Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 31 mars 2020

Il n’y a aucune inquiétude : On est bien gouverné !

En fait, ils ne pensent qu’à ça…
 
À notre bonheur et à notre bonne santé, naturellement.
Le « Canard déchaîné » nous en aura rapporté une bien bonne la semaine dernière en publiant un extrait des échanges de la messagerie Telegram réservée aux membres du gouvernement.
Sujet : La bande passante consommée par les géants de la vidéo qui gênerait le télétravail et l’éducation à distance.
Je reprends, parce que naturellement c’est si drôle et indicatif des priorités gouvernementales, c’est important voire « stratégique » :
 
« Je vous confirme qu’on limitera Netflix, Appel et YouTube, car ils prennent 25 % du réseau, mais en journée et pas le soir. » annonce « Agnèle-Panier-Rhume-Pascher », la secrétaire d’État à l’économie.
« Là on va avoir des émeutes, Cédric » répond « Marre-Laine-Schie-à-pas », prenant à témoin le secrétaire d’État au numérique « Cèdre-Hic-Eau », car elle craint la réaction des parents, qui ne pourront plus coller leurs rejetons devant la télé.
« Je ne le dirai pas publiquement, mais la situation (…) et le confinement vont exacerber les tensions. Les gens doivent avoir des soupapes de décompression (…) pour éviter les accès de violence dans les foyers. »
(Vous savez quoi, ils nous prennent vraiment tous pour des bêtes et des brutes incontrôlables, des violeurs en puissance, des pédophiles assoiffés de chair-fraîche, ou je ne sais quoi d’autre comme horreur : Et il faut vraiment qu’on vote aussi pour eux en leur disant « merci » ?)
 
Le dénommé « Cèdre-Hic » lui répond : « L’Italie a vu son réseau ramer, y compris pour les usages importants, car le porno et les jeux en ligne ont explosé. »
« Si-Bête-la-Diarrhée », la « porte-la-parole » s’en mêle : « Ça va être magique de voir Cédric expliquer ça à la télé. Perso, je ne garantis pas de pouvoir tenir les mômes sans aller au parc et sans regarder Netfix. On va avoir des drames familiaux. »
« Agnèle-PR » commente : « En fait, si tu youpornes à 22 h 30, ça gêne personne… Juste une question d’organisation. »
« Jy-Bé-Djellabarrique », le secrétaire d’État aux transports s’en mêle : « C’est noté, Agnès. Merci pour ce précieux conseil ! »
« Agnèle-PR » : « Tu peux toujours compter sur moi. »
« Cèdre-Hic-Eau » : « Djeb, si jamais tu préfères que l’on priorise YouPorn (par rapport à) Netfix, n’hésite pas à le dire. J’ai prévu d’appeler YouPorn et Pornhub. »
(Mais non, la concurrence reste libre, dans ce pays qui est le mien et que j’aime tant…)
 
« Marre-Laine » : « YouPorn, tu peux toujours demander à des gens de t’envoyer des contenus amateurs. Netflix, c’est pour les familles. »
« Agnèle-PR » : « Je trouve que tu t’assagis beaucoup, Marlène. »
Réponse : « C’est la proposition de trouver des contenus pornos amateurs qui te fais dire ça ? »
« Cèdre-Hic » : « Cette crise donne quand même l’opportunité de vivre des moments de vie inoubliables. »
« Si-bête » : « Et des dialogues entre ministres qui resteront dans l’histoire de France. »
Et le « Canard » d’en conclure que « Ben-Jasmin-Gris-Veaux » doit regretter d’avoir quitté le gouvernement !
 
Voilà qui est fait : On entre dans l’Histoire !
Nos ministres s’inquiètent pour notre santé mentale (et nos bites & moules) et pas seulement pour les urgences et services de réanimation débordés qu’il faut soulager en montant des hôpitaux militaires de campagne à la hâte, réquisitionner des avions militaires et des TGV civils pour déplacer les ceux qui encombrent les hôpitaux (alors que les cliniques privées sont vides…).
Et la santé mentale passerait par YouPorn et Pornhub !
 
Je ne sais pas ce qu’ils ont dans la tête, mais moâ je m’inquiéterais plutôt de rouvrir des maternités d’ici la fin de l’année. Et pas seulement…
Parce que bon, le confinement, avec ou sans porno sous la macula, forcément c’est plus supportable en se sensualisant…
Et comme l’achat de capote n’est pas une « urgence alimentaire », les stocks domestiques vont finir par s’épuiser si ce confinement perdure au-delà de ce qui a été annoncé à la mi-mars.
 
Passons, si « Marre-Laine » semble être devenue au fil des années une experte en la matière (avec quelques autres) « Si-bête-la-Diarrhée » ne pense pas à tout, faudra-t-il ou non lancer un plan de soutien pour les péripatéticiennes (gourgandines et autres « demi-mondaines ») ?
Bé oui, déjà que les sites de rencontre voient leur trafic plonger dans les fosses abyssales, s’agissant des travailleurs qui opèrent en extérieur, on connaissait jusqu’ici le chômage obligé pour cause d’intempéries, mais on n’a pas pensé à ces gens-là.
Là, il va, maintenant, falloir compter avec le confinement… de ces dames !
De fait, le gouvernement a annoncé des mesures financières astronomiques, promettant de couvrir tous les précaires dans leur manque à gagner, mais il a oublié une catégorie : Les « travailleuses du sexe ».
Autrement dit les arpenteuses dites aussi asphalteuses.
Bref, des marcheuses…
 
Toutes (et tous) n’ont pas un chien à promener, car il existe sans doute presque autant de prostitués que de prostituées, sans compter les bi-, trans- et autres solutions alternatives, depuis que la « théorie du genre » a été imposée jusque dans les « ékoles-Pue-Bliques », qu’elles soient naturelles, artificielles, mécanisées ou pas.
Et puis surtout, ils et elles ont toutes et tous à déplorer l’absence de clients.
L’heure est grave.
Plus question de randonner sur les trottoirs, et difficile de mettre sous le nez inquisiteur de la maréchaussée une « attestation de déplacement dérogatoire » en bonne et due forme.
En effet, quelle case cocher ? Activité physique individuelle des personnes ? Déplacement entre le domicile et l’activité professionnelle ? Assistance aux personnes vulnérables ?
 
Eh oui, si nos travailleuses-travailleurs du sexe ont aisément recours à la Toile pour gérer la clientèle, il ne leur est pas possible de recourir au télétravail.
Quoique…
Certaines offrent déjà des prestations en ligne mais elles n’ont pas confiance dans le paiement du même métal : La cybercriminalité frappe aussi à l’entrejambe !
Une coordinatrice à Médecins du monde, s’inquiète d’ailleurs grandement : « La situation est dramatique » ; « Il n’y a quasiment plus de clients. Combien de temps vont-elles pouvoir arrêter de travailler ? Être en bonne santé sans pouvoir manger, ni nourrir ses enfants, c’est compliqué ».
 
Heureusement la solidarité s’organise. Des cagnottes ont été créées. Déjà « celle relayée par la page Instagram “Tapotepute”, suivie par plus de 13.000 abonnés, s’élève à plus de 10.000 euros ».
On comprend, « Tapotepute » est un joli nom qui fait rêver…
D’un grand secours également, le STRASS, Syndicat du travail sexuel diffuse aussi de précieux conseils à ses adhérents afin que celles et ceux qui continuent d’exercer puissent le faire si possible en toute sécurité.
Au nombre des recommandations : « Éviter tout contact de la salive » ou « toute position sexuelle en face-à-face ».
Adeptes du « missionnaire », passez votre chemin…
 
Si les pauvres arpenteuses sont à la rue, les « escorts » plus fortunées sont à l’étage.
Hélas, ça ne va pas mieux, apprend-on. Une dénommée Charlie, « Parisienne de 28 ans (qui) pouvait gagner 2.000 euros par mois “sans beaucoup travailler” », se confie : « Mes clients sont assez fortunés, ils sont conscients des risques, ils ne me sollicitent plus. »
Les salauds !
Ils se tamponnent Germaine ou se turluttent devant YouPorn.
Quelle autre solution ? Faire un don à Tapotepute ? Envoyer papa faire une bonne œuvre à l’hôtel d’à côté ?
Suis-je bête : « Avec le confinement, beaucoup d’hôtels ont fermé et des travailleuses du sexe se sont retrouvées à la rue. »
 
Notez bien que « Si-Bête-la-Diarrhée » aura eu une excellente idée : Puisqu’on manque de bras un peu partout, que la « réserve sanitaire » a été mobilisée et que la production agricole pourrit sur pied faute de personnel, il n’y a qu’à envoyer au champ (et non pas Auchan) tous ces profs’ qui ne foutent rien, puisque les ékoles sont fermées !
Cri d’orfraie sur tout le continent : Les profs’ « télé-enseignent » ou font la garde des mômes des « personnels soignants » !
En revanche les 3 millions de chômeurs plus ou moins bien indemnisés sont à l’arrêt (et interdit de faire grève, même si « Paul-En-ploie » reste porte close) sans compter les millions qui se retrouvent au chômage technique (dit « partiel ») la faute à la fermeture des leurs boutiques et établissements dès avant le confinement généralisé.
Après, c’est encore pire : On compte une chute de 35 % de l’activité (et du PIB à venir).
Elle en aura dit que c’était « maladroit » de sa part.
Au lieu de s’occuper du kul de tout le monde, elle devrait suivre une formation en « communication » et apprendre à tourner sa langue 7 fois dans sa bouche avant de nous montrer ses dents à causer pour ne dire que n’importe quoi.
 
