Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 31 mars 2021

Les dérives de l’UNEF

Et le délire des réunions non mixtes
 
C’était mon syndicat-étudiant. Oh, je n’étais pas un « militant », puisqu’il valait mieux raser les murs à la fac d’Assas quand on se promenait dans le couloir des « syndicats » et qu’on ouvrait la porte du local de l’UNEF : On devait être deux à user du téléphone (gratuit), repeint en rouge (la ligne directe avec Moscou), risquant toujours la rixe avec les types du GUD, du GAJ et autres formations royalistes ou « nationalistes »…
Plus tard, j’ai découvert l’envers du décor : L’UNEF c’était la MNEF – la mutuelle étudiante aux mains des « Soces » qui faisait aussi « caisse primaire d’assurance-maladie » pour les étudiants.
Un marché captif issu des ordonnances sur la Sécurité-sociale sorties du CNR.
Tu cotises, un forfait, tu mutualises en plus, mais tu ne coûtes rien.
C’est simple, quand j’ai bossé à la MNEF (pas longtemps parce que j’avais du mal à supporter tous ces fats qui venaient se la péter pour être tous des crypto-trotskistes me prenant pour un crypto-stalinien…), il n’y avait que quelques généralistes pour la « bobologie », des gynécologues pour les dames, des dermatologues pour les MST, des dentistes pour refaire les ratiches et l’hôpital pour les accidents.
Le reste, inconnu, seulement quelques feuilles de soins à traiter pour les cas de grippe ou d’angine.
Inutile de dire le cash que ça générait… somptuaire !
Et qui servait à « former » les futurs « cadres » du « P.Soce », toutes tendances, du « Rad-soce » aux lambertistes en passant par toutes les nuances de « l’union-de-la-gôche » alors en devenir, depuis des décennies et des décennies.
Bon, il n’y avait pas « d’écololos-bobos » ni vraiment de « minorités visibles »…
Ces dernières, il fallait aller les chercher à la CGT ou au RPR !
 
Et puis les générations passent avec la régularité d’un fleuve qui va à la mer.
Le syndicat s’est retrouvé récemment sous le feu des critiques dans l’affaire des professeurs de l’IEP de Grenoble affichés pour « islamophobie ». Il est désormais vilipendé à cause des réunions « non mixtes » qu’il organise afin, selon ses dirigeants, de « lutter contre les discriminations ».
Le week-end dépassé, la présidente « soce » de la région Occitanie, les a critiqués après l’intrusion de son conseil régional par l’Action française pendant qu’« Audrey-la-sublime-Pull-var », candidate à la région Île-de-Gauloisie-sectaire, soutenue par le même « P.Soce », a défendu sur BFMTV le droit de « demander à des personnes blanches de se taire », lorsqu’elles participent à ces ateliers.
Moâ, je ne sais pas bien qui sont les « racistes » : Les « racisés » qui ne supportent plus ton teint de « cachet d’aspirine » jusqu’à t’interdire d’entrer dans « leur secte » ou alors à dénier ta liberté d’expression, ou les « cachets d’aspirine » qui s’offusquent des propos injurieux à l’égard des « minorités-visibles ».
« Armstrong, je ne suis pas noir,
Je suis blanc de peau.
Quand on veut chanter l’espoir,
Quel manque de pot… » nous chantait Nougaro…
 
« On a déjà expliqué les choses » en dit le vice-président dudit syndicat.
« Ce sont des groupes de parole, pas des cadres décisionnels, l’idée c’est simplement de libérer la parole. On continue à propager de fausses informations sur l’UNEF, que ce soit de la part des dirigeants d’extrême droite, de membres du gouvernement ou de responsables du parti socialiste. »
Autrement dit, d’après lui, il y a une volonté de ne pas comprendre.
« Beaucoup de féministes engagées au MLF dans les années 1970 ont expliqué qu’elles faisaient la même chose avec les femmes à l’époque et il n’y a pas eu autant de réactions. »
Notez qu’on n’a pas vu non plus de féministe décapiter un prof’ d’Histoire…
 
« Pour une certaine partie de la classe politique, il y aurait les racistes et les antiracistes qui feraient du racisme. Nous sommes en désaccord. La République est une construction collective, à laquelle on participe. La République n’est pas figée dans le temps. »
Eh bien il s’agirait pour les anti-racistes et les victimes du racisme par commencer à ne pas faire de ségrégation par l’épiderme, non ?
On « nous compare à un groupe d’extrême droite qui est contre la République et qui souhaite le rétablissement de la monarchie. C’est dangereux. Nous, on considère que l’universalisme est un objectif politique et qu’il faut reconnaître qu’il existe des discriminations. Il faut nommer ces discriminations pour pouvoir les combattre.
L’universalisme, ce n’est pas seulement dire « tout le monde est égaux », il faut aussi regarder les faits. Ce n’est pas parce que la loi dit qu’on est égaux qu’on l’est : C’est vrai pour l’égalité salariale entre les hommes et les femmes et pour le racisme. Les deux sont interdits par la loi, mais ce n’est pour ça que ça que ça n’existe pas. »
Bé oui, il existera toujours des kons, moches, petits et niais au rachis atrophié et des grands, beaux et intelligents…
Et puis des épidermes plus typés que d’autres, et autant de femmes et que de kouillus, c’est comme ça.
 
