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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 31 mai 2022

La fin des illusions qui berçaient l’Occident

Il faut bien reconnaître des mérites à « Poux-tine »
 
L’invasion décidée par celui-ci pour accéder au fleuve, hélas situé en Ukraine, qui alimente en eau potable la péninsule de Crimée et qui aura été fermé impunément après l’invasion de la Crimée, a au moins mis fin aux certitudes d’un continent persuadé d’avoir aboli la guerre depuis celle de Bosnie-Herzégovine sur ses territoires.
Et aura jeté deux pays « neutres » à ses frontières, la Suède et la Finlande, dans les bras de l’OTAN qui se renforce par conséquent en mer Baltique.
Ça ne change peut-être pas grand-chose ― tant que l’Helvétie n’y adhère pas ― mais l’exigence russe de faire reculer l’alliance (« sinon je vais me fâcher ») aura été un échec total !
Reste à en tirer les bonnes leçons.
 
L’Occident n’aime pas les guerres et il n’aime surtout pas les guerres longues…
Il l’a montré encore au Sahel, avant en Afghanistan, en Irak, au Vietnam, en Corée…
Et c’est peut-être bien là-dessus que « Poux-tine » compte pour sauver la face et renverser une situation qui semble compromise, à savoir sa conviction qu’au final, les États-Unis et leurs alliés européens se lasseront, que les cycles électoraux, l’inflation et la crise du pouvoir d’achat l’emporteront sur les images des villes dévastées, des morts et des viols.
Peut-être : L’avenir nous le dira.
Car cette guerre violente, répétitive, ce conflit de haute intensité sur un continent qui pensait avoir aboli la guerre, n’est pas une fin mais plus sûrement un commencement.
« Boubouche », « Haut-bas-Mât », « Gordon-Brun », « Camé-Rhône », « Théière-Mais », « Bling-bling », « Tagada-à-la-fraise-des-bois » et « Mère-Quelle » portent en réalité une lourde responsabilité devant l’histoire : Du fait de leur lecture erronée de la situation russe, de la réduction sans précédent de leurs dépenses militaires en Europe et de la poursuite d’une politique d’apaisement inconditionnelle du Kremlin, ils ont en réalité probablement conduit à la situation actuelle !
 
L’autre réalité, c’est que l’Europe l’aura échappé belle. L’hubris de « Poux-tine » l’a poussé à commettre une énorme erreur d’appréciation, car l’Ukraine était probablement le pays le mieux armé pour contenir les Russes : 200.000 soldats, qui connaissent l’ennemi mieux que quiconque, aguerris par huit ans de conflit au Donbass, bénéficiant d’années de formation par les personnels de l’OTAN et jouissant d’un commandement moderne, de matériels adaptés au conflit et au terrain, de tactiques qui ont fait leurs preuves sur le théâtre intégré et multidimensionnel, mobilité, subsidiarité et renseignement en temps réel, grâce aux Américains, manifestement soit il s’est trompé, persuadé qu’un « petit contingent » serait suffisant, soit il vise à détruire l’appareil productif de l’Ukraine qui lui faisait de l’ombre.
En fait, nous avons vu hier qu’il cherchait de l’eau pour « sa » Crimée.
Il y a une petite décennie, ma « pote » ukrainienne m’en avait averti.
 
Car imaginons maintenant un instant que les Russes aient décidé d’annexer les pays Baltes, la Géorgie ou la Moldavie. Ces pays seraient tombés en quelques jours.
L’OTAN aurait-il risqué une guerre de grande ampleur avec une puissance nucléaire pour sauver l’Estonie ?
J’en doute…
L’énorme faute d’appréciation de « Poux-tine » a au contraire offert non seulement à l’Ouest l’opportunité de réarmer, mais aussi celle de reconstruire une alliance devenue obsolète, cérébralement morte d’après « Jupiter » qui mange son chapeau, visière inclue.
En plus que d’affaiblir la puissance militaire russe, l’économie de tout un pays avec de probables répercussions au plan de la politique intérieure, c’est ce qu’il aura généré pour un peu d’eau…
 
Cependant, en voulant à tout prix « moraliser » la guerre, l’Occident s’est lancé sur un chemin sans issue. Surtout que cette moralisation est à géométrie variable : On s’indigne des crimes de guerre tout en se félicitant des 15.000 à 20.000 Russes tombés en moins de trois mois.
Or, la réalité est simple, cette guerre représente une opportunité unique d’affaiblir la Russie durablement : Pertes énormes en matériels – un hélicoptère d’attaque russe MI-28 coûte 12 millions de dollars (11,3 millions d'euros) et les Ukrainiens en ont déjà détruit plus d’une centaine, un char T-14 vaut 7 millions de dollars, et l’armée russe en a déjà perdu 650 –, en hommes, impact durable sur le moral, sur la structure de commandement (déjà douze généraux russes abattus), la perte de plusieurs navires, dont son vaisseau amiral de la flotte de la mer Noire et, naturellement, la chute du rouble devenue monnaie-paria, le risque d’écroulement économique, la sortie progressive et désormais durable de la dépendance énergétique russe, etc.
 