Notez, soyez rassurés, on est vraiment très bien gouvernés, il n’y a pas à en douter.
La preuve qu’ils pensent à tout, lundi soir de la semaine dépassée, le préfet de l’Aisne, « Zidane-Khou-Court-riz », prenait un arrêté interdisant la vente d’alcool sur tout le département !
Pourquoi pas ? C’est déjà le cas sur les autoroutes (désertées) et les bars sont fermés.
Moins de 24 heures après, cet arrêté était rapporté par le même préfet.
« Rapporté » ?
En langage administratif, cela veut dire « annulé ».
Or, dans « annulé », il y a le mot « nul ».
« Rapporté », c’est mieux, vous comprenez.
Notez que dans le mot « rapporté », il y a « rapporteur », et au train où vont les choses, on se dit que les rapporteurs ont de beaux jours devant eux.
 
Allô, la gendarmerie ? Mme Michu, ce matin-là, elle est sortie de chez elle rien que pour aller acheter une baguette de pain.
C’est bien 135 euros, brigadier ?
Et Mme Duchemolle, je l’ai vue sortir du supermarché avec un plein chariot de Coca. C’est pas un produit de première nécessité, ça, que je sache, le Coca ?
Si-si, en cas de gastro ?
Mais merci, Madame. On va s’en occuper, de ces deux-là !
Pas possible, des choses comme ça, dans mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…) : On se croirait revenu aux formidables heures de 1940 où n’importe qui dénonçait son voisin.
Et pourtant, faites le tour de la presse quotidienne régionale, vous verrez que si.
Peut-être pas encore de la dénonciation « vraie », mais faut laisser le temps que les choses se mettent en place et ouvrir une plateforme internétique dédiée.
 
Donc, le préfet, il avait décidé de faire du zèle.
Sa crainte ? Les violences intrafamiliales, le confinement risquant de les exacerber, surtout dans la zone rurale des plaines à betterave.
Pour sûr, l’Aisne doit être un département d’alcooliques !
Né au Liban on voit que cet énarque est un « modèle d’assimilation » réussie…
Qui dit betterave, dit sucre. Qui dit sucre dit distillation d’alcool… c’est naturel !
Et qui dit alcool, dit alcoolisme et trouble du discernement, donc violences conjugales : C’est si simple à comprendre.
En tout cas, il semble avoir totalement assimilé cet art ancestral de notre administration : Celui d’emmerder le maximum de monde en un minimum de temps avec un maximum de mesures, si possibles contradictoires !
Bravo !
Avec, en prime, cette petite touche inimitable de moralisation : « C’est pour votre bien, tout ça ».
Mais le préfet (représentant l’État dans le département (ou la région), autrement dit « Jupiter » qui en est le chef (de guerre) incontestables), est revenu sur sa décision.
Entre-temps, il aurait échangé avec des « addictologues », déclare-t-il dans un communiqué soigneusement aseptisé au gel hydroalcoolique.
N’aurait-il pas pu les sonder avant ?
Cet aller-retour administratif donne, à l’évidence, une impression de précipitation, pour ne pas dire de désordre, qui en rajoute dans le sentiment de naviguer sur un bateau ivre où le timonier change de cap sans prévenir le capitaine.
 
D’ailleurs, on attend avec impatience l’arrêté préfectoral qui osera fixer les conditions réglementaires de la bagatelle afin de respecter les mesures de « distanciation sociale » : Fréquence, comment, ce qu’on peut faire, ne pas faire…
Avec des croquis.
Ce qui nous ramène à nos « gourgandines-de-petite-vertu » qui s’impatientent.
J’espère seulement qu’au préalable et afin d’éviter que l’arrêté ne soit rapporté dès le lendemain de sa parution, le préfet aura eu soin de consulter un sexologue.
Rien n’interdit, non plus, de consulter le bon docteur « Déesse-Khâ » qui, dit-on, est un cador, une épée en la matière !
 
