Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 31 mai 2018

« Montagne de sucre » en tournée européenne

Brussels, l’Élysée, la porte de Versailles…

Et quelques bonnes tables de réputation notable pour se remettre des 5 heures passées en audition devant le Congrès américain de la semaine précédente.
Le fondateur et patron de « Fesse-book » aura passé une mauvaise fin de journée à Bruxelles mardi de la semaine dépassée. Tout avait pourtant bien commencé, avec son discours d'introduction en forme d’énième mea-culpa, devant les présidents des groupes politiques du Parlement européen. « Nous n’avons pas réussi à empêcher l’utilisation nuisible de nos outils ces dernières années », a-t-il reconnu, en évoquant notamment le vol d’informations personnelles, illustré par l’affaire « Cambridge-Analytica » et les « fakes news », qui ont influencé plusieurs élections depuis une paire d’années.
« C’était une erreur, je suis désolé », a-t-il lancé l’air parfaitement contrit et convaincu.
Je rigole sous cape : C’est qui vend, je dis bien « vendre », vos données et profils à qui veut bien les acheter ?
Une immense base de données multicritères de plusieurs milliards de personnes, plus mieux que la sécurité sociale ou simplement l’état-civil…

« En 2016, nous avons trop lentement identifié les interférences russes dans les élections (le référendum sur le Brexit puis l’élection présidentielle américaine), car nous n’étions pas préparés à de telles opérations de désinformation coordonnées », a-t-il expliqué, avant de rassurer que « la sécurité des êtres humains passera toujours avant la maximisation de nos bénéfices ».
Bien sûr…
En l’occurrence, la Russie représente-t-elle vraiment une menace pour la sécurité ?
Oui, un peu quand même – en Syrie, en Irak et probablement ailleurs – au moment même où l’enquête officielle sur le « shoot » du MH 17 au-dessus de l’Ukraine est formelle : Le missile a été tiré par la 53ème brigade de l’armée russe depuis le territoire du Donbass, en Ukraine…
Tout le monde le savait depuis juillet 2014, que je vous en avais fait deux chapitres sur le sujet, très en avance sur mon époque et sur la foi de divers renseignements « discrets » mais recoupés, contrôlés, vérifiés, comme à mon habitude.
On m’avait dit qu’il s’agissait d’un régiment d’artilleur…
Et notez qu’il n’y a que les russes qui ne savent pas encore.
Passons…

Seulement voilà, au lieu de l’écouter sagement, les leaders du Parlement européen l’ont passé sur le grill, faisant vaciller comme rarement son flegme et son sourire d’apparat. À commencer par le chef des libéraux (groupe ALDE), qui a moqué son habitude de s’excuser : « Cela fait déjà trois fois que vous vous excusez depuis le début de l’année : êtes-vous vraiment capable de régler vos problèmes ? Avec autant de dysfonctionnements, il faut se poser la question ! » a lancé l’eurodéputé belge, avant d’ironiser sur la gravité de la situation : « Je pense qu'il faut une réglementation forte, et pourtant, je suis libéral ! »
Eh oui : Un « libéral », contrairement à ce que vous enseigne les « Mes-Luches & Cie », ça veut des règles applicables à tous avec force et sans passe-droit !
Quant au monopole de fait de « Fesse-book », il a démonté le perpétuel argumentaire qui affirme que « Gogol » ou « Twister » sont ses concurrents : « C’est comme si vous aviez le monopole de l'automobile et que vous disiez ‘‘Ce n’est pas grave, vous pouvez prendre l’avion’’. »
« Vous avez remis en cause le droit des nations souveraines à se gouverner elles-mêmes », a pour sa part lancé l’Allemand président de l’Alliance progressiste des soces-démocrates, en référence à l’influence énorme qu’a le réseau sur les sources d’information des citoyens, y compris en leur suggérant de fausses informations.
Inutile de dire que très peu de questions ont obtenu une réponse, alors qu’ils en avaient plein leurs besaces.
Même s’il a promis de répondre par écrit : « Marque » était pressé pour avoir un avion à prendre et rejoindre la « Kapitale de la tech », en passant par l’Élysée, convié avec quelques-uns de ses petits-kamarades chez « Jupiter ».