Que justement « Audrey-la-sublime-Pull-var » a déclaré qu’« on peut demander à une personne blanche de se taire » au cours d’ateliers de lutte contre les discriminations.
Et dire que la « gôche-soce » de « Tagada-à-la-fraise-des-bois », du temps où il faisait « capitaine de pédalo » dans le civil avait si bien su mobiliser un « G 80 » improvisé sur les boulevards parigots pour soutenir la « liberté d’expression » et les « #JeSuisCharlie » massacrés pour d’affreux graffitis…
« Cela ne nous choque pas » qu’il en dit, le sieur.
« Ce qu’on met en place à l’UNEF ce sont des groupes de parole pour que les personnes discriminées puissent parler entre elles. Pour les femmes, par exemple, elles ne veulent pas que des hommes viennent relativiser ce qu’elles vivent et souhaitent éviter que leur parole soit remise en question.
C’est la même chose sur le racisme, même si c’est moins bien accepté dans la société. On soutient Audrey Pulvar qui est harcelée sur les réseaux sociaux, comme Mélanie Luce avant elle. Elles n’ont pas à se faire harceler sur ces questions. »
Je suis parfaitement d’accord avec le contenu de la dernière phrase.
Et puis c’est aussi un prêté pour un rendu quand on sort de la même cocotte-minute.
En revanche, je suis plutôt très embêté quand on parle de discriminations : Elles sont, semble-t-il, autant le fait des discriminateurs qui n’acceptent pas les lois de la République (et préfèrent les leurs, parfois issues d’un « code » qui aura mal vieilli des siècles passés) que des discriminé(e)s qui deviennent censeu(se)r de la parole libre qu’il(elle)s revendiquent que pour eux(elles) mêmes.
C’est un gros contresens…
Mais « les combats de la jeunesse ont changé. Les étudiants sont conscients des problèmes de discrimination. » conclut-il.
Ce n’est probablement pas faux, mais ils ne sont pas les seuls.
L’ignorer et, pire, prendre des chemins de traverse sont des insultes à la citoyenneté « Gauloisienne ».
 
D’ailleurs, ça fait le lit, draps bien bordés, de « Marinella-tchi-tchi » qui rebondit en demandant des poursuites judiciaires
Les mots de la conseillère de « Sœur-Âne » de « Paris-sur-la-plage » ont provoqué un tollé, comme le numéro 2 du « Air-Haine » qui dénonce une gôche qui « patauge dans l’islamo-gauchisme et la haine des blancs », en ajoutant le mot-clé « séparatisme », du nom de la loi portée par les « Marcheurs-même-pas-en-rêve » à l’Assemblée nationale pour lutter contre l’islamisme.
« Marinella-tchi-tchi » est allée plus loin en réclamant que « le parquet » engage « des poursuites pour provocation à la discrimination raciale ».
« Il faut mettre fin à cette escalade raciste de la part d’une partie de la gauche qui s’affranchit de toutes les règles morales, légales et républicaines ».
La pitié qui se fout de la charité…
 
Le chef de file des « Jupitériens » dans la région s’est également inscrit en faux par rapport à ces propos : « ‘‘On peut demander à une femme blanche ou à un homme blanc de se taire’’. Non ! Jamais !
Cette forme d’essentialisme est à la base de la construction de la pensée raciste », soutient-il.
Il n’a pas vraiment tort…
Des députées « Marcheuses-même-pas-en-rêve », je vous le donne en mille, « Lætitia Avia et sa loi liberticide » et « Aurore-Berre-geais » s’en sont pris à l’ancienne journaliste.
La première, députée de Paris, évoque le « naufrage d’Audrey Pulvar » et la seconde affirme que « la région sera républicaine ou ne sera pas ».
À gôche on ne s’est pas pressé pour réagir. Parmi les responsables de partis, ce dimanche matin dernier, seul « Mes-Luches » avait apporté son soutien à « Audrey-la-sublime-Pull-var » : « Audrey Pulvar n’est pas raciste ! »
Le scoop que voilà !
« Elle a juste compris ce qu’est un groupe de parole. Ceux qui se jettent sur elle, par contre, n’arrivent pas à cacher leur pente sexiste et discriminante. Le débat public s’effondre. Le PS va-t-il défendre sa candidate en Île-de-France ? », intime-t-il ironiquement.
Bé oui, on est en campagne électorale pour les régionales : Il s’agit de piquer de l’électeur à ses adversaires, tien donc !
« Cléclé-Haut-Teint », députée LFI a également pris la défense de sa concurrente : « Ceux qui alimentent chaque jour le racisme, instrumentalisent la cause des femmes et organisent la ségrégation sociale mènent ce soir une campagne misérable contre Audrey Pulvar.
Au fond, droite et extrême droite dénient aux opprimés le droit de se parler et de ne pas se soumettre », a-t-elle lancé.
Un député européen « écololo-bobo » aura également apporté « tout son soutien » à « Audrey-la-sublime ».
Son secrétaire national d’EELV, a estimé dimanche que « la formulation est maladroite, mais les attaques qu’Audrey Pulvar subit sont indignes ».
C’est le moins qu’on puisse en dire.
Maladroite, je veux dire : Le reste, c’est de la campagne électorale et tous ses travers.
« Il ne s’agit pas de la négation d’un principe universaliste, mais d’un moyen utile à la réalisation de cet idéal », conclut-il.
Il n’empêche, les « soces » affirment, par l’intermédiaire de leur secrétaire général, que « légitimer le concept de race est une aberration ».
Et « Sœur-Âne » de « Paris-sur-la-Seine » disait encore la semaine dernière que les réunions non mixtes étaient « très dangereuses ».
C’est le moins qu’on puisse dire aussi…
Bref, ça branle du manche.
 
Il faut dire que depuis l’épisode de « Touche pas à mon pote », qui n’avait pas d’autre objectif que de barrer la route élyséenne du « Chi » en 1988, alors qu’existaient déjà nombres d’association anti-racistes et anti-antisémites qu’on n’entend plus guère, on peut dire que la « gôche-soce » se sera emmêler les pieds dans le tapis.
Entre « Mes-Luches » qui projette de « créoliser » « Paris-bobo » et la « Nation des campagnes & des bourgs » depuis qu’il vit avec Sophia, sa collaboratrice antécédente, c’est désormais le « cachet d’aspirine » qui est jeté hors des réunions « racisées » victime de « racisme ».
On ne sait plus comment brouiller encore un peu plus les idées et les images, en mélangeant sciemment le bon grain et l’ivraie.
 
Une façon comme une autre de saper les fondements des rapports humains « normaux » : On avait commencé avec le féminisme dans une société réputée patriarcale et donc « capitaliste-honnie » et on finit avec « Coco » à poils sur la scène des Césars et des « budgets-genrés » (Cf. Post précédent, en bas à droâte de celui-ci).
Là, pareille : On commence par vouloir protéger nos « minorités visibles » et on finira par être gouvernés par des « suprémacistes » pur-jus.
Déjà qu’on vit masqué et en « garde-à-vue » chez soi, tout devient désormais possible ! 

mardi 30 mars 2021

Le pathétique 7ème art !

