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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 2 novembre 2018

La semaine de Jean-Marc

Juste pour mieux en rire…
 
Un p’tit gars coiffé d’un immense casque de pompier est assis dans un camion miniature, se fait remorquer par un Golden Retriever.
Jean-Marc qui passe par là le regarde attentivement et lui dit :
« – Si tu attachais ton camion après le cou de ton chien au lieu des couilles, tu irais plus vite !
– Ouais, j’ai déjà essayé, mais il ne faisait pas la sirène ! »
 
C’est un prêtre qui assiste à un pique-nique paroissial avec un Rabbin.
II montre un beau morceau de jambon à son collègue en lui disant :
« – Je sais que ta religion t’interdit de manger du porc, mais essaie juste une fois, tu ne le regretteras pas !
– Pas aujourd’hui, mais je te promets d’en manger un morceau… à ton mariage ! »
 
Marie-Chantal 5 ans assiste pour la première fois à un mariage…
« Pourquoi la dame est-elle habillée en blanc », demande t-elle à Germaine, sa maman ?
Voulant garder les choses simples, la mère répond :
« – Parce que le blanc est la couleur du bonheur et aujourd’hui est le plus beau jour de sa vie !
– Alors, pourquoi le marié est-il lui vêtu de noir ? »
 
À l’occasion des « noces dors » de Jean-Marc
« Sais-tu quelle est la principale différence entre 2 voyages de noce, à 50 ans d’intervalle ? » demande-t-il à Jean-Paul.
L’autre ne sachant pas, il lui donne la réponse :
« Au premier : C’est Niagara !
Au deuxième : C’est VIAGRA ! »
 
Les mêmes :
« – Quel est le poisson le plus stupide de la création ?
– La sardine ! Parce qu’elle s’enferme dans une boîte et laisse la clé dehors. »
 
Lue pour vous une annonce authentique !
« Jeune Noire cherche compagnon. Origine ethnique sans importance. Je suis belle et ADORE m’amuser.
Je raffole des grandes promenades dans les bois, des ballades en 4×4, de la chasse, du camping, des sorties de pêche et des soirées confortablement allongée auprès du feu.
Je serai à la porte quand vous rentrerez du travail, ne portant sur moi que ce que la nature m’a donné. Embrassez-moi et je suis à vous.
Composez le (404) 875-6xxx et demandez Daisy. »
Plus de 15.000 hommes répondant à cette annonce ont découvert qu’ils avaient appelé la SPA au sujet d’une chienne Labrador ayant 8 semaines…
 
Voici quelques phrases, rassemblées pour vous par Jean-Marc, qu’il ne faut surtout pas dire à un policier qui vient de vous arrêter sur la route :
 
« Ben sûr que je ne vous ai pas vu ! Mon détecteur de radar n’était pas branché. »
 
« Moi aussi j’aurais aimé devenir policier mais j’ai préféré terminer ma deuxième année. »
 
« Mon frère aussi est policier. Il avait un complexe d’infériorité et c’est pourquoi il a choisi le corps policier. Il voulait porter un revolver… »
 
« Si jamais tu décides de me frapper, fait un sourire à la vidéo-caméra ! »
 
« Puisque je vous tiens, vous allez pouvoir me dire : Est-ce que c’est vrai que tous les policiers acceptent des cadeaux ? »
 
« Merci monsieur l’agent de me donner un avertissement. Hier aussi j’en ai eu un ! Un par jour et je me sens mieux… »
 
Jean-Marc qui sent l’alcool à plein nez s’assoit à côté d’un prêtre dans le métro.
La cravate de l’homme est souillée, la figure barbouillée de rouge à lèvres et le bout d’une bouteille de gin sort de la poche de son manteau. Il ouvre son journal et commence à lire.
Après un certain temps, il se retourne vers le prêtre et lui dit :
« – Mon Père, qu’est-ce qui cause l’arthrite ?
– Mon fils, l’arthrite est causée par une vie de débauche, par le fait de se tenir avec des femmes de mauvaises vies, une trop grande consommation d’alcool et le mépris des autres.
– Ouais, ça parle au diable », fait l’ivrogne en fermant son journal.
Le prêtre, croyant qu’il était allé un peu trop loin s’excuse…
« – Je suis navré, je ne voulais pas être méchant. Depuis quand souffrez-vous d’arthrite ?
– Non moi j’en fais pas… Mais dans le journal, on dit que le Pape en souffre ! »
 
