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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 31 janvier 2024

Le pognon pas à eux, ça les rend fous !

Les logements « Airbnb » dans le collimateur
 
Le texte sur les « logements meublés touristiques » est en effet inscrit dans le programme de lundi dernier à l’Assemblