Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 31 octobre 2023

Gaza encore et encore…

Lui, il me fait rire !
 
C’est « Cheminable », ex-candidat à la présidence de la République pour lequel je vote de temps à autre, tellement écœuré par mes ex-RPR devenus tout et n’importe quoi sauf gaulliste.
Parfois, quand il ne se présente pas, je porte mon bulletin sur le berger des Pyrénées : Lui au moins, même quand il parle, personne ne le comprend, ce qui me convient très bien.
Alors que « Cheminable », il parvient à se faire comprendre, même quand ce qu’il raconte est abscond.
C’est le défaut des « sachants-énârques », sauf que lui a fait d’abord HEC (qui normalement aurait dû le mettre à l’abri de ce travers…).
 
Pour fixer les idées, il représente en « Gauloisie » un discours « LaRouchiste » relevant d’un caractère « absolument insituable », qu’il propose de ranger dans la catégorie des « technofascismes ».
Le Parti ouvrier européen des années 1980 de « Cheminable » est en effet classé à l’extrême droâte par la plupart des observateurs politiques.
Cependant, d’après certains, contrairement au mouvement « larouchien » aux États-Unis d’Améeique, le POE est exempt de dérapages antisémites, et son hostilité envers le Front national est indéniable.
De plus, il rencontre l’hostilité de la presse d’extrême droâte, qui lui reproche « à la fois la filiation d’origine trotskiste de son fondateur américain et son éventuelle manipulation par le KGB et le Kremlin d’alors ».
Un de plus…
Mais j’aime bien quand il se réfère principalement à Franklin Roosevelt, Charles de Gaulle, Jean Jaurès et Pierre Mendès France.
En 2007, au second tour des élections présidentielles, il fait une konnerie et appelle à voter Ségolène Royal, candidate du « Parti-soce ».
Enfin, ce qu’il en restait à l’époque.
 
Sa proximité d’idées avec Lyndon LaRouche provoque néanmoins des polémiques.
Même le physicien (un chercheur qui n’a pas encore trouvé), auteur d’une étude sur les sectes politiques dans les années 1965-1995, estime ainsi qu’« en dehors de références constantes à de Gaulle, d’idées résolument favorables aux technologies nouvelles, aux armes à rayonnement, à la bombe à neutron et à l’énergie solaire, on est en face d’une sorte d'auberge espagnole où l’électeur trouvera ce qu’il voudra bien lui-même apporter. »
Pas mal vu…
En 2012, selon un journaliste il « se présente en gaulliste de gauche, mais camoufle un lobby politique américain d’extrême-droâte ».
Gaullisme de gôche, j’aime bien.
Cette accusation a été réfutée à plusieurs reprises par l’intéressé qui déclare : « Les idéologies du sol, du sang, de la race, me répugnent. »
Et selon Serge July, il est « le candidat de la parano » (On ne parlait pas encore de wokisme ou de complotisme… Et pourtant…
D’autre voit en lui « le plus inquiétant des candidats » et considère que ses propositions sont un mélange « de propositions lénifiantes (… Où ça Lénine ?) et d’idées fumeuses », tandis que le JDD (de la belle époque) le qualifie d’« ovni » et le juge « indiscernable » ou encore le considère comme une « énigme ».
Non, il passe juste son temps à réfléchir…
Un peu hors des sentiers battus, il est vrai.
 
Et il vient de nous sortir un texte que je reprends pour commencer à vous titiller le neurone. Non pas que j’y adhère, parce que pour moâ, tout le monde passe à côté de l’essentiel dans cet assaut du Hamas du 7 octobre dernier, que personne n’ose qualifier d’antisémitisme primaire et viscéral.
Car il se passe des choses qui se dévoilent au fil du temps…
Nous y reviendrons, juste le temps de vérifier jusqu’à quel point on se moque de tout le monde.
 
Donc, en amuse-gueule, je reprends : « Les atrocités qui s’y déroulent (à Gaza) nous concernent. Car nous avons participé et participons encore, avec le Royaume-Uni et les États-Unis, au jeu géopolitique de diviser pour régner, cette volonté coloniale, réfléchie et préméditée depuis le XIXème siècle, de fragmenter l’Orient arabe pour en empêcher le développement. Je le dis non pour culpabiliser, mais pour situer les causes de ce qui arrive afin de pouvoir en inverser le cours.
Qu’en France, presque tout se soit focalisé sur la manière de qualifier le Hamas montre notre incapacité à élever le débat. »
Exact : Et on comprend que « Cheminable » puisse déranger…
 
« Bien entendu, massacrer des civils et les prendre en otage est un acte terroriste. Le nier est absurde et immoral. »
Point à la ligne et là, je n’en démord pas… J’ai été #Charlie comme beaucoup.
(I-Cube (l'exilé): #JeSuisCharlie (flibustier20260.blogspot.com))
« Cependant, ne pas tenter d’en comprendre le contexte revient à se complaire dans la haine de l’autre ou l’impuissance bavarde. Depuis janvier 2006, avec la victoire du Hamas aux élections législatives palestiniennes, et en particulier avec l’arrivée au pouvoir de Netanyahou, la stratégie des gouvernements israéliens a consisté à jouer le Hamas, faire de Gaza une prison à ciel ouvert et empêcher ainsi la création d’un État palestinien.
Diviser pour régner, la vieille méthode coloniale, devint alors celle de l’État d’Israël, qui changea de nature.
 