Le cinéma « Gauloisien » à la ramasse !
 
J’avoue ne pas être spécialement cinéphile. J’attends d’être ému quand j’ouvre mes neurones à des « créations » d’autrui.
Ému, peu importe si c’est par le beau ou le moche, mais ému.
Parfois jusqu’aux larmes, de préférence à en pleurer de rire que de tristesse.
C’est vrai pour un livre – mais je reste exaspéré par tous ces nombrilistes qui se vautrent dans le narcissisme à travers leurs « créations » littéraires –, par une phrase musicale – mais ça n’existe plus vraiment – par un spectacle-vivant – mais on retombe dans les clichés trop facilement – par une image, un tableau, une sculpture, un bâtiment – mais ce n’est jamais que « transcendanter » la nature, première inspiratrice de tout le reste.
Même quand il s’agit de se nourrir, je deviens difficile quand il s’agit de savourer, le plaisir des pupilles avant celui des papilles…
Bref, je suis un public « difficile ».
 
J’avais pourtant le béguin pour le plaisir qui s’étale dans la durée : Un livre qui « coule de source » tout au long de sa lecture etl qu’on ne peut pas s’arrêter de tourner les pages, une chanson, une symphonie, une pièce de théâtre, un film où l’on oublie la technique pour nous régaler les yeux et l’ouïe avec des détails insignifiants qui rendent l’œuvre réalisée aussi belle qu’admirable.
Souvent, les chanteurs ne savent que gueuler, les compositeurs ne savent faire que de la percussion et de la rythmique, les auteurs…
Les auteurs-écrivains… je préfère écrire mes propres textes, c’est dire, même si c’est indéniablement plus difficile d’écrire que de lire (et comprendre).
Mais là encore, avec la disparition des « géants » du cinoche, acteurs ou metteurs en scène qui touchaient parfois au génie, on tombe dans la frivolité mièvre et sans ossature.
Si encore ils faisaient rire…
Le dernier, c’était encore « Titi-L’Hermite » commentant les Césars et s’offusquant du problème de la grossophobie dans le milieu des jockeys, de la crise d’anorexie chez les sumos, mais oubliant sa comparse Anémone…
Dommage.
 
Justement, les Césars 2021 !
Quelle pantalonnade, où « Coco-Misério » se présente à poil sur scène !
La loi de décembre 1992 aura abrogé, à compter du 1er janvier 1994, l’article 331 du code pénal qui condamnait les attentats à la pudeur. Depuis tout est permis, même qu’on s’en prend à des enfants sans aucune limite (et que certains s’en vantent il y a encore peu…)
C’était pour alerter sur la situation du secteur culturel, paraît-il.
C’est aussi se foutre de la gueule du public qui fait vivre ses membres et ce fameux « secteur ».
Ne vous découragez pas : Le Parquet de Paris a classé sans suite le signalement de neuf députés qu’ils accusaient d’exhibition sexuelle.
Où sont les talents ?
 
Un acteur vit de son corps. Un écrivain de sa plume. Un chanteur de sa voix. Un sculpteur de son burin, un architecte de sa table à dessins, un compositeur de son oreille, un peintre de ses pinceaux, un cuisinier de son piano, un parfumeur de son nez, une couturière de ses ciseaux.
Et tous ceux-là souffrent autant que les autres des tristes conditions que la vie nous impose.
C’est comme ça.
 
Mais « Coco » transforme, l’espace de quelques minutes son corps en instrument de contestation politique. Non mais : Est-ce que je sors ma bite pour faire savoir que je me considère comme outrageusement spolié par le fisc, moâ ?
De ce fait et d’un coup d’un seul, elle piétine d’ailleurs trois règles tacitement admises, et ce même dans nos sociétés occidentales qui brandissent pourtant, à chaque polémique, l’étendard de la liberté d’expression.
D’abord, elle expose son corps nu sans se rendre compte qu’ainsi elle montre, une fois de plus, que le corps des femmes ne leur appartient pas !
Pôve misérable !
C’était le cas aussi pour ces collégiennes et lycéennes qui se sont mobilisées récemment pour revendiquer le droit de montrer leur nombril.
Or, le corps des femmes a deux fonctions principales : Sexuelle et maternelle, « certainement pas politique ».
Les Femen en savent quelque chose. « On a toujours du mal à considérer le corps des femmes comme vecteur d’un message politique. Rappelons que, dans l’imaginaire collectif, l’homme public, c’est l’homme politique, le grand homme ; alors que la femme publique, c’est la prostituée.
Ça montre que, dans la sphère publique, le corps des femmes est perçu comme objet sexuel, et non pas comme sujet politique. »
Sauf qu’il faut être né avec pas mal de neurone en moins pour affirmer pareille calembredaine : La femme, comme l’homme, n’a pas choisi d’être femme (ou homme) et tous les deux sont sujets pensants !
Donc, ils respirent et c’est déjà « politique ».
 
La nudité en public, « c’est rompre avec tous les codes sociaux qui l’assignent dans la sphère privée. C’est un geste extrêmement fort qui signifie que l’on ne dispose plus que de ce moyen pour se faire entendre ».
Ce qui est également faux : Je passe bien mon temps à rédiger des réclamations à Monsieur (ou Madame) le(la) directeur(trice) des impôts !
Déjà le 10 juin 2014 à Guise (Aisne), on se souvient que des intermittents et des intermittentes du spectacle avaient interpellé la ministre de la Culture d’alors sur la précarité de leur situation sociale en se présentant à elle dans le plus simple appareil : Pour quel résultat ?
Même revendication portée, en 2015 lors de la cérémonie des Molières, par Sébastien Thiéry, acteur et auteur de théâtre, lorsqu’il déboule sur la scène entièrement nu.
Est-ce que cela a soulevé un tollé ? Non.
Est-ce que ça a fait avancer les choses ? Non.
Moyen creux pour des situations creuses, faute de talent…
 
