Ça craque
de partout
Tout d’abord, à force de suivre l’actualité du pays (qui est le mien, que
j’aime tant et qui me le rend si mal…) depuis les bords de la Tamise, je suis
étonné du ton employé par vos ministres menaçant de représailles les
« Gilets-Jaunes ».
Ils balisent sévère, ce n’est pas possible autrement, même que le passé de
« proto-délinquant » du « sinistre
de l’intérieur » lui aura sauté au visage pour l’occasion…
Extraordinaire inversion des « valeurs ».
Mais on les sait « disruptifs », capables de tout, au moins
depuis l’affaire
« Benne-Allah ». Et probablement bien avant encore : Que des
« retourneurs de veste », finalement…
Des pas fiables.
Passons.
Nous y reviendrons, mais de toute façon, les gilets-jaunes auront réussi
leur coup : De moins 30 % à moins 70 % de chute de chiffre d’affaires
constatés dans les magasins alimentaires (surtout chez « La vie
Au-Champ ») et jusqu’à 90 % dans les bijouteries, y compris en
centre-ville de province et banlieues, le week-end avant-dernier…
Que ça balisait dans le petit-commerce à l’approche du Black-Friday en fin de semaine dernière…
Et la presse-aux-ordres n’aura pas eu de cesse de vous matraquer des
exactions (insignifiantes : quelques crachats… et un peu de bave) dont ses
journalistes auraient été victimes, des dégâts ici et là (les péages en feu détruit
par une bande de casseurs qu’on ne sait même pas s’ils des « black-bocks »,
des « Air-Haine » ou seulement des « insoumis-extrémistes »)
l’angoisse des dépôts pétroliers bloqués, etc.
(Commencez à faire des stocks, citoyens… Ça vous fera de la pénurie et des
angoisses mal-placées !)
Tu parles : C’est gnognotte tout ça…
Même le dépôt de carburant de Bastia a été « libéré » en deux
temps-trois mouvements, d’après mes cousins insulaires…
C’était avant les échauffourées sur les Champs-Élysées qu’il a bien fallu faire appel aux « ultras » (fichés connus et reconnus mais laissés libre de leurs mouvements) pour justifier de bastonner à la marge des péquenauds venus de leur province avec de vrais gilets-jaunes : Ma Môman à moi-même m’a raconté, jusque juste sous ses fenêtres pendant que ça flambait avenue de la Grande-Armée à des kilomètres de là. C’était dans son champs de vision. Une façon comme une autre de passer sous silence la manif’ contre les violences faites à nos femmes-adorées…
C’était avant les échauffourées sur les Champs-Élysées qu’il a bien fallu faire appel aux « ultras » (fichés connus et reconnus mais laissés libre de leurs mouvements) pour justifier de bastonner à la marge des péquenauds venus de leur province avec de vrais gilets-jaunes : Ma Môman à moi-même m’a raconté, jusque juste sous ses fenêtres pendant que ça flambait avenue de la Grande-Armée à des kilomètres de là. C’était dans son champs de vision. Une façon comme une autre de passer sous silence la manif’ contre les violences faites à nos femmes-adorées…
Vu de loin, ça prend toute sa réalité à sa bonne mesure :
Souvenez-vous d’il y a pas trois ans de ça, les mêmes « journaleux »
faisaient leur manchettes et Unes pendant plus d’un mois sur le caillassage des
pompiers d’Aiacciu, avec des reprises en boucle et des échos tout autour
de la planète !
Il n’y avait personne la semaine dernière au tribunal correctionnel lors
des audiences jugeant les « meneurs » de cette nuit-là !
Ils préfèrent vous raconter des carabistouilles sur les blocages (qui sont
des ralentissements) et oublient volontiers que des milliers d’enfants sont
morts au Yémen sous les munitions tirées par l’Arabie-Saoudite…
Des potes
absolument fréquentables, les gusses à MBS de Ryad, cela va sans dire.
Il n’empêche, ils n’ont pas pu faire l’impasse sur un télex de quelques
lignes faisant état que « LREM-même-pas-en-rêve » était visée par une
enquête préliminaire sur 144.000 euros de dons dont l’origine, lors de la
campagne de 2017, n’avait pas pu être identifiée par la Commission des comptes
de ladite campagne. Très logiquement, un peu comme pour « Mes-Luches »
et « Marinella-tchi-tchi », le parquet de Paris aura ouvert une
enquête préliminaire suite à ce « signalement » de ladite Commission,
dénonçant des faits « susceptibles
de constituer une infraction à la législation sur la transparence de la vie publique »,
a fait savoir le procureur.
Tout juste quelques paragraphes par acquis de
« conscience-professionnelle ».
Et puis vous verrez : Plus rien !
C’est la totalisation de ces dons non-retracés qui atteint 144.000 euros,
donnés par chèques, virements ou encore paiements électroniques.
Comme si un paiement ne laisse aucune trace dans les livres des
banquiers !
Mon œil : Si c’était le cas, tout le système bancaire mondial
s’effondrerait ipso facto. Il n’y a
que les crypto-monnaies qui ne passent pas par les centres de compensation
nationaux et internationaux, même si au départ comme à l’arrivée des fonds,
elles se transforment en devises sonnantes et trébuchantes… qui laissent des
traces !
L’objectif et de vérifier qu’une même personne n’a pas dépassé le plafond
autorisé (7.500 euros par an et par personne. 2016 + 2017 = 2 fois ladite somme).
Personnellement, je ne me fais pas trop de souci sur une campagne à plus
« 16 M€ » : Ce n’est pas ce qui invalidera l’élection de mai
2017.
En revanche, ça confirme totalement ce que je vous en disais, à la fois dans cet
extrait et dans le roman d’été suivant, « Ultime
récit-suite » proposé à votre acuité intellectuelle.
Comme quoi, sans être équipé d’une boule de cristal, juste avec deux
neurones en fonction et mode alternatif (celui du nerf honteux et celui qui
tape sur le clavier d’une calculette) on peut en découvrir des
« vérités-cachées » !
Alors, je me félicite moâ-même, puisque vous ne le ferez pas.
La manipulation est pourtant très simple dans son principe. C’est dans sa
mise en œuvre que parfois « ça coince ».
Elle a probablement été mise en place bien avant (le cas des
« campagnes électorales » financées à partir des
« minitel-surtaxés », type 3629 « code turlute je t’embrouille
ni vu ni connu » à 24 francs-gauloisiens la minute).
Je l’ai vu faire : Tu prends une mairie (le point clé), tu y branches
une dizaine de minitel sur le poste « budget télécommunication » de
la commune et tu fais tourner le compteur 24 heures sur 24. En un mois,
l’opérateur reversait 993.000 balles par machine au propriétaire du site.
Et c’est le budget de fonctionnement municipal qui payait…
Noircir du pognon, ce n’est pas très difficile.
En revanche, le « blanchir », ça devient plus compliqué et puis « Jupiter »
n’avait aucune mairie à l’époque (hors celle de Lyon) contrairement à beaucoup d’autres.
On l’a vu avec les affaires Urba et Cie. Les enveloppes, la surfacturation
des ascenseurs de HLM (qui tombent en panne) ou des travaux sur les
lycées-de-Gauloisie-éclairée, ce sont des classiques. Mais on se fait piquer
pour des broutilles.
Idem quand il a fallu financer « à millions » des campagnes avec
des rétro-commissions sur la vente de frégates à Taïwan, des sous-marins aux
pakistanais, voire des bâtiments militaires à la Russie (une combine qui a
échoué).
D’ailleurs, la justice poursuit encore de ses assiduités votre
« Bling-bling-national » sur le financement libyen de sa campagne de
2007, mais a laissé tomber le « Chi » avec ses mallettes de billets
« abracadabrantesques » de la campagne de 2002 (un coup à trois bandes
lancées par « DLK » qui en aura payé le prix sur les
trottoirs de New-York et la déconfiture de sa banque luxembourgeoise
Anatevka, un peu plus tard : Retours de bâtons du locataire du
« Château » d’alors qui le voyait mal lui laisser la place en 2012…).
Blanchir, même « Mythe-errant » ne s’y est pas risqué quand il a
rapatrié le milliard de
dollars offert par le Koweït en 1991. Et comme il ne pouvait pas non plus
être le chef d’une armée de vils mercenaires qu’on rétribuait, il a planqué le
tout en Suisse.
Se gardant bien de faire franchir une frontière à cette somme-là (et aux
autres, les « sœurs-jumelles » d’une longue fratrie).
Son sherpa-attitré (D’jack-@taluss) lui aura fait monter la BERD créée pour cela le 15 avril 1991 à…
Londres !
Pour financer la réunification allemande…
Et qu’il aura dirigé deux ans d’affilée pour être ensuite remplacé par un
autre Gauloisien.
Dans « mes romans » notamment
celui-ci (mais aussi les
suivants), j’imagine que les fonds sont blanchis à travers un trust puis
sont ensuite recyclés à travers les
PIA successifs.
Astucieux et normalement, avec
« Jupiter », c’est soldé.
Mais en sait-il l’origine historique ? Je demande à voir.
Et avouez qu’il ne faut pas beaucoup d’imagination pour vous raconter ces « dessous
de l’Histoire » qui relèvent du « Secret d’État » quand ce sont
eux-mêmes qui vous informent en direct au fil du temps.
Un gros, gros « fil-rouge ».
La technique actuelle et « post-moderne » de blanchiment – pour
des montants moindres : On cause de millions et non plus de milliards – a
été mise au point par « Bling-bling » avec son
« Sac-à-thons ».
Mon ex-parti est en faillite (après avoir été mis à sac par l’équipe en
place), alors que dort pas très loin un « pactole » prévu pour servir
à des jours meilleurs.
Grand prince, « Bling-bling » rembourse sur ses deniers
personnels l’amende supportée par l’UMP (Union des Majorités de Perdants) et
les dépassements de frais de campagne.
Excusez, mais avec quel pognon ?
Ça représentait plus que ces 5 années de salaires bruts à l’Élysée…
Et que je sache, entre ses pensions alimentaires et ses
« menus-frais » (la Rolex), il n’a pas vraiment épousé une
« fortune de Gauloisie », même si « Bête-en-cours » y a partiellement
pourvu.
Comme je connais personnellement la comptable de la Miss-L’Oréal (celle
qui a été poursuivie sans jamais se faire condamner), je sais que les retraits
en liquide, c’était de l’ordre de quelques 50.000 euros deux ou trois fois par
mois : Le pourliche pour le personnel vacataire…
Pas de quoi éponger les dettes du parti pour 11 millions d’euros.
Alors quoi ?
On prend la liste des « sympathisants » et autres membres
encartés de l’UMP et on monte une liste de « généreux-donateurs »
répondant à l’appel de fonds.
Il suffit de mettre en face de chaque nom retenu (en vérifiant qu’aucun ne
loge pas dans un cimetière de notoriété notoire) un montant jusqu’à arriver au
total souhaité en faisant des virements électroniques et quelques chèques
(d’argent reçu par ailleurs).
Deux choses assez étonnantes sur cette opération : La trésorière qui
supervisait tout ça, elle ne savait pas faire une multiplication. À la fin elle
avait indiqué que le don moyen était de 50 euros et qu’ils avaient été une
dizaine de milliers à se précipiter pour sauver le parti. Total une partie
seulement des 11 millions…
Chose étonnante, on envoyait un quitus-fiscal (auquel est attaché un crédit-impôt
à valoir sur l’IR de l’année suivant) au généreux donateur ainsi qu’une carte
du parti et ils sont quantité à l’avoir renvoyée…
Curieux, non ?
C’était dans la presse de l’époque, vous pouvez vérifier.
La seconde c’est que c’était tellement le foutoir dans lesdits comptes,
que le Président « Coopé-rative » a été obligé d’enfermer les comptes
dans les archives (gardées) pour que personne ne découvre le pot-aux-roses.
Souvenez-vous là encore, « Raf-la-main-sur-le-cœur »,
« Fifi-le-souteneur » et « Juppette-droit-dans-ses-bottes »
voulaient absolument virer « Coopé-rative » et retrouver la
souveraineté sur les comptes du parti, que ça a fait une bagarre qui aura duré
plusieurs mois.
Et c’est « Bling-bling » qui est revenu pour passer au broyeur
l’ensemble de ces archives-là…
Et refaire le coup de la « cagnotte-pour-des-jours-meilleurs »
en conduisant la campagne 2012 et quantité de surfacturation : Son procès
est en cours d’instruction sur ce point-là et sur la prise en charge par le
parti d’une partie de ses frais de campagne.
On en saura plus plus tard : Pour l’heure, il s’agit de ne pas se
substituer à une décision de justice à venir.
Eh bien quoi ? Bé Miss
« Kiki-la-garde-meurt-mais-ne-se-rend-pas », quand il a s’agit de
trouver des financements au « jeune-loup », le météore qui se lançait
crânement telle une « start-up » soutenu par le groupe Bilderberg (et
quelques francs-maçons dont « Gégé-Colombe » et ses réseaux), en
qualité de DG du FMI elle participait à leurs travaux du mois de juin 2016
(elle est probablement également membre de la Trilatérale compte-tenu de son
poste à Washington) et s’est souvenu de comment avait fait
« Bling-bling ».
Sauf que « Jupiter » alors encore « sinistre des
finances » du moment, n’avait aucun « pactole à blanchir » (sauf
le sien évalué à 15 millions d’euros, qui pouvait servir de caution mais ne
pouvait pas légalement être mobilisé pour une campagne fut-ce la sienne à
lui-même : cf. http://flibustier20260.blogspot.com/2017/05/la-providence-llc-et-les-macrondleaks.html).
Il lui a bien fallu mériter « 8 millions d’euros » de
commissions occultes en « autorisant » une opération entrant dans le
champ de la « Loi-Florange » et céder une entreprise « d’intérêt
national » (ou seulement ses actifs) à une « puissance étrangère ».
Et qui, devinez un peu, aura pointé le bout de son nez à ce moment-là (été
2016, mais on ne l’a su qu’en octobre suivant), c’est Palantir, le faux-nez du NSA, de la CIA et
quelques autres agences du renseignement anti-terroriste !
Depuis, ils se sont remboursés en signant un contrat de 10 millions
d’euros avec la DGSI (et la PJ, les renseignements généreux, la DGSE, etc.)…
En bref, c’est le budget général du pays qui paye, alors que Thalès,
écarté pour une raison « méconnue » est en train de remonter une
série de start-up d’IA pour reprendre le contrôle de « la
souveraineté » sur les logiciels de cyber-flicages.
Voilà toute l’histoire : Elle vous a été étalée dans la presse en pièces détachées.
Il suffit de savoir lire…
Et les quelques 144.000 euros ne pèsent pas bien lourd : Des erreurs
de duplication de fichiers, des « petites-mains » qui n’ont pas fait
leur travail avec assez de conscience-professionnelle et ont perdu la « traçabilité-fictive »
indispensable.
Les 8 millions reçus en contrepartie du contrat signé à l’été 2016 ont été
dispatchés à travers un fichier de 30.000 « sympathisants »
(probablement fictifs) avec d’ailleurs la même erreur du « 50 euros en
moyenne », mais sans les quitus-fiscaux (pour éviter que le fisc fasse des
recoupements avec les déclarations d’IR reçus en 2018 pour 2017). D’ailleurs
vous aurez noté qu’il a été longtemps question que ce soit celle-là et non pas
2018 qui soit une « année-blanche » à l’occasion de la mise en place
du « prélèvement à la source », comme quoi tout est lié y compris
jusqu’à ce décalage impromptu…
Seulement voilà : 30.000 x 50 euros, ça fait 1,5 M€, ni 2,7 M€, ni 8
M€.
Alors on vous a inventé un fichier de 200.000 « sympathisants ».
50 x 200.000 = 10 M€, c’était plié.
Et encore, à l’époque, dans la presse, « Castagneur » et
quelques autres prétendaient que quelques-uns avaient donné « au plafond »,
les généreux kouillons !
Sauf que pour les 144.000 euros manquants relevés par la commission des
comptes, ça va être au tour du parquet de faire des additions…
Ils n’en ont pas terminé, soyez-en sûr.
Pour ma part, je constate deux choses :
1 – Que sans le savoir, je suis franchement « génial ». C’est
dire la chance que vous avez de me lire encore et que l’Histoire vient
conforter « mes hypothèses » évidentes ;
2 – Que « ça chauffe » pour « Jupiter », même s’il ne
risque rien. Au pire, avec les financements publics qui dégoulinent désormais
chez « ses » élus (choisis, vous rappelle-je, par la commission
interne), ils peuvent payer l’amende et il y aura bien un fusible qui sautera.
Justement « Beau-Raie-L’eau » (cf. http://flibustier20260.blogspot.com/2017/04/tout-le-monde-connait-le-bolero-de-ravel.html), le vrai patron des
« rêveurs » omniprésent, reste en réserve pour prendre les coups. Il
ne risque rien.
Et rappelez-vous que le vent du boulet n’était pas passé loin une première
fois, avec les « Makron-Leaks »,
mais n’avait rien révélé de la « cuisine des comptes ».
Je sais, je m’en suis paluché une bonne partie pour des prunes.
Au pire, « Jupiter » a des moyens personnels planqués aux
caraïbes pour faire face aux dépenses « imprévues ».
Du travail « bien fait » où l’on retrouve la patte de quelques « pro-banquiers »
qu’il fréquentait avant d’arriver conseiller de « Tagada-à-la-fraise-des-bois ».
Je reste serein pour lui.
En revanche, les « gilets-jaunes » (et tous les autres), ils
sont priés de passer à la casserole et par le tiroir-caisse depuis 18 mois (sous
le premier prétexte fallacieux venu) pour combler les trous vaille que vaille.
Ils râlent, mais ils payent et ils ne savent pas pourquoi.
Figurez-vous qu’à la limite, je préfère encore les britanniques et leur « brexit ».
Eux, ils savent qu’ils vont dans le mur et qu’ils vont payer plus cher que
prévu, mais au moins ils savent pourquoi !
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