Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 25 novembre 2018

À cause de « Pourrito », je suis totalement furax !

Le cocu de service, c’est moi !
 
Et ça ne fait jamais plaisir de le constater.
Je vous explique – parce que ça n’a rien à voir avec des histoires de cœur ou de kul – mais durant un week-end passé, je suis repassé par le tunnel sous la Manche pour visiter ma « Môman » qui ne va pas trop bien.
Depuis, elle a repris un peu de « poil de la bête » à l’approche des fêtes mais reste toujours « sur le fil ».
C’est clair qu’à son âge avancé, son avenir est plutôt derrière elle que devant, d’autant que son crabe la tourmente, la fait souffrir. Disons que c’est plutôt sa chimio : Manifestement, ça use terriblement l’organisme et « la machine » proteste véhémentement à chaque occasion et sans relâche.
Elle en dit que c’est « épouvantable », mais avec elle, la moindre contrariété est ou a des conséquences « épouvantables ».
Un terme que je ne supporte plus dans son langage, alors je prends sur moi…
Car si vous saviez comme c’est dur de voir et d’entendre souffrir sa mère qui perd au fil du temps la « niaque » nécessaire pour surmonter les aléas de la vie, espérant maintenant, plus ou moins souvent, en finir rapidement.
Mais ça dépend des jours.
Je sais, ça me fait ça aussi quand j’ai 37,0001° de fièvre (à l’article de la mort, quoi) ou quand je ne dors pas assez : Est-on donc sur cette planète pour devoir supporter jusqu’à l’insupportable ?
Bref, ce n’est pas le sujet.
 
Parigot pour le week-end, j’en profite pour la promener sur les tombes familiales (avec des taxis-diesel…) qui te vous rançonnent sans vergogne  (vu le montant des taxes et cotisations diverses qu’ils décaissent), et je te me fais la tournée des librairies en vue…
Pas de panique : Les uns ne l’ont pas en référence sur leur grand ordinateur – alors que j’ai payé pour ça – les autres ne veulent pas le commander même en les payant.
Ah oui, et pourquoi ?
Parce que, parce que… des faux-nez absurdes ou des raisons surréalistes avancées.
En fait parce que tout simplement ils ne vendent pas ce qu’Internet sait vendre.
Et pour cause : Ils n’ont pas les mêmes marges, donc ils ne veulent pas savoir et engraisser la toile à leur détriment, tout simplement !
 
Comme j’ai « ma machine » avec moi-même, j’avais fait donc les sites internet qui proposent à la vente une référence livresque.
J’ai déjà commandé sur Amazon et quelques autres. Et je ne suis pas le seul.
Amazon n’a pas répondu mais a accueilli avec grâce mon paiement – qu’il a d’ailleurs encaissé – comme les quelques autres et indique depuis que l’ouvrage est en « rupture de stock ».
« Bonne nouvelle » en dit « mon gardien », « c’est que tu avais raison : Il fallait en passer par un éditeur » sous-entendu « avec un réseau de distribution » à la solde.
Vous le savez, lui voulait monter directement une boîte d’édition.
Il a même ouvert « une cagnotte » pour ça, le fou…
Naturellement, j’avais aussi passé commande directement chez l’éditeur pour un « gros paquet », histoire de pouvoir faire plaisir à ma « Môman » pour son anniversaire qui arrivait dans la semaine (et qui est passé sans que je sois livré).
Que si je ne reçois pas les exemplaires payés, « Pourrito » il aura seulement le choix entre « Canal historique » et « Canal habituel », mais pas celui du jour de l’attentat !
 
Mes bouquins sur la fiscalité et autres « optimisations », ça n’avait pas vraiment emballé ma « Môman », alors « un roman », je pensais que ça pouvait lui être agréable.
Et puis moi-même, je ne suis plus tout jeune : Publier pour publier, je vous l’ai déjà expliqué, ce n’est pas vraiment dans mes ambitions de nobélisable.
D’un autre côté, il y a eu la « cagnotte » de « mon gardien » qui m’a un peu poussé au kul.
Sauf que lui, je viens de le dire, il voulait créer une entreprise d’édition en partant de mes « prototypes » et qu’en plus, ça a pris de façon étonnante une lueur inattendue.
Mais pourquoi réinventer le fil à couper le beurre quand il existe déjà ?
D’où ma démarche de chercher un « vrai » éditeur.
Et c’est Book Elan qui s’est présenté volontaire (je ne sais pas comment, puisque je ne l’avais pas contacté : Je ne savais même pas que ça existait).
Alors pourquoi pas ?
 
