Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 30 avril 2021

Les « revenues » de la semaine

Relevées par Jean-Marc…
 
Pour les béotiens, les « revenues » sont des « histoires d’en rire » de Jean-Marc & Cie déjà publiées sur ce blog.
Elles partent sur la blogosphère au gré des connexions, essentiellement dans l’hémisphère-nord et probablement jusque chez des francophones (un petit peu l’Océanie) et « reviennent » après un parcours improbable autour de la planète, légèrement modifiées, « adaptées » ou parfois intactes, à peu près à l’improviste et dans des délais très aléatoires.
On en jette une grande partie, sauf celles qui amusent vraiment Jean-Marc.
Les suivantes en font partie.
 
La maîtresse demande à ses élèves de faire une phrase avec « et pourtant ».
« – Vas-y Jean-Pascal :
– Hier, j’ai été à la pêche avec mon papa et pourtant il pleuvait. »
La maîtresse :
« – Oui, ce n’est pas trop mal. À toi Isabelle.
– Le chat a attrapé une souris et pourtant elle courait vite ! »
La maîtresse :
« Voilà, c’est très bien. À toi Jean-Marc. »
Jean-Marc réfléchit un instant et se lance :
« Les filles mouillent entre les jambes et pourtant elles ne rouillent pas !!! »
La maîtresse très mécontente :
« Tu me copieras 100 fois : “Je ne raconte pas de grossièreté en classe” pour demain et tu prépareras une phrase correcte avec “et pourtant”. »
Le lendemain, Jean-Marc remet sa punition à la maîtresse.
« J’espère que tu as compris. Vas-y, dis-nous ta nouvelle phrase. »
Jean-Marc :
« La terre est ronde (la maîtresse se dit : Pour l’instant ça commence bien) et pourtant ça baise dans tous les coins !!! »
 
C’est Jean-Marc (devenu adulte), sur l’autoroute avec sa Porsche, à 180 km/h.
Il est tout fier de sa nouvelle voiture quand tout à coup, il se fait rejoindre par un gars en 205 GTI.
Le gars baisse sa vitre et lui crie : « PEUGEOT, TU CONNAIS ? »
Pas content, Jean-Marc se dit : « Tu vas voir mon gaillard ! ».
Et il monte à 210 Km/h, double la 205 et la laisse loin derrière.
10 secondes plus tard, la 205 le rattrape et le mec lu rehurle : « PEUGEOT, TU CONNAIS ? »
Là, il est vraiment furax, le Jean-Marc !
Pied au plancher, il pousse à 250 km/h et il le redouble.
10 secondes plus tard, la 205 le rattrape et le mec lui redit : « PEUGEOT, TU CONNAIS ? »
C’en est trop pour Jean-Marc ! Au diable les flics, les radars et les retraits de permis, c’est une question d’honneur, à fond en sixième, il carbure à 300 km/h.
À son grand effroi, la 205 le rattrape, lentement, mais sûrement.
C’est alors que Jean-Marc se rappelle qu’à cet endroit, la route se rétrécit et qu’il y a un virage serré.
Il ralentit, et constate avec horreur que la 205 s’explose en mille morceaux dans une gerbe de flammes.
En pleine panique, Jean-Marc s’arrête, quitte sa Porsche et s’approche de la carcasse fumante de la 205.
Il s’aperçoit que le conducteur est encore vivant, à moitié brûlé et encastré dans la tôle.
Le gars lui demande alors dans un souffle à peine audible : « Peugeot, tu connais ? »
Jean-Marc répond surpris : « Mais oui je connais Peugeot !! ».
Et dans son dernier soupir, le gars lâche : « Y sont où, les freins ? »
 
Un pasteur huguenot se balade dans la campagne avec son petit garçon.
Il tente de lui inculquer la morale chrétienne et le respect de la nature.
Soudain, un pigeon lâche une fiente sur le chapeau du papa “SPLATSCH”.
« – Oh papa, ton beau chapeau est tout sale, maman ne sera pas contente !
– Ce n’est pas grave mon fils.
Remercions plutôt le Seigneur de ne pas avoir donné d’ailes aux vaches. »
 
À essayer !
La nouvelle position amoureuse :
Elle s’appelle “La position Rodéo”.
Jean-Marc en fait une description méticuleuse à Jean-Paul.
« Tu retournes ta dame sur le ventre.
Tu la pénètres délicatement.
Tu prends ses seins des deux mains.
Et tu lui dis : “On dirait vraiment ceux de ta sœur !”
À partir de là il FAUT tenir 8 secondes !!! »
 
Une femme veut se faire opérer car elle trouve que ses lèvres vaginales sont trop grandes.
Elle demande au docteur de garder le plus grand secret sur l’opération car elle est embarrassée et ne veut que personne ne le sache.
Le docteur y consent.
Elle se réveille de son opération et trouve trois roses placées avec soin à côté de son lit.
Outragée, elle appelle le docteur.
« – Je pensais vous avoir demandé de ne pas parler de mon opération à personne !
– Ne vous inquiétez pas. Je n’ai rien dit à personne.
La première rose est de moi. Je me suis senti mal parce que vous avez traversé tout ceci complètement seule.
La deuxième est de mon infirmière.
Elle m’a aidé à vous opérer.
– Et la troisième ?
– Elle provient d’un type dans l’unité des grands brûlés qui vous remercie pour ses nouvelles oreilles ! »
 
Dans un camp de nudistes, Jean-Marc dit à son garçon de 8 ans :
« – Tu vas aller quêter pour ramasser de l’argent pour les œuvres de bienfaisances et tu dois choisir les gens les plus riches.
– Mais papa, ils sont tous nus ! Comment vais-je reconnaître les riches des pauvres ?
– En général », répond Jean-Marc, « les gens pauvres ont un petit pénis et les riches en ont un plus grand. »
Le petit garçon commence sa quête, et deux heures plus tard, Jean-Marc lui demande :
« – As-tu vu ta mère ?
– Oui, elle parlait avec un gars pauvre, puis tout d’un coup, le gars est devenu très, très riche et ils sont partis ensemble… »
 