Offrir une porte de sortie à « Poux-tine » aujourd’hui serait par conséquent contre-productif : Il tirerait les enseignements de son erreur et se lancerait dès l’année prochaine dans une nouvelle aventure guerrière, cette fois-ci avec la bonne cible et la bonne stratégie.
C’est pourquoi le processus de paix va demander des mois et des mois : Plus les Ukrainiens tombent, plus la Russie s’affaiblit !
Car l’enlisement pendant des mois ou des années donnerait le temps aux armées européennes de réparer le mal causé par la négligence coupable, militaire et diplomatique, de leurs gouvernements depuis vingt ans.
 
De plus, le système financier international est contrôlé par l’Occident, ce qui explique un alignement partiel de nombreux pays sur la condamnation à l’encontre de la Russie.
Mais la Chine, l’Inde, l’Arabie saoudite et beaucoup d’autres se refusent à prendre parti pour l’Ouest, justement pour sortir de cette domination du dollar.
L’isolement de la Russie pourrait n’être qu’un leurre.
Quant aux populations civiles en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie, selon les sondages disponibles, elles sont très partagées sur le conflit.
Si les images de la guerre ne suscitent pas l’admiration pour la Russie, « l’acharnement » de l’Ouest contre Moscou rappelle trop la domination économique et culturelle endurée depuis des décennies et évoque plutôt l’apitoiement sélectif en fonction de la nationalité, de la religion ou de la couleur de la peau.
 
Il est possible que tant que l’Occident n’aura pas pris conscience de son isolement idéologique croissant dans un monde complexe et divers, la Russie, la Chine, la Turquie et tous les pays autoritaires continueront à redéfinir le futur ordre mondial.
Depuis le début du conflit, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis (EAU) refusent de prendre parti.
Les interprétations varient : Augmentation bienvenue des prix du pétrole, volonté de réduire la dépendance vis-à-vis des États-Unis, rôle de la Russie, nouveau « médiateur » de la région grâce à son influence sur la Syrie et l’Iran…
Mais la vraie raison est ailleurs : Vingt ans de diplomatie américaine catastrophique, erratique et, surtout, donneuse de leçons !
De quoi donner à réflexion…
Plus les occidentaux cherchent à promouvoir leurs valeurs « universelles » dans des pays qui les refusent, plus ces mêmes pays vont chercher des alliances auprès de dictatures dont ils partagent les valeurs autoritaires et conservatrices…
 
Pendant des siècles, le succès guerrier a dépendu des effectifs, de la logistique, des équipements, parfois du génie d’un général antique, capable d’inventer des tactiques encore étudiées dans les écoles de guerre (Hannibal), ou d’insuffler un courage légendaire à ses soldats (Léonidas).
Mais la guerre se jouait avant tout sur le terrain, alors que les populations réfugiées dans les villes (Rome, Athènes, Sparte, Carthage) attendaient avec angoisse l’issue du combat pour savoir quel sort il leur sera réservé.
À l’ère du théâtre intégré et multidimensionnel, fondé sur l’interarmes, la multi-spécialisation et la synergie des corps sur le terrain, rendue possible par la technologie, jamais le « théâtre » n’a été aussi peu isolé, jamais il n’a autant opéré en temps réel, jamais il n’aura été autant médiatisé.
La taille officielle des effectifs n’a jamais été aussi faible dans un conflit de haute intensité (150.000 hommes engagés en Ukraine du côté russe, contre 3,8 millions d’hommes sur le même terrain en 1943-1944).
Jamais les décomptes en tanks, hélicoptères, chasseurs, avions de combat, transporteurs, etc. n’ont aussi peu compté.
 
La guerre de haute intensité contre un ennemi comparable ne peut se gagner qu’au prix d’une transformation de l’appareil militaire, de sa formation et ses tactiques, demandant une professionnalisation généralisée, des matériels modernes exigeant une maintenance de plus en plus chère et sophistiquée, une technologie de pointe – renseignement satellitaire, capacités cyber, Sigint (signal intelligence), systèmes de brouillage et de cryptage des communications, etc.
Cela a un coût financier de plus en plus exponentiel, rendant de plus en plus impossible pour la plupart des armées du monde de s’engager sur toute la palette des conflits possibles.
Sauf l’exception notable de l’appareil militaire américain, bien qu’il ait montré ses limites en matière de renseignement humain et de contre-insurrection en Irak et en Afghanistan, donc dans la basse intensité.
Confrontées à la nature multidimensionnelle de la guerre, les armées vont de plus en plus se spécialiser dans certains types de conflit et gérer la diversité des engagements possibles grâce aux alliances militaires.
 
