le verre entier de la part de la maison, monsieur.
– Pardon, mais si 6
doigts ne me débarrasse pas du goût, un verre entier n’y changera probablement
rien ! »
Jean-Marc est assis à côté d’une très jolie
femme en avion.
Ils échangent des salutations d’usage, puis il remarque qu’elle lit un
livre portant sur les statistiques sexuelles.
« – Ce livre est-il intéressant
?
– Oui, vraiment. Il
mentionne que les Indiens d’Amérique ont le plus long pénis en moyenne et que
les Polonais ont le plus gros diamètre.
En passant, mon nom est
Chantal. Et vous ?
– Géronimo Polalski,
heureux de vous rencontrer. »
Un homme entre dans un bar avec un alligator domestique.
Il met l’alligator sur le bar.
Il demande alors à la ronde :
« J’ai une proposition à vous
faire. Je vais mettre mes organes génitaux dans la bouche de cet alligator,
refermer sa bouche et ensuite en retirer mes organes génitaux intacts. En
échange, chaque personne ici présente me paiera une consommation. »
La foule semble d’accord, alors il s’exécute.
Il met ses organes génitaux dans la bouche de l’alligator, referme la
bouche de l’alligator, puis il frappe sur la tête de l’alligator avec une
bouteille de bière vide pour que la bête lui redonne son bien, d’ailleurs totalement
intact.
Les gens sont forts impressionnés et lui paient son dû.
Puis, l’homme dit :
« Je paierai 100 euros à quiconque
veut bien essayer ce truc. »
Au début personne ne se prononce, puis timidement, une blonde
rousse lève la main :
« Je veux bien essayer, mais il
faut me promettre de ne pas frapper trop fort avec la bouteille. D’accord ? »
« – Monsieur Duveau ?
– Non, Duboeuf.
– Ça doit être lui. Ça
fait au moins deux ans que je l’ai vu. »
Jean-Marc arrive au bureau avec deux yeux au
beurre noir.
« – Hé ! Tu sors d’une bataille
rangée, là ?
– En quelque sorte. Hier,
j’étais au restaurant avec ma femme quand ma maîtresse est arrivée et m’a fait
une crise.
– Elles se sont battues ?
– Non. L’œil droit, c’est
ma femme. Le gauche, c’est ma maîtresse.
Au fait, puis-je venir
coucher chez toi ce soir ? »
Jean-Marc entre dans un magasin de mode qui vend
des chemises d’hommes de qualité.
Il demande au vendeur une chemise de couleur lilas.
Le vendeur lui apporte une chemise lilas en faisant la réclame.
Jean-Marc la regarde de tous les côtés et dit :
« Non, ce n’est pas ce lilas
que je voudrais. »
Le vendeur lui apporte alors 5 ou 6 chemises de couleur lilas.
Jean-Marc passe encore un long moment à les regarder, les mettre en
lumière. Il sort même sur le pas de la porte pour les voir à la lumière du
jour.
Il revient et dit :
« Ce n’est pas ça du tout. »
Le vendeur commence un peu à s’énerver et plusieurs fois le même scénario
se répète. Il apporte une vingtaine de chemises et aucune teinte ne convient à
Jean-Marc …
Excédé, le vendeur déclare qu’il est désolé, mais qu’il ne possède pas de
chemise ayant la teinte lilas que recherche Jean-Marc.
Jean-Marc regarde alors autour de lui et s’exclame :
« – Comment et cette chemise
là-bas, vous voyez bien que vous avez la teinte lilas que je recherche.
– Quelle chemise ?
– Mais celle-là !
– Mais, Monsieur, c’est
une chemise blanche.
– Et alors », dit Jean-Marc, « vous n’avez jamais vu de lilas blanc ? »
Jean-Marc au bar… en fin de soirée :
« – Tu veux coucher avec moi ?
– Mais Monsieur, je ne
suis pas une pute !
– Qui a parlé d’argent ? »
Un douanier en poste à la frontière basque voit passer un type en vélo
portant sur sa roue arrière une énorme botte de foin.
« Hep là, arrêtez ! » dit
le douanier. « Vous ramenez du foin
d’Espagne ?
– Oui, c’est ça.
– Vous vous foutez moi ?
Du foin il y en a autant qu’on veut en France. »
Et il commence à fouiller la botte de foin, en vain.
Le lendemain, il revoit passer le même cycliste, toujours avec une botte
de foin.
« Halte ! Descendez de vélo,
qu’on fouille votre botte de foin ! »
Hélas, une fois de plus, le douanier ne trouve rien.
Le surlendemain, même chose.
Et encore le jour d’après et ainsi de suite pendant plus d’un an.
Le douanier s’arrache les cheveux, mais il ne trouve toujours rien, au
point que, écœuré, il finit par donner sa démission.
C’est alors qu’il rencontre en ville son cycliste, toujours avec sa botte
de foin.
« – Écoutez, vous pouvez me le
dire, maintenant.
J’ai démissionné, vous ne
risquez rien. Qu’est-ce que vous passiez en fraude, dans ces bottes de foin ?
– Oh, ce n’était pas ça », répond le cycliste. « Ce que je passais en fraude, c’étaient les bicyclettes ! »
Une fille dit au gars après avoir fait l’amour :
« – Tu fais l’amour comme un
lapin.
– Je ne vois vraiment pas
comment tu peux juger un gars en 10 secondes seulement ! »
« Saviez-vous que le lit est l’endroit
le plus dangereux du monde ?
En effet, 90 % des gens y
meurent ! »
Parole d’auteur :
« Le Christ a pardonné à la
femme adultère.
Parbleu ! Ce n’était pas
la sienne. »
Georges Courteline.
Bon week-end à toutes et à tous !
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