Jean-Marc entretient aussi un petit lopin dans un jardin communautaire.
Sa voisine était surprise par la belle couleur rouge de ses tomates.
Alors un jour elle insista auprès de notre homme pour connaître son secret.
Celui-ci finit par lui avouer que le matin, très tôt, il vient se promener tout nu devant ses tomates et que c’était ainsi qu’elles devenaient si rouges.
La fille très surprise par sa technique se dit qu’elle allait l’essayer.
Quelques semaines plus tard notre homme rencontre de nouveau sa voisine :
« – Alors comment vont tes tomates depuis que tu pratiques ma technique à poil ?
– À vrai dire mon cher, l’effet sur mes tomates n’est pas évident du tout.
Mais si tu voyais la longueur de mes concombres… alors ça ! »
 
Un vieux monsieur essaie de mâcher son steak, mais ça n’a pas l’air facile.
À la fin, excédé, il retire son dentier, le pose à côté du steak et s’exclame :
« Arrangez-vous tous les deux ! »
 
Dans un train Jean-Marc mâche du chewing-gum.
Une vieille dame assise en face le prévient :
« Pas la peine de me faire la conversation, je suis sourde… »
 
Deux confrères d’université se rencontrent après 15 ans.
« – Gaston !
– Jean-Paul !
– Tu n’as pas changé !
– Toi non plus ! »
Et ils bavassent comme ça, pendant une dizaine de minutes.
« – Dis donc, Gaston, es-tu marié ?
– Oui, Jeanne, tu te souviens, elle étudiait avec nous. Et toi ?
– Deux fois. Deux échecs.
La première m’a quitté et la deuxième s’accroche férocement. »
 
Un professeur demande à ses élèves :
« Quelle est la partie du corps qui va au ciel la première ? »
La petite Nathalie répond :
« – C’est le cœur… parce que le petit Jésus aime s’entourer d’amour.
– C’est bien ma petite Nathalie. Et toi Jean-Sébastien ?
– Je crois que c’est les pieds, Madame.
– Les pieds ? Eh bien pourquoi donc ?
– Parce que hier, j’ai vu ma Maman au lit. Elle avait les pieds dans les airs et elle criait : ‘‘Mon Dieu, je viens ! Je viens !’’ »
 
C’est Jean-Marc qui lève une fille dans un bar, un beau samedi soir.
Il l’invite chez lui.
Elle accepte.
En moins de deux, ils se déshabillent.
Il retire le soutien-gorge de la fille… et soudain, il est pris d’un doute :
« – T’as quel âge ?
– Treize ans…
– Ouach. Habille-toi, on s’en va.
– Pourquoi ? T’es superstitieux ? »
 
Comment rendre les gens fous : Les recettes de Jean-Marc.
 
À l’heure du déjeuner, garez votre voiture le long de la route et pointez un séchoir à cheveux en direction des voitures qui arrivent sur vous.
 
À chaque fois que quelqu’un vous demande de faire quelque chose, demandez s’il veut des frites avec cela.
 
Mettez votre poubelle sur votre bureau et étiquetez-la « Urgences ».
 
Mettez du café décaféiné dans la machine à café pendant 3 semaines.
Une fois que tout le monde a surmonté sa dépendance à la caféine, changez pour de l’expresso.
 
Dans le champ mémo de tous vos chèques, au lieu de libeller le numéro de la facture payées, écrivez “pour faveurs sexuelles.”
 
Aussi souvent que possible, sautillez plutôt que de marcher.
 
Demandez donc aux gens de quel sexe ils sont.
 
Trouvez où votre patron fait ces courses et achetez les mêmes tenues que lui. Portez-les un jour après que votre patron le fait.
 
Envoyez un courriel à vos collègues pour leur dire ce que vous faites.
Par exemple : Si quelqu’un a besoin de moi, je serai dans la salle de bains.
 
Appelez la ligne 3619 médium et dites juste : « Devine ! »
 
À la banque, quand l’argent sort du guichet automatique, criez « j’ai gagné ! J’ai gagné !
C’est la troisième fois cette semaine ! »
 
Chaque fois vous voyez un balai, hurlez « Chéri, ta mère est ici ! »
 
Solutions des contrepèteries de la semaine passée :
 
« Jean-Marc aime bien les copulations des postières »
« Le même : Je suis fasciné par le cul de cette gourde »
« L’oncle de Jean-Marc perd courage devant les appâts de ma tante »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« J’ai vu le vieux lycée Ampère… »
Recommandations de Jean-Marc :
« Il ne faut pas planter ses dattes dans les champs ! »
Mais heureusement on peut « se coucher sur la touche »…
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
PS : N’oubliez pas la bibliothèque de « mon gardien » (à copier/coller. Je ne parviens plus à faire des liens hypertexte avec cette version de Word-là !) :
Ma bibliothèque (livresinterdits.blogspot.com)
https://livresinterdits.blogspot.com/2019/09/ma-bibliotheque-1.html

jeudi 29 avril 2021

Une guerre civile imminente en « Gauloisie-démocratique » ?

Ou un putsch de militaires en préparation ?
 
Et ce n’est pas vraiment un hasard : Le 21 avril, c’était le 60ème anniversaire du « Putsch d’Alger », mené par un « quarteron » de « 4 étoilés », celui-là, qui aura fait long-feu. Ils déclenchèrent cette opération en réaction à la politique choisie par le président de la République, Charles de Gaulle, et son gouvernement, qu'ils considéraient comme une politique d’abandon de « l’Algérie-gauloisienne ».
Il les avait pourtant compris…
En réalité, bien d’autres généraux participent à ce putsch, de sorte qu’il est impropre de parler uniquement de « quatre généraux putschistes » (Maurice Challe, Edmond Jouhaud, Raoul Salan et André Zeller). On peut citer par exemple le général Gardy et le général Faure, même s’ils n’ont pas le même prestige que les quatre généraux d’armée.
Et pour sa part, le général Jacques Massu n’avait pas participé à cette félonie…
 
Personnellement, je ne suis pas très étonné. En effet je vous ai « fabriqué » une intrigue autour du même thème contre « Tagada-à-la-fraise-des-bois » qui devait avoir lieu le 14 juillet 2014.
Un simple tir de barrage d’artillerie depuis « la plaine de Gauloisie » effectué par un régiment stationné habituellement dans le « Grand-Est » avec pour cible la place de la Concorde.
Au démarrage, il devait être précédé par un lâcher de bombes au napalm à l’occasion du défilé aérien qu’il n’aura pas été possible d’organiser.
En remplacement, des mercenaires devaient larguer ces munitions incendiaires avec le « Nivelle 001 » volé à Salon-de-Provence et positionné sur la piste de l’ancienne base aérienne de Cambrai (ex-BA 110).
Puis le « travail » devait être achevé par des tirs de snipers postés sur les toits du bâtiment de l’amirauté et se clôturer par l’assaut de commandos d’élite et la troupe défilante des principaux ministères et points de passage « stratégiques » tout autour de « Paris-sur-la-plage »…
Je vous décris tout cela assez minutieusement dans le volume « Mains invisibles » (I-Cube (l'exilé): Mains invisibles (flibustier20260.blogspot.com)), notamment les raisons « idéologiques » voire seulement « politiques » du moment qui devaient transformer « Gras-Nul-Laid », notre « Capitaine de pédalo » national de l’époque, et ses invités en merguez trop cuites !
Et puis finalement, ça n’a pas eu lieu après l’intervention de la troupe, sur l’initiative de Gustave Morthe-de-L’Argentière et de « Charlotte » à l’occasion du dernier vol du prototype « Nivelle 001 » (qui sera parqué par la suite à Évreux), qu’ils auront récupéré in extremis.
Toutes choses dont vous êtes restés totalement ignorant, comme de coutume…
Comme quoi, la République reste fragile et même l’opinion publique, d’après les derniers sondages, semble prête à accorder les « pleins pouvoirs » à un régime politique « autoritaire ».
Bref, c’est dans « l’air du temps »…
 
La preuve, dans cette lettre ouverte publiée la semaine dernière, des militaires enjoignent « ceux qui dirigent notre pays » à « appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà » afin d’éviter une « guerre civile ».
Les comiques : Je ne dis pas autre chose !
Car je ne crois absolument pas à une guerre civile, mais seulement à des émeutes ethniques.
Qui est prêt à mourir pour la patrie, son territoire, sa constitution, ses institutions, ses valeurs de nos jours ?
Personne : C’est justement une tâche déléguée aux militaires payés pour cela !
En revanche, il y a toute une frange de la population qui se croit « spoliée » de « ses droits » et les revendique violemment.
Les mêmes qui se rêvent en martyrs du Divin.
Des imbéciles : Il suffit de se baisser pour ramasser ce qui est déjà acquis dans les textes de loi à la seule condition d’intégrer toute la Loi…
 
La tribune est intitulée « pour un retour de l’honneur de nos gouvernants », dans laquelle des militaires, qu’on fait passer pour la plupart comme des retraités ou des radiés, demandent aux dirigeants du pays d’agir face à la menace d’une « guerre civile ». Ils dénoncent les « silences coupables » du gouvernement et insinuent que des militaires actifs pourraient être tentés de prendre les armes afin de remédier à ce « délitement » de la société.
La guerre civile, la dernière fois, c’était en Mai 68 où les chars étaient stationnés aux portes de Paris…
Depuis, ils y rentrent régulièrement, mais sans munition… tous les 14 juillet !
 
Dans ce texte dépeignant une « France en péril », les signataires dénoncent donc le « délitement qui frappe notre patrie », à travers « un certain antiracisme » qui viserait selon eux à « créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés ».
De la part de ceux qui accueillent sous l’uniforme toutes les conditions humaines sans distinction aucune, ce n’est pas mal…
Et un pouvoir qui « utilise les forces de l’ordre comme agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs ».
Et de rajouter : « Nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation ».
Pointant « l’islamisme et les hordes de banlieue », ils appellent nos dirigeants à « trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers » en appliquant « sans faiblesse des lois qui existent déjà ».
« Comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables », dit-elle.
 
Évidemment, dénonçant « une insulte qui est jetée à la figure de milliers de militaires », la « sinistre » des Armées, « Floflo-Parly-one » (Parly II est un centre commercial du « sept-huit » et « Parly-tout-court » une commune de l’Yonne, il n’y a pas de hasard…) a promis ce lundi sur « Transe-Info » qu’en cas de découverte de militaires en exercice dans la liste des signataires, « des sanctions tomberont », confirmant l’information selon laquelle « le recensement » de ces potentiels aspirants-putschistes « est en cours ».
Un discours qui tranche avec son tweet de la veille, qui dénonçait « une tribune irresponsable », « uniquement signée par des militaires à la retraite, qui n’ont plus aucune fonction dans nos armées et ne représentent qu’eux-mêmes ».
Ce lundi, la « sinistre déléguée chargée de l’Industrie », « Agnelle-du-Panier-à-remâcher », a quant à elle évoqué « un quarteron de généraux en charentaises » auquel il ne faudrait pas donner davantage d’importance. « Il faut simplement condamner sans réserve et passer à autre chose », estime-t-elle.
Elle se goure : Un quarteron, c’est 25 personnes.
Là, ils sont plus d’un millier, soit un petit régiment…
 
Dans l’opposition, la présidente du « Air-Haine » n’a évidemment pas attendu dimanche pour s’émouvoir de la tribune, dans un tout autre ton. « Je vous invite à vous joindre à notre action pour prendre part à la bataille qui s’ouvre […] qui est avant tout la bataille de la France », a-t-elle répondu aux signataires, dans « VA » là encore, deux jours après la publication.
« Comme citoyenne et comme femme politique, je souscris à vos analyses et partage votre affliction », a-t-elle ajouté. Cela tombe bien, les signataires se disent dans la tribune « disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation ».
On lui aura rétorqué que : « Les mots de Mme Le Pen reflètent une méconnaissance grave de l’institution militaire, inquiétant pour quelqu’un qui veut devenir cheffe des armées » en aura dit la « sinistre ».
« La politisation des armées suggérée par Mme Le Pen affaiblirait notre outil militaire et donc la France. Les armées ne sont pas là pour faire campagne mais pour défendre la France et protéger les Français », conclut-elle.
J’en suis d’accord.
Et c’est déjà beaucoup pour tous ceux-là, jusqu’au fin fond du Sahel…
Et le jour où « Vigipirate » sort ses armes, je sortirai les miennes.
Soit pour les épauler s’ils réagissent à un acte de terrorisme ou de guerre, soit contre eux s’il leur vient à l’esprit de s’attaquer à mes voisins qui défendraient les institutions contre des putschistes-félons et factieux…
 
Et une partie de la gôche, une partie seulement, s’est élevée samedi après la publication de cette tribune, tout en critiquant le manque de réaction du gouvernement.
« Mes-Luches » a fustigé la « stupéfiante déclaration de militaires s’arrogeant le droit d’appeler leur collègue d’active à une intervention contre les islamogauchistes ».
« Aucune réaction de Florence Parly, Jean Castex ni Emmanuel Macron », avait dénoncé « Deux-noix-Âme-Mont ».
Preuve que celui-là ne sait même pas lire…
Normal, il vit à « Issy-les-Moules » en banlieue parigote et les ékoles n’y apprennent plus à lire, compter et écrire depuis bien longtemps !
 
En tout cas l’hypothèse d’un coup d’État est quant à elle à peine dissimulée : « Si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une explosion et l’intervention de nos camarades d’active dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national », font savoir les signataires.
Et en l’état, difficile de savoir si cette tribune dépasse le cadre des « militaires en charentaises » dépeint par la majorité « En-marche-même-pas-en-rêve » ou si elle peut disposer de relais au sein de militaires en activité.
Car des militaires aux idées néonazies dans l’armée « Gauloisienne », le ministère ne veut « aucune tolérance » : On se souvient encore des « quenelles » qui avaient bien fait marrer le Président d’alors alors qu’il s’agissait d’un avertissement très clair à son encontre.
Quand on est nul, on est nul, il n’y a pas à tortiller, même si on est gras et laid !
La « quenelle », c’est un salut nazi « à l’envers ».
« Dieu-a-donné », son « inventeur », aura suffisamment été condamné pour ça par la justice de mon pays (vous savez, celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…)
 
En revanche, ce qui est sûr, c’est que cette tribune interpelle d’abord par son caractère inédit, pour des hommes habitués au silence et au devoir de réserve.
« Cette prise de position est sans précédent sous la Vème République puisqu’elle ne touche en rien les affaires militaires et le budget de la défense », commente le directeur de recherche en sociologie politique au CNRS.
Lui aussi se souvient de « Deux-Villes-Liées », alors « chef suprême » des armes du pays auprès de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » et ensuite de « Jupiter » qui réclamait des budgets supplémentaires pour ses troupes.
Il sera passé « au trapèze » et à la trappe…
 
Il n’empêche selon « Valeurs actuelles », ils sont plus d’un millier de militaires – « une vingtaine de généraux », « une centaine de hauts gradés », « plus d’un millier d’autres militaires » à avoir signé la tribune.
Sur le haut de la pile figure notamment le nom du général « Chrichri-Pique-mal », radié des cadres de l’armée en 2016 pour avoir organisé une manifestation anti-migrants quelques mois plus tôt à Calais, malgré une interdiction préfectorale.
La liste complète des signataires n’est pas diffusée par l’hebdomadaire, mais elle est consultable sur le blog Place d’Armes, « ouvert à tous les militaires à la retraite, d’active, et de réserve qui aiment la France et réalisent que celle-ci est au bord du gouffre ».
Ce site est le bébé de Jean-Pierre Fabre-Bernadac, ancien commandant de gendarmerie, à l’origine de la tribune.
Au total, la liste compterait plus de 1.200 signatures.
Quant à savoir si elles sont celles de militaires retraités ou si ont signé des membres de « l’active » – des militaires actuellement en poste – impossible à déterminer pour l’heure. « On est en train de regarder », aura glissé une source dans l’entourage du ministère des Armées.
Car de nouveaux noms se sont progressivement ajoutés à la liste initiale.
Reste à vérifier parmi ces nouveaux noms l’existence d’homonymes, ou encore à s’assurer que lesdits signataires figurent bien là parce qu’ils l’ont choisi.
La vérification devrait prendre un peu de temps. « Pour l’instant, ça a l’air d’être le cas », relativise-t-on dans l’entourage de la « sinistre ». Si des militaires d’active ont signé la tribune, une enquête interne sera systématiquement ouverte nous affirme-t-on.
 
Peu importe, le problème n’est pas là !
Si on est conduit à confier des armes, parfois de destruction massive, à des cinglés du képi, c’est qu’il y a un vaste problème de recrutement.
Passe encore dans la troupe du moment qu’elle reste disciplinée : On ne devient pas militaire par hasard non plus, bien naturellement.
Mais parmi les officiers, qui plus est « supérieurs », voire « étoilés » (les généraux), là c’est bien plus grave.
De quelle façon sont « filtrés » les têtes-brûlées ? Comment passent-ils les « filtres » d’une hiérarchie bien ordonnée et consciente de ses devoirs ?
Faudra-t-il en venir à les faire escorter et espionner par des « commissaires politiques » comme au bon vieux temps de l’URSS avec l’Armée rouge ?
J’en frémis de terreur, figurez-vous…
 
C’est toujours la même chose : Qu’on contrôle, OK, mais qui contrôle les contrôleurs ?
Et quand il s’agit de personnel armé et formé à tuer, porter la mort, imposer la force des armes, ça devient plus que très sérieux.
Et c’est nouveau… pour des fonctionnaires payés avec vos impôts.
D’autant que je sache, les deux deniers qui aient réussi ce coup-là en « Hexagonie », c’était les « Cousins Bonaparte ».
Boulanger n’a pas osé, Pétain était maréchal et n’a pas tiré un seul coup de feu de sa vie hors les stands de tir.
Trop dangereux que de se heurter au Peuple et à ses représentants politiques : Ils devraient s’en souvenir !

mercredi 28 avril 2021

Amnesty International colle un carton rouge à la « Gauloisie-infréquentable »

C’est d’ailleurs assez curieux
 
C’est la raison pour laquelle je reprends ici les principaux aspects de son dernier rapport annuel (du 7 avril) où, pour sa Secrétaire générale (« Gauloisienne »), « certains dirigeants du monde n’ont pas été à la hauteur de la crise du Covid-19. »
Certains ?
Mais qui donc ! Des noms, des noms !
En fait, l’organisation « estime que notre pays est engagé dans une voie « nocive » pour les droits humains ».
Ça, je ne connaissais pas.
Droits de l’Homme (de la femme et du citoyen) je connais.
Les « devoirs » (de l’homme, de la femme et du citoyen) qui vont avec aussi d’ailleurs, même si pour beaucoup ces devoirs ne semblent pas « avoir le droit » d’exister.
Mais les « droits humains », je ne savais pas que ça pouvait exister : Je découvre.
 
De ce que j’en ai compris, pour l’ONG, les « droits humains » sont les droits inaliénables que possède chaque individu. Leur but est de protéger la dignité humaine contre l’arbitraire des États. Les droits humains sont indivisibles, inviolables et applicables à tous.
Bien.
On différencie toutefois, par souci de clarté, trois générations de « droits humains » : les droits civils et politiques, la première génération.
Les droits économiques, sociaux et culturels, la deuxième génération.
Enfin, dans les années 1970, sont apparus les droits dit collectifs ou solidaires, la dernière génération.
Et quand on s’intéresse aux détails de ces « droits humains » on constate qu’ils sont un mélange de droits naturels et de droits sociaux avec une très nette prédominance de ces derniers.
 
Les droits naturels sont donc expulsés des « droits humains » au profit des droits sociaux. Et c’est flagrant en social-démocratie.
On sait ainsi que l’État-providence a chassés les droits « naturels » au profit des droits sociaux.
Et on pourrait à cette occasion, espérer une dénonciation claire de la dérive totalitaire de mon pays. Or, de toutes les atteintes graves aux droits naturels Amnesty « Gauloisie » retient que « des mesures […] qui ont aussi entraîné un usage excessif de la force par la police, menacé le droit à la liberté de réunion pacifique ainsi que les droits des migrants et demandeurs d’asile.[…] le droit de manifester a fait l’objet de nombreuses restrictions, parce que la France continue d’utiliser le gaz lacrymogène, les grenades de désencerclement, les LBD 40 de façon abusive et ça, cette utilisation de la violence par la police, ça créé de la peur […]
C’est l’ensemble des valeurs de solidarité, de respect, les valeurs contre le racisme, les valeurs pour l’égalité qui sont attaquées par cet ensemble de mesures prises. »
Peut-être, effectivement.
 
Même si ensuite tout y passe : La diplomatie fautive, les ventes d’armes, le non rapatriement des enfants de djihadistes, sans oublier les droits sexuels et reproductifs, les crimes de haine, la responsabilité des entreprises, la lutte contre le changement climatique regroupés au paragraphe discrimination.
Cela élude l’essentiel, c’est politiquement correct et orienté « pensée unique », écriture inclusive comprise.
De quoi les aduler et de justifier un carton-rouge !
 
Peut-être, mais c’est surtout la politique gouvernementale de prise en charge du « Conard-virus » qui crée délibérément la peur, un puissant outil au service exclusif du gouvernement.
Une première remarque à faire est que ces forces sont aux ordres du pouvoir.
C’est le gouvernement qui les dévoie : Au lieu de les concentrer sur les atteintes aux biens et aux personnes elles en sont réduites à des activités de répression des mécontents, et de coercition sociale, d’où une perte de sens du travail.
En « même temps » l’État les laisse démunies face aux agressions dont elles font l’objet jusqu’à Rambouillet, et impuissantes face aux atteintes aux biens et aux personnes dans les territoires perdus de la République, et désormais sur pratiquement tout le territoire national.
 
Or, les « droits naturels » préexistent à la loi. Celle-ci doit avoir pour seul objectif de les défendre. Si la loi les attaque, elle est pervertie car elle organise la spoliation légale qui consiste à voler légalement autrui.
Cette spoliation légale peut aussi être financière et réglementaire.
Les « droits naturels » s’opposent donc parfois aux « droits sociaux » qui sont finalement des faux droits, des droits de tirage sur la société, de préemption sur la propriété, d’amputation de la liberté d’autrui.
De plus il est parfaitement possible de créer autant de droits sociaux que l’on veut quand on en a besoin.
C’est ce qu’on note dans l’évolution du droit positif face à des revendications de plus en plus absurdes comme celui, pour les biquettes, de se reproduire sans bouc…
Elles ne sont pourtant pas des équidés de compétition.
Enfin, passons…
Cette création constitue d’ailleurs un excellent outil de propagande électorale et de manipulation des foules.
 
Ceci dit, il y a le constat de la situation « post-crise sanitaire » qui noie le substrat « théorique » (pour ne pas dire idéologique voire « théologique »).
Et c’est vrai qu’il n’est pas fameux.
« Affaiblis par des décennies de sous-investissement et par leur impréparation, les systèmes de santé et les programmes de protection sociale se sont trouvés démunis face à cette crise » sanitaire.
Je ne constate pas autre chose.
Encore que pour « surinvestir », il faut en avoir les moyens. Et avec plus de 61 % de dépenses publiques, un déficit « public » qui dépasse toutes les créations de richesses de la Nation en un an (+ 100 % du PIB), il n’est pas certain de pouvoir fournir un effort supplémentaire…
Mais passons encore.
 
Le pays a manqué de tout : Tests, masques, tenues de protection pour les soignants, respirateurs. Il manque encore de lits d’hospitalisation, de réanimation avec leur personnel etc. C’est cette dernière carence, jamais corrigée et même très bien entretenue, puisque le gouvernement continue de supprimer des lits, qui sert d’alibi aux mesures de confinement et autre couvre-feu liberticides.
S’y sont ajoutés des interdictions de prescrire des traitements précoces, freins aux prescriptions de traitements « lourds », poursuites contre les médecins enfreignant les consignes pour simplement soigner leurs patients, incitations à ne pas consulter rapidement le médecin généraliste mais d’attendre la détresse respiratoire pour aller aux urgences, entrer à l’hôpital et y mourir, (20 % de décès le jour de l’arrivée et 50 % dans les trois jours en début de crise).
Dans les faits nous sommes contraints de payer très cher notre système de santé. Or, le moment venu, les malades ne peuvent finalement pas accéder aux soins qu’ils ont été obligés de prépayer.
La cherté s’évalue en termes financiers et de pertes de libertés : Monopole public donc obligatoire sous peine de sanctions, pas de libre choix de la couverture santé, perte du pouvoir d’achat.
Tout cela est archi-connu !
 
Le problème de notre système de santé est finalement structurel, presque « systémique » pour être contenu dans les Ordonnances de 1945. C’est un système étatique collectiviste porté par les gaullistes et les communistes. C’est un système « socialiste » basé sur la « spoliation légale » et obligatoire.
Comme la cause profonde de sa faillite est toujours tenue dans l’ignorance des foules, les remèdes ont aggravé le mal : Depuis des décennies ils consistent en une fuite en avant dans la réglementation et l’étatisme. Fliquer les professionnels, restreindre l’offre pour réduire la demande (numerus clausus existant toujours aujourd’hui), fermer administrativement des établissements, des lits, dérembourser, etc.
Ce qui consiste globalement à rationner les soins.
Or, la décrépitude et le rationnement ont longtemps été masqués.
Ce système peut encore faire illusion en période de prospérité et de croissance économique. Mais pas en cas de crise, de tensions et de pénurie.
Ce qu’on découvre enfin…
 
Depuis des années entre déremboursements, pénuries flagrantes, des milliers de personnes, professionnels de santé du secteur privé comme public sont descendus dans la rue pour contester des fermetures de structures sanitaires ou réclamer des moyens matériels et humains face à l’existence de déserts médicaux.
Les tarifs administratifs, qui sont des marqueurs politiques, remplacent l’information fournie par le niveau des prix.
Il ne peut dès lors y avoir d’adéquation entre les besoins et les moyens, entre l’offre et la demande.
Logique…
Et ce n’est même pas un problème de moyens globaux, puisque mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…) dépense des sommes considérables pour la santé, soit plus de 208 milliards d’euros par an.
Il s’agit d’un problème de mal investissement avec d’un côté des pénuries, rationnements et de l’autre une administration devenue pléthorique au détriment du soin.
Et qui décide de tout, qui « administre » sans connaître vraiment les besoins futurs signalés par les « soignants ».
Et dans le « même temps », un grand laxisme dans les dépenses conduit à une fraude sociale gigantesque !
 
La Sécurité sociale est une création de l’État et aussi un instrument pour acheter des voix au travers de remboursements spécifiques d’actes et traitements qui ne sont pas des soins.
Or, depuis l’origine, ce système a un fonctionnement à la Madoff et sa pyramide de Ponzi. Il lui faut des entrants pour financer les dépenses des personnes dont les soins sont remboursés.
Quand les entrants sont insuffisants, l’État spolie par la dette les générations suivantes, même celles qui ne sont pas encore conçues !
Résultat, un système de rationnements et de pénuries est incapable d’encaisser le moindre choc.
C’est ce qui se produit avec le « Conard-virus ».
 
Du coup, dans beaucoup de pays essentiellement riches et occidentaux la solution retenue pour venir à bout de l’épidémie est la coercition sociale, non seulement inefficace et aggravante mais aussi « voie nocive pour les droit humains » dénonce l’ONG.
C’est une décision politique et uniquement politique.
Les pays qui n’ont pas confiné et ceux qui ont utilisé des traitements précoces tels que l’hydroxy-chloroquine ou l’ivermectine, certes non officiellement validés, s’en sortent finalement mieux.
En dépit de cela, les dirigeants des pays coercitifs ont persévéré dans la voie de l’oppression.
En fait, il me semble que les gouvernements ont vu le parti qu’ils pouvaient tirer de la crise sanitaire : En aggravant l’épidémie, leur ratage initial a apporté de l’eau à leur moulin, renforçant la croyance en une épidémie spectaculairement gravissime.
Ils ont ainsi pu rebondir, instiller la peur dans toute la société.
Grâce à elle ils ont manipulé les foules pour les soumettre à leur bon vouloir et parvenir sans révolte à ces assignations à résidence et autres mesures liberticides à l’égard de personnes n’ayant jamais commis le moindre délit de leur vie !
 
D’ailleurs, ce recul des libertés publiques est également pointé par « The Economist » dans son dernier Democracy index :
« La France arrive pour sa part à la 24ème place. Elle est ainsi reléguée dans la catégorie des démocraties défaillantes, […] la France a perdu des points en raison des restrictions de la liberté de déplacement au travers de plusieurs confinements et des couvre-feux nationaux […] la suppression des libertés individuelles dans les démocraties avancées a été le fait le plus marquant de 2020 » et ça n’inquiète personne !
Quelles que soient les formes de confinement, d’enfermement total ou partiel, de couvre-feux, de limitations aux déplacements, fermetures d’activités économiques, culturelles, commerciales, sportives, scolaires etc. ces contraintes sont des atteintes directes « aux droits naturels ».
Ça, je connais : Le droit de vivre selon ses moyens, sa personnalité, sa liberté et la propriété de ce qu’on met dans sa bouche (et tout le reste) pour assumer ses besoins.
Être « responsable », quoi !
Or, fermer un lieu recevant du public porte atteinte à la propriété de son détenteur, à la liberté du propriétaire du local, à celle de l’usager et à leur personnalité puisque le libre-arbitre, la responsabilité personnelle leur sont niés, leurs projets de vie bouleversés.
Et qu’ils sont dans l’obligation de réclamer des subsides (qui ne leur appartiennent pas) pour faire bouillir la marmite.
Extraordinaire, n’est-ce pas ?
 
Ceci dit, les conséquences sont aussi et mécaniquement économiques et sociales.
Elles sont connues et catastrophiques : Dette gigantesque, chômage, faillites, désintégration du tissu social (enfin… ce qu’il en reste) etc.
On peut rajouter les troubles psychologiques et psychiatriques pour les plus fragiles du neurone.
On peut citer le suicide chez les adultes, les adolescents, les plus jeunes enfants ainsi que les difficultés d’apprentissage des tout-petits dont on fera une génération d’abrutis.
L’accompagnement des défunts est aussi un marqueur de l’évolution de l’humanité.
Une caractéristique des êtres humains est le respect aux défunts et des rites funéraires : « S’il est vrai que l’Homme est le seul être vivant qui se sache mortel, on a pu penser avec quelque vraisemblance que toutes les représentations et pratiques entourant la mort devaient être particulièrement révélatrices de son humanité. »
Avec les mesures de coercition sociale des milliers personnes sont mortes seules dans des hôpitaux, des EHPAD, et ont été inhumées à la sauvette !
Inhumain au sens « essentialiste » du terme… sur décision « politique ».
 
Au nom de la lutte contre le « Conard-virus », d’autres mesures liberticides sont encore en préparation pour un contrôle total de la société : Flicage numérique, pass sanitaire, crédit social, etc. Ces mesures ont déjà été mises en œuvre dans d’autres pays.
Toujours au nom de la lutte contre le « Conard-virus » des atteintes sans précédent à la liberté d’expression ont lieu : Elles prennent la forme d’une censure implacable de tout ce qui n’est pas la doxa officielle, y compris sur les réseaux sociaux, mais aussi de sanctions professionnelles.
Même la délation est désormais encouragée : « Bling-bling » s’y est fait prendre, même que ce n’est pas lui aura-t-il prétendu sur tous les tons.
 
Les revenus des laborieuses & laborieux ont été affectés par la hausse du chômage et de l’inactivité, tandis que le nombre de personnes confrontées à une insécurité alimentaire aiguë doublait.
Ce que les « bien-pensants » appellent péjorativement la « mondialisation heureuse » aura tout de même sorti des centaines de millions d’individus de la misère et de la famine. Or, en un an, les mesures de coercition sociale ont interrompu les échanges et engendré disette et désolation.
Et beaucoup, même dans notre pays, seront retombés dans l’indigence ou les difficultés financières et sociales impraticables.
Rappelons-nous ce propos du 20 octobre dernier : « Nous, à l’Organisation mondiale de la santé, ne préconisons pas le confinement comme la principale manière de contrôler ce virus. »
Car les confinements de masse pourraient faire doubler les niveaux de pauvreté et d’insuffisance alimentaire chez les enfants à travers le monde dès l’année prochaine. « C’est une terrible, épouvantable catastrophe. Donc, nous en appelons aux leaders du monde : arrêtez d’utiliser le confinement comme principale méthode de contrôle. Développez de meilleurs systèmes pour ce faire. »
Suite à quoi, ayant bien compris le message, le 28 octobre 2020 « Jupiter » imposait évidemment un nouveau confinement !
 
Pour le Secours Catholique, la situation est devenue alarmante :
« Avec la crise sanitaire, […] des familles, des personnes seules, des jeunes ont besoin de l’aide alimentaire pour ne pas avoir faim. […] en cette fin 2020, 8 millions de personnes ont à subir cette humiliation. 12 % de la population. Huit fois plus que dans les années 1980. »
… !
« Au début de l’année 2020, l’Insee faisait état de 9.800.000 personnes vivant sous le seuil de pauvreté en France, selon des données datant de 2018. C’est évident qu’avec cette crise, on va passer la barre des 10 millions de personnes qui, en France, vivent sous le seuil de pauvreté, au sens monétaire du terme, c’est 15 % de la population. »
Le Secours populaire signale lui aussi l’augmentation de la précarité :
« Alors que 900.000 chômeurs supplémentaires sont attendus par l’Unedic en 2020. […] un Français sur trois a subi une perte de revenus depuis le confinement, […] Les actifs sont les plus exposés (y compris les étudiants contraints de travailler) : plusieurs mois après le déconfinement, 43 % disent avoir perdu une partie de leurs revenus. Et 16 % des répondants enregistrent même une perte qu’ils qualifient d’importante. C’est le cas d’un tiers des ouvriers et de près d’un quart des personnes au bas de l’échelle des revenus (moins de 1.200 euros nets par mois) […] Au total, ils sont 38 % à avoir déjà connu la pauvreté, un niveau en hausse de 1 point par rapport à 2019.
La vie sociale de cette population ne tient qu’à un fil, et ses membres sont toujours plus nombreux. »
Et ce n’est même pas stoppé en 2021…
 
La perte de niveau de vie, de pouvoir d’achat, ont en réalité commencé il y a plus de 10 ans, du temps de « Bling-bling » : C’est d’ailleurs ce qui lui a valu une raclée électorale administrée par « Tagada-à-la-fraise-des-bois », le canasson boiteux du lot qui attirait la pluie mieux que les druides d’antan.
Depuis 2008 une partie de plus en plus grande de la population s’enfonce dans la misère. C’est donc à une société déjà en cours de paupérisation, dépourvue de réserves, à qui le gouvernement a imposé ces mesures coercitives.
Des mesures n’ont fait qu’aggraver la situation, ruiner l’économie et désagréger la société.
Et c’est probablement sciemment… comme « recommandé » par l’OMS !
 
Bref, le confinement, l’isolement et les mesures aussi délirantes qu’incohérentes ont cassé les individus.
D’un côté ils avaient le moral en berne, étaient épuisés et déprimés, ils avaient perdu l’énergie de contester. D’un autre côté les rassemblements étaient interdits, les réunions étaient interdites, les manifestations aussi etc. La tenaille parfaite.
Le pire est que par une espèce de syndrome de Stockholm, beaucoup d’entre eux, y compris des médecins, ont réclamé leur auto-enfermement et étaient reconnaissants à l’autorité centrale quand la mesure était prise et continue de l’être en réclamant d’en faire toujours plus à nos « tortionnaires ».
 
Par ailleurs, cela fait plusieurs années que les « bien-pensants » et autres « sachants » essaient d’effrayer les populations avec le changement/réchauffement climatique (avant c’était la peur de l’atome), pour imposer un mode de vie « vert », un niveau de vie décroissant et des restrictions drastiques de leur liberté de déplacement.
Avec le « Conard-virus » les gouvernements ont réussi à créer une peur aussi infondée qu’inespérée, bien plus puissante et concrète que celle relative au changement climatique dont il faut être extralucide pour percevoir le moindre frémissement.
L’épidémie a été présentée comme la résultante des agressions de l’Homme contre la nature.
Bingo !
La loi Climat et résilience ne serait peut-être jamais passée en temps normal et soulève très peu de débats et de résistance.
Mais la peur, l’enfermement, le flicage aujourd’hui numérique, la destruction de la personnalité qui sont caractéristiques des totalitarismes aura reçu un second souffle.
Et ce totalitarisme qui s’impose dans notre pays n’est même pas dénoncé.
 
D’ailleurs, ce n’est pas fini : « Une reprise qui reconstruit en mieux exigera plus qu’un simple redémarrage. Elle demandera une réinitialisation totale traitant les causes profondes de la crise » affirme l’ONG.
« Remettre à plat l’ensemble des régimes fiscaux de la planète. Seul un impôt approprié permettra de mobiliser les ressources nécessaires pour la réalisation des droits économiques et sociaux, notamment des droits à la santé, à l’éducation et à la protection sociale. Il est essentiel de taxer les profits transnationaux […] de mener une politique concertée visant à mettre fin à la fraude et à l’évasion fiscales. Les États doivent mettre en place une nouvelle taxe sur les carburants fossiles touchant la part des bénéfices et des dividendes des compagnies énergétiques […], afin d’inciter les actionnaires et les entreprises à passer aux énergies renouvelables »
Et de préciser dans une remarque d’une naïveté déconcertante et époustouflante que le poids ne doit pas être « majoritairement reporté sur les consommateurs et consommatrices. »
Franchement, on ne voit pas comment le consommateur ne finira pas par payer la facture, puisque c’est toujours le citoyen, personne physique qui, quel que soit le cheminement, le mécanisme, nom et la justification d’un impôt ou d’une taxe repose in fine le paiement.
Taxer les vaches qui pètent du méthane, et ce ne sont certainement pas elles qui payeront pour pouvoir péter !
Les aberrations des « nains fiscaux »…
 
« L’État nation souverain agissant seul et pour lui seul n’est pas plus capable de relever isolément ces grands défis planétaires qu’un frein de vélo d’arrêter un avion de ligne. La réforme de la gouvernance mondiale et la redéfinition des missions des institutions mondiales dans le sens d’un renforcement et de la concrétisation des droits humains sont des conditions préalables indispensables à toute reprise solide. »
Tout un programme « complotiste » rejoignant directement les Davos et les maîtres du monde qui accouche de cette logorrhée : On comprend tout d’un coup mieux pour quelle raison l’ONG n’a pas de souci de financement !
 
« Pour que la gouvernance mondiale soit à la hauteur de sa mission, il faut que la communauté internationale veille à ce que les normes et principes internationaux relatifs aux droits humains soient mis en œuvre […]  La gouvernance mondiale ne pourra être adaptée aux objectifs planétaires qu’elle doit servir qu’à la seule condition de reconnaître l’importance de la société civile et de la respecter partout dans le monde, et d’être profondément déterminée à systématiquement dialoguer avec elle. »
Comme ces choses-là sont bien dites : Le Grand « reset » vous revient par la fenêtre !
Car, autrement dit, la mondialisation c’est très mal, mais la gouvernance mondiale c’est très bien…
Un super État pour sauver le monde des États défaillants qui n’ont « pas été à la hauteur de la crise du Covid-19. »
Lumineux.
 
« Les pays riches et les institutions financières internationales doivent veiller à ce que tous les États disposent des moyens nécessaires pour faire face à la pandémie et pour s’en remettre ensuite, notamment en suspendant et en annulant la dette. »
Le contribuable des pays riche paiera, comme toujours, le tout bien sûr en « protégeant et en respectant les droits humains, dans un souci d’indivisibilité et d’universalité. »
La famille humaine n’est pas considérée comme une famille de personnes libres, responsables, propriétaires de leur vie, disposant de leur libre arbitre et ayant un projet de vie. L’expression employée (« Nous les peuples ») renvoie au collectif et au communautarisme qui n’est toutefois pas la Nation.
Je vais en parler à mes potes « islamistes » : Ils ne « détonnent » pas autre chose, finalement !
Naturellement, ces communautés ont des représentants obligés : ONG, collectifs, syndicats etc. qui sont les interlocuteurs de l’autorité centrale planétaire pour la défense de leurs droits.
Cela ne renvoie pas à la personne, jamais.
N’empêche, c’est « par ici la bonne soupe » !
La famille humaine telle que perçue est une grande machine, complexe, dotée de plusieurs mécanismes et moteurs.
Des mécaniciens éclairés en règlent le fonctionnement et en désignent les objectifs. Le but est évidemment le bien de l’humanité et la sauvegarde de la planète, dans le respect des « droits humains ».
 
Si je comprends bien, les « droits humains » vus par Amnesty International n’ont plus grand-chose à voir avec les droits naturels individuels et universels.
Beaucoup de gens souffrent, beaucoup de drames et de malheurs existent sur cette Terre. Amnesty International dit les défendre.
Dans certains cas c’est évident.
Mais Amnesty International est prisonnière d’une idéologie à la mode.
Et dans son analyse elle passe à côté du cœur du problème : Si ses solutions étaient mises en œuvre, elles pourraient entraîner des atteintes aux droits de l’Homme bien plus graves que celles qui sont subies aujourd’hui.
Et il est à craindre que le résultat soit un totalitarisme planétaire au service des dits « droits inhumains » de quelques-uns.