D’abord, le renseignement a complètement failli.
Alors que les Américains et les Britanniques étaient convaincus que « Poux-tine » ne bluffait pas, notre direction du Renseignement militaire et la direction générale de la Sécurité extérieure n’y croyaient pas.
Un chef des chefs du renseignement (militaire) en a rendu ses galons…
Ensuite, la capacité de résistance ukrainienne avait été complètement sous-estimée, comme le prouvent les déclarations du chef d’état-major des armées quelques jours après le commencement de la guerre.
J’en étais moâ-même persuadé.
Mais l’état des lieux opérationnel n’est pas meilleur : Carence d’entraînement liée à l’opération Sentinelle, taux de disponibilité des matériels entre un tiers et la moitié pour les hélicoptères et les tanks, manque d’avions de transport, stocks de munitions minimes à tous les niveaux (missiles, obus…), sans oublier la faiblesse en défense sol-air, le retard sur les drones, sur le renseignement satellitaire…
Ça fait beaucoup de choses à rattraper en même temps…
Après vingt ans de réductions budgétaires, l’armée « Gauloisienne » dispose seulement d’une force de dissuasion nucléaire et d’une grande expérience des guerres de faible intensité en Afrique et au Moyen-Orient, mais elle serait bien incapable de mener une guerre traditionnelle sur un théâtre européen nous confirme plusieurs rapports parlementaires et autres commissions d’enquête.
Pas acceptable pour une puissance moyenne avec une stratégie de déploiement globale.
 
Peut-être est-il temps que les états-majors et les ministres réfléchissent à tous ces problèmes révélés par l’offensive de « Poux-tine ».
Un autre des « mérites » de « Poux-tine » : Nous faire ouvrir nos yeux sur nos faiblesses…

lundi 30 mai 2022

Quel avenir de la guerre en Ukraine ?

Les scénarios les plus probables
 
Excusez-moi : Je « déconnecte » quelques jours en me mettant dans l’impossibilité de suivre l’actualité politique de mon pays (et hors de ses frontières) afin de vous en révéler les « fils rouges » qui apparaissent d’ici de là.
Pour l’heure, rien de précipité : Ils préparent tous leurs élections législatives dans la cohue et le brouhaha des phrases assassines.
Je peux juste vous prédire qu’inéluctablement, avant fin juin nous aurons un nouveau gouvernement : Certains ministres ne passeront pas l’épreuve des urnes, d’autres seront éjectés pour avoir déplu (les « erreurs de casting ») et il faudra nommer une cargaison nouvelle de « Secrétaires d’État » pour venir épauler l’actuelle équipe à l’aube de l’été.
C’est déjà prévu et nous y reviendrons.
 
Mais je regarde plus loin encore et même jusqu’à Kiev.
Plus de trois mois d’offensive, là où tout devait être réglé en 48 heures, des récoltes perdues, la route de la soie coupée durablement, une crise d’approvisionnement qui prend le relai de la lente décongestion des effets de la crise du « Conard-virus », une pagaille sans pareille sur les marchés de l’énergie, et tout un continent qui se retrouve isolé de ses clients naturels.
Quelle sortie pour retrouver un monde « apaisé » qui ne sera plus jamais celui du « monde d’avant » ?
 
Avant de lancer son offensive contre l’Ukraine le 24 février, « Poux-tine » avait pourtant un scénario très clair en tête : L’invasion devait être conclue en quelques jours et il soumettait l’Ukraine à la botte Russe, comme ses prédécesseurs, Budapest et Prague.
Avec pour principale conséquence, un traité de « cession » du Donbass à la fédération de Russie - entre amis, nouveaux alliés et « frères », ça aurait été facile - et la réouverture du canal de Crimée du Nord.
 
Car cette guerre-là n’aura pas été déclenchée pour des raisons de géopolitique et d’extension de l’Otan, non, pensez donc !
Si ça avait été le cas, les premiers à trinquer c’auraient été les Pays-Baltes qui isolent l’enclave de Kaliningrad du reste de la Russie.
Mais seulement parce qu’il n’y a plus d’eau en Crimée qui ne peut plus rien cultiver d’utile.
Si !
Tout simplement parce qu’après l’annexion de ce territoire en 2014 - en vue d’avoir accès à Sébastopol et son port militaire ouvert sur la Mer Noire -, les Ukrainiens ont fermé ce canal en 2014 !
Plus de 400 kilomètres pour irriguer en eau douce et potable, tirée du fleuve du Dniepr à hauteur de Nova Kakhovka, située en amont de Kherson, les plaines fertiles de la péninsule et accessoirement abreuver les hommes et le bétail.
Rien de plus et tout le reste, c’est du roman de gare !
 
Il y avait des bassins de rétention, des réserves dans les stations de pompage, mais, au fil du temps, la situation était devenue intenable.
Et la première offensive venue de Crimée aura réouvert les vannes avant de prendre Kherson alors que tout le monde avait encore les yeux rivés sur Kiev dont on ne savait pas si elle allait tomber ou non…
Belle embrouille : « Poux-tine » aura évacué le Nord de l’Ukraine mais ne lâchera pas sa prise au Sud.
Il a même réussi à faire la jonction avec le Donbass plus au Nord, après d’âpres combats, pour consolider le couloir ouvert aux troupes russes le long de la Mer d’Azov en passant par Marioupol et les quelques ports ukrainiens de la rive, couloir que ses troupes tentent actuellement d’élargir.
Principal objectif atteint, sur un champ de ruines - il n’en a rien à foutre du moment que l’eau arrive en Crimée - l’offensive sur Kiev et les villes du Nord n’aura jamais été qu’un « faux nez », au même titre que la « dénazification » du pays, seulement destiné à abuser tout le monde et accessoirement « scotcher » les troupes régulières ukrainiennes loin de cet objectif « stratégique » là.
 
Désormais, la messe est dite.
Mais on peut se projeter : Quelles trajectoires va prendre le conflit au vu de l'état actuel des forces, des objectifs, des difficultés ?
Imaginons que l’Ukraine repousse totalement l’offensive avec le soutien occidental et gagne cette guerre qui devient longue et épuisante, surtout pour les russes qui ne s’attendaient pas à de telles difficultés.
C'est le scénario rêvé par les soutiens de Kiev.
L’Otan s’est même récemment prise à espérer : L’armée ukrainienne a réussi à reprendre le contrôle de Kharkiv, la deuxième ville du pays, au Nord-Est.
Elle a également lancé une contre-offensive en direction d’Izioum, au Sud-Est de Kharkiv.
L’armée russe continue quant à elle de commettre des erreurs tactiques, comme lors de la traversée de la rivière Donets qui s’est soldée par la destruction d’au moins 73 chars d’assaut, selon l’armée ukrainienne.
Elle pourrait aussi manquer de forces vives, à mesure que ses soldats arrivent au terme de leur service et doivent être rélévés.
 
Mais pour l’Ukraine, qu’est-ce qui représenterait vraiment une victoire ? Revenir à la situation d’avant le 24 février suffirait-il ?
Apparemment non : « Nous espérons que la Crimée fera partie de l’Ukraine », a déclaré Volodymyr Zelensky, au Wall Street Journal début mai.
Pour la ministre de la Défense adjointe ukrainienne, citée par le Financial Times, l’objectif est « le nettoyage complet de notre pays et l’établissement de la souveraineté (ukrainienne) à l’intérieur de ses frontières », ce qui inclut la Crimée et les provinces orientales du Donbass, territoires ukrainiens contrôlés respectivement par la Russie et les séparatistes prorusses depuis 2014.
Or, la reprise de ces territoires pourrait être extrêmement difficile d’un point de vue militaire. « Cela fait huit ans que ces territoires sont en conflit, les séparatistes et les soldats russes connaissent le terrain, ils ont eu le temps de renforcer leurs positions ». Une contre-offensive ukrainienne pourrait donc être très coûteuse en termes de vies humaines comme de matériel, une des raisons pour lesquelles l’Ukraine continue de réclamer un soutien militaire croissant et continu jusqu’à Davos.
Et puis récupérer un champ de ruine et des champs à déminer durant des années et des années…
Enfin passons.
 
Et si la Russie gagnait la guerre par « étouffement économique » et militaire de l’Ukraine ?
Car de son côté, Moscou continue de progresser dans plusieurs zones, comme autour de Severodonetsk, dans le Donbass.
Elle reproduit sur d’autres villes la stratégie de siège suivie avec succès contre Marioupol (bombardements continus et blocage de l’approvisionnement ukrainien), et elle continue de frapper des points stratégiques ukrainiens (stocks de munitions, voies de chemin de fer ou centrales électriques).
L’armée russe a aussi retenu les leçons de son échec à Kiev : En se retirant vers son propre territoire, elle évite de trop étirer ses chaînes logistiques, ce qui les rend moins vulnérables.
Le coup de grâce pourrait venir du portefeuille.
Car la Russie mène en parallèle une stratégie d’« étouffement économique ». « Les centres économiques de l’Ukraine se situent à l’Est et sur la côte de la Mer Noire, que la Russie contrôle ou bloque, notamment le port d’Odessa. »
En bref, « Poux-tine » tient par les kouilles son homologue ukrainien.
 