Peut-être même que « Si-Bête-La-Diarrhée » aura suggéré de prohiber tout rapport sexuel entre-temps (histoire de faire trembler « Marre-Laine-Chie-à-pas »), pour s’être aperçue, elle ou notre bon « Sinistre-de-la-bonne-Santé », que les maternités seront bientôt débordées.
Vous pourrez dire plus tard que je les aurai prévenus, naturellement.
Dans huit (en comptant les naissances prématurées) à neuf mois, maximum : Juste avant Noël…
Euh… et puis avec la « vague des naissances millésime 2020 », il faudra ensuite, et jusqu’en 2022, ouvrir plein de places de crèches et à partir de 2023, des classes nouvelles dans les ékoles, de celles qu’on fermait encore pour faire des économies.
 
C’est quand même kon cette épidémie : La faute à ne pas avoir eu de masque en nombre suffisant et en temps voulu…

lundi 30 mars 2020

Petit conte de fée

Coronavirus ? C’était prévu !
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Les lettres-Ummos (cette civilisation extra-terrestre qui « nous guiderait ») l’avait indiqué dès 2015 : Crise mondiale à prévoir en 2020 !


Une information tombée par voie de « Twist » (ils sont au fait de la modernité) aux héritiers des « (f)Ummistes » de la « Baleine-Joyeuse » madrilène qui relayent encore leurs fadaises depuis les années 50 (du siècle précédent, d’un autre millénaire).
Je sais, j’en connais quelques-uns grâce à feu le « Capitaine Haddock », féru d’exobiologie depuis qu’il a croisé un Ovni au-dessus de « Paris-sur-la-plage » alors qu’il était aux commandes de son A320 entre Nice et London.
Il m’en avait fait part et a été la vedette de plusieurs forums consacrés au sujet, dans la mesure où son « contact-visuel » a été confirmé par un spot-radar du contrôle aérien « Gauloisien » !
 
Pour ma part, je n’ai pas à être convaincu : J’en ai croisés aussi quelques-uns, dont le dernier survolait « Paris-sur-la-plage » il y a quelques années maintenant, à basse altitude et faible vitesse, silencieux et sans feu de navigation en pleine nuit (il faisait seulement « tâche » sous les nuages qui étaient éclairés par la ville, alors que lui ne reflétait rien), sur un axe Ouest-Est au-dessus du quartier Saint-Germain alors que j’en grillais une cette nuit-là.
Une observation confirmée par un témoin, prof’-agrégé d’histoire-géo, qui se baladait avec son épouse sur le Pont des Arts.
Et puis, de toute façon, plus rien ne peut me surprendre sur ces sujets, depuis l’épisode de mes « On ».
J’en ai fait une relation sur l’ancien blog, aussi complète que possible et à chaud, que je reprendrai peut-être un jour sur celui-ci, même si l’épisode m’aura laissé un très mauvais souvenir (qui s’estompe heureusement au fil du temps) : On se promène tous avec ses blessures récoltées au fil de la vie et on ne s’en défait pratiquement jamais…
Traumatisant.
 
Ceci dit, probablement que les Ummos se désespéraient de voir une fois de plus toutes leurs prophéties échouer les unes derrière les autres – notamment sur le plan monétaire depuis que les banques centrales lisaient mes analyses (et parfois même ce blog-ci) pour avoir trouvé la parade à toutes les crises – te vous ont inventé un petit-virus sorti de derrière leurs fagots.
Pas plus dangereux qu’Ebola, mais qui devait provoquer une belle panique si le choix du pays était judicieux.
L’Afrique et les pays occidentaux, c’était mort : Ils sont trop bien organisés ou trop excentrés. L’Asie, c’était bien, mais ni la Corée, ni le Japon, ni Formose, ni Singapour également trop bien organisés.
Donc la « Chine-coco », une jolie petite dictature, bien formatée pour faire peur et prendre des mesures anxiogènes qui ferait tâche d’huile.
Et ils t’ont bazardé une petite météorite infectée d’un virus commun mais pas encore connu sur Terre du côté de Wuhan (un tir loupé en réalité, c’est compliqué d’être précis), au sud de la ville exactement, le 11 octobre dernier.
Ce n’était pas le premier essai (de laboratoire) mais là, la mayonnaise a pris.
 
Comme d’habitude, les animaux ont été les premiers infectés et comme un Chinois ça mange à peu près n’importe quoi, au mois de novembre, les premiers malades sont infectés-détectés dès le 14 décembre. Probablement un peu avant pour se confondre avec le grippe saisonnière, mais on ne savait pas vraiment faire la distinction.
D’ailleurs, puisqu’on on confond aussitôt cette épidémie avec celle classique de grippe saisonnière, le pouvoir central ne veut rien savoir et se cantonne dans le déni : Un grand classique dans ce grand pays de liberté…
Ceci dit, à force de lanceurs d’alerte, ils se décident à prendre des mesures radicales de mise en quarantaine abrupte de millions de personnes dans leurs provinces juste au moment des festivités du nouvel-an : Trop tard !
Et c’est le stress mondial rêvé : Les Ummos vont pouvoir en tester les conséquences politiques.
 
Lorsque les premiers cas de cette nouvelle pneumonie virale sont détectés à Wuhan, en Chine, on est loin d’en faire les gros titres et personne ne semble s’inquiéter. Le risque d’une introduction en Europe est jugée « faible », même s’il « ne peut pas être exclu », déclare ainsi le 21 janvier « Agnelle-Buzz-Yn » alors « sinistre de la Bonne Santé », (en fait elle dira plus tard qu’elle savait déjà, pour avertir ses collègues du Gouvernement le 11 janvier que maintenir les municipales était une ineptie, et c’est probablement pour ça qu’elle a été désignée volontaire pour remplacer « Gris-Veau » à l’arraché), tandis que la Chine compte déjà plusieurs décès et 300 malades et commence à bâtir des hôpitaux de campagne gigantesques en quelques jours.
Tout en accusant, pêle-mêle, les USA, le Canada, d’être à l’origine du désastre, alors que leur laboratoire « P4 » situé dans la même ville aurait très bien pu « fuir » un animal infecté par une manipulation…
 
D’ailleurs, ça n’a pas trainé, même en « Gauloisie » on rapatrie en urgence des « pseudo-contaminés », imité par tous les « grands-pays » du globe avec plus ou moins d’empressement.
Car, il y a un peu plus d’un mois, malgré un premier mort, l’épidémie sur le sol Gauloisien semblait inimaginable, comme partout ailleurs.
Mais en l’espace de quelques semaines les contaminations se sont envolées, projetant tous les pays dans une crise d’une toute nouvelle dimension !
 
Si le 21 janvier, si le risque d’introduction du virus reste « faible » pour les autorités « Gauloisiennes », quelques jours plus tard, le 24 janvier, trois premiers cas sont confirmés dans l’Hexagone : Un Bordelais de retour de Chine et un couple de trentenaires chinois. Dans les jours suivants, neuf autres cas sont détectés. Le ministère de la Bonne Santé commence ses points de situation quasi-quotidiens, diffusés en direct par les chaînes d’information en continu.
C’est lors de l’un d’entre eux que le 15 février, la encore « sinistre » avant de devenir la battue municipale parigote annonce, la mine sombre, la mort la veille à l’hôpital Bichat de l’un des douze malades, un touriste chinois de 80 ans : « C’est le premier hors d’Asie, le premier en Europe », souligne-t-elle à la veille de sa démission pour briguer la mairie des Parigots-bobos.
 
Malgré ce décès, à fin février, tous les autres patients contaminés sont sortis de l’hôpital, guéris. Aucun nouveau cas n’a été détecté en deux semaines. Et malgré l’inquiétude des riverains, aucun des plus de 300 « rapatriés de Wuhan » passés par des centres de quarantaine n’a été testé positif : Pas très virulent le virus.
Sauf qu’il mute probablement…
Et la rémission apparente est trompeuse. De l’autre côté des Alpes, la « Ritalie » prend des mesures pour isoler des foyers de contamination dans le nord du pays. Ce qui change tout : « L’épidémie est à nos portes », met en garde le nouveau sinistre de la Bonne Santé le 25 février.
Pas de contrôle à la frontière, sauf du côté du pays infecté-grave.
 
26 février : Premier mort « Gauloisien ». Quelques heures plus tard, c’est confirmé : Le numéro deux du ministère Jérôme Salomon annonce deux nouveaux cas, dont le premier lié à la « Ritalie ».
Et un premier mort est à déplorer, un enseignant originaire de l’Oise, sans contact avec la Chine ni avec la « Ritalie »…
Autour de chaque cas, un jeu de piste est lancé pour retrouver toutes les personnes entrées en contact avec le malade et si besoin les confiner pour limiter la contagion.
En quelques jours, c’est l’emballement.
Les contaminations se multiplient brusquement et la barre des 100 cas est atteinte le 29 février.
 
Pour tenter de freiner le virus, les rassemblements de plus de 5.000 personnes en milieu fermé sont interdits ainsi que certains événements en extérieur. Des restrictions plus fortes sont prises dans les foyers principaux dans l’Oise, la Haute-Savoie, puis ce sera au tour du Morbihan, du Haut-Rhin…
Dans un pays alors passé au « stade 2 » de la progression de la maladie, avec plusieurs foyers qui rendent l’épidémie quasiment inéluctable, c’est la ruée sur les masques de protection.
Le gouvernement décide de les réquisitionner pour les réserver aux soignants et aux malades. Le prix des flacons de gel hydroalcoolique s’envole, forçant le ministère de l’Économie à les encadrer, puis à en augmenter le tarif.
 
Le président « Jupiter » en appelle au « bon sens » alors que le bilan s’alourdit à neuf morts et près de 600 cas le 6 mars (et encore bien plus plus tard).
Ne plus se saluer en se serrant la main, se laver les mains régulièrement, tousser dans son coude, appeler le 15 en cas de symptômes… Les messages anxiogènes d’alerte passent en boucle sur les radios ou dans les couloirs du métro.
Le compteur continue de grimper. Le seuil symbolique des 1.000 cas est dépassé et le gouvernement interdit les rassemblements de plus de 1.000 personnes le 8 mars, une décision qui frappe le monde du spectacle, déjà au bord de l’asphyxie.
Alors que le « sinistre de la Cul-ture » et plusieurs députés sont contaminés, les mesures de protection sont renforcées autour du président qui modifie son agenda pour monter en première ligne dans la bataille contre le virus.
 
Côté économique, la spirale infernale continue : L’activité déjà ralentie par l’arrêt des usines chinoises qui a perturbé les chaînes d’approvisionnement subit de plein fouet la chute de la demande provoquée par les mesures de confinement décidées à travers le monde.
Les mesures pour faire face à cette crise « coûteront des dizaines de milliards d’euros », prévient le ministre de l’Économie.
Face à cette situation extraordinaire, ce jeudi soir-là, le président change de ton et d’échelle face à « la plus grave crise sanitaire depuis un siècle », qui a fait désormais 79 morts pour plus de 3.600 cas. Devant 25 millions de téléspectateurs – un record pour une déclaration officielle –, il annonce la fermeture dès le lundi suivant de toutes les crèches, écoles, collèges, lycées et universités jusqu’à nouvel ordre.
Mais maintient les élections municipales.
 
Dans la foulée, les rassemblements de plus de 100 personnes sont interdits, signant la fermeture du Louvre, de la Tour Eiffel et du château de Versailles. Le foot tricolore décide aussi un temps mort jusqu’à nouvel ordre. Les messes se disent en petit-comité, les compagnies aériennes s’affolent, les hôtels et restaurants se vident à l’allure des gondoles qui sont pillées dans les magasins…
Des mesures draconiennes exceptionnelles, mais pour combien de temps ?
Au moins plusieurs semaines : Un véritable casse-tête pour les parents et les entreprises.
 
Mais aussi un défi extraordinaire pour les soignants des hôpitaux à qui le gouvernement a promis « tous les moyens financiers nécessaires » qu’ils n’ont jamais obtenu malgré des mois de grève, pour pouvoir traiter les 5 % de contaminés qui seront victimes de formes graves de la maladie.
« Nous sommes au début d’une épidémie d’un virus inconnu, je ne peux absolument pas vous affirmer les yeux dans les yeux aujourd’hui que je sais exactement quelle sera l’ampleur de l’épidémie », a reconnu le nouveau sinistre de la Bonne Santé, quasi inconnu il y a un mois et qui écume désormais les plateaux télé pour tenter de rassurer la population : Il fait autorité pour avoir été toubib avant de faire « politique » dans le civil.
 
L’épidémie devient rapidement mondiale : Aucun pays n’est épargné sans qu’on sache vraiment où se situe à chaque fois le « patient zéro » d’une zone donnée.
Et les frontières finissent par se fermer, même chez les « autistes anglo-saxons ».
Il faut dire que la pandémie n’est pas que médicale : L’objectif (f)Ummiste est enfin atteint, les marchés financiers s’effondrent, anticipant les chutes d’activité de l’usine du monde qui ne produit plus et consomme beaucoup moins, les banques centrales déversent des milliers de milliards de monnaie gratuitement, les produits pétroliers s’écoulent à vil prix et même la « devise-barbare », l’or, vrille ses cours : Il faut dire que personne ne mange d’or, même en confinement et qu’il est temps de prendre ses bénéfices et de se rendre liquide pour saisir les opportunités qui vont se présenter.
Côté avantageux de la chose, la délinquance de rue s’effondre et les manifestations sur la voie publique sont interdites.
 