Remarque de bon sens de Jean-Paul à Jean-Marc :
« Les politiciens, sont comme les couches des bébés :
Il faut les changer régulièrement et ce, pour les mêmes raisons ! »
 
Leurs femmes à la manœuvre :
« Tu prends la pilule toi », demande Germaine à son amie Jacqueline ?
« – Non. J’ai peur. C’est mon mari qui la prend !
– Ton mari ?
– Oui. Je lui verse un somnifère dans sa tisane avant de se coucher et il dort comme un bébé. »
 
Les deux mêmes, un peu plus tard :
« Les hommes sont comme… le café.
Les meilleurs sont riches, chauds et peuvent te tenir éveillée toute la nuit. »
 
De l’une à l’autre :
« Les hommes sont comme… le ciment.
Une fois étendus, ils peuvent prendre beaucoup de temps à durcir. »
 
De l’autre à l’une :
« Les hommes sont comme… les lampes magiques.
Ils ont l’air brillant, mais il faut les frotter pour en faire sortir le génie. »
 
Et réciproquement :
« Les hommes sont comme… le pop-corn.
On a du mal à résister, mais on est vite écœuré. »
 
Et elles continuent à deviser :
« Les hommes sont comme… l’horoscope.
Ils vous disent toujours quoi faire et habituellement ils se trompent. »
 
Poursuivant :
« Les hommes sont comme… le mascara.
Ils disparaissent au moindre signe d’émotion. »
 
« Les hommes sont comme… une tempête de neige.
Vous ne savez jamais quand ils vont venir, à combien de centimètres vous aurez affaire et combien de temps ça va durer. »
 
« Les hommes sont comme… les places de stationnement.
Les meilleurs sont déjà pris et les autres sont trop petits ou handicapés »
 
Et finalement :
« Les hommes sont comme… les pruneaux.
Tu les suces le matin et ils te font chier toute la journée ! »
 
Florilège de « perles ».
Il n’y a pas que les élèves dans leurs devoirs qui font des bourdes magnifiques. Les mots d’excuse de parents d’élèves (recopiés avec les fautes d’orthographe…) sont également inépuisables et très intéressants…
Après, on s’étonne de l’acculture générale et du niveau de classement « PISA » des chères « têtes-blondes »…
 
« Monsieur,
Jean-Paul est tombé hier soir de bicyclette ; il a eu le front ouvert et le pantalon déchiré. Le docteur l’a recousu et je vous le renverrai quand il sera repassé. »
 
« Madame,
Germaine sait déchirer la jambe a un fil de ronce. Je lui ai mit de l’alcool et une bande vieille peau autour.
Je vous demanderai qu’elle ne joue pas à la récréation.
Merci »
 
« Madame,
Ma fille ne peut pas aller à l’école.
Elle va du haut et du bas.
Quand elle ira plus elle ira. »
 
« Messieur,
Je n’est pas comprit que Jean-Gérard aille un zéro en composition d’orthographe alor qu’ici il a pas de fotes dans les dictés qu’ont lui fé fer a la maison. Veullé revoir sa copie.
Remerciement. »
 
« Monsieur l’instituteur,
Ses notes à Jean-Bernard descende tout les mois.
C’est vous qui devené plus sévère ou c’est lui qui deviens paresseux.
Dites le nous pour qu’on ces vice vite. »
 
« Monsieur,
Vu que Léon a le ver solitaire, veuillez l’autoriser à manger son cent d’ouiches à la récréation.
Merci. »
 