Autant d’éléments qui laissent penser que l’Ukraine pourrait finir par céder. Ce scénario pourrait être accéléré par un relâchement du soutien occidental, « déterminant dans la résistance de l’Ukraine » selon un chercheur associé pour le programme Russie et Eurasie d’un « think tank ».
Les coûts économiques de la guerre pourraient dissuader les États-Unis et l’Europe de poursuivre leur soutien financier et militaire.
Et des premières fissures sont déjà apparues dans l’unité européenne : La Hongrie est opposée à un durcissement des sanctions sur le pétrole russe, par peur de manquer d’énergie.
Ce scénario présente aussi des failles aux yeux des analystes, qui pointent la résistance des troupes ukrainiennes sur le terrain : « La Russie n’a pas les moyens de mener des opérations de grande intensité sur le long terme », rappelant que les troupes russes n’ont pas réussi à prendre la ville de Kiev qui devait être une « promenade de santé ».
 
De quoi expliquer que la perspective la plus souvent évoquée : Celle d’un conflit qui s’installe dans la durée : « Les lignes pourraient se stabiliser autour des limites territoriales des oblasts de Donetsk et Louhansk ».
« Ce ne sera pas un ‘‘conflit gelé’’ : il y aura des mouvements tactiques, des percées et des défenses de chaque côté. Mais la situation pourra se prolonger dix, vingt, trente ans, tant que Moscou n’aura pas obtenu assez de territoire pour le présenter comme une victoire. »
Bref, tout le contraire de la guerre éclair que pouvait espérer « Vlad » le 24 février. Et le Kremlin est un habitué des guerres prolongées, comme avec la guerre d’Afghanistan, de 1979 à 1989 : « À l’époque, l’URSS avait déjà des objectifs bien trop grands par rapport à son nombre de troupes, elle n’avait pas prévu l’ampleur de la résistance, elle n’avait pas réussi à bloquer le soutien international. »
On peut en dire autant avec la guerre en Syrie.
 
Car Moscou n’a pas non plus les moyens de tenir éternellement. Les sanctions internationales menacent de dévaster son économie et le coût de la guerre croît de jour en jour, humainement et économiquement : La Russie a dépensé plus de 300 millions de dollars par jour, par jour seulement depuis 90 jours, dans son armée, selon le ministère de la Défense russe cité par le Moscow Times.
C’est pour toutes ces raisons que l’Ukraine comme la Russie pourraient décider de trouver une porte de sortie par la négociation.
Actuellement, les chances sont minces : Les pourparlers sont suspendus depuis le 17 mai.
Moscou pointe une « absence totale de volonté » de la part de Kiev et l’Ukraine accuse la Russie de rester dans une « pensée stéréotypée ».
 
Zelensky continue pourtant d’émettre des signaux favorables : « Il y a des choses que nous ne pourrons atteindre qu’à la table des négociations », a-t-il déclaré sur la chaîne ukrainienne ICTV.
Aux yeux des chercheurs interrogés, tant que la dynamique de la guerre peut être favorable à Kiev, les négociations ont peu de chances d’aboutir : « L’Ukraine a actuellement la possibilité de regagner du terrain, même si c’est par petites touches, et elle tient à récupérer les territoires occupés », m’explique-t-on par ailleurs.
« Un cessez-le-feu pourrait n’être qu’une pause en attendant le moment propice pour relancer une offensive. »
De son côté, « Moscou est prisonnier de sa propre rhétorique », estiment d’autres.
« La Russie avait vendu à sa population une ‘‘guerre de trois jours’’, une supériorité militaire totale. Elle ne peut pas admettre que ça ne se passe pas bien. Et au fond, son objectif global reste de subjuguer entièrement l’Ukraine. »
Je n’en suis pas si sûr, mais certainement « il y a peu de chances que la Russie rende la Crimée à l’Ukraine » ce qui est pourtant un des objectifs de Kiev.
 
Avec des points de vue aussi irréconciliables, il est probable que « nous allons probablement traverser une période d’alternance de cessez-le-feu, de négociations qui n’aboutissent pas et de reprise des combats ».
Ce que connaît le Donbass depuis 2014…
Or, un conflit qui s’allonge, c’est un risque plus élevé de dérapage.
« Une propagation du conflit à des pays voisins ne peut être exclue », a déclaré « Jupiter » le 19 mai.
Un missile russe qui tombe sur le territoire de l’Otan, des menaces nucléaires mises à exécution, « par accident, par lassitude ou par frustration… Il faut imaginer les scénarios les plus larges possibles pour ne pas se retrouver sans réponse devant le fait accompli ».
Ce qui aura certainement été étudié dans les états-majors de toutes les armées concernées.
 