Le 14 mai 1948, la déclaration d’indépendance lue par David Ben Gourion consacrait un État juif et démocratique, établissant « une complète égalité de droits sociaux et politiques à tous les citoyens » et reconnaissant l’arabe comme seconde langue d’État. 70 ans plus tard, le 19 juillet 2018, la Knesset adopta une nouvelle loi fondamentale définissant, elle, l’État-nation du peuple juif.
L’hébreu devint alors seule langue nationale, l’arabe n’ayant plus qu’un statut spécial, et Jérusalem fut instituée capitale complète et unifiée d’Israël. À l’État des fondateurs se substitua une vision de la société basée sur l’ethnie et la tyrannie de la majorité.
La colonisation de la Cisjordanie s’étendit rapidement, bafouant la résolution 242 du Conseil de sécurité de l’ONU, et l’on acheva la construction du mur de séparation. L’on peut y voir, selon son jugement, une rupture ou l’extension d’un processus. »
C’est indéniable…
Une longue succession de fautes de l’État hébreu qui trouve ses racines dans son sionisme…
 
« En 1975, mon ami américain Lyndon LaRouche (Ouh là, au secours !) s’était rendu en Irak pour y présenter un plan de développement pour Israël et la Palestine, s’appuyant au départ sur un fond irakien alimenté par les recettes pétrolières. Il avait alors rencontré Abba Eban, avant de développer son projet lors d’une conférence à Paris. Un intérêt existait des deux côtés. Aux États-Unis, à la question : « Envisageriez-vous de soutenir un tel projet ? », Moshe Dayan avait répondu : « C’est très intéressant. Cela pourrait tout changer. Je suis tout à fait prêt à en savoir davantage ».
En avril 1986, Shimon Peres proposait à son tour un plan de dix ans pour le développement du Moyen-Orient. En 1990, LaRouche publia son « Plan Oasis », détaillant sa proposition.
Les accords d’Oslo eux-mêmes incluaient une annexe prévoyant ce développement mutuel.
L’assassinat de Yitzhak Rabin donna un coup d’arrêt à tout le processus.
Les ennemis américains de Rabin proclamèrent que LaRouche était antisémite, accusation qui me fut assénée au cours de ma propre campagne présidentielle de 1995. »
C’était infaisable…
 
« Le critère essentiel est que la condition d’une juste paix est le développement mutuel. C’est la perspective commune de la Paix de Westphalie, de la politique de Sully, Laffemas et Olivier de Serres pour donner un fondement à l’Édit de Nantes, et du plan des Cinq mers conçu par Bachar al-Assad pour tout le Sud-Ouest asiatique, annoncé en 2009 lors d’un voyage en Turquie.
Tous ceux qui ont ainsi combattu pour la paix ont été diffamés, persécutés ou assassinés. »
Voilà l’indiscutable réalité…
 
« Aujourd’hui cependant, une occasion nous est offerte par les Nouvelles Routes de la soie, dont le 3ème Forum vient de se tenir à Beijing.
Illusion ?
Vision dominatrice de la Chine et de la Russie ?
Ce serait prêter à l’autre les intentions de sa propre politique, pour laquelle le Moyen-Orient a servi de centre d’expérimentation.
Écoutons d’abord cet autre, dont nos médias occidentaux déforment constamment les propos. »
Pôv’ « Cheminable » : Il passe à côté et de toute façon c’est bien trop tard, même si ça part d’un bon sentiment.
 
Et puis, rappelez-vous, le 10 octobre il en avait déjà mis une couche : « La situation au Moyen-Orient est une honte pour tous. Honte, car personne ne s’est réellement battu pour que le conflit israélo-palestinien prenne fin. Nous avons laissé un peuple qui vit encerclé par des ennemis et se ressent comme tel, encercler un autre peuple dans une prison à ciel ouvert. De ce mal qui dure depuis si longtemps, nous devons faire en sorte aujourd’hui, contre tout espoir, que sorte un bien supérieur.
Tout être humain ne peut qu’être bouleversé par les images des victimes israéliennes du « déluge d’Al-Aqsa » et le traitement infligé aux Palestiniens par les gouvernements israéliens successifs.
Au-delà des terribles souffrances des victimes, notre défi est de parvenir à une solution où il n’y en aura plus. C’est un défi qui nous concerne tous car cette petite portion du monde est un lieu essentiel de civilisation qu’on ne peut laisser livré à la barbarie.
Le pire est la prise d’otages par les uns et les autres, par le Hamas mais aussi par de véritables ratonnades en Cisjordanie, et la mort infligée à des civils dans des conditions particulièrement atroces. »
Ce qui est totalement vrai.
 
