Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 30 septembre 2021

Ils ont voté ! (bis)

Pour « Yoda »…
 
… et ça change presque tout !
Car ainsi les choses se précisent.
Naturellement, il s’agit des primaires « écololos-bobos ».
Sans importance…
Croyez-vous ?
Vous vous rendez-compte, qu’à 2.000 voix près, ils nous auraient présenté une « écololo-radicale », proche d’une dictature verdoyante, autoproclamée « économiste-féministe », ce qui n’a qu’à lointain rapport avec les problèmes climatiques, sortie tout droit de son monde universitaire où l’on « théorise » à satiété sur le « monde d’après » tel que le voient les « déclinistes », loin, très loin des préoccupations de politiques quotidiennes, celles de tout un peuple !
On est bien à un tournant, là…
 
Qu’on fasse le point : « Yoda » s’est présenté comme un candidat écologiste « pragmatique » à l’élection présidentielle.
Pourquoi pas ? Lui est sorti de « ses bouquins » et assume déjà un mandat (européen) après avoir « tâté du terrain » en qualité de directeur des campagnes de « Greenpeace » durant des années.
Forcément, ça lui donne un peu poids en termes de « savoir-faire », lui l’agent salarié d’une organisation longtemps financée par des fonds opaques venus des « opposants systémiques » aux démocraties…
Quoiqu’il ait failli échouer à aller plus loin…
Et il n’est pas le seul à briguer le mandat dans un paysage pour le moins bigarré du paysage politique du pays.
 
C’est que les « choses bougent », notamment à coup d’enquêtes d’opinion publique.
On a déjà parlé de lui.
Toutefois, selon un récent sondage Odoxa-LCP-Public Sénat, le polémiste « Zézé-amour » suscite aujourd’hui un important rejet, y compris parmi les sympathisants de droâte alors que « Jupiter » reste très populaire à quelques mois de la présidentielle.
Le premier, en pleine tournée promotionnelle pour son livre, le chiffre risque de faire mal au polémiste et à sa possible candidature à la présidentielle : Il figure en effet en tête des personnalités politiques les plus exécrées des « Gauloisiens » : 59 % des personnes interrogées disent ainsi qu’il suscite un « rejet », suivi par « Floflo-Phiphi-lit-pot » (55 %), « Mes-Luches » (54 %) et « Marinella-tchi-tchi » (52 %) qui pointe depuis peu à 16 % des intentions de vote, en baisse réelle.
Ça en dit long pour la suite si par hasard l’un de ses personnages parvenait à se hisser au second tour de la présidentielle !
On vite « pour » au premier tour, mais invariablement « contre » au second.
Jusque-là, du « tout cuit » pour « Jupiter ».
 
Un classement qui ne doit tout de même pas faire oublier que le chroniqueur serait « une bombe médiatique », d’après le partenaire du sondage, Dentsu consulting.
L’ex-chroniqueur est la 2ème personnalité politique (après le président) à avoir le plus de visibilité et d’engagement sur Internet et les réseaux sociaux au cours des 30 derniers jours.
Si « Riton-Zézé-Amour » a bien « un public », « cela ne signifie pas pour autant que la France se serait ‘‘zemmourisé’’ ».
Faire du buzz, ce n’est pas emporter l’adhésion populaire….
 
Pour aller plus loin dans les résultats de cet intéressant sondage, notons que chez les sympathisants de droâte, avec 32 % d’adhésion, « Zézé-Amour » fait d’ailleurs nettement moins bien que « Michou-Barre-Niée » (46 %), « Paic-Tresse » (55 %) ou « Xav’-Berre-Trans » (60 %).
Quant à « Kung-Fu-Panda », il reste en tête des personnalités préférées parmi l’électorat de droâte avec 61 % d’opinions favorables malgré une baisse de 9 points.
Une nouvelle en demi-teinte donc pour « l’ex-Premier sinistre » qui lancera d’ailleurs la semaine prochaine son propre mouvement : Il devrait remonter dans l’estime des électeurs.
Autre enseignement de ce sondage, « Mes-Luches » (+ 11 points) et « Yoda » (+ 12 points) marquent des points auprès des sympathisants de gôche.
L’écolologiste est également largement préféré à sa concurrente (« Rousse-Eau ») avec 45 % de cote d’adhésion contre 31 % à sa rivale.
 
Enfin et accessoirement, les cotes de popularité de l’exécutif s’améliorent. « Jupiter » gagne 3 points et il est aujourd’hui soutenu par 42 % des sondés.
Même constat pour « Casse-tête » qui gagne 2 points pour monter à 40 % d'opinions favorables.
À sept mois de l’élection, « Jupiter » reste bien plus populaire que « Bling-bling » ou « Tagada-à-la-fraise-des-bois » à la même époque.
Autrement dit, c’est bien parti pour « Jupiter ».
Mieux que les deux « loosers » qui l’auront précédé à la fonction…
D’autant que les « Gauloisiens » le voient toujours réélu (à 61 %) alors qu’à 86 % ils ne voient pas poindre le nez de « Marinella-tchi-tchi » au second tour, mais à 62 % une tierce personne (hier, le 29 septembre).
 