« Ils sont là pour bosser ! Je n'arrête pas de préparer des fiches pour cet après-midi. Je ne sais pas trop où ils veulent en venir mais on prend cela très au sérieux. ». La réflexion d’un cadre d’une grande entreprise de technologie illustre l’ambition de la journée « Tech for Good » (mettre la technologie au service du bien commun) qui s’est tenue juste avant le salon « Vivatech ».
Une quarantaine de créateurs ou de dirigeants d’entreprises en grande majorité technologiques ont fait le déplacement (« Fesse-book », Microsoft, IBM, un des co-créateurs de Wikipédia, Airbus, Intel, SAP, Samsung Electronics, « Gogol.org », Stripe, Huawei, OnePlus et Xiaomi).
Le numéro un de chez « Gogol », n’avait pas prévu de faire le déplacement, mais « Jupiter » l’avait rencontré à Washington…

Photo-souvenir dans les jardins, brunch dans la salle des fêtes du palais, puis direction le Bristol, un hôtel de luxe qui jouxte l’Élysée, où ces dirigeants d’entreprise devraient être répartis en trois groupes de travail. Un portera sur l’éducation, un autre sur l’avenir du travail et un dernier sur la diversité.
Chaque groupe aura un représentant qui devra rendre compte des propositions de son équipe. Le « sinistre de les Ducs-à-Sion », « J-M. Banquier », celle du Travail et  les secrétaires d’État du numérique, celle de l’Égalité entre les femmes et les hommes, avec « Éd. Fil-lippe », devant effectuer une restitution des travaux en fin d’après-midi, ont fait les honneurs de leurs augustes présences.
Et puis « Jupiter » aura conduit des entretiens bilatéraux, d’abord avec « Montagne-de-sucre » trois-quarts d’heure, puis avec Microsoft, Uber et IBM, chacun de 20 minutes.
Que se sont-ils dit ?
La presse aura espéré quelques annonces d’investissement (mais est restée sur sa faim : On y reviendra, parce qu’il y a eu des annonces ultérieures) et la mise en avant du programme d’attractivité de la « Gauloisie-numérique » du pays à travers le programme « Choose-Trans ».
En fait, « Jupiter » connaît les prouesses de « Cambrige-Analytica » depuis son dernier passage au CES de Vegas en janvier 2016. Un « tuyau » de « ses potes » à lui (là, je ne sais pas s’il s’agit de ceux de la « Trilatérale », du « Groupe Bilderberg » ou tout simplement de ses « frangins-trois-points » : J’attends encore des précisions, dans la mesure où les premiers effets du « micromarketing » de réseau n’a commencé à faire ses preuves qu’en juin 2016 (Brexit) et en novembre de la même année (élections américaines), alors mêmes que les « trolls-russes » brouillaient déjà les réseaux en « fakes-news ». En revanche, je peux vous dire que tout cela en a surpris plus d’un même parmi les « Maîtres du monde » qui n’ont rien vu venir.)
Pas de pognon donc, mais ce qu’on sait de cette réunion du mois de mai, c’est que les grands patrons de la high-tech reçus à l’Élysée se sont « engagés » en faveur des « biens communs ».
Mais si…

« Jupiter » veut faire de la « Gauloisie-incroyable » une « start-up nation » et « cherche à initier un dialogue (pour) avoir des discussions parfois franches, directes, (pour) parler de la régulation ou de la gouvernance internationale », expliquaient ses conseillers.
Considéré comme l’ami des entreprises après ses décisions fiscales avantageuses (réduction de l’impôt sur la fortune et sur les plus-values financières), « Jupiter » est paradoxalement et « en même temps » l’un des acteurs plus actifs à Bruxelles pour réclamer une taxation plus forte des groupes internet, dont certains des plus puissants paient très peu d’impôt en Europe.
Par ailleurs, on peut noter que « Jupiter » reste constant dans sa démarche « universaliste » pour avoir déjà organisé plusieurs fois des réunions de grands patrons depuis son arrivée au pouvoir, pour les convaincre d’investir en « Gauloisie-gréviste » (sommet « Choose-trans » en janvier) ou de s’engager pour l’environnement (« One Planet Summit » en décembre).
Là, c’était juste « le bien commun », une marotte depuis son arrivée au pouvoir.

Suivez-vous ces fils rouges qui s’animent et clignotent sous vos yeux ?
« Jupiter » est « en marche » et réforme à tour de bras. Il ne s’arrête même pas  sur les gémissements de tous ceux qui sont ou vont rester sur le bas-côté du chemin : Il s’en moque éperdument, puisque ce sont de toute façon les laissés-pour-compte du « monde d’après » qui approche et qu’il s’agit de faire émerger contre vents-&-marées.
Ce qui compte, c’est d’avancer.
Et sur « tous les fronts » et « en même temps », puisque ce monde-là se construit non seulement à « Paris-sur-la-plage » (ses JO, sa coupe du monde, son « das-Groβ-Paris »), mais également à Bruxelles, à Washington, à Berlin, à Moscou, à Téhéran, à Pyongyang, à Pékin et au Proche-Orient.
Un monde pour l’heure de peurs, parfois de larmes et de sang où l’Afrique voudrait bien avoir sa part de gâteau.

C’est inscrit dans les textes fondateurs du monde de l’an « Mille qui vient après l’an mille » et en matière de « prophéties », le Vatican s’y connaît depuis des dizaines de siècles et joue évidemment sa propre partition de son côté en toute… connivence !
Quitte à dérouter, d’ailleurs.
On y est et on avait commencé par un certain 11 septembre absolument inattendu.
17 ans plus tard, ça prend forme dans les « recettes de cuisine ».
On en reparlera, parce qu’il y a d’autres « forces » à l’œuvre pour faire et défaire, accompagner ou résister (je pense notamment aux britanniques qui se sont mis « hors-jeu » et vont voir s’étioler leur empire au fil du temps) à tous ces changements en profondeur dont vous êtes, sinon une partie des acteurs, au moins les spectateurs « attentifs ».
Personnellement, j’aurai plutôt tendance à en rire : Aucune « prophétie » ne s’est jamais réalisée depuis « l’âge d’or d’Héraclès ».
Mais eux, ils ont oublié : Comme quoi la foi déplace bien les montagnes (même « de sucre ») !

mercredi 30 mai 2018

L’incroyable Mamoudou Gassama !

Vu de London…

… L’escalade du Malien, qui va être naturalisé Gauloisien et commencer une carrière de pompier, m’aura, comme vous, totalement étonné.
Mais probablement pas comme vous…
Car je n’ai jamais vu qu’un « monte-en-l’air » à la manœuvre : Et, manifestement, il s’y connaît le diablotin !
Alors que vous, vous aurez tous vu un « acte héroïque » que d’aller sauver un gamin de 4 ans accroché à une balustrade, au-dessus d’un vide mortel !
C’est vrai que c’est héroïque, je ne le conteste pas, loin de là.
Mais tout de même… Je n’aurai jamais eu l’idée de grimper, mais plutôt de tout faire pour amortir le choc d’une chute probablement inévitable, avec une veste, un drap, une couverture et quelques paires de bras réquisitionnés à la va-vite…
Bref, une initiative qui aura conduit Mamoudou direct à l’Élysée ne vaut que parce qu’il a été filmé et que la vidéo a su faire un « buzz » viral.
La preuve, je l’ai vue jusqu’à London.

En fait, le papa du gamin faisait ses courses tranquillement en jouant au « Pokémon-Go » dans les allées du centre commercial voisin, pendant que son môme escalade la rambarde de son balcon. Il glisse probablement et dévisse d’un étage pour réussir à s’accrocher par hasard ou nécessité au balcon de l’étage du dessous, agrippé au grillage qui ceint la balustrade. « Il a été très courageux puisqu’il est tombé d’un étage avant de se rattraper sur le balcon juste en dessous ! »
Un coup de bol invraisemblable, celui-là plus celui du passage de Mamoudou, un « sans-papier », « sans-travail », clandestin-malien débarqué au pays des Lumières après un invraisemblable périple  (la presse aux ordres sait faire pleurer les chaumières, du moment que ce n’est pas la porte ouverte à une invasion), pour rejoindre sa seule famille déjà installée dans le quartier (probablement dans un centre d’hébergement, je ne sais pas).

Non, ce qui m’étonne le plus – toujours vu de London – ça reste les « réactions politiques ».
Une vraie course de vitesse.
La mairie locale n’a même pas eu le temps de lui proposer de devenir « citoyen d’honneur », de lui affecter un logement social vacant, que déjà le bonhomme était reçu par « Jupiter » qui lui promet une naturalisation accélérée, un stage chez les pompiers (selon son souhait) appuyé par son « sinistre de l’ordre-public » (celui avec sa tête du croquemort de Luky-Luke) qui te vous raconte qu’à situation exceptionnelle, réponse exceptionnelle…
Non mais je me marre, figurez-vous !

Et tant mieux pour le bonhomme « monte-en-l’air » : Ses talents auront au moins sauvé une vie, et c’est énôôôrme !
Un acte à la fois héroïque et spectaculaire. À l’époque de l’information immédiate, instantanée (le petit-village de ces primates-améliorés qui vivent la même histoire dans les mêmes séquences), celle des téléphones mobiles et des réseaux sociaux, son identité devient très vite connue, et son héroïsme immédiatement populaire.
Les vidéos de son sauvetage sont repartagées des milliers de fois sur les réseaux sociaux, offrant une image optimiste à un pays rongé par le pessimisme et découragé par ses propres édiles quand il s’agit d’accomplir son devoir civique.
Il fallait bien que « Jupiter » se baffre de l’opportunité offerte : Il a manifestement un cabinet ultra-performant, puisqu’il l’a fait.
D’autant que ce moment de franc-courage ne laisse personne indifférent, et suscite l’enthousiasme collectif, ce qui va susciter l’intérêt des premiers naufrageurs de l’émotion dans le pays, à savoir la classe politique.

Et immanquablement, le geste de Mamoudou se charge alors de revendications, de messages, et se trouve bientôt extirpé de son contexte presque ordinaire pour devenir une narration morale et politique, c’est-à-dire un moment de communication publique au service du sommet de l’exécutif.
En effet, je viens de le dire, c’est « Jupiter » qui l’invite directement et toutes affaires cessantes (le sort de la Lybie, celui de la Syrie et quelques autres priorités du moment) pour le féliciter et le remercier, grillant la politesse à tous les autres ! Et il ne s’arrête pas là : La bravoure doit être récompensée par un emploi, celui de pompier, et il est invité à demander la nationalité gauloisienne.
En l’espace de quelques heures, Mamoudou devient la narration politique commode qui va permettre à « Jupiter » de récupérer un peu de prestige grâce au spectacle de la magnanimité présidentielle : Par le fait du Prince, la tête de l’exécutif inclut le brave jeune-homme dans la communauté  d’élite nationale et l’intègre au marché du travail en priorité sur des millions de cotisants laissé en jachère, comme avant lui les rois faisaient et défaisaient les lois et les carrières…

Vous souvîntes-vous ? L’affaire Leonarda…
Où « Tagada-à-la-fraise-des-bois » en son début de quinquennat s’était également donné en spectacle politique pour tenter d’incarner tant bien que mal le souverain magnanime, qui dans sa grande bonté, autorisait la jeune fille à revenir en « Gauloisie-appliquée » pour étudier…
La différence essentielle entre l’épisode Mamoudou et celui Leonarda, c’est que le casting présidentiel d’aujourd’hui nous fournit un bien meilleur acteur pour incarner la compassion au sommet pour avoir le tête de l’emploi.
Seulement, comme le relève notre « maître à tous » (Maître Eolas), dans un état de droit, il y a toujours ce petit détail qui est que l’État est régi par des lois.
Le droit.
Mamoudou, pour accéder à la nationalité gauloisienne, et donc pour occuper un emploi en bonne et due forme, se doit d’être en situation régulière, ce qui implique un certain nombre de contraintes formelles.
Ce sont les règles formelles du droit qui tempèrent la volonté populaire et l’opinion publique en démocratie, et évitent le débordement populiste, sans ça on sombre vite-fait dans la dictature et l’arbitraire.
On le note jusqu’à Rome, où le droit régalien est représenté par le Président élu qui a mis son veto à la nomination d’un « sinistre des finances » plus qu’eurosceptique et du coup balaye d’un revers de manche le sort politique d’une formation politique bigarrée (le mariage de la carpe et du lapin) pourtant sortie majoritaire des urnes (50 % des bulletins pour le total des deux formations).
Et parachever un « coup d’État » redonnant le pouvoir des « affaires courantes » au… FMI !
Bon ou mauvais calcul politique ?
Vous le saurez en fin d’année, peut-être l’année prochaine seulement à l’issue des élections prévues.
En attendant, on calme « les marchés »…

Dans le cas présent, pour accéder à la nationalité Gauloisienne, il faut à la fois être en situation régulière et résider depuis 5 ans sur le sol « Gauloisien », ce que l’impétrant n’a pas réuni.
Que va-t-il donc se passer après le concert de louanges autour du héros du jour ? Soit « Jupiter » tient sa parole, et par un geste monarchique, que dis-je, impérial voire seulement olympien, viole sciemment les règles du droit pour permettre à Mamoudou de rester en Gauloisie et satisfaire les passions populaires. Soit il ne la tient pas et ce grand moment de communication politique se retournera contre ce brave jeune-homme qui n’en demandait pas tant : Il n’obtiendra rien, tant pis…
Dans un cas, il est « au-dessus » des lois du commun des mortels et leurs cagades quotidiennes, dans l’autre, il finira comme « Tagada-à-la-fraise-des-bois » avec Leornarda, dans les poubelles de l’Histoire…
Cruel dilemme.
Cornélien, que dis-je, carrément tragique-grec-antique !
Jupitérien en somme.

En fait, passer au-dessus des lois, il a l’habitude. Et de prévenir tout de suite, à la fois sa « gôche » pour se montrer « humain » et sa « droâte » pour faire preuve d’autorité, que c’est seulement « exceptionnel » : Il n’y aura pas de « bis repetita » !
Pas la peine, pour les « migrants-similaires » qui campent aux abords de « Paris-sur-la-plage » dans leurs bidonvilles ou sous leurs tentes à simple toit, de patrouiller dans les rues de la capitale pour réitérer un exploit pareil.
Les mômes seront gardés au chaud et les vieilles, cantonnées dans leurs Ehpad.
Ceci dit, « merci » (non pas aux « Maître du monde » ni même à « Jupiter ») à Mamoudou…
Il est le bienvenu sur cette planète de cinglés…
Et finalement pourrait sonner le glas des marchands de portes blindées : Blindées ou non, tu passes par les façades sans problème !
Arsène Lupin passait par les toits, lui…