C’est l’effet-pervers de l’expérimentation (f)Ummiste : Les Libertés-Pue-Bliques passent sous le boisseau, à la trappe, comme effacées, mises entre parenthèses dont on ne sait pas quand elle va se refermer.
Et tout le monde s’y plie sans heurts, tous mûrs pour une vraie dictature, sans contre-pouvoir ! Là, ce n’est jamais qu’une répétition générale.
Le rapport d’activité de l’expérience (f)Ummiste énoncera que, quel que soit le pays et le régime politique qui y règne, c’est la Liberté qui aura perdu du terrain.
Il n’y avait que deux possibilités de limiter la casse et de « tuer » le coronavirus : Contrôler ou enfermer les gens.
Et curieusement, dans les pays « avancés » et beaucoup d’autres, on enferme et on ferme, quitte à se ruiner… plus tard.
Le seul qui contrôle jusque dans les rues, c’est un État Sud-Coréen avec un certain succès grâce aux technologies nouvelles qui tracent absolument tout le monde.
La Chine trace aussi et avec obstination, mais à un moment, au démarrage de la pandémie, les autorités se sont laissées débordées et ont préféré mettre en quarantaine, quitte à ruiner le pays (et ses citoyens).
 
Voilà un petit-conte qui en dit long sur l’avenir de vos démocraties électives :
– Une élection peut être reportée sine die au premier motif venu sans que ça n’émeuve qui que ce soit : Elles ne veulent plus rien dire.
– Le pouvoir n’appartient plus au citoyen (par les urnes ou par la rue) mais aux « sachants » en place à ce moment-là, qui n’hésiteront pas à tout faire pour le garder (pour votre bonheur).
– On délègue désormais aux robots (et autres drones) le sort des gens jusque dans la rue, et avec succès. C’est un arbitraire comme un autre, mais celui-là est largement accepté (pour votre bonheur).
– Et quand ça ne suffit pas, on envoie la force publique et l’armée pour vous entraver (pour votre bonheur).
Et même cela est finalement bien accepté : On adhère unanimement par « bon sens » partagé, figurez-vous !
 
Et moâ, je suis colère : J’ai été privé d’un séjour en Balagne : Merci les (f)Ummistes !

dimanche 29 mars 2020

On remet ça…

L’heure d’été revient !
 
J’ai toujours eu un problème de « trains qui se croisent », de baignoires qui fuient, de casseroles qui débordent et de fuseaux horaires.
Moâ, je ne sais ni lire, ni écrire, ni compter : Je suis un enfant de « l’ékole-pue-blique », de la maternelle à « Bac +++++ », et je n’ai jamais pu apprendre…
C’est comme ça et de toute façon j’ai des « machines » qui savent faire ça mieux que moâ et sans (trop) se tromper.
 
Mais alors quand il s’agit de tripoter le remontoir d’une montre, ça devient infernal : J’en arrive à avoir que des appareils qui n’indiquent pas la même heure sur leur cadran.
Terrible.
Alors quand on m’oblige à « jouer avec les aiguilles » deux fois par an, je me plante régulièrement.
Même se fier aux horloges des gares n’est pas suffisant : Elles sont capables d’afficher une à deux minutes d’écart selon l’endroit où elles sont posées.
Pas tout le temps, mais quelques secondes, c’est certain.
 
Bref, hier, je prépare ce post pour ce matin.
Mais comme on change de fuseau horaire dans la nuit pour avoir été durant six mois aligné sur celui de Berlin (TU + 1) pour passer à celui de London, et comme je ne suis qu’au milieu des deux confiné à « Paris-sur-la-plage », je suis perdu.
D’autant que les « Rosbifs » comme les « Teutons » changent également de fuseau horaire dans le même élan.
On va finir par se retrouver à Moscou sans s’en rendre compte…
 
Évidemment, « mes machines » me suggèrent d’aller voir sur Wikipédia quelques explications.
Et l’encyclopédie en ligne de venir m’expliquer que « l’heure d'été est un système consistant à ajuster l’heure locale officielle, en ajoutant une heure à celle du fuseau horaire dit « normal », pour une période allant généralement du début du printemps au milieu de l’automne, ce qui a pour effet de retarder l’heure à laquelle le Soleil se lève et se couche. »
Est-ce clair pour vous ?
Tu sembles rajouter une heure et du coup, au lieu d’être en retard, tu es en avance, c’est ça ?
Ou l’inverse ?
 
Pour vous dire que pour moâ, ce n’est toujours pas clair : « Heure d’été, tu rajoutes une heure à l’heure normale (…) ce qui a pour effet de retarder l’heure à laquelle le Soleil se lève et se couche. »
Comme si celui-ci obéissait aux horloges de la SNCF…
Je veux bien passer pour un pétoncle, mais tout de même, il y’a de l’abus !
Car ça veut dire que si je veux avoir mes posts affichés à l’heure où je vais pisser, soit environ 4 heures du matin, j’avance ou je recule ?
Si j’avance d’une heure (03 h 01) et que l’heure recule d’autant, ma vessie va-t-elle pouvoir survivre avec tout ce que je bois la veille au soir (pour oublier) ?
Si je recule d’une heure (05 h 01), vais-je me retrouver à m’inonder par inadvertance ?
Cornélien comme choix…
 