Aux yeux des spécialistes, une escalade nucléaire reste toutefois peu probable.
« Elle menacerait la stabilité même du régime, qui est l’objectif principal du système de Vladimir Poutine », affirme un « chercheur ».
Réagissant à la procédure d’adhésion à l’Otan lancée par la Finlande et la Suède, le ministre des Affaires étrangères russe a simplement déclaré que cela ne ferait « pas de grande différence ».
Une réaction limitée par rapport aux menaces précédentes, qui « suggère sinon un apaisement, au moins une inflexion du discours russe », selon une « chercheuse ». Pour elle « la population ne comprendrait pas pourquoi il faudrait ouvrir d’autres fronts, et la Russie n’en a pas les moyens. »
 
Énième hypothèse à envisager : Un changement de régime intervient à Moscou.
Une population russe qui pourrait se rebeller contre son président « élu démocratiquement » au premier tour ?
Je n’y crois pas vraiment : Ce n’est pas comme ça que ça va se passer.
Pourtant, « cet homme ne peut rester au pouvoir », avait déclaré « Bail-Dan », laissant entendre que ce scénario était envisagé par les alliés de l’Ukraine.
De fait, en Russie, « le sentiment anti-guerre croît, même des bloggeurs plutôt pro-russes ont critiqué l’échec catastrophique de la traversée de la rivière Donets. Entre ça et le poids des sanctions économiques, on peut voir que la société russe est en train de se fissurer.
Récemment, un ancien colonel a même mis en lumière les difficultés de l'offensive à la télévision d’État russe ».
Certainement pas sans « autorisation » sur une Télé du pouvoir en place…
 
Auraient-ils déjà oublié la destruction du navire amiral de la flotte de la Mer Noire ?
Rappelons que « toute tentative de dénoncer la guerre est punie de prison ».
Même le mot « guerre » est interdit.
« Le leadership russe ne s’intéresse pas au bien-être de sa population », en juge un autre, pour qui un changement des élites dirigeantes prendra des années.
Je veux bien le croire…
« Tout ce qui viendra après Vladimir Poutine ne sera pas forcément meilleur ».
Probablement : Ce pourrait même être exactement pire…
 
C’est dans ce contexte que le « sinistre ritalien » des Affaires étrangères, Luigi Di Maio, a annoncé la semaine dernière que son pays avait proposé à l’Onu la constitution d’un « groupe international de facilitation » pour tenter de parvenir « pas à pas » à un cessez-le-feu en Ukraine.
Pour lui, le « groupe de facilitation » proposé par l’Onu « doit essayer de reconstruire le dialogue entre deux parties qui en ce moment sont en guerre ».
Selon le quotidien « ritalien » La Repubblica le document très détaillé remis à l’Onu et élaboré par les diplomates de leur ministère des Affaires étrangères prévoit quatre étapes :
- Un cessez-le-feu en Ukraine et la démilitarisation du front sous supervision de l’Onu.
- Des négociations sur le statut de l’Ukraine, qui entrerait dans l’UE mais pas dans l’Otan.
- Un accord bilatéral entre l’Ukraine et la Russie sur la Crimée et le Donbass (ces territoires disputés auraient une pleine autonomie avec le droit d’assurer leur propre sécurité, mais seraient sous souveraineté ukrainienne).
- La conclusion d’un accord multilatéral de paix et de sécurité en Europe, ayant notamment pour objet le désarmement, le contrôle des armes et la prévention des conflits.
 
« Nous l’avons reçu il n’y a pas longtemps. Nous sommes en train de l’étudier », ont déclaré les russes, soulignant qu’ils n’étaient actuellement pas en discussion avec la « Ritalie ».
« Quand nous aurons fini de l’étudier, nous dirons ce que nous en pensons ».
Mais dimanche en huit, le négociateur russe Vladimir Medinski a affirmé que la Russie était prête à reprendre des pourparlers de paix avec l’Ukraine, assurant que leur suspension était due à Kiev.
C’est la veille que Zelensky avait souligné que la guerre ne pourrait prendre fin que par des biais « diplomatiques ».
 
Un cessez-le-feu signifierait qu’on « fige » les lignes du front, au moins provisoirement.
Une « paix-armée » durant laquelle les deux parties prépareront leurs offensives ultérieures jusqu’au cessez-le-feu suivant qui fixera la même ligne de front et ouvrira peut-être des accès ukrainiens à la Mer Noire actuellement sous blocus naval.
À ce rythme-là, on en a pour des années.
 
Et après, il faudra, réparer les dégâts, s’échanger les prisonniers peut-être avec des casques bleus au milieu (mais il y avait déjà des « observateurs » dans le Donbass qui comptaient les coups de feu avant l’offensive…) déminer, reconstruire, reprendre le boulot.
Entre-temps, l’appareil productif sera resté en jachère…
Entre-temps, « Vlad » aura été emporté par « son crabe ».
Entre-temps, la haine des russes aura définitivement fleuri en Ukraine et, seulement après tout ça, peut-être que les sanctions seront levées une à une pour retrouver une « vie normale » : Renault s’est donné un délai de 6 ans pour ça.
2028…
Je ne serai plus là pour le vivre.

dimanche 29 mai 2022

Porn use and men’s and women’s sexual performance…

Une étude qui m’interpelle…
 
Vous me savez porté sur « la chose » et les atours, indispensables à l’activité de mon « nerf honteux », le seul qui fonctionne bien, du « beau sexe ».
Sans ce mélange « divin », je ne vois pas bien à quoi je pourrai servir sur cette planète : Si on ne peut plus rendre personne heureux d’être né, c’est la fin de toute activité.
 
Bon, là il s’agit d’une étude anecdotique sur une activité connexe, à savoir l’utilisation de la pornographie.
Elle en conclut qu’elle est liée à une performance sexuelle plus faible chez les « kouillus », mais à une performance sexuelle plus élevée chez les dames.
Allons bon : Voilà quelque chose de nouveau !
Je n’avais pas vu ça comme ça jusqu’ici, pour tout vous dire.
Il faut savoir que le porno, je préfère faire que de le regarder produit chez autrui : Mon côté voyeur est quasiment nul…
 
Mais ici on parle d’utilisation « fréquente » de la pornographie qui serait liée à des résultats sexuels différents pour les jeunes hommes et les jeunes femmes, selon une nouvelle recherche publiée dans la revue Psychological Medicine.
Cette étude longitudinale, l’une des plus importantes du genre, indique qu’une fréquence plus élevée d’utilisation de la pornographie est associée à une vie sexuelle dégradée chez les hommes.
Mais l’inverse semble être le cas chez les femmes.
Allez donc savoir pour quelle raison bien mystérieuse !
 
Il faut dire que, pour résumer, la recherche sur l’impact de la pornographie sur la sexualité des jeunes femmes et des hommes est fondamentalement divisée en deux catégories : Certains chercheurs soutiennent que l’utilisation de la pornographie établit des normes inaccessibles de comparaison sexuelle et génère des angoisses au sujet de la performance sexuelle, tandis que d’autres chercheurs soutiennent que la pornographie peut être une source d’inspiration sexuelle et « pourrait en fait être utilisée pour devenir un meilleur partenaire sexuel ».
Comme quoi la compétition sexuelle est au cœur de tous nos ébats affectifs.
C’est ce qu’ont expliqué les auteurs de l’étude, Nicolas Sommet et Jacques Berent, respectivement chargé de cours à l’Université de Lausanne et chargé de cours à l’Université de Genève.
Ces « petits-suisses » qui se passent des films pornos pendant leur études…
Enfin, passons.
 
« Il est difficile de démêler ces deux points de vue opposés, principalement parce que de nombreuses études existantes utilisent des échantillons de petite taille et des conceptions transversales, ce qui entrave notre capacité à tirer des conclusions fiables de la littérature.
Nous nous sommes donc intéressés à clarifier l’association entre l’utilisation de la pornographie et la performance sexuelle chez les hommes et les femmes, en menant une étude à grande échelle qui a suivi des dizaines de milliers de participants sur une période de trois ans. »
Trois ans… qu’ils y ont passé.
 
Ces « chercheurs » ont donc mené une étude longitudinale en trois vagues qui comprenait des évaluations annuelles de la fréquence de la consommation de pornographie, de l’auto-compétence sexuelle et du fonctionnement sexuel.
« Nous avons collaboré avec l’un des YouTubers Français les plus populaires  au moment de la recherche, et nous avons pu recueillir les réponses de plus de 100.000 jeunes hommes et femmes », ont expliqué Sommet et Berent.
La première vague de l’enquête a recruté 101.572 hommes et femmes parlant Français de cinq pays différents, dont 8.608 couples hétérosexuels.
Ça fait beaucoup de monde qui n’est pas hétéro, en pense-je : Encore un biais ?
Au total, 21.898 participants ont complété les trois vagues.
 
Et les chercheurs ont constaté que l’utilisation plus fréquente de la pornographie était associée à des performances sexuelles plus faibles pour les hommes, mais à des performances sexuelles plus élevées pour les femmes.
« Nous constatons que plus les hommes regardent du porno, plus ils déclarent avoir des doutes sur leurs performances sexuelles, plus ils déclarent avoir des problèmes sexuels (par exemple, en termes de pulsion sexuelle, d’érection, de fonctionnement biologique) et - pour les couples hétérosexuels - plus leur partenaire féminine déclare être sexuellement insatisfaite », ont affirmé les « chercheurs » à PsyPost.
Bref, la consommation de porno réduit la satisfaction que procure l’activité sexuelle de Monsieur (on peut comprendre s’il se compare aux acteurs « étalons ») et nuit par conséquent à la satisfaction de madame…
Belle revanche de ce genre cinématographique !
 
« Nous constatons la tendance inverse pour les femmes : Plus les femmes regardent du porno, plus leurs sentiments de compétence sexuelle sont élevés, plus leur nombre de problèmes sexuels est faible et, pour les couples hétérosexuels, plus leur partenaire masculin est satisfait de certains aspects de leur sexualité (par exemple, de la qualité des échanges sexuels). »
Magnifique : Le porno ne devrait être réservé qu’aux dames et tout le monde serait content !
De toute façon, les probables « bombasses » qui font actrice-porno ridiculisent forcément nos dames quant à l’incandescence de leurs charmes supputés.
Enfin, j’imagine.
 
Et cela était vrai même après que les chercheurs aient contrôlé des variables telles que l’âge, l’éducation, la nationalité, l’orientation sexuelle, le nombre de partenaires sexuels sur une vie, le statut de la relation, la durée de la relation, la fréquence de la masturbation, la fréquence des rapports sexuels, les connaissances sur la sexualité et la désirabilité sociale, etc.
C’est donc une constante.
« Il est important de noter que ces différences entre les sexes ont également été observées au fil du temps (c’est-à-dire qu’une augmentation de la consommation de pornographie au fil du temps est associée à une réduction de la performance sexuelle chez les hommes et à une amélioration chez les femmes), ce qui augmente la plausibilité (mais pas la certitude) qu’un lien de causalité existe entre la consommation de pornographie et la performance sexuelle »
Bien vu : De lauto-évaluation où lon démontre ce quon cherche à démontrer…
 
La conclusion selon laquelle les femmes qui utilisent la pornographie ont tendance à avoir de meilleures performances sexuelles est conforme à une étude précédente, qui a examiné 2.433 femmes des États-Unis et de Hongrie.
Mais Sommet et Berent ont averti que l’effet ne devait pas être surestimé.
« Malgré le fait que les associations entre l’utilisation de la pornographie et la performance sexuelle chez les hommes et les femmes étaient robustes (c’est-à-dire dans des directions claires et cohérentes), la taille globale de ces associations était souvent modeste », ont expliqué les chercheurs.
« Cela signifie que, contrairement à certaines croyances populaires, le porno ne peut pas être considéré comme le principal facteur à blâmer pour les problèmes sexuels chez les hommes, et ne peut pas être considéré comme une sorte de panacée sexuelle pour les femmes. »
Bon, alors il va falloir que je m’y mette aussi.
 
L’âge moyen de l’échantillon était de 21,45 ans et la plupart des participants se sont identifiés comme hétérosexuels. « Une mise en garde importante est que notre étude s’est concentrée sur l’effet de la pornographie hétéronormative, chez les hommes et les femmes hétérosexuels - d’autres études sont nécessaires pour étudier l’effet de la pornographie non hétéronormative sur les individus non cisgenres et / ou non hétérosexuels », ont déclaré les chercheurs.
Ah ?
Et alors ?
 
« Nous pensons que, dans l’ensemble, nos résultats peuvent être considérés comme révélant l’ironie que le porno - qui est une industrie dominée par les hommes qui cible un public dominé par les hommes - est lié à l’érosion de la qualité de la vie sexuelle des hommes et à l’amélioration de la vie sexuelle des femmes », ont conclu nos « chercheurs ».
Que donc elle a un avenir radieux devant elle ?
 
La question que je me pose c’est de savoir s’ils ont été payés pour raconter de pareilles balivernes.
Ou encore, si on les prend au mot, est-ce que je dois investir mes maigres économies dans cette industrie, voire, directement dans cette « activité-là » en payant de ma personne ?
Je dis ça, je ne dis rien : Je suis en train de mettre en ligne les posts de « La croisière d’Alexis » pour cet été.
Un récit qui tourne, au moins au début, autour de ça, mais sans pour autant faire dans le « récit pour adulte », bien au contraire…
Quoique… mais sur un autre plan, celui du politique.
 
Bref, je ne suis pas plus avancé, mais j’espère que puisque la science avance, votre connaissance du sujet également !
 
Bonne fin de week-end à toutes et à tous !
 
I3