Pour lui, il convient d’abord de procéder à un examen de conscience et imaginer un bien supérieur au-delà des termes de la tragédie en cours.
« L’examen de conscience doit concerner les Palestiniens. On ne peut parvenir à la paix en proclamant l’extermination des juifs et la destruction d’Israël. La fin ne justifie jamais les moyens et ceux du terrorisme détruisent non seulement l’autre mais aussi soi-même. Le fanatisme conduit à un terrorisme sans contrôle. Ainsi, les endroits frappés par le Hamas sont ceux où vivent de nombreux militants de la gauche laïque israélienne favorables à une paix sans occupation. Détruire ceux à qui on devra un jour nécessairement parler est pire qu’un crime.
 
L’examen de conscience doit concerner les Israéliens. Laisser une partie de sa population, en particulier les colons, traiter les Palestiniens comme des chiens, au mépris des lois mêmes d’Israël, est un crime quasi quotidien. Avoir réduit Gaza à un centre de rétention à ciel ouvert y provoque fatalement la violence du désespoir. Pire encore, vouloir aujourd’hui l’assiéger totalement est une abomination. En assénant : « Pas d’électricité, pas de nourriture, pas de gaz. Nous combattons des animaux et nous agissons en conséquence », le ministre de la Défense israélien viole, hélas après beaucoup d’autres, les principes essentiels du judaïsme et des droits humains. Le siège total de la bande de Gaza (et il faut maintenant ajouter : pas d’eau !) est interdit par le droit international humanitaire. En déclarant à plusieurs reprises que « l’Autorité palestinienne est notre fardeau, le Hamas notre chance », le ministre Bezalel Smotrich a joué cyniquement avec le feu, comme tous les responsables israéliens avant lui qui ont promu le Hamas pour décrédibiliser les représentants légitimes de la cause palestinienne. L’on pressent que ce sont ces jeux douteux qui, du moins en partie, ont entraîné la défaillance des services israéliens dans une frontière pourtant truffée de capteurs, de caméras et de garde. »
 
Et c’est là l’étincelle : « Une offensive de ce type est comparable non au 11 septembre, comme on le répète sans réfléchir, mais à l’assaut du Têt pendant la guerre du Vietnam, et il faut en mesurer les terribles conséquences faute de justes compromis pour sortir du dilemme. »
Mais si, au contraire, il y a tellement de point de ressemblance avec le 11 septembre 2001, que c’en est lumineux !!!
Comment se fait-ce que « Cheminable » passe ainsi à côté, lui qui a le temps de réfléchir et d’analyser ?
 
À vous de cogiter un peu et surtout pas en vous préoccupant des gros titres de la presse « aux ordres », notamment sioniste ou simplement pro-sémite, qui elle aussi noie sous un nuage de fumée ce qui ressort comme évident.
Je vous laisse visiter et fleurir vos cimetières, et on y revient…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

lundi 30 octobre 2023

Ça s’est passé la semaine passée !

Et parfois, ils font très fort…
 
Je veux dire que le monde s’effrite à défaut de sombrer, que nos médias ne savent que causer des fautes d’un arbitre de Rugby qui aura favorisé une affiche dans laquelle son équipe nationale devait figurer en finale (quitte à saborder le championnat), les bourses s’écroulent lentement, on se massacre toujours en Ukraine et alors on en a plein la bouche et le neurone des propagandes proche-orientales qui veulent justifier des massacres commis.
Je ne sais décidément pas dans quel monde on vit : J’ai dû me tromper d’affectation en naissant ici et pas sur une autre planète…
 
Mais alors, les meilleures auront été débité par deux « majors » (je n’en cite que deux à mon panthéon des lumières de la semaine) de la pensée post-moderne contemporaine.
D’abord, « Konne-benne-dites » (mais oui, il n’est pas encore « dispersé » sur le « Boul’-Mich’ », selon ses dernières volontés exprimées sans être shooté) qui la ramène en ciblant la présidente de l’Assemblée nationale, « Ya-Aile-Brune-Piverts » (un patronyme bien breton, comme on en dit en Auvergne profonde…), et « Juppette » qui se réveille derrière « Mes-Luches » (le troisième « permanent » du duo).
Il faut dire que ce dernier nous a fait très fort en stigmatisant la détentrice du « Perchoir » de l’Assemblée Nationale de mes « députacrouilles », mais passons ce qui a fait réagir l’ex-meneur de Mai 68 et ex-député européen « écololo » et avance, lui aussi, quelques idées pour sortir de l’impasse tragique du conflit Hamas-Israël.
 