Sauf que si c’est bien « mon gardien » qui est « mon » représentant sur le continent pour nos « affaires & idées communes », il m’a naturellement engueulé pour l’avoir « trahi » (on s’est presque fâché) et qu’en réalité, c’est lui qui avait raison : On n’est jamais aussi bien servi que par soi-même !
D’abord, le gars, il te fait signer une cession exclusive de tes droits d’exploitation sur « ta création » (en fait il faut lire « tes créations ») pour une durée dirimante : 5 ans !
Naturellement, il ne paye rien qu’une vague promesse sur tes « futurs droits d’auteur » (normal) mais présente l’avantage d’éditer « à la demande ».
Là, tu comprends, comme pour « Amazon.com », à l’unité, à la commande des libraires et autres sites de vente en ligne.
Et d’affirmer qu’il s’appuie sur un réseau de diffusion de plus de 3.000 libraires (sur 45.500 existants).
Tu te dis qu’avec un peu de chance, ton bouquin ne sera pas en tête de gondole, mais que tu pourrais te le procurer (toi ou n’importe qui) sur commande.
Le tout c’est d’être présent sur les catalogues – ce n’est déjà pas mal même si ce n’est que 6,6 % du parc existant de libraires – avec éventuellement un « visuel » un peu original.
Pour une image, il faut que tu payes. Pas une blinde, mais ce qui devait s’autofinancer finit par te faire casquer…
Ensuite, il t’envoie un « bon à tirer » bourré de coquilles en te précisant que s’il y a plus de 10 corrections à faire, il faudra payer une facture supplémentaire…
C’est marqué comme ça dans son contrat.
Si le boulot est bien fait (genre copier/coller), il doit y avoir « zéro coquille »…
 
Sauf que je ne sais pas quel manuscrit il a pu « travailler », parce qu’au bout de quelques nuits blanches, c’était 60 pages de corrections à faire (ici un « s », là un « e », etc.), en plus des coquilles de presse habituelles.
Infernal : Il a fallu reprendre le texte en PDF (son format) pour modifier et remettre en « Francilien-natif ». Et encore, j’ai dû en omettre.
Il te renvoie un fichier que tu viens de te palucher à tes heures de loisir et rebelote : Par cœur que je vais finir par le connaître ce manuscrit.
Au bout d’un moment, tu en as ras-le-bol et tu lui fais savoir que ça va comme ça qu’il t’en tire une première demi-centaine d’exemplaires et basta.
Là, surprise et re-facture : Ce n’est plus de l’édition à compte d’éditeur, mais carrément à compte d’auteur, dans ces conditions-là !
Bref, « baisé » !
 
Et le pire : Toujours rien dans les gondoles ni aucun retours des sites où tu as déjà passé commande pour tester les circuits de diffusion.
Ceux-là, je ne te vous raconte même pas : Si tu fais expédier, de toute façon, comme je n’ai plus d’adresse en « Gauloisie-hexagonale » (sauf celles de ma « Môman » et de « ma petite-sœur »), tu casques une blinde.
Sur Paris direct, c’est toutefois moins cher.
Le truc qui doit te revenir 17,01 euros prix public, il t’est vendu – et pas livré – pour 26 à 35 euros…
À quoi donc sert le « Brexit » au juste ?
Une arnaque totale !
Comment voulez-vous que les gens achètent un « roman » de 370 pages à ce prix-là ?
Ce n’est pas un ouvrage d’art, tout de même !
 
J’en conclus que « mon gardien » avait raison de m’engueuler quand il s’est senti trahi par mon initiative de l’automne d’aller voir ailleurs.
Le bouquin ne sera pas présent en librairie, encore moins en bibliothèque – juste une référence de plus quelle que part dans les archives nationales – et seules quelques relations personnelles recevront les exemplaires qui vont finir par m’être expédiés, peut-être avant Noël.
Mais c’est peut-être seulement : On parle de « délais rapides », naturellement…
 
Toute l’escroquerie du système tient dans le « à la demande ».
Ce qui ne veut pas dire, mais alors pas du tout, « à l’exemplaire », non-non, pas du tout !
Le gars accumule simplement les « demandes » ici et là et va finir par imprimer quand ça ne lui coûtera pas trop cher à le faire. Et je ne sais pas à quel niveau quantitatif il compte le faire.
Inutile de vous dire que pour une « promotion » dans un « réseau étendu », c’est complètement raté.
D’où ma fureur : Quand on fait les choses, on les fait bien ou on s’abstient.
Alors bon, commandez, commandez, tout de même il en restera peut-être quelque chose au bout du bout, même si on a le temps de mourir d’ici là.
 
Mais il n’y a pas que ça : J’ai aussi accédé à sa demande relayée par « mon gardien » de virer le texte du blog (et je l’ai même supprimé sur l’autre blog).
Pour ne pas faire d’ombre à « sa production », bien sûr.
Une konnerie monstrueuse !
Je vous explique : D’un côté pas de marchandise à vendre, car comme dans n’importe quel réseau commercial, pas de vente donc pas de présence donc pas commande donc pas de vente…
De l’autre, si en plus la matrice disparait, pendant 5 ans, vous n’y aurez plus accès et ça ne lui coûte rien que de l’avoir fait « effacer », mais l’ouvrage ne sera pas non plus disponible pour autant…
Un coup à trois bandes, ou comment faire disparaître un texte encombrant ou seulement gênant pour quelque « autorité » ?
Je ne suis pas « complotiste » pour un rond, mais dans 5 ans, je serai mort et enterré et tout le monde aura oublié.
Le manuscrit aussi.
Étonnant comme résultat (qui me gonfle), non ?
C’est vous dire ma fureur du moment.
Même si ça me donne la tonalité et de la matière du prochain roman…
 
Quant à moi, ma décision est prise : Le prochain opus à éditer (probablement « Parcours olympiques ») passera par Amazon (plateforme où les droits d’auteur ne sont pas cédés : Merci à Jeff Bezos, avec lui au moins, il n’y a pas de censure « sur-le-champ » ou seulement différée. L’opus de « l’Ami-râle » (qui parle de la même chose) est toujours à la vente et… « à l’unité », disponible à qui veut l’acquérir, livraison sous 48 heures ouvrées… !
Ainsi que mes suivants (et autres « histoires d’en rire ») pour un panel complet.
À moins que j’installe une petite imprimerie en Angleterre (mais je pense que ce sera plutôt en Belgique, les frais de port sont plus faibles de ce que l’on en m’a dit) avec « mon gardien », sa première idée.
Sauf que lui – qui est en fait « juridiquement » mon délégué général – il est cramé auprès de « Pourrito », l’éditeur retenu bêtement par mes soins…
 
« Pourrito », il faut que vous parcouriez le blog de « Stoni 1983 » (probablement « un jeunot ») et vous comprendrez très vite que le milieu des éditeurs « est piégeux » : À part quelques dizaines sur les 4.500 existants, ils apparaissent presque tous comme « d’affreux pervers ». Des auteurs sans aucun talent qui se félicitent du talent d’autrui, partant à la pêche pour gonfler leurs catalogues d’éditeur fantoche, peut-être en espérant se les faire reprendre un jour par un « vrai éditeur » pour quelques picaillons : De toute façon ça ne leur coûte rien que les frais de timbre (et encore, seulement quand ils ne vous écrivent pas exclusivement par courriel…)
 