Ce que dit en tout cas et en filigrane cette étude d’Odoxa, c’est que la « Zézé-Amourisation » de cette campagne et de nos dîners en ville est devenue folle !
En ayant étudié les conversations sur internet, au cours du dernier mois (avec Dentsu), Odoxa conclut que, mis à part « Jupiter » c’est « Zézé-Amour » qui fait l’objet de plus de mentions, vient-on de dire, positives comme négatives, au moins sur le net.
Ce dernier est 2,5 fois plus l’objet de discussions que « Mes-Luches » et 8 fois plus que « Xav’-Berre-Transe », par exemple.
Et ça c’est fou car avec 59 % de rejet, c’est la figure politique la plus impopulaire qui soit auprès de la population des électeurs.
Or, les intentions de vote pour le journaliste montent : Elles prennent environ 4 points en un mois (aux alentours de 13 % désormais) et sa détestation monte encore plus (+ 7 points de rejet depuis août).
Bref, au lieu de se désintéresser d’un candidat que nous rejetons, il nous fascine, il nous obsède.
Une bizarrerie sans conséquence ? Pas pour le principal intéressé qui a théorisé la chose : « Dans la présidentielle, celui qui impose sa question et a la réponse, est celui qui gagne ».
Pas bien sûr, mais nous verrons bien.
 
Pour en revenir au scrutin des 120.000 « écololos » inscrits et à jour de leurs cotisations et en faire un « mix » avec cette étude parue au même moment, il y a des choses qui sautent au visage.
Dans le vie politique « Gauloisienne », la colonne vertébrale reste l’élection présidentielle depuis novembre 1962, le jour où De Gaulle a réussi le « coup de force » de se faire réélire directement par le peuple et non par ses représentants élus comme il était prévu dans le texte original de 1958 de la Constitution quatre ans plus tôt.
Un court-circuitage magistral.
Et parfois on a vu un président parvenir à la magistrature suprême sans appui d’un parti politique « fort » voire majoritaire, parfois l’inverse.
Alors que le principe du parti reste l’autre colonne vertébrale des institutions politiques qui conditionne notamment l’agrégation d’une « majorité » parlementaire devant laquelle un gouvernement demeure responsable pour rendre des comptes à la Nation.
Là où le Président reste « irresponsable », même d’un point de vue pénal.
Un citoyen différent, exceptionnel au regard de nos institutions.
En bref, il est au sommet de la pyramide, hors du temps et des contingences du peuple et de ses élus.
 
Or, « Jupiter » vient du « moule » de « l’énârchie ». Il est passé par la haute finance pour en goûter tous les poisons et les puissants leviers des gens qui jouent au Monopoly avec de l’argent qui ne leur appartient pas.
Il est entré « en politique » par la voie de « gôche » représentée par « Tagada-à-la-fraise-des-bois ».
Il a été élu par défaut contre « Marinella-tchi-tchi » en piquant sa place à « Bébé-Roux » qui a toujours dit que le pays se gouvernait « au centre ».
Ce qui n’est pas faux même s’il n’en a jamais tiré profit.
Enfin pas encore, car il finira bien « premier-sinistre » de « Jupiter » si celui-ci est réélu.
Ou alors, ou alors…
 
« Jupiter » aura phagocyté la « Gôche-soce ». Il faut dire qu’elle allait au suicide toute seule en présentant un candidat de rupture, « Deux-Noix-Âme-mont » en 2017, lui-même « radicalisé » tout seul dans son coin.
Et aura gouverné avec les barons de la « droâte républicaine » qui n’ont pas hésité à aller au charbon, parce que « sinistre de la République », ça fait bien sur un curriculum-vitæ.
Et que les occasions ne sont pas nombreuses dans une seule vie : Il faut savoir saisir les opportunités quand elles se présentent, tiens donc !
En bref, il aura totalement ringardisé la bipolarisation « droâte/gôche » d’antan.
Parce qu’en plus, sans parti au départ, il réussit à s’en faire un « à la botte » réunissant tous les amateurs qui « en voulaient », notamment avec son ouverture à « la société civile », ses postulants à la députation.
C’est plus facile à « faire rentrer dans le rang » que des égos survoltés qui ont déjà un parcours, surtout quand tu leur fais signer un engagement de « soutien sans faille » avant de les introniser.
Bon, c’était « hasardeux », mais ça aura fonctionné.
Une fois.
La prochaine fois, ce sera nettement plus compliqué…
 
Et sur sa lancée, il lui aura fallu « ringardiser » les « extrêmes ».
Contre sa concurrente de 2017, même si les deux finalistes se préparent ardemment à rejouer cette phase-là cinq ans plus tard, la bonne idée aura été de tirer le « Scud » « Zézé-Amour ».
Ne rêvez pas, les « Amis de Zézé-Amour », ce ne sont pas tous des « fans xénophobes et islambophobes » : Ils sont manifestement en « mission commandée », téléguidée, pour le financer, lui trouver un QG dans le « triangle d’or » de la kapitale (pas le moins cher…) et lui ouvrir les portes de la plupart des médias aux mains des « amis » milliardaires de « Jupiter ».
Là, vous devriez déjà comprendre que tout cela reste très artificiel.
 
Quant à « ringardiser », le « P.Soce », s’est fait depuis belle lurette.
Il y a bien l’autre gôche, PCF et « Mes-Luches », mais aucun des deux n’est vraiment un « bizut », loin de là : Ils font déjà « Monde de la Guerre-froide » alors que celle-ci est terminée depuis 40 ans.
Ils se suffisent à eux-mêmes pour se décrédibiliser…
Reste la « nouvelle-gôche » à travers les « écololos-bobos » qui font le buzz depuis les grandes-villes alors que paradoxalement ils n’ont jamais été représentatifs dans les « verts-bocages » de nos campagnes, bois et guérets qu’ils sont censés « préserver » du « Das Groβ-Kapital » pour le plus grand bonheur de la planète.
 
Là encore, l’histoire du mouvement « écololo-bobo » est assez extraordinaire pour être né à l’occasion de la présidentielle de 1974.
Mouvement « baba-cool », il aura recruté dans les « ex-jeunes générations » de filles et fils de bourgeois citadins, pour ensuite être relayés par des personnalités de « centre-droât » et finir dans les bras d’enragés anti-nucléaires, venus de chez les « Soces » (pronucléaires), dont le parti ne peut pas se passer après lui avoir fait la courte échelle !
Alors pourquoi le « radicaliser » encore un peu plus ?
 
Ça aurait ouvert une route nationale pour les candidats « LRD » et « Soces », quels qu’ils soient et une autoroute pour les deux « ex-finalistes » de 2017.
Avec en plus, cerise sur le gâteau, quelques cailloux dans les chaussures de « Marinella-tchi-tchi » qui ne sait toujours pas comment réagir face à « Zézé-Amour », qui lui pique pourtant des voix et lui met des bâtons dans ses roues telle que si elle passe l’épreuve du premier tour, elle en ressortira forcément affaiblie !
Pari audacieux, en ce qui la concerne, puisque les « voix » de « Zézé-Amour » peut être un réservoir de bulletins pour celle-ci.
En fait tout dépendra du niveau d’abstention : Pas assez d’électeurs, et elle s’effondrera sur son socle de fidèles… à son père.
Plus d’électeurs et la compétition favorisera le sortant : C’est perdant à tous les coups !
 
Mais alors le coup de faire élire « une radicale » conduisant les « écololo-bobos », c’était certain que la « gôche-soce » et même « Mes-Luches » auraient été passés par « pertes et profits ».
Quant à elle, elle rentrait dans les poubelles de l’Histoire un peu plus tard qu’aujourd’hui.
En revanche, « Yoda » peut encore plus laminer la « Gôche-soce » et « Mes-Luches » tout comme le PCF dans le même mouvement, qui ne seront que l’ombre d’eux-mêmes au soir du premier tour.
Comme quoi, finalement, pour 2.000 voix aux « primaires » « écololo-bobo », c’est bien un tournant dans la campagne qui démarre enfin.
« Les plans » sont prêts : Il suffira des les adapter à la marge !
Comme vous allez le voir dans les semaines qui viennent…

mercredi 29 septembre 2021

Ne rigolez pas trop vite…

Tout le monde en parle : Brexit et « Conard-virus » !
 
« BoJo » fait face aux conséquences de son impréparation, à savoir une série de pénuries qui s’aggravent…
Des pompes à essence sont indisponibles, et pourtant ce n’est pas le carburant qui manque.
En revanche, la pénurie de chauffeurs de poids lourd est en train de provoquer un véritable chaos au Royaume-Uni : Les rayons se vident et ils vont manquer de PQ et de tout le reste. On annonce que Nike ne pourra pas livrer, les pubs ne peuvent même plus se faire livrer la Guinness brassée à Dublin (c’était anticipé) et demain on manquera de « fish & chips » jusque dans les rues de Londres.
Merry Christmas !
 
Situation qui provoque des « achats-paniques » qui accentuent eux-mêmes encore plus « l’effet pénuries »…
Il semble qu’un cocktail hétéroclite de raisons en est à l’origine, conduisant « BoJo » à prendre des mesures d’urgence pour y faire face, à quelques semaines de la préparation des fêtes de fin d’année, où il va manquer de tout !
Si les « nains de jardins » bloqués dans le Canal de Suez ont bien été débarqués à Rotterdam, on manque de puces électroniques, comme partout, ce qui conditionne le rythme de bien des industries de biens durables. La Chine est tellement en surchauffe que les coupures de courant électrique quotidiennes plombent l’activité tel qu’il a fallu rendre illégales toutes les transactions de crypto-monnaies, grosses gourmandes d’électrons.
Mais pire que tout, les jouets des gamins pour Noël ne passent pas la Manche, faute de chauffeur routier !
Elle n’est pas magnifique, la vie : « BoJo » aurait eu raison avant tout le monde d’interdire les véhicules à moteur thermique plus rapidement que par ailleurs ?
Bref, c’est le boxon.
Ils vont même manquer de papier hygiénique, la faute au prix de la pâte à papier dont les prix flambent pour cause de renchérissement de l’énergie…
« Le grand désordre » est en marche, quoi…
 
« Désolé, hors service », c’est la pancarte qui aura été apposée sur bon nombre de pompes à essence ces derniers jours outre-Manche, essentiellement à Londres et dans sa région.
Le groupe BP, qui compte 1.200 stations dans le pays, a annoncé jeudi qu’il avait dû en fermer « une poignée » mais des dizaines d’autres sont en rupture de stock de certains carburants, faute de poids lourd pour les livrer.
La tension est si forte dans certains endroits que des ambulanciers ont peiné à faire le plein ces derniers jours et qu’ailleurs, ils en perdent leur flegme légendaire à en venir aux mains…
C’est ce qu’on nous rapporte actuellement.
 
Des restaurants et des supermarchés peinent aussi à s’approvisionner en certains produits, pour cette même raison de pénurie de transporteurs. Souvent, un plat est rayé de la carte et un ou plusieurs rayons sont vides.
À quelques semaines des achats de Noël, le mastodonte de la distribution Tesco (près de 4.000 magasins au Royaume-Uni) a mis en garde sur l’éventualité que certains produits soient introuvables alimentant encore un peu plus la « peur du manque ».
Et du personnel manque aussi dans l’industrie, notamment dans la filière de l’élevage… de chicken.
Ça aime bien les viandes fades, les « Rosbifs »…
 
La faille ne vient donc pas forcément de la production des biens, mais plutôt de la main-d’œuvre pour les acheminer et les distribuer (100.000 routiers manqueraient).
Ils sont passés où au juste ?
Deux facteurs principaux sont mis en avant pour expliquer ce délire : Le Brexit et la crise sanitaire.
La sortie effective du Royaume-Uni de la zone euro, le 1er janvier dernier, interdit à un Européen d’aller travailler outre-Manche sans permis de travail. De quoi en décourager plus d’un. Dans le même temps, la pandémie de « Conard-virus » et les confinements successifs qu’elle a imposés ont incité beaucoup de travailleurs étrangers à rentrer dans leur pays d’origine, tandis que les examens pour passer le permis de conduire ont été suspendus (distanciation sociale obligeait).
Faut-il être kon…
 
« Objectivement, même si la crise sanitaire a pu ralentir l’activité, la principale cause de cette situation aujourd’hui est le Brexit et la volonté de ne plus miser sur les travailleurs étrangers en ne leur donnant plus de titres de séjour, même s’ils viennent de l’Union européenne. Et ça coûte de plus en plus cher d’aller au Royaume-Uni, avec les frais de contrôle et de douane », estime un spécialiste des questions européennes. « Le Royaume-Uni est en train de vivre très violemment les conséquences du Brexit », a tonné, très sérieusement, « Titi-Breux-Thon », commissaire européen au Marché intérieur en exercice.
Il n’y a « pas de pénurie de carburant » et les gens devraient être « raisonnables » et ne faire le plein que lorsqu’ils en ont besoin, éviter de faire des stocks, a intimé le secrétaire d’État aux Transports. Mais il a accusé un syndicat de transporteurs d’avoir « contribué à déclencher la crise ».
Il faut bien un bouc-émissaire, n’est-ce pas ?
 
Du coup, le « Brexit » reçoit son premier coup de canif avec la délivrance en urgence de 10.500 visas provisoires jusqu’en décembre… pour répondre à la pénurie de main-d’œuvre, dans le transport mais aussi, comme je viens de le dire, dans des secteurs clés de l’économie comme les élevages de volailles !
Et ce, à l’encontre de la volonté du peuple du Royaume-Uni de ne plus dépendre de la main-d’œuvre étrangère : « Ils tirent le constat d’un échec face à une situation d’urgence mais ça ne remettra pas forcément en cause leur politique migratoire sur la durée », analyse-t-on.
Forcément : Ça ne va pas durer éternellement non plus !
Ou alors…
Des militaires dépendant du ministère de la Défense vont participer à la formation express de plusieurs milliers de chauffeurs (jusqu’à 4.000) à la conduite de poids lourds afin de gagner en efficacité, tandis que les routiers retraités seront incités par courrier à reprendre le travail.
En revanche, même si certains le demandent, l’armée ne sera probablement pas déployée en tant que telle pour compenser le manque de chauffeurs.
Les deux tiers des Britanniques - et même plus d’un électeur conservateur sur deux - estiment que le chef de gouvernement a mal géré la crise et qu’il en est en partie responsable, selon un sondage.
Ce qui est plus qu’évident, vue la façon dont il a fallu arracher un accord de divorce avec « Théière-May » puis « BoJo », à savoir dans la plus grande improvisation.
Accord qui n’est toujours pas appliqué pour la frontière irlandaise, tellement c’est mal fagoté.
36 % des sondés jugent que le Brexit est la cause principale de cette situation.
Non, « l’amateurisme » du gouvernement, bien plus réellement, qui n’a rien anticipé du tout !
 
Ces mesures d’urgence suffiront-elles ? Pas si sûr.
Il faudra « beaucoup plus » de dispositions pour résoudre la crise, a estimé le président de l’Association européenne des transporteurs routiers, qui représente plus de 200.000 entreprises en Europe. « Fin septembre, quand on se rendra compte de l’importance des travailleurs intérimaires pour faire face à la ruée de Noël, il n’y en aura pas assez », a estimé le directeur général de la Food and Drink Federation, l’organisation professionnelle des industries de l’alimentaire.
 
Le Royaume-Uni a tout de même demandé à son armée d’être prête à venir en aide dans la crise des carburants pour rassurer des Britanniques inquiets. « Un nombre limité de chauffeurs de camions-citernes militaires doivent être prêts à intervenir et déployés si nécessaires pour stabiliser l’approvisionnement en carburant », a déclaré le ministère de l’Energie.
Pourtant les organisations médicales sonnent l’alarme sur les difficultés des soignants à se déplacer pour aller voir leurs patients et certaines écoles envisagent même de repasser en enseignement « à distance » si le problème persistait.
Selon la PRA, l’une des associations de distributeurs de carburants, jusqu’aux deux-tiers de ses membres (5.500 sites indépendants sur un total de 8.000 stations dans le pays), étaient à court de carburant dimanche dernier, « les autres presque à sec ».
Et ce n’est que pour les carburants, mais il faut compter avec tous les clients qui se font livrer par la route, jusqu’au dernier kilomètre…
Lassociation dit sattendre à « un possible relâchement de la demande et une normalisation des stocks dans les jours à venir ».
Et avant-hier les représentants du secteur ont de nouveau voulu rassurer en affirmant qu’il y a « plein de carburant dans les raffineries britanniques ».
Mais pas dans les pompes…
Que certains en disent qu’il faudra « du temps au secteur pour renforcer les livraisons et reconstituer les stocks ».
À tous les secteurs d’activité qui ont besoin de marchandise.
 
Une situation qui rappelle des rationnements d’essence pendant la crise énergétique des années 70, ou encore celle d’un blocage des raffineries qui avait paralysé l’activité du pays pendant des semaines durant au début des années 2000.
Car la crise touche aussi les rayons des supermarchés, les fast-foods, les pubs, les marchands de vélos, entre autres, qui déplorent des retards de livraisons et stocks épuisés sur certains produits.
Naturellement, le gouvernement nie l’impact du « Brexit » dans la crise actuelle, affirmant que les pays européens aussi font face à des pénuries de chauffeurs (ce qui est vrai), même si la fédération britannique du transport routier en fait l’une des causes principales du problème.
Notez, on l’avait dit, mais on avait surtout pointé le problème du transit transmanche des marchandises.
 
En effet, l’UK n’est pas le seul à manquer sévèrement d’effectifs dans le secteur des transports. En « Gauloisie-routière », il manquerait entre 40.000 et 50.000 personnes, tous personnels confondus, selon la Fédération nationale des transports routiers (FNTR). « Nous avons une situation de pénurie en France non seulement de conducteurs routiers, mais de personnels en général, cariste, opérateur logistique, mais ça n’atteint pas la gravité de ce qui se passe au Royaume-Uni », a expliqué la déléguée générale de la FNTR.
Selon elle, la crise des vocations avait démarré avant la crise sanitaire, et la reprise d’activité est freinée par un vieillissement des effectifs actuellement en poste : « La formation, contrairement à ce qu’on pense, est assez pointue dans le secteur du transport routier. Pour être conducteur routier aujourd’hui, il ne suffit pas d’avoir le permis poids lourds. Il y a des formations initiales qui sont des formations continues, tous les cinq ans ».
Et il faut rester à jeun et en bonne santé… comme chez les pilotes de lignes (qui continuent à sucer des cailloux pour se nourrir).
 
La question des salaires est également capitale, comme d’autres secteurs frappés de pénurie de main-d’œuvre, à l’image de la restauration. « C’est une question qui est mise souvent en avant par les organisations syndicales (…), mais la question des salaires se pose aussi dans les pays de l’Est, comme en Pologne ou en Roumanie, où ils ont des salaires très inférieurs aux nôtres ».
« C’est peut-être la haute mobilité de ces activités qui peut peut-être effrayer certains candidats à nos emplois. Souvent, les gens ne voient que les départs toute la semaine, etc. Pourtant, il y a des activités où on ne se déplace pas comme dans la logistique. On travaille dans des entrepôts. Il y a des activités où on part le matin et on revient le soir, on a toute la livraison urbaine. Donc il y a une très grande diversité d’offres d'emploi qui peut répondre aux attentes des personnes en demande », précise-t-elle à juste titre.
C’est que la règle générale veut que « pas de marchandise (livrée) = pas de business ».
Mauvais pour « la reprise ».
Et accessoirement pour l’inflation… des coûts et des marges, donc des prix à la consommation…
 
Personnellement, je vous rassure : Ce délire ne va durer qu’un temps. Tout le monde serait perdant à ne pas assurer la logistique de Noël.
Même les chinois…
En revanche, pour le PQ et pour votre porte-monnaie, les choses ne vont pas vraiment s’arranger.
Mais ce n’est pas dû ni au « Brexit » ni au « Conard-virus ».
C’est le fait de « réarrangements » propres à chaque sortie de crise.
En fait le manque de visibilité des opérateurs se traduit par un manque d’anticipation.
Des acteurs économiques tout autant que des décideurs politiques.
Partout et en tout temps.
C’est comme ça.
Et il n’y a pas lieu de s’en réjouir : Le « monde d’avant » est définitivement derrière nous. Il faudra s’en faire une raison et persister à bâtir un « monde d’après » meilleur et plus résistant aux aléas.

mardi 28 septembre 2021

Ils ont voté.

C’était dimanche dernier.
 
San Marin vote pour la légalisation de l’IVG… si, si !
Les Helvètes ont voté pour le « mariage pour tous »… si, si !
« Ségololo » s’est pris un coup de pied au kul de plus… si, si !
L’Islande n’aura pas de majorité de femme dans son Althing … mais si !
Dommage, ils auraient pu rejoindre le club très fermé des représentations populaires féminisées majoritaires avec la Bolivie, le Rwanda et… Cuba.
Et « En-Gèle-la-Mère-Quelle » reste chancelière pour encore de longues semaines… mais si !
Au moins jusqu’aux alentours de Noël.
Mais ça pourrait se prolonger, le temps de former une coalition « stable ».
 
Nous n’avions pas encore le taux de participation jusqu’à hier, mais le SPD fait 25,7 %, le CDU/CSU 24,1 % (environ 800.000 voix d’écart), les « écololos-teutons », 14,8 % alors qu’ils étaient attendus autour de 20/25 % en début de campagne.
Le FDP : 11,5 %, l’AFD : 10,3 %, leur « Gôche extrémiste », Linke : 4,9 %
Donc et conséquemment, c’est une belle « remontada » pour les sociaux-démocrates (+ 5,2 % en 2017), une claque pour le CDU/CSU (- 8,9 %), une déception pour les Verts malgré une progression de 5,8 %, un bon score des libéraux du FDP qui se maintiennent et une bonne nouvelle : Les extrêmes sont contenus, avec « l’extrême droâte » qui polluait la vie politique du pays en baisse de 2,3 % et « l’extrême gôche » en baisse de 4,3 %.
 
En « Teutonnie », on ne confie pas systématiquement au parti qui a le plus de voix la formation du gouvernement. Le SPD et le CDU se sont donc déclarés prêts à former un gouvernement et vu l’éparpillement des votations, pour la première fois depuis longtemps, on devrait donc avoir une coalition à trois partis.
Tout va dépendre du choix du FDP et des Verts.
Donc trois coalitions possibles : La coalition dite des « feux de circulation » : Le SPD (rouge), les Verts (vert…), et le FDP (jaune).
Ou la coalition dite « Jamaïque » : CDU (Noir), les Verts (vert…), et le FDP (jaune).
Voire un remake peu probable de la « grande coalition », SPD et CDU.
 
On aura donc forcément une politique « Teutonne » qui donnera la priorité à la transition écologique (vont-ils fermer leurs centrales au charbon au profit du gaz russe ?) et qui devrait mener une politique économique équilibrée entre l’orthodoxie financière et des dépenses publiques larges.
Un statu quo probable alors que les deux principaux partis ont d’ores et déjà déclaré qu’ils souhaitaient rester dans les traces de « Mutti ».
Pourquoi pas ?
 
Le social-démocrate Olaf Scholz semble être en pole position pour enfiler le tailleur de « Mutti » qui part à la retraite : Elle va lire.
Dommage : Il a une sale gueule avec un comédon monstrueux sur le visage.
Notes que ça ne vaut pas mieux que « nos barbus », dont « Kung-Fu-Panda » en premier, « Castagneur » ensuite et depuis peu « Blanquier », le « sinistre de l’instruction publique ».
Qu’est-ce qu’ils ont tous à se laisser pousser le « panier à puce » ?
Le « teuton », au moins, il peut éventuellement se le faire retirer… Eux ne semblent pas pressés de passer chez le barbier…
Enfin peu importe.
Il y a plus important : Les négociations post-électorales peuvent prendre des mois en « Teutonnie », avec le risque d’entraîner une paralysie européenne jusqu’au premier trimestre 2022.
Voire au-delà.
L’occasion de tous les coups tordus en préparation.
C’est aussi, pour « Jupiter », une période qui débouchera sur le prochain scrutin présidentiel (et le législatif à suivre).
Or, il sera dans le vif du sujet de la campagne électorale de 2022 alors même qu’il présidera l’UE et découvrira les « impératifs » de la nouvelle coalition « Teutonne ».
Inutile de dire qu’on va le voir s’agiter dans tous les sens, menton tendu vers chacun, « en ses grades et fonctions » !
D’autant que les capitales européennes redoutent le retour au pouvoir des libéraux du FDP : Leur leader réclamera sans doute le poste stratégique des Finances. Or, ce parti devenu « euro-réticent », pour ne pas dire eurosceptique, est partisan d’une stricte orthodoxie budgétaire, allergique à toute mutualisation des dettes et hostile à tout « protectionnisme européen ».
 
Donc plus de femme à la tête de la « Teutonnie ». Mais tout autant à Reykjavik : La victime principale de leurs élections est la « Première sinistre » Katrin Jakobsdottir, dont le parti de « gôche-écolologiste » a perdu trois sièges et est passé avec 12,6 % des voix derrière ses deux actuels alliés de droâte.
Le grand vainqueur est le parti du Progrès (centre-droât), qui emporte 13 sièges, cinq de plus que lors des dernières élections de 2017, avec 17,3 % des voix.
La liesse régnait samedi soir au QG du parti « de retour au premier plan de la scène politique », a lancé sous les vivas son dirigeant Sigurdur Ingi Johannsson, qui se retrouve en position de « Premier sinistrable ».
Mais le parti conservateur de « l’ex-Premier Sinistre » Bjarni Benediktsson est resté le premier parti d’Islande avec 24,4 % des voix, gardant ainsi son contingent de 16 sièges quand les sondages lui prédisaient un recul.
Avec un total de 37 sièges, les trois partis alliés confortent donc au total leur majorité, mais la droâte icelandaise se retrouve en position de force avec l’option de se trouver un autre troisième partenaire plus proche idéologiquement, par exemple le parti centriste de la Réforme (cinq sièges) ou du Centre (trois députés) voire le Parti du peuple (six sièges).
Même s’il n’est pas certain que les trois partis continuent à gouverner ensemble et que les tractations sont traditionnellement également longues.
Toutefois l’Islande s’éloigne d’un scénario de blocage politique que laissaient redouter les sondages : Jamais depuis la faillite spectaculaire des banques islandaises en 2008 et la grave crise qui s’en était suivie, un gouvernement islandais sortant n’avait conservé sa majorité.
Il faut remonter à 2003 pour trouver un précédent.
 
Des discussions doivent avoir lieu entre les trois chefs de partis, et la question du futur locataire de Stjornarradid, la modeste maison blanche posé sur un « monticule » où siègent les chefs de gouvernement islandais, se posera nécessairement, selon les analystes. « Vu le recul que nous observons, les Gauche-Verts pourraient devoir réévaluer leur position au sein du gouvernement », souligne une professeur.e de sciences politiques à l’Université d’Islande.
Depuis 2017, la « Première sinistre » a rendu les impôts plus progressifs, investi dans le logement social et étendu le congé parental. Sa gestion du Covid - 33 morts seulement - a été saluée.
Mais cette rare écolologiste de gôche au pouvoir a aussi dû faire des renoncements pour sauvegarder sa coalition, comme sa promesse de créer un parc national dans le centre du pays.
 
Notez donc seulement qu’en « Teutonnie » comme chez les Islandais, l’écolologie politique recule…
J’attends avec une certaine impatience que les nôtres se décident à terminer de voter pour savoir à quelle sauce ils veulent peser sur nos présidentielles.
S’ils sortent de leur chapeau « Miss Rousse-eaux », ils auront du bol de faire mieux qu’« Éva Jolie ».
Si c’est « Joda », ça serait plus réaliste pour mieux peser, car lui se débrouillera pour envoyer quelques députés supplémentaires au « troisième tour ».
 
Par la même occasion, on aura appris que chez nos « LRD », ils désigneront leur champion à l’occasion d’une consultation des militants, renonçant aux primaires ouvertes.
Une bonne chose de se retrouver « en famille ».
Sauf que ça fera probablement les bonnes affaires de « Xav’-Berre-Trans », ce qui n’est pas franchement une bonne chose pour le pays.
Un mek qui s’en va, qui revient sans revenir et qui veut se faire couronner roy par des militants qui ne sont pas les siens (stratégie du coucou), ce n’est pas un gars « fiable ».
Juste un opportuniste.
Au moins, « Bling-bling », il a fait le ménage avant en virant « Pasquale » puis « Sait-gain » pour faire main-basse sur le parti après sa traversée du désert et sa mise en orbite présidentielle.
Et puis ça aura dérapé sévèrement, mettant sur le flanc le pays et même jusqu’à encourager l’agonie le parti dont il se réclamait en bon autocrate qu’il était…
Parti qui aura été assommé par « Fifi-le-souteneur »…
Toute une histoire fort rigolote, en fait.
 
Le plus drôle du week-end ça restera « Ségololo » qui fustigeait « la stratégie de division » du « P.Soce ».
Elle parle de quoi, la « bravitude », là ?
Le « P.Soce », ça n’existe plus : Ils ont déjà tous éparpillés.
Et puis c’est elle qui a fait bande à part alors que ce qui reste du « P.Soc » en avait investi un autre. Plusieurs, d’ailleurs…
Et elle a fait part de sa « déception », mais a dit ne pas regretter d’avoir pris part à « une campagne importante » qui lui a permis de « prendre la mesure de la dégradation de l’image de la France à l’international ».
S’il n’y avait que son image…
« Quand la gauche est divisée, elle perd. Le Parti socialiste avait décidé de mettre un candidat contre moi, il y avait une autre candidate, ça faisait quatre listes de gauche. Les électeurs sanctionnent la division. Je crois que c’est une leçon à tirer ».
Personnellement, ça me convient très bien…
On appelle ça le « vote utile ».
Surtout quand il n’y a qu’un seul tour, ce qui n’est jamais gagné.
 
Bref, un week-end qui change un peu, même si je n’en reviens toujours pas du buzz médiatique que peut faire « Zézé-Amour ».
Le mek, il n’a rien pour lui, pas même une esquisse de programme ou une « bonne gueule », mais il est partout !
Et pas forcément pour lui tirer dans les pattes.
Vous savez quoi, ça me rappelle la mise en orbite de « Jupiter », il n’y a pas cinq de ça : Tous les médias, y compris sur Internet, s’étaient mis à causer de ce parfait inconnu avant qu’il n’entre au gouvernement de « Menuet-Valse » qui n’aura rien vu, pour un passage éphémère au « ministère du chiffre ».
Tous les médias, c’est-à-dire toutes les loges de « trois-points » du pays avait participé à son apologie.
Et ça avait drôlement bien marché.
Avant justement les « primaires de drôate et du centre », le moment où les mêmes ont « planté » « Fifi-le-souteneur ».
Et ça aura été radical… Pour un affrontement au second tour avec « Marinella-tchi-tchi » qui ne pouvait être que lamentable.
Sont-ils en train de nous refaire le même coup ?
 
Certainement, mais avec des variantes : On monte « Zézé-Amour » comme une crème fouettée pour qu’il disqualifie l’extrême-droâte elle-même éparpillée avec « Dupont-Gnan-gnan » et quelques officines, et il va être lynché dans la dernière ligne droite, surtout s’il disqualifie « Marinella-tchi-tchi ».
Même si ça, je n’y crois pas vraiment : Les « IA » aux services des sondeurs prédisent un réélection triomphale pour « Jupiter » et pour l’instant un second tour où elle serait absente…
Peut-être un rêve de « machine ».
Pour l’heure, les mêmes algorithmes avaient prévu la victoire du SPD sur le CDU/CSU. Ils ne se sont pas trompés.
Et prédisent toujours une coalition « feux tricolores ».
 
Par conséquent : À suivre !