« Mes-Luches » twiste à propos de la présidente de l’Assemblée Nationale, qu’elle « campe à Tel-Aviv pour encourager le massacre ».
Au moins, il a le sens de la formule après le massacre réalisé par le Hamas…
Réaction de celui qui a fait vaciller un temps « le Général » (qui l’aura laminé par surprise en convoquant des élections anticipées) : « Ce tweet incarne l’ignominie et la bêtise en même temps. Les 3.000 personnes qui étaient présentes place de la République ne sont pas plus représentatives de la France que quelque autre rassemblement. » (Ce qui reste vrai…)
« Dans cette période, attaquer la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, descendante de Juifs polonais et de Juifs allemands, c’est la démonstration ultime que Jean-Luc Mélenchon et LFI ne comprennent pas ce qui s’est passé. »
 
Et d’expliquer : « Je connais des milliers de Juifs qui ont une judéité qui n’a rien à voir avec le judaïsme.
Mais le 7 octobre, plus aucun n’était pas Juif. Qu’un pogrom de cette dimension, de cette barbarie ait pu avoir lieu en Israël nous a tous perturbés. On connaît la phrase d’Elie Wiesel : « Je peux ne pas vivre en Israël, mais je ne peux pas vivre si Israël n’existe pas. » C’est ce que nous avons tous ressenti. »
Oui, là, franchement… On peut comprendre, mais bon, on peut très bien vivre sans Israël. Et les juifs en premier depuis la destruction du Temple et jusqu’en 1947…
 
Mais, le « breton de Teutonnie », il va plus loin et c’est là que ça reste formidable : « On s’insurge avec raison quand aux États-Unis un Noir est tué, en disant : « Black Life Matters ». Aujourd’hui, on n’entend pas du cœur de notre société : « Jew Life Matters ». « La vie d’un Juif compte. »
Je n’ai pas entendu ces mots crier par des milliers de voix. » Et c’est vrai que parfois j’en ai honte d’être né à cette époque-là : J’ai dû me tromper dans mon affectation, vous dis-je…
 
« Et quand Mme Panot déclare sur France Inter que l’hôpital de Gaza a été touché par une attaque d’Israël, et qu’on lui démontre que c’est faux, elle rétorque : « Toutes les armées mentent toujours. »
On est dans l’obscurantisme total. Cela me rappelle le début des années 1960 quand on disait aux communistes français qu’il y avait des camps de concentration en Russie, et qu’ils répondaient : « Mais non, c’est une invention de l’impérialisme américain. » »
En voilà bien, des amalgames : Crie-t-on « Gazaouis life Matters », au juste ?
 
Quant à « Mes-luches », « Dany-le-rouge » (il était roux il a largement blanchi depuis) constate qu’il « attise le feu sur des mensonges. Pour capitaliser sur la révolte qui s’est affirmée dans les banlieues cet été, et chercher un nouvel électorat.
Mélenchon se sert de la rancœur de beaucoup de personnes d’origine musulmane et l’instrumentalise, à des fins politiques, même bassement électorales.
Je ne sais pas si tout cela est orchestré. Je ne sais pas si ces gens sont antisémites, mais s’ils l’étaient, ils ne parleraient pas autrement.
Il ne s’agit pas de nier aujourd’hui la terrible douleur palestinienne : depuis des dizaines d’années, je me bats pour un État palestinien. Mais il faut arrêter avec l’obscurantisme.
Dans les années 1960, une certaine gauche a défendu tous les mouvements d’émancipation nationale, en Algérie, à Cuba, au Vietnam, au Nicaragua ou au Cambodge.
Tous sont devenus des États totalitaires ! »
Merci pour ce constat lucide.
Et encore, il oublie de parler de ces États où se succèdent les coups d’État « décolonisés » et ceux où prolifèrent les groupes terroristes…
 
Sa solution : « Il faut aider les Palestiniens à se libérer du Hamas. L’horreur du 7 octobre a remis la cause palestinienne à l’ordre du jour. Et, aujourd’hui, qui en défend l’idée ?
Les Américains Biden et Blinken essaient de redonner une dimension à l’Autorité palestinienne, pour qu’après le démantèlement du Hamas, il existe une autre force capable de reprendre Gaza.
On ne peut pas défendre la cause palestinienne si l’on ne dénonce pas le terrorisme du Hamas. Pis, on nuit à cette cause : l’État que veut le Hamas, c’est l’Iran. »
Le « grand Satan » reste donc l’Iran.
Qui participe étroitement à la ligue du triangle des dernières dictatures majeures, Moscou, Téhéran, Pyongyang, qui visent à un monde (déjà) multipolaire mais sous leur contrôle en attirant plein de « bébés dictatures » dans leur orbite, sur tous les continents, d’ailleurs…
Ceci dit, depuis le temps qu’on aide les Gazaouis à se libérer du Hamas…
 
Mais il persiste : « Phase numéro un : démantèlement physique du Hamas à Gaza. Je sais que ce sera très dur, mais il n’y a pas d’autres solutions que de briser la mainmise de cette organisation terroriste sur son territoire. »
Aveu d’échec…
« Phase numéro deux, le gouvernement Netanyahou tombe : il est responsable de ne pas avoir su protéger les Israéliens. Ou il a la grandeur de Golda Meir, et il démissionne. Ou il sera démissionné. Un gouvernement modéré s’installe, et il devra remettre à l’ordre du jour les négociations avec les Palestiniens.
Avec l’aide d’une force d'interposition turco-marocaine, pour rétablir l’ordre à Gaza. »
Mais ils ne veulent pas servir de tampon, m’insurge-je ! Pas fous…
 