Y’a des fois où il faudrait écouter ses amis de « trente ans ».
Ne pas les vexer en les raillant, ne pas les combattre ou les « trahir », comme le mien me le reproche.
Et pour « Opération Juliette-Siéra », soit j’attends 5 ans, soit je me démerde autrement (genre, je le réécris avec un autre titre : J’aimerai bien l’écrire « au féminin », mais je pense faire encore mieux d’ici cet été : Une surprise à vous livrer).
On verra, car je sais déjà comment : « I-Cube », c’est un pseudo.
J’en ai au moins deux autres… « libres de tout droit » (mais sans relai).
Une façon comme une autre de « niquer les niqueurs » tout en faisant l’apologie de l’édition libre (de Bezos) dans un pays soi-disant de liberté.
Vous savez quoi, il n’y a que 300.000 Islandais en ce bas-monde, mais pratiquement tous sont ou seront édités : Un pays où même les bars font aussi librairie-bibliothèque !
Je sais, j’y ai fait un tour prolongé : Un rêve.
 
Bonne fin de journée à vous toutes et tous : Pour ma part, je vais essayer de me calmer.
 
I3

6 commentaires:

  1. Bonjour,
    Etant en passage furtif en France, j'avais commandé votre ouvrage dans une librairie. Grosse déception quand on m'a dit qu'il était épuisé. Je me suis rabattue sur Amazon avec un délai annoncé de 2 à 3 mois. Désappointée je suis!
    Bonne journée quand même.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah chère Comtesse au pied dénudé !
      C'est assez sympa d'avoir voulu faire l'effort.

      Mais je crois que "Pourrito" est un nullissime qui ne sait pas faire un prix.
      Il annonce à ses réseaux un ouvrage à 18 euros tout compris.
      Mais en fait, ça lui reviendrait à 23 euros !
      Alors il préfère ne pas vendre, d'où la rupture de stock !

      Je ne sais pas comment on va se sortir de cette impasse, mais on devrait y arriver.
      Je vous tiens au courant via un post à sortir.

      En tout cas merci et bien à vous !

      I-Cube

      Supprimer
  2. Je suis passé par Books on Demand. Pas de problème. Après, il faut faire attention sur les sites internet. Tu trouves des vendeurs qui proposent le livre en occasion, plus cher que le prix du neuf. Je suppose qu'ils achètent le bouquin une fois l'argent encaissé... s'ils le font. Il vaut mieux commander sur Amazon. Après, vendre un bouquin, c'est compliqué. Pour celui que je suis en train d'écrire, j'ai une cible. Mais on verra. Après, j'écris pour me faire plaisir aussi.
    Bien à toi.
    Vlad.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Salut mon jeune ami !

      Oui, je ne comprends pas bien comment tout ça fonctionne.
      Pour le prochain coup, je vais redonner la main à "mon Gardien", qu'il se démerde.
      Moi aussi j'écris pour le plaisir, parce que des fois, il faut que ça sorte, c'est tout.
      Le reste n'a jamais été dans mes ambitions.

      Toâ, en revanche, tu nous tiens au courant de la suite du sabordage de ton blog.
      Une manœuvre que je ne comprends pas bien, sauf interférence avec ta vie professionnelle.
      Remets le couvert avec un pseudo "anonyme" : Internet suit les gens dans le temps. A moi, tu ne verras jamais mon nom apparaître...
      Une paix royale (enfin presque...)

      Bonne continuation à toi.

      I-Cube

      Supprimer
    2. C'est la fin d'un cycle. Je veux me consacrer à autre chose. Tant que le blog existait, j'étais tenté de commenter l'actualité. Et ça me déprime. Je me consacre pour le moment à la création. Puis, ensuite, éventuellement, à un autre blog. J'ai une idée de blog économique. Mais il faut trouver le temps pour bien faire les choses. Sinon, il y a toujours le blog sur l'école autrichienne d'économie. Là encore, pas le temps de l'alimenter. Car il faut lire beaucoup avant d'écrire.
      Vlad

      Supprimer
  3. Ok Vlad !
    Tu devais faire "Nobel de l'économie", rappelle-toi...
    Des gens qui persévèrent.
    Mais bon, si tu te maries et que tu nous fais des gosses, on peut comprendre que les bras t'en tombent : On sait !
    Bon courage à toi !

    I-Cube

    RépondreSupprimer