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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 4 novembre 2018

L’obsédé est de retour

Avec un message à « nos dames-adorées »
 
Il ne vous sert (souvent) à rien de simuler l’orgasme !
Il paraît que vous êtes nombreuses à avouer avoir déjà simulé l’orgasme.
Laissez-moi rire…
Avec un stick « au top », ça se sait immédiatement.
La preuve avec une nouvelle étude qui indique que, la plupart du temps, les partenaires sont capables de déceler le plaisir feint.
 
Un zeste de communication et une aptitude à reconnaître les émotions de l’autre y suffiraient : Voici le secret pour savoir si son partenaire prend réellement son plaisir !
Là encore je rigole : Les « body-fluids » comme on dit dans le monde anglo-saxon, change de nature et sont beaucoup plus abondants en cas d’orgasme.
Les nôtres, à nous autres les « kouillus », nous interdisent la simulation : C’est ou tout ou rien (« rien » étant « la panne », « tout », le point final des ébats…)
Pourtant, il y en a qui approfondissent leurs études sur le sujet et la dernière aura été réalisée par les « Archives of Sexual Behaviour », sans pour autant faire l'unanimité…
Effectivement, hommes et femmes ne sont pas nécessairement égaux devant le plaisir sexuel. Pourtant, lors des relations dites sexuelles, chacun doit en principe y trouver son compte et ce n’est pas toujours gagné d’avance.
Les couples apprennent d’abord à se connaître et finissent le plus souvent par reproduire régulièrement les mêmes pratiques, une sorte de feuille de route que les amants suivent d’un commun accord : Les psychologues et autres sexologues appellent ça le « script sexuel ».
 
Comment en arriver à des actes aussi routiniers ? Les spécialistes pensent que celui-ci s’écrit au fur et à mesure que chacun comprend ce qui suscite le plaisir chez son ou sa partenaire de jeu, et se concentre finalement sur ces pratiques. Mais cela implique qu’il faille connaître à coup sûr les façons de s’y prendre avec l’autre.
Commencez donc par la recherche des zones érogènes, là où un simple attouchement, un effleurement, une caresse, met déjà en extase votre partenaire : La suite n’en est que plus facile !
Pensez donc aux seins, à l’intérieur des cuisses, aux épaules, au cou, aux cheveux, aux oreilles, mais parfois aussi les doigts de pieds… les mains, les bras, les hanches, tout ce qui rend belle une dame à lui en faire briller les yeux, même dans l’obscurité.
 
Erin Fallis et Uzma Rehman, un couple de chercheurs à l’université de Waterloo (Canada), spécialistes d’eux-mêmes, se sont demandé par quels signaux les couples échangeaient et si les informations que chacun détenait étaient fiables.
Ainsi, comme ils auraient des tendances certaines au voyeurisme, ils ont formé  84 couples hétérosexuels (et adultes-consentants) pour participer à une étude plus large sur le fonctionnement et le plaisir sexuel.
Chaque participant a été interrogé sur son niveau d’engagement dans sa relation, son niveau de satisfaction dans sa vie de couple et dans sa vie sexuelle, ainsi que le degré de communication concernant les questions de sexualité avec l’autre moitié du couple. En parallèle, des tests étaient menés pour évaluer la capacité de chacun à lire les émotions.
Et il en ressort qu’en moyenne, les hommes et les femmes sont bons pour percevoir le degré de satisfaction sexuelle de leur partenaire. Ceci serait d’autant plus vrai lorsque le couple échange sur le sujet, mais ça ne s’avère pas indispensable, car la personne douée pour percevoir les émotions de l’autre sait s’il ou elle atteint la jouissance ou non.
 
Qu’en déduire ? Plusieurs choses : D’une part, cette recherche met en évidence le fait que les partenaires discutent plus au sein d’un couple que les idées reçues ne le laissaient croire. Un bon début.
Ensuite, elle sous-entend qu’il est inutile de simuler l’orgasme dans les couples stables et de longue durée.
Les « pas stables », ils n’en savent rien, finalement…
Néanmoins, mentir sur l’intensité de son plaisir ne serait pas systématiquement une mauvaise chose, à en croire une autre étude parue dans le même journal.
De nombreuses femmes ont avoué faire croire à leur partenaire qu’elles vivaient parfois un moment de jouissance dans le but de l’aider à se sentir à l’aise et à trouver, lui, son propre plaisir (ou à abréger leurs efforts…). Car après tout, l’orgasme n’est pas absolument indispensable lors de chaque rapport, tant que le moment partagé est agréable.
C’est leur opinion que… je ne partage pas du tout, figurez-vous !
Et je rappelle à l’occasion que les femmes disent atteindre l’orgasme une fois sur deux, pas plus…
Quel gâchis.
Il y en a même une qui m’a décrit que la « chaleur », les picotements, les contractions musculaires involontaires que cela lui procurait et qui partaient de la plante des pieds et remontaient jusqu’au cerveau qui se mettait à bouillir…
Des « trucs » à devenir fou si on ne se méfie pas, en pense-je.
Ne vous en faites pas, moi, je réanime en cas de tétanie respiratoire…
 
Malgré tout, des simulations répétées dans des situations pas particulièrement plaisantes peuvent induire le partenaire masculin (et normalement kouillu) sur la mauvaise voie et conduire à une feuille de route falsifiée, dans laquelle les mêmes erreurs se répètent inlassablement, malgré toute la bonne volonté du monde…
Une erreur comportementaliste.
En fait, pour dépasser ces études pour le moins limitées, c’est assez simple de savoir l’état de « la dame » dans ce moment-là : Si vous vous noyez dans une marée de cyprine qui pour l’occasion change de nature, pas de doute, vous pouvez « vous lâcher ».
Elle en a pour un moment à retrouver ses esprits !
Mission accomplie.
 
La science progresse et cette fois-ci, c’est pour votre plaisir : Je me régale !
 
Bonne fin de journée à toutes et à tous !
 
I3

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