« Mais il y a aussi en prison, en Israël, un militant du Fatah, Mawran Barghouti. Il peut être le Mandela palestinien.
Il incarne une autorité positive qui est apte à s’opposer à l’autorité négative du Hamas.
Barghouti avait, d’ailleurs, soutenu les négociations avec Israël, il a été déçu, et il a pris les armes.
Comme Mandela, et c’est ainsi qu’on pourra enclencher de nouvelles négociations avec pour objectif la seule idée moralement défendable : l’existence de deux États. »
Note, « kamarade-konne-benne-dites », que tous ceux qui ont soutenu cette solution se sont fait assassiner. Juif et égyptien…
Probablement que les volontaires ne sont plus très nombreux, désormais.
 
Bref, je constate que le « communautarisme » religieux fait couler le sang au nom de leur Dieu.
Qui est d’ailleurs le même, même s’il change de nom.
C’est quand même dommage : La religion, ce n’est plus l’opium du peuple chère au « Kamarade Vladimir », mais la première cause de mortalité planétaire (après les mobilités douces à vélo…)
 
Et puis, dans le même style, mais sur un registre totalement différent, on a eu droit au réveil de « Juppette » (l’ex-meilleur-d’entre-tous). Lui, il est marrant : Il a osé se demander si l’islam était bien compatible avec notre République.
Forcément, à « gôche » ils y voient de l’« islamophobie » et que certain le qualifie carrément d’« effrayant ».
C’est qu’il faut lire (ou écouter) jusqu’au bout son intervention : « Est-ce qu’il y a une forme d’islam qui est compatible avec la République ? Je veux encore le croire. Parce que si la réponse est non à cette question, cela veut dire qu’il y a 4 à 5 millions de Français musulmans qui n’ont pas la place chez nous.
Et on ne peut pas l’accepter », avait-il déclaré dimanche en huit, sur Radio J (« J » qui ne veut pas dire « jeune »…).
 
L’ancien « Premier sinistre » du « Chi », reconverti en super sage du Conseil Constitutionnel, vient en effet de confesser au détour d’une interview qu’il lui arrivait à présent de se poser la question de savoir si l’islam était ou non compatible avec la République.
Notez que mieux vaut tard que jamais.
Mais tout de même, on ne peut s’empêcher de penser que chez un personnage de ce calibre, ayant exercé les responsabilités locales, nationales au plus haut niveau et si longtemps, le commencement de la lucidité se sera fait attendre quelque chose comme une éternité.
C’est seulement arrivé en bout de carrière, après – allez savoir ? – trois ou quatre décennies d’intense réflexion, qu’il parvient à se poser enfin une bonne question, et à regarder la réalité en face.
Pas facile !
 
Selon « Monsieur Juppette », l’initiative de la réponse à son questionnement incomberait aux institutions et aux représentants de ladite religion eux-mêmes.
Ce sont eux qui devraient dire s’il y a compatibilité ou pas.
Certes on peut rêver, d’autant qu’on connaît leur réponse : C’est oui !
Notamment (et seulement) si la République adapte ses lois à celle du Coran.
C’est ça l’effet du « communautarisme-parigot » de la « gôche-bobo-caviar » qui en aura inventé des tonnes pour nuire et affaiblir volontairement l’unité nationale, jusqu’à inventer « Touche pas à mon pote » en oubliant toutes les autres communautés qui ne sont pas des « minorités visibles »…
 
Notez également qu’il aurait pu se mettre à penser et à parler en homme d’État, en homme d’État de bonne facture, en affirmant, par exemple, que compte tenu de ce que nous subissons de drames ces derniers temps, il revenait à l’État, et à son chef en premier lieu, non pas d’attendre mais d’exiger – oui exiger – que les instances de la religion concernée s’expriment sur le sujet.
Les mettre au pied du mur en somme.
 
Comme l’a si bien fait un certain Napoléon (un natif de la minorité ajacienne) avec les juifs en février 1807, d’ailleurs.
Il convoqua et réunit durant un mois des personnalités juives représentatives désignées par les préfets et les grands rabbins en exigeant d’eux – nous disons bien en exigeant – des réponses, claires et départies de toute ambiguïté à une série de questions, elles aussi claires et sans ambiguïté.
Parmi ces questions, celle-ci qui pourrait être proposée aujourd’hui à l’identique, à la virgule près, aux tenants de l’Islam : « Les Juifs nés en France et traités par la loi comme citoyens français regardent-ils la France comme leur patrie ?
Ont-ils l’obligation de la défendre ?
Sont-ils obligés d’obéir aux lois et de suivre les dispositions du Code Civil ? »
 