« Madame,
Marielle est rentrée hier soir avec une bonne grippe.
Je lui ai fait garder le lit et lui ai donné un bon grog avec un sexe de citron. Si cela lui fait de l’effet, je la renverrai vendredi. »
 
« Mademoiselle,
Veuillez excusez ma fille Camille de s’être apsenté car elle avait la fievre et le rhum ! »
 
« Monsieur,
Ma mère étant au plus mal, j’ai gardé le petit devant l’extrait montion. Je vous envoie le certificat médical de sa grand-mère.
Ne lui dites rien, je vous prie. La mort le punira assez. »
 
« Monsieur le Directeur,
Jean-Gérard s’est électrifié en reparant une lampe s’est pourquoi il a une ampoule à sa main bande dont je vous mets au courant. »
 
« Monsieur,
Jean-Gaëtan s’est ouvert le talon de la main avec le couvercle d’une boite de conserve. Quand il sera siquatrisé, je vous l’enverrait de nouveau. »
 
« Monsieur le maitre d’école,
L’ane etant malade veiller autorisé mon fil a le remplacé pour la journée de demain. Ca m’obligerait a cause des foins.
Merci. »
 
« Monsieur,
Jean-Joseph ma porter les fotos. elle sont toute noire.
Tacher de tirer ca au clair sinon jan veu pas. »
(Il s’agissait de négatifs en vue d’un tirage groupé)
 
« Monsieur,
Jean-Louis a été empoisoné par de la creme au oeufs pas frais et moi aussi ainsi que mon mari. Je ne vous envoie donc qu’Isabelle aujourd’hui. Elle na rien parce qu’elle a eu la chance d’etre puni et privé de dessert.
Vous êtes toujours invité à la maison avec madame.
Je vous diré le jour quand ca ira mieux pour nous. »
 
« Mademoiselle,
Georgette a manqué hier pour cause qu’on déménagai. Rendai lui son mot car ji ai marquer les comission derriere pour ce soir. Elle sen rapelera pas sans ca.
Merci. »
 
« Mireille est restée à la maison ces derniers jours car elle n’est pas dans son assiette ; je crois que c’est l’agin gras (l’âge ingrat) qui commence ! »
 
Jean-Marc va se confesser auprès du Père Patrick.
« – Mon père, j’ai commis un péché. J’ai couché avec une femme mariée.
– Qu’est-ce que tu as fait, mon fils ? » s’exclame le prêtre. « Jouissance de la chair, que Dieu te pardonne !
Comme c’est un péché mortel, il me faut connaitre le nom de la misérable pécheresse avec laquelle tu as couché.
– Mais, mon père, je ne peux pas vous le dire, ce ne serait pas honorable.
– Jean-Marc, tu me laisses être seul juge de cela. Maintenant, dis-moi qui c’était ! Était-ce Janette Bodeau ?
– Non, ce n’était pas Janette Bodeau. Ne me demandez pas, je ne peux pas le dire.
– Écoute, malheureux diable, il voudrait mieux que tu me dises qui c’était. Est-ce que c’était Francette Dutrou ?
– Non, mon père, ce n’était pas Francette Dutrou.
Pardonnez-moi, mon père, mais je ne peux pas révéler son nom.
– Bon, alors si tu ne veux pas me le dire, va faire pénitence », dit le prêtre, dis 10 Ave-Maria et fais 3 neuvaines.
Jean-Paul, son copain, attendait son tour devant le confessionnal.
« Alors comment était-ce ? Qu’est-ce que tu as obtenu ? » chuchota-t-il à l’oreille de Jean-Marc.
« Je m’en suis bien sorti », répond Jean-Marc à voix basse. « 10 Ave-Maria, 3 neuvaines et quelques bons tuyaux… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul dans un bar…
« – J’ai réécrit mon testament.
– Ah oui ?
– Je lègue tout à ma femme. Tout. Absolument tout, mais à une condition.
– Laquelle ?
– Qu’elle se remarie.
– Voyons !
– Oui, je veux qu’il y ait au moins un gars sur la terre qui regrette mon départ. »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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