Y’en a marre de ces histoires de relativité temporelle des heures fluctuantes !
Celles des marées, je sais faire avec mes éphémérides : J’ai appris avec Tabarly.
Lui au moins, quand il te disait d’étraquer, il te montrait comment faire et après il se la coulait douce, l’œil sur la mer, le nez au vent.
Idem pour faire une méridienne au sextant ou une triangulation sur « amers remarquables » avec une carte et une règle Cras, avec un prof pareil, c’est un jeu d’enfant.
D’ailleurs, j’étais gamin…
 
Idem, la relativité (horaire) d’Einstein, encore je veux bien tellement elle est logique, mais celle des « sachants », fussent-ils Européens, franchement, c’est pénible.
D’autant que ça ne sert à rien et qu’ils s’en sont enfin rendus compte, il y a de ça… deux ou trois ans !
Enfin si : Là en ce mois de mars, j’étais content d’aller bosser (encore un peu) avec les lueurs de l’aube.
Confiné, mais plus besoin de faire tourner le compteur électrique pour éclairer ma route ou ma lanterne.
Là, il va falloir en retrouver l’usage.
Et puis je m’arrêtais quand je n’y voyais plus rien, histoire de rallonger la période pré-dînatoire copieusement arrosée de fortes liqueurs : C’est bon pour la santé en tuant sans merci les bactéries et virus de la journée.
Bé, je risque désormais de dépasser le JT vespéral sans même m’en rendre compte, d’autant qu’il me faut presqu’« une heure-machine » pour faire mes sauvegardes : Infernal vous dis-je si je me laisse surprendre par la luminosité.
Passons.
 
Si, comme ils disent ci-devant « ce qui a pour effet de retarder l’heure à laquelle le Soleil se lève et se couche », ça veut dire quoi ? Que j’accélère l’allure ou la ralentis pour « péter » mes posts à 4 h 01 ?
Autre souci : Le chat de la voisine, il faut qu’il me lève une heure plus tôt puisqu’on recule, ou il faut que je lui explique qu’il a une heure de plus à patienter sans miauler à la mort avant de réclamer sa bouffe matinale puisqu’on avance ?
Et je ne dis pas « Blanchette », la vache qui meugle quand on ne lui tripote pas les pies, ni ce konnard de coq qui réveille tout le monde à pas d’heure !
Vivement le monde urbain, je vous dis…
 
Bref, hier soir, je n’avais pas réglé mon problème.
Alors dans le doute, je ne change rien : Pour une fois, je fais confiance « aux robots » (alors que d’habitude je vérifie toujours la cohérence de leurs résultats avant de prendre une décision).
Une vieille habitude que d’avoir passé ma vie à rattraper les konneries d’autrui.
Même en voiture, sur autoroute, je suis encore capable de vérifier que, régime moteur calé par le limitateur de vitesse, les yeux sur le GPS, je suis encore capable de déclencher mon tachymètre au passage d’une borne.
Trois mesures et, bien sûr… trois résultats différents !
Ça ne loupe jamais : C’est vous dire si ma confiance dans « les robots » reste tout de même limitée !
En général le tachymètre indique à peu près la vitesse du GPS, mais le compteur kilométrique 2 à 3 km/h de plus.
C’est dire si on vous escroque à chaque coin de bois. Si le dynamomètre-radar-doppler est réglé comme votre compteur, c’est deux pourcents dans la vue et bon pour l’amende et un point sur votre permis.
Évidement, 2 % sur votre tas de « boue à roulette », c’est 2.300 km de moins réels pour 100.000 et autant de consommation de plus au 100.
 
Bref, on ne sait décidément pas compter dans ce pays, que s’en est lamentable.
Et que je ne suis pas bien sûr de pouvoir apprendre avec nos « sachants » qui ne savent pas plus (voire encore moins) que moâ !
Donc, c’est ce matin que je vais savoir si « ne rien faire » est une bonne solution ou non pour ne pas finir dans le fuseau horaire d’Honolulu s’ils persistent avec leurs histoires de changement d’heure saisonnière.
Parce que je vous parie quoi ?
Qu’au mois d’octobre, j’aurai exactement le même problème.
Et comme je ne sais même plus ce que j’ai fait l’année dernière à pareille époque, je suis bien incapable de m’y retrouver.
 
En attendant, que vous vous réveillez ou non à la bonne heure, je vous souhaite tout de même une excellente journée à toutes et tous, sachant que pour une fois, on restera une heure de moins en confinement : C’est toujours ça de gagné !
 
I3