Bon, la nationalité israélienne n’existait pas alors, et la réponse, unanime, précise, nette, ne s’est pas fait attendre : « La France est notre patrie, les Français sont nos frères. Les Juifs sont prêts à défendre la France jusqu’à la mort. »
Par ailleurs, il est précisé que le rôle du rabbin consiste à « rappeler en toutes circonstances l’obéissance aux lois (gauloisiennes) notamment et en particulier celles relatives à la défense de la patrie. »
De plus, il suffit de se reporter aux registres des Juifs morts pour mon pays lors des deux conflits mondiaux pour constater avec quelle dignité, quelle rigueur la parole donnée a été tenue.
Qu’ils en soient remerciés, au moins autant que mes tirailleurs sénégalais et mes goumiers marocains venus libérer Bastia…
 
Se rappelle-t-on qu’en ces temps-là, « Juppette » accrochait des lilas aux portes des mosquées, tapait la belote avec un imam bordelais proche des Frères musulmans, écrivait « L’Identité heureuse » sur les murs.
Mais le temps passe, le compteur tourne.
Et après quelques hésitations, il se lance, et tant pis s’il se retrouve mis au ban de la société : Il n’a plus rien à démontrer.
 
En réalité, le cas est plus grave qu’il en a l'air. La poursuite de la description du symptôme en témoigne. À l’écoute de l’émission, « Riton-Zézé-Amour » est effaré : Le gaillard de Bordeaux veut être calife à la place du calife chez Reconquête.
Il y a péril en la demeure.
Le retour au réel est brutal. La convalescence sera longue.
« Juppette » douterait-il que le monde musulman soit décidé à faire enfin toute la lumière sur sa compatibilité avec la République ?
« Moi, je ne suis pas musulman, donc, c’est pas à moi de le dire. »
« C’est aux musulmans de le dire, nous, nous sommes prêts à respecter la laïcité.
La laïcité, ça veut dire que la religion n’impose pas sa loi dans la sphère publique ».
Voulait-il dire qu’il constatait le contraire de ce qu’il espère de la communauté musulmane ?
 
Et alors quoi ? Si l’épisode est fort drôle, parce que la question aurait dû être posée à l’occasion des différentes réunions avec les autorités religieuses du culte musulman qui se sont succédées entre le « Chi » et « Bling-bling », y compris chez les gôchistes avant de penser un peu trop rapidement à récupérer les voix de ces citoyens de seconde génération (qui restent aux antipodes des « valeurs de gôche », sauf quand ça les arrange… : L’état de droit, c’est bien quand on se fait gauler par les forces de l’ordre pour des délits voire des crimes, parce qu’on a droit à un avocat payé par le kontribuable, mais insoutenable dès qu’il s’agit de refuser d’obtempérer…), qui se vautre dans un soi-disant communautarisme de bon aloi…
 
Elle l’est d’autant plus qu’on aura appris dans le courant de la semaine que le hongrois, il retourne totalement sa veste sur le sujet la migration « hors-UE » (bouddhiste ou islamique ?), se disant prêt à accueillir tout le monde, y compris les désespérés de la planète.
Du « Mère-quelle », mais à la hongroise (qui aura tout de même « exfiltré » de force tous ses juifs dans des camps, il y a quelques décennies de ça) : Il y a du travail qui manque de bras, figurez-vous, même sur les bords du beau Danube bleu.
 
On vit décidément une époque de tous les contrastes, paradoxes et contraires que s’en est épuisant.
Il serait temps de remettre de l’ordre dans les idées de nos leaders de pensée, parce que là, ça fait désordre.
En plein conflit européen, ce serait la moindre des choses…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

dimanche 29 octobre 2023

Sujets scientifiques d’importance : Le sexe !

La connaissance progresse sur ce point… si délicat
 
I ― Pour commencer, au moins 8 points qui devraient changer votre perception de ce sujet. Pourtant, encore aujourd’hui, le sexe reste tabou : Le sujet est peu poussé lors des cours d’éducation sexuelle au lycée, et nombreux sont ceux qui rechignent à l’aborder avec leur partenaire. Résultat, les idées reçues et les désinformations sur la sexualité et le désir sont monnaie courante.
« Il y a tellement de mythes qui circulent, et ils peuvent causer beaucoup de dégâts », assure une professeure de psychologie spécialisée dans la sexualité à l’Université de Floride.
Et pour y remédier, un groupe de sexologues dresse la liste des mythes liés au sexe qu’elles souhaiteraient voir disparaître.
 
De nombreux adolescents pensent que « tout le monde le fait », ce qui les pousse à avoir des relations sexuelles alors qu’ils ne se sentent pas prêts. Ce mythe peut également donner l’impression aux personnes engagées dans une relation à long terme qu’elles sont les seules à connaître des périodes avec moins de libido, alors qu’elles ne font qu’expérimenter les fluctuations naturelles du désir.
« Une personne sur trois déclare ne pas avoir eu de rapports sexuels avec quelqu’un au cours de l’année précédente », confie la directrice du centre de santé sexuelle de l’Université de l’Indiana. Une étude observe d’ailleurs une diminution de l’activité sexuelle globale ces dernières années.
Les scientifiques attribuent ce déclin à l’augmentation des sextos, de la pornographie en ligne, ainsi qu’à la diminution de la consommation d’alcool chez les jeunes.
Personnellement, j’aurai plutôt tendance à observer qu’à notre époque de « boomer », il y avait surtout beaucoup plus de vantard que chez la génération « Z »…
Mais ce n’est pas un avis « scientifique ».
 
Par ailleurs, la plupart des gens auraient tendance à s’enferment dans des « scripts sexuels », qui véhiculent l’idée qu’un rapport doit commencer par des préliminaires et se terminer par une pénétration.
Or, les préliminaires sont souvent sautés et la pénétration n’est pas forcément l’objectif.
D’ailleurs certains dénonce : « Dans la plupart des films, les femmes ont des orgasmes rapides et fabuleux après une pénétration, et les préliminaires n'en sont que le prélude. »
Et ce raisonnement contribue à perpétuer l’écart de plaisir qui existe depuis longtemps entre les hommes et les femmes lors de relations hétérosexuelles : 75 % des hommes affirment avoir eu un orgasme lors de chaque rapport qu’ils ont eu au cours du mois précédent, contre 33 % des femmes.
Bé oui, c’est compliqué les orgasmes de femmes… Et puis elles peuvent simuler plus facilement qu’un kouillu.
Une autre enquête révèle que 18 % des femmes ont eu un orgasme grâce à la seule pénétration, tandis que 37 % déclarent avoir eu besoin en plus d’une stimulation clitoridienne externe.
Comme quoi…
 
Autre chose : « La sécheresse vaginale touche davantage les femmes âgées, mais elle peut survenir même chez les plus jeunes ». 17 % des femmes âgées de 18 à 50 ans souffrent de sécheresse vaginale pendant les rapports sexuels, contre plus de 50 % après la ménopause.
Elle peut aussi survenir pendant l’allaitement, à cause de médicaments, ou de certaines contraceptions.
« Les vagins ne sont pas des forêts tropicales », ironise un spécialiste, tout en précisant que la plupart de ses patientes ont déjà utilisé au moins une fois du lubrifiant : « Nous pouvons être excitées ou amoureuses sans pour autant parvenir à être suffisamment lubrifiées » en disent-elles…
 
Bien que le lubrifiant aide certaines femmes à éprouver plus de plaisir pendant les rapports sexuels, ces derniers ne sont pas censés être douloureux.
Or, 75 % des femmes ont déjà eu des rapports sexuels douloureux au cours de leur vie.
Une « trouveuse », chercheuse dans le bien-être sexuel des femmes, partage : « De nombreuses femmes pensent, à tort, que la douleur pendant ou après un rapport sexuel est le signe d’une bonne sexualité. »
Les konnes…
Elle ajoute même : « Les personnes qui souffrent d’un trouble de la douleur sexuelle ont souvent eu un premier rapport douloureux, puis elles ont continué à ressentir des douleurs au niveau des organes sexuels ou de la vulve.
Elles restent trop longtemps dans cette situation, sans réaliser qu’il s’agit d’un problème. »
Et contrairement aux idées reçues, les hommes sont eux aussi touchés par ce fléau.
Si vous ressentez une quelconque douleur pendant un rapport sexuel, allez donc consulter un ex-carabin (ou le rebouteux du quartier).
 
Autre mythe qui circule : « L’écart de désir est le problème numéro 1 que je traite dans mon cabinet, et je peux vous assurer que celui qui a le plus de désir n’est pas toujours un homme » affirme un clinicien sexologue. « À cause de ce mythe, les hommes éprouvent souvent un sentiment de honte face à leur manque de désir et se sentent obligés de toujours prendre l’initiative », précise-t-il.
« S’il est vrai que les hommes se masturbent davantage que les femmes, ce n'est pas pour autant que les femmes n’ont pas de désir sexuel, ou que les hommes en ont toujours », informe de son côté une thérapeute.
Je ne peux pas enrichir la science sur ce sujet : Jamais eu besoin de me masturber car j’ai toujours su avoir à disposition une partenaire dont je savais allumer le désir quand mon « nerf honteux » se mettait à phosphorer…
C’est un peu la « dictature du gland », en somme. Mais on vit très bien sous son joug !
 
Pour parler d’autres choses, sachez que les sexologues identifient deux types de désir : Le désir spontané, qui consiste à avoir envie de faire l’amour à l’improviste, et le désir réactif, qui se manifeste en réponse à des stimuli, comme le toucher.
Une psychologue bienfaitrice de l’humanité tente de normaliser le désir « non spontané ». Elle le compare au fait d’aller à la salle de sport quand on n’en a pas envie : « Vos endorphines commencent à circuler, vous vous sentez vraiment bien et, après coup, vous êtes content d’y être allé. »
Je ne peux pas approuver : Je ne vais jamais en salle de sport depuis mes années lycée.
Mais il est vrai qu’il est possible de faire l’amour sans désir spontané, à condition qu’il y ait volonté et consentement : Là, je peux en témoigner, mais il faut savoir « motiver » le partenaire désigné…
À la recherche d’une solution, de nombreuses personnes à ne s’adonner à ce genre d’activité que tard dans la nuit, lorsqu’elles sont fatiguées ou distraites ― et encore, si elles prennent le temps de le faire (ou imbibée).
Alors programmer une relation sexuelle pourrait favoriser leur désir, l’attente contribuant à amplifier l’excitation.
C’est possible.
Personnellement, je préfère l’improvisation de la pulsion du moment…
 