Deuxième interdit dépassé par « Coco » : Afficher un corps vieillissant, celui d’une femme de 57 ans, qui ne correspond pas aux canons esthétiques diffusés et distillés notamment par la publicité. « Elle a décidé de montrer un corps périmé au regard des normes sociales. Il est accepté de voir des corps considérés comme beaux, fermes, minces…
Les autres sont insupportables.
Or, c’est important de voir des corps de femmes tels qu’ils sont. On voit beaucoup de seins nus, par exemple, mais on voit toujours le même : la demi-pomme qui se tient bien haut. »
Et il est vrai que ce n’est pas le message politique clamé par l’actrice qui a été débattu, voire critiqué, mais bien ses « vieilles fesses en ruines » et ses « nichons qui tombent ». Elle a ainsi dénoncé le sexisme et la misogynie de nombreuses remarques dont elle est encore la cible en dit-on.
L’invisibilisation des corps des femmes de plus de 50 ans, il en avait déjà été question lors de la sortie d’un écrivain, en 2019 dans une interview pour le magazine Marie-Claire : « Elles sont invisibles. Je préfère le corps des femmes jeunes, c’est tout. Point. Je ne vais pas vous mentir. Un corps de femme de 25 ans, c’est extraordinaire. Le corps de femme de 50 ans n’est pas extraordinaire du tout », avait-il répondu à la journaliste.
Il n’a pas complètement tort, même si ça peut paraître machiste.
« Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que la nudité féminine est, paradoxalement, un peu plus acceptable socialement si elle correspond à une imagerie sexualisante. Un corps de femme ne peut être montré que s’il correspond aux standards de beauté et à une féminité hypersexualisée auxquels l’imagerie publicitaire habitue notre regard.
Or, c’est généralement le corps de très jeunes femmes qui est montré et valorisé (…) » en disent les spécialistes.
C’est vrai que les « communicants » vendent de la lessive et des bagnoles avec des « top-model » jetés en promotion.
Comme si, tu achètes ça, tu as la fille avec…
L’imaginaire, décidément… « Et quand tu vends ta lessive à un gay, tu fais comment ? »
Bé à lui tu ne vends rien, forcément…
Et tant pis pour « la ménagère de + de 50 ans », pourtant cœur de cible des marketeurs…
Un monde de désillusion qu’ils n’ont pas encore décrypté, me semble-t-il.
 
Un troisième tabou que pulvérise « Coco » aura été d’exhiber un corps de femme ensanglanté avec, en guise de boucles d’oreilles, des tampons périodiques.
« Elle montre ici un corps de femme dans sa réalité physiologique. Un corps tel qu’il fonctionne, en saignant tous les mois. Ce qui, pour beaucoup, est abject. Corinne Masiero refuse, sans doute au passage, la case de la femme ménopausée ».
Ce sont donc toutes ces réalités, surgies frontalement sur nos écrans de télé, qui ont suscité ces réactions violentes de rejet d’après les « psy-sachants » qui en cause encore.
Non, moâ ce qui me gêne, ce ne sont pas les commentaires et analyses de ces « sachantes-là » : C’est la misère du cinoche-tricolore qui se faisait sa petite fête-festive dans la petite-lucarne sans se rendre compte de sa propre pôvreté d’esprit.
 
Qu’on y réfléchisse deux secondes : Le cinéma, c’est un instrument de « soft power » important qui est très, très largement subventionné par l’État.
Vous, vos impôts & taxes.
Et cette dernière cérémonie des Césars montre le déclin de ce septième art au moins en « Hexagonie-frivole ».
Et malheureusement, ça ne date pas d’hier.
En réalité l’argent public gangrène le cinéma depuis des années et des années, tout comme il gangrène d’autres secteurs dans lesquels il intervient sans qu’on ne lui demande rien.
Chaque année, le cinéma français reçoit 500 millions d’euros de subventions, un demi-milliard, qu’il s’agisse d’aides directes ou d’incitations fiscales.
Un chiffre impressionnant, auquel il convient d’ajouter l’apport des chaînes de télévision et le régime d’assurance-chômage superlatif des intermittents du spectacle qui vous coûte une blinde.
 
En 2012, le coût médian des films d’initiative « Gauloisien-primitif » était de 3,4 millions d’euros, mais son coût moyen était de 5,2 millions d’euros.
Cette différence, qui va presque du simple au double, montre la concentration des moyens financiers sur quelques films à budget élevé.
En 2015, certains grands films ont été financés à 15 % par les subventions, alors que la part des aides dans le budget des films Gauloisiens était en moyenne de 8,9 %.
Certains films de Charlotte Gainsbourg et d’Omar Sy ont été soutenus à concurrence de 16 % pour l’un, 13,6 % pour l’autre.
De janvier à mai 2015, dix projets de films à plus de 10 millions d’euros, parmi lesquels Les Visiteurs 3, Camping 3, Papa ou Maman 2, Baby sitting 2, Les Tuche 2, (que des remakes, parce que, hein, l’imagination de l’artiste reste au pouvoir !) avaient déjà réuni des subventions dont ils n’avaient de toute évidence pas besoin.
Ces subventions profitent, sans surprise, aux têtes d’affiche de ces films à gros budget.
Pour « La French », autre film important, la moitié des subventions, soit 2 millions d’euros, est allée directement dans les comptes en banque de Gilles Lelouche et Jean Dujardin.
Déjà en 2014, la Cour des comptes recommandait de définir les besoins du secteur cinématographique et les ressources à lui attribuer selon une base pluriannuelle, tout en évaluant l’efficacité des dispositifs de soutien précédemment mis en œuvre.
Mais que nenni : On préfère le spectacle décadent offert par « Coco » en prime-time financé par des annonceurs et la redevance télé !
 
Le cinéma « Gauloisien » est en effet financé de plusieurs manières.
Au sein des aides de l’État elles-mêmes, un système de soutien automatique permet de reverser aux producteurs, aux distributeurs et aux exploitants une subvention proportionnelle aux recettes.
On pourrait donc supprimer ces subventions, puisqu’elles favorisent les productions qui peuvent fonctionner sans elles, et ne s’appliquent pas à des films qui, de toute façon, n’auraient été que peu distribués. L’argent va à l’argent et les « producteurs » confirmés, pas aux « artistes » en devenir et manque de reconnaissance…
Les collectivités territoriales en dispensent une part, qui s’élevait en 2014 à 6 millions d’euros. Il faut y ajouter la taxe sur les entrées des séances, versée au Centre national du cinéma (CNC) : Rien n’est perdu, croyez-moâ !
Le cinéma est également financé par les préachats des chaînes de télévision, ce qui serait sain s’il s’agissait d’acquisitions volontaires.
Mais là aussi, l’État dicte l’art et la manière : Il oblige les grandes chaînes de télévision (TF1, France 2, France 3, M6 et Canal Plus) à investir dans la production cinématographique, et ces subventions sont fortement encadrées.
Canal Plus, par exemple, doit consacrer 45 % de ses préachats à des films d’un budget de 5,34 millions d’euros maximum !
Les autres, ils rament.
Les chaînes de télévision peuvent également investir dans les films en les coproduisant.
Les sociétés de financement de l’industrie cinématographique et de l’audiovisuel, ou SOFICA, sont également un instrument fiscal de financement, qui représente 60 millions d’euros de contribution annuelle aux productions cinématographiques.
Il est permis aux personnes physiques de déduire de leur revenu les sommes versées pour la souscription au capital des SOFICA, dans la limite de 25 % de leur revenu.
Et pendant ce temps-là, des GAFA cinématographiques comme Disney, Netflix et quelques autres autofinancent leurs productions qui tiennent en haleine des millions d’abonnés avec des acteurs, des réalisateurs et des auteurs de talents.
C’est dire qu’en « Gauloisie-cinématographique », administrée par des énârques, on n’aura rien compris du 7ème art !
 
L’art, c’est l’artiste qui crée. Il est totalement libre. Il vend, il ne vend pas, c’est le problème de son agent, il crée seulement.
L’artisan, il fait pareil, mais sur commande préalable.
Le cinéma, c’est donc de l’artisanat, mais ça devient une « industrie » quand ça dépasse 10 personnes, les apprentis & compagnons (une notion fiscale ancienne) et surtout brasse des millions.
Dire que le 7ème art reste un art est donc une usurpation : On y fait surtout du fric !
Notez que ce n’est pas bien grave quand « c’est bon » et plaisant, quand ça m’émeut.
En revanche, ce qui reste inquiétant, c’est l’emprise de la puissance publique – par taxes & impôts interposés – et ses « arbitrages » dans ce secteur, qui engendre ainsi un contrôle de fait qu’il exerce sur ses financements.
Car celui qui paye commande…
Et hélas, le problème, c’est que c’est trop souvent de la m… (étron) !
La qualité approche de la nullité totale grâce… au pognon de vos « impôts & taxes » gérés par des fonctionnaires qui ont pouvoir de vie ou de mort à travers tant de textes qui font lois & règlements…
 
Quand un produit ne rencontre pas son public, ses acheteurs, il est mort.
Là, c’est la liberté de création, la liberté d’expression du cinéma qui est morte.
Et on aura beau rajouter du pognon et des cérémonies d’autosatisfaction en veux-tu, en voilà, ça ne changera rien à la qualité tant qu’on ne rendra pas sa liberté à l’artiste.
Alors, quand l’artiste crache dans la soupe, franchement, ça devient dérisoire, suicidaire même, pathétique et dégueulasse pour tout dire.
« Coco » a raison : C’est vraiment de la m… qu’on s’impose à la macula.
C’était bien de le constater une fois de plus.
Et elle devrait changer de métier.

lundi 29 mars 2021

On vous prépare déjà à la prochaine panique

C’est « stratégique » et c’est fort drôle !
 
Ils ont tellement aimé vous mettre « sous cloche » que déjà ils cherchent le prochain sujet qui leur permettra de s’assurer de votre soumission aveugle.
« Sous cloche », même la fête de Pâques en « Teutonnie » et ses cloches qui sonnent l’arrivée des petite-lapins et œufs en chocolat, la résurrection du Christ a failli être interdite…
C’est dire…
C’est dire que c’était une erreur aura reconnu « En-Gèle-la-Mère-Quelle », l’actuelle chancelière : Trop c’est trop !
Moâ, j’adore ce genre de gymnastique, et surtout de suivre les « signaux faibles », ces petits « fils-rouges » qui s’entremêlent pour définir une tendance.
Qui sera ensuite infirmé quand la réaction est trop forte, ou confirmé si « ça passe » dans l’opinion.
 
Là, il y en a plusieurs qui n’ont pas de rapport clair entre eux : Les histoires et cacophonies autour des vaccins contre le « Conard-virus » et la presse « alternative » qui insiste pour vous dire que des médicaments archi-connus existent et fonctionnent plutôt bien contre la « grippette ».
Une information directement démentie par les « agences officielles » qui relayent des avis tranchés qui ne reposent finalement sur aucune étude sérieuse et qui sont les seuls à être repris par les « médias-sérieux ».
C’est tout de même curieux que dans les mêmes on n’entende pas parler du Pérou ou de l’Argentine, du Chili, mais seulement du Brésil.
On ne nous dit plus rien de la Corée du Sud – alors qu’on nous explique que « Kim-tout-fou » aura tiré deux missiles récemment – ni de Taïwan, ni de la Suède, ni du professeur « Rat-Out » pour nous vanter Israël, « BoJo » le britannique et « Baille-Dan » qu’on vante avec envie à longueur de colonne.
 
On aura ainsi dit peu de chose de Christophe Barbier, le « Conseiller médias » de « Jupiter » qui, dans un élan de sincérité lâche le morceau dans son dernier livre : « L’angoisse a été organisée par l’administration et le pouvoir politique pour que les gens se tiennent à carreaux. Et cela a marché ! »
Brigitte Bouzonnie dans un « papier » intitulé « Le Pouvoir redoute une explosion sociale », compare la situation sociale à une « cocotte-minute qui bouillonne ras la marmite ».
En réalité, on serait plus proche de l’insurrection, car les manifestations ne servent à rien, qu’elles sont interdites quand elles dépassent 6 personnes masquées et habituellement violemment réprimées quand des « casseurs-cagoulés » donnent opportunément prétexte à « dispersion ».
C’est extraordinaire qu’on réduise ainsi nos libertés au strict minimum, tellement on nous aura conditionnés et manipulés avec cette pandémie qui fait durer le plaisir plutôt que de la traiter : Privilégier la vaccination aux traitements préconisés par les plus grands virologues, tenter de faire passer pour des charlatans tous les scientifiques, médecins, infectiologues qui décrivent la gestion du « Conard-virus » comme absurde et infondée, ne pas tenir compte des mises en garde de l’ONU, faire le contraire de ce que préconise l’OMS et comble du cynisme, continuer à maintenir la population dans un climat de peur et de psychose digne des pires dictatures.
Je m’en étonne moâ-même…
 
Car la manipulation va assez loin : On trompe l’opinion à coups de sondages truqués en tentant de faire croire qu’une majorité de « Gauloisiens-sains d’esprit » serait favorable au confinement, au couvre-feu, à la vaccination et à toutes les mesures décidées par ce gouvernement qui est probablement le plus impopulaire que nous ayons eu depuis quelques années.
Jamais de mémoire d’homme, le parti d’un président de la République n’a enregistré une telle claque dans des élections municipales où il a atteint péniblement, 2,6 % des votes exprimés !
La déroute est telle qu’on instille l’idée de repousser – pour des seules raisons sanitaires, naturellement – les consultations inscrites au calendrier électoral.
Les médias et jusqu’à la censure des réseaux sociaux américains, nous gavent de désinformation, de mensonges, de manipulations jusqu’à l’indécence. Et si les citoyens se plient aux mesures de confinement ce n’est pas par peur du virus mais par peur des amendes, des poursuites judiciaires, de la répression extrême exigée encore récemment par « De-la-Normandie ».
« Jupiter » sait parfaitement que sans sa police, il serait probablement lynché par le peuple et c’est la raison pour laquelle il accorde aux forces de la répression tout ce qu’elles demandent…
 
Cette psychose collective aurait été organisée pour mettre un terme aux « Gilets jaunes » et éviter l’explosion sociale qui aura accouché d’une « convention citoyenne » qui aura elle-même accouché d’une souris.
Un vrai gag bien prévisible…
Le « Conard-virus » est un cadeau des dieux et aura servi d’alibi pour mettre en œuvre cette stratégie de soumission. L’urgence sanitaire a servi d’excuse.
Nos anciens ont finalement été euthanasiés dans leurs Ehpads et enterrés dans l’anonymat, les familles ne pouvant même pas organiser de funérailles pour leurs « chers disparus », accusés d’être contaminés et dangereux.
Mais l’épisode touche à sa fin : Il faudra bien laisser partir les gens en vacances d’estive, la faute aux ékoles de toute façon fermées.
On les a privés de remonte-pente cet hiver (mais pas d’hélicoptère), il faudra bien des compensations…
 
Alors, alors, se développe une « nouvelle astuce ».
Elle revient de temps à autre en nous promettant des « révélations fracassantes ».
Cette fois-ci c’est John Ratcliffe, l’ex-chef du renseignement de « McDo-Trompe », invité sur la chaîne Fox News vendredi 19 mars, où il a révélé qu’un rapport confidentiel serait déclassifié en juin, et qu’il contient de nombreuses observations d’ovnis dont certaines sont décrites comme « inexplicables ».
« Nous parlons d’objets qui ont été vus par des pilotes de la Navy ou de l’US Air Force, ou qui ont été captés par imagerie satellite et qui, franchement, s’engagent dans des actions difficiles à expliquer », a-t-il affirmé.
Il cite « des mouvements difficiles à reproduire pour lesquels nous n’avons pas la technologie nécessaire » ou « des déplacements à des vitesses qui dépassent le mur du son sans produire de bang sonique ».
« Il ne s’agit pas seulement de l’observation d’un pilote ou d’un satellite (…) Habituellement, nous avons plusieurs dispositifs qui captent ces choses, et il y en a beaucoup plus que ce qui a été rendu public. »
Certaines de ces observations peuvent certes s’expliquer par des phénomènes météo ou des perturbations visuelles, reconnaît-il. « Il est aussi possible que nos adversaires disposent de technologies plus avancées que ce que nous pensions (…) Mais il y a des cas où nous n’avons tout simplement pas d’explication valable pour ce que nous avons vu. »
Vous me direz, c’est à chaque fois que le Pentagone a besoin d’une rallonge budgétaire qu’on nous sort ce genre de truc.
Ce qui n’est pas faux…
 
Seulement voilà, après la déclassification en avril 2020 de trois vidéos de « phénomènes aériens non identifiés » filmés entre 2004 et 2015 par les caméras d’avions de la marine, les ufologistes se régalent (mes « Muets »).
Et puis il y les fameuses vidéos de Dôme du Rocher le 28 janvier 2011 : https://www.dailymotion.com/video/x6657mr (Lien à copier/coller dans une fenêtre de votre navigateur. Désolé, ma nouvelle version Word ne sait plus faire des liens hypertextes…).
On en a aussi des filmés au-dessus de nos centrales nucléaires par une équipe de TF2, des « choses bizarres » observées en Baie de Brest qui sont rapportées par-ci par-là depuis des années, et notre grand spécialiste national restant « J.C. Bourret », ex-journaliste qui a l’habitude de vérifier les faits rapportés de les signaler encore.
 
L’ex-sénateur Harry Reid, grand fan du sujet, est aussi à l’origine d’un programme secret baptisé Advanced Aerospace Threat Identification (« Programme d’identification des menaces aérospatiales avancées ») créé en 2007 et consacré à l’étude des Ovnis.
D’après des indiscrétions déjà relayées dans les milieux chargés de l’analyse des données collectées par les capteurs opto-électroniques embarquées à bord d’aéronefs, des objets volants à des vitesses supersoniques immergeant de la surface de l’océan à des angles impossibles avant de reprendre des trajectoires circulaires auraient été aperçus en divers endroits du globe.
La plupart de ces cas ont fait l’objet d’enregistrements officiels et classés sous le sceau du secret.
Des rapports évoquent également la persistance du phénomène de l’arrêt brutal d’un objet volant à des vitesses hypersoniques au-dessus de certaines zones où sont situées des installations nucléaires ou produisant une certaine quantité de radioactivité. Le même phénomène aurait été aperçu par des pilotes au-dessus de mines d’uranium dans au moins deux pays. Un rapport parle de « transmutation » d’un objet de forme vague en position statique au-dessus d’une mine d’uranium tandis qu’un autre évoque des objets de forme changeante à des vitesses variables…
 
Et il n’est pas le seul convaincu : Même les japonais se prépareraient à une rencontre du troisième type…
Des objets volants franchissant le mur du son sans provoquer d’onde de choc sous forme de déflagration supersonique ont été observés dans le monde entier selon un rapport du Pentagone qui devrait être déclassifié le 1er juin 2021.
En attendant que ce rapport secret du Département américain de la Défense à ce sujet soit rendu public au mois de juin, les ministères de la Défense de la Russie et de la Chine préparent également des rapports analogues.
La Russie a une longue tradition dans le domaine de l’observation des phénomènes aériens ou maritimes non expliqués ou non identifiés.
Une information émanant de Chine illustre la complexité de ce sujet hautement sensible que la culture populaire a confiné au folklore et à la superstition.
Lors d’un essai du missile balistique intercontinental Dong Feng-31, des objets lumineux non identifiés ont accompagné le missile jusqu’à son apogée à près de 1.000 km d’altitude.
Phénomène naturel inconnu ou autre, le nombre des objets volants lumineux ou pas, ayant une vélocité, un comportement et une trajectoire impossibles pour les capacités techniques actuelle de l’homme est bien plus important qu’on ne le croit. Ces observations sont prises très au sérieux par l’ensemble des grandes puissances.
 
Force est de constater qu’il existe depuis quelques mois une volonté délibérée de remettre ce sujet au-devant de la scène, non pas à des fins de divulgation d’une vérité longtemps niée par la science officielle, mais probablement à des fins de manipulation de masse.
Peut-être que cette opération psychologique vise moins la poursuite du contrôle social des populations humaine que d’atténuer le choc d’une certaine censure sur des phénomènes connexes ignorés par le positivisme scientifique politiquement et/ou idéologiquement « correct » pour être « orienté ».
Car la science dite « officielle » est loin et même très loin d’avoir cerné une infime partie des phénomènes terrestres pour ne pas évoquer ceux d’outre-espace.
Il est évident qu’il existe un nombre infini de phénomènes que la science actuelle ne peut ni expliquer ni appréhender la nature.
Et le public est de plus en plus enclin à croire que l’homme est loin d’être seul dans l’univers connu.
 
La découverte d’un nombre croissant d’exoplanètes en dehors du système solaire, la suspicion de l’existence de formes de vie dans la haute atmosphère de Vénus, sur Mars, sur Titan (satellite de Saturne), dans les profondeurs d’Io et d’Europe (satellites de Jupiter), sur des astéroïdes et des comètes sont autant d’éléments qui préparent l’opinion à la fin de l’anthropocentrisme.
Plus encore, on ne sait pas si on est seuls sur terre et si d’autres entités intelligentes ne partagent pas la planète Terre avec nous en nous côtoyant sans qu’on puisse les voire comme le rapportent toutes les religions.
(Vous retrouverez cette hypothèse exploitée dans « L’année Covid de Charlotte », le prochain « roman d’été » avec l’introduction « théâtrale » des « Hydrutes »…)
(Cf. prochainement https://livresinterdits.blogspot.com/2019/09/ma-bibliotheque-1.html. Lien à copier/coller dans une fenêtre de votre navigateur. Désolé, ma nouvelle version Word ne sait plus faire des liens hypertextes…).
 
De ce point de vue, il ne fait aucun doute que nous sommes à la veille de révélations imminentes préparées par certains gouvernements visant à accréditer la thèse extra-terrestre à des fins eschatologique ou peut-être d’hégémonie.
On veut pouvoir vous faire peur, pas de doute !
D’autant que le contexte de l’effondrement du système et la thématique du déclin, couplées à celle d’un risque majeur de guerre thermonucléaire entre grandes puissances semblent propices à ce type d’opérations de guerre psychologique.
Et c’est dans ce cadre-là que j’ai repéré un nouveau canular (pas celui des « (f)Ummistes ») qui finalement boucle d’un nœud coulant ces « petits-fils-rouges » qui provoquent ce billet.
Vous êtes assis ?
Capelez votre ceinture de sécurité…
 
« Orbite terrestre, le 23 mars 2021
 
Monsieur le Président,
Cher Ami,
 
Permettez-moi de vous féliciter pour la vigueur et l’extrême précision de votre action dans la mise en œuvre de ce grand projet qui sauvera la Terre, cette magnifique planète qui, sans vous et les autres leaders qui ont bien voulu adhérer à notre plan d’urgence, était en grand danger. Notre civilisation a connu par le passé des crises semblables et a pu, par chance, bien qu’à grand peine, les surmonter in extremis. Il est donc normal que nous ayons souhaité partager notre expertise et fournir un apport logistique conséquent, à la hauteur des enjeux de la crise que vous traversez actuellement. Nous espérons vivement qu’ils puissent éviter aux habitants certains désagréments, que nul ne devrait leur souhaiter. La grande communauté humaine se doit de faire preuve de solidarité, dans cet univers froid et hostile, où nous vivons tous présentement. Comme vous dites chez vous, « c’est à cela que servent les amis ! ».
 
Bien évidemment, la population, inconsciente des enjeux et des contraintes extrêmes, auxquels elle se trouve confrontée, ne saurait en aucun cas évaluer le degré de nécessité qui vous presse ; incapable en outre de l’unité et de la détermination qu’exige l’extrême péril où elle se trouve, elle ne saurait imaginer la gratitude qu’elle vous doit, pour la promptitude et la pertinence de votre action, ceci dès le début de votre mandat. Nous savons que cette situation, notamment la haine extraordinaire que votre personne concentre et polarise, vous pèse beaucoup ; d’autant plus que, le danger passé, personne n’en ayant eu de véritable compréhension, nul ne vous saura gré de votre dévouement ni de votre courage. Vous saviez que c’était la condition du succès et votre sacrifice, ne l’oubliez jamais, est à la hauteur de la tâche. La profondeur de l’opprobre qui y est nécessairement liée trouvera sa rédemption dans la justice que l’Histoire vous rendra : gloire et sainteté vous sont acquises. Notre Histoire elle aussi, est constellée de tels héros, trop grands pour leur époque, trop sages pour être jamais compris, trop purs pour être seulement approchés. C’est pourquoi nous vous adjurons de ne pas faiblir, de ne pas vous laisser amollir par la compassion, ni reculer devant la honte et le déshonneur dont vous devrez inéluctablement être affublé. Comme votre Christ, il vous faudra boire cette coupe jusqu’à la lie quelle que soit son amertume. Vous avez choisi de porter cette croix. Vous avez choisi de sauver l’humanité d’une autodestruction assurée. Vous en connaissez le prix. Il n’y a pas de retour, il n’y a pas de sortie. Ne l’oubliez pas, fût-ce la dernière des raisons qui dût vous pousser de l’avant.
 
Selon les termes de notre accord, il va donc falloir maintenant aborder la phase la plus difficile, et la plus dangereuse, de notre plan. Nous avions prévu, avec une raisonnable marge d’erreur, que le « vaccin » serait mal accueilli. Comment eût-il pu en être autrement ? Les véritables vaccins étant déjà en eux-mêmes pratiquement tous des aberrations et des arriérations médicales caractérisées, hautement corrompues et corruptrices, dans tous les sens du terme, il était de toute nécessité que ce produit-ci fut destiné à provoquer d’importants remous dans l’opinion. Vous vous êtes engagé à procéder à la contrainte finale, qui verra s’accomplir votre œuvre et ramènera la paix et la prospérité sur une Terre enfin débarrassée de ses excédents, ou comme l’a dit, imprudemment et très stupidement, un de vos écrivains – rallié à notre cause –, « des êtres humains surnuméraires ». Cette bouffée d’oxygène démographique permettra le fameux redémarrage, que tous attendent. Le voyage spatial, bien sûr, et la rencontre avec les autres communautés intelligentes qui peuplent cette partie de l’univers, alimenteront un nouveau système de profits, qui dépassera tout ce que vous pouvez encore imaginer. Et nous savons que dans ce domaine, votre imagination personnelle est pourtant fertile…
 
Nous vous rappelons que nos méthodes et nos outils devront rester scellés à tout jamais. Vous comprenez que le ressentiment qu’ils ne manqueraient pas de susciter, notamment vis-à-vis des autres visiteurs qui vous ont contacté parallèlement, seraient tout à fait contraires au plan et ajouteraient à l’opération un surcoût absolument démesuré. C’est la pierre d’angle ultime de toute la construction. La compromettre, en permettant la divulgation et de l’accord, et de notre origine, amènerait un chaos indescriptible. Nous vous avons déjà expliqué qu’une intervention directe de notre part serait impossible en ce cas : elle entraînerait immédiatement la réaction de ces autres visiteurs, pour des raisons que nous ne pouvons pas vous faire comprendre, à ce stade, car elles relèvent d’une connaissance qui est trop avancée par rapport à votre degré d’évolution mentale actuel. Une telle « indiscrétion » vous laisserait donc aux prises avec ces foules haineuses que vous redoutez par-dessus tout, et à raison, nous semble-t-il. L’indignation profonde est une énergie surpuissante : avec elle nulle négociation n’est envisageable, un peu comme votre énergie nucléaire : primitive et terrifiante.
 
Tant que vous tiendrez vos engagements, nous tiendrons les nôtres et vous connaîtrez, ainsi que tous les élus, qui évidemment seront les plus vigoureux et les plus subtils d’entre vos congénères – la crème de votre ADN – une ère de bien-être et de progrès extraordinaires et inespérés. À notre connaissance, toutes les civilisations passent par des phases de crises d’adaptation. La vôtre connaît maintenant l’une de ces phases. Elle sera douloureuse, mais, ayant choisi notre tutelle, vous pourrez en limiter largement les conséquences néfastes et passerez au stade suivant avec relativement peu de regrets : un arbre fruitier doit être soigneusement taillé pour conserver toute sa productivité. La maturité doit se dépouiller des manies et des caprices de l’enfance, des débordements et des idées de la jeunesse. L’adulte doit se mettre au service de la collectivité sous la direction des plus âgés, qui sont aussi les plus sages, pour le bien de tous et la cohésion de l’ensemble. La ruche entière se consacre à un développement équilibré sous la coordination de l’apiculteur. C’est donc sous notre protection que les terriens entreront dans la vie galactique et y prendront leur place. Nous y accomplirons certainement de grandes choses, avec votre espèce à nos côtés, en harmonie. Tout cela, vos concitoyens, sans le savoir, vous le devront, à vous et quelques autres, cher ami. Et à nous, pour le bien de nos deux races.
 
Le moment est venu. Ne faiblissez pas. Après tout ce que vous avez déjà consenti. Il est temps.
 
Veuillez croire, Monsieur le Président, en l’expression de notre haute considération et distinguée salutation.
 
XXXXX Vos Amis les Visiteurs. »
 
Une missive qui aurait fait e bonheur de feu le « Capitaine Haddock »)
J’ai relevé trois fautes (corrigées) : C’est donc une œuvre « humaine ».
Mais voilà « le plan » qui se dessine : Vous faire croire que vos dirigeants, malgré leurs faiblesses patentes, sont « guidés » !
Une façon comme une autre de vous faire avaler d’autres couleuvres, la peur de l’inconnu chevillée au corps et au cœur.
Maintenant, je ne sais pas à qui s’adresse cette missive.
Parce que des « Présidents », il y en a un paquet !
La suite est à suivre, mais je sens que ça va être « palpitant »…