Autre idée reçue décourageante : « Les jeunes hommes pensent qu’ils ne devraient pas souffrir de troubles de l’érection, tandis que les hommes plus âgés sont convaincus que l’éjaculation précoce disparaît avec l’âge et l’expérience ».
Que nenni !
Les troubles de l’érection ― incapacité constante à obtenir ou à maintenir une érection ―, s’ils auraient tendance à augmenter avec l’âge, touchent tout de même 8 % des hommes dans leur vingtaine et 11 % dans leur trentaine.
Les pôv’…
20 % des hommes âgés de 18 à 59 ans déclarent souffrir d’éjaculation précoce.
Là, c’est kon…
Le spécialiste déplore que « nous en restions aux mythes selon lesquels les hommes souffrant d’éjaculation précoce sont mauvais au lit ou sexuellement égoïstes. »
De même, des études prouvent que beaucoup d’hommes s’inquiètent de la taille de leur pénis. Pourtant, du côté de la gent féminine, nombreuses sont celles qui assurent ne pas préférer un pénis particulièrement grand.
De toute façon, trop grand, elles en disent que ça fait mal.
Trop gros, ça ne les gêne pas.
Mais j’en connais une qui se plaignait des 5 centimètres de son mari (au maximum de ses efforts) : Dilatée par ses grossesses, elle ne sentait plus rien et s’en désolait…
 
II ― Autre information vitale (pour l’espèce homo sapiens-sapiens), tombée cette semaine : Les humains ne seraient pas au sommet de la chaîne alimentaire !
 
Pour la grande majorité des citadins, il reste très rare de croiser un ours ou un tigre. À part lors d’une visite au zoo local. Comme ils ne font pas partie de la vie quotidienne de nombreuses personnes, l’idée que ces animaux puissent être des prédateurs mangeurs d’hommes peut sembler difficile à imaginer, explique Discover Magazine.
 
Un anthropologue a qualifié d’« étrange prise de conscience » le fait que l’être humain ne se trouve pas toujours au sommet de la chaîne alimentaire, même s’il n’est pas souvent en position de proie.
Et des scientifiques ont utilisé des données mondiales pour analyser les habitudes de consommation de tous les êtres vivants.
Du coup, ils ont découvert que non seulement l’humain n’est pas le dernier maillon de la chaîne alimentaire, mais qu’il n’en est même pas très proche.
 
En général, les scientifiques utilisent cinq niveaux trophiques pour décrire la chaîne alimentaire : Les producteurs primaires sont les créatures vivantes qui produisent leur propre énergie et n’en consomment pas d’autres, comme les plantes ; les consommateurs primaires sont ceux qui mangent ces producteurs primaires ; les consommateurs secondaires sont généralement des carnivores et des omnivores ; les consommateurs tertiaires sont des carnivores qui s’attaquent à d’autres espèces carnivores ; et les consommateurs quaternaires, eux, sont les prédateurs suprêmes qui n’ont aucun prédateur dans leur habitat naturel.
Or, l’être humain n’appartient pas à cette dernière catégorie.
Nous sommes, en réalité, au même niveau trophique que les anchois et les cochons…
 
Les grands prédateurs n’existent pas dans de nombreux écosystèmes. Le sommet de la chaîne alimentaire est donc relatif à un écosystème spécifique.
Par exemple, le développement humain et l’agriculture ont perturbé certains écosystèmes. Dans les zones urbaines et suburbaines, le déplacement des principaux prédateurs a permis à d’autres animaux de s’emparer de la première place. Ainsi, les rapaces sont souvent les premiers prédateurs.
Même si l’humain n’est pas proche du sommet de la chaîne alimentaire, il a tendance à vivre dans des écosystèmes où les mangeurs d’hommes ne sont pas présents.
Probablement les effets d’un instinct de prudence plus développé…
Ainsi, vous aurez noté que le rugissement d’un lion reste redouté de toute la savane.
Or, le lion, qui n’a peur d’aucune autre espèce animal, redouterait la voix de l’homme : Plus que prudent.
Nous, quand on entend d’autres humains à proximité, on ne s’enfuit même pas : Pourtant, l’homme est un loup pour l’homme, c’est bien connu !
 
Bref, être jugé équivalent à un anchois (je n’aime pas les anchois et les anchoïades), je trouve ça assez drôle (tel que je partage volontiers l’information).
En revanche être assimilé à un cochon, vue la teneur de la première partie de ce billet, je ne peux pas le nier…
Presque un titre de gloire, finalement !
 
Bonne fin de week-end à toutes et tous !
Rappelez-vous, vous avez la chance de vivre une heure de plus (la seule fois de l’année) en ce jour de changement d’heure…
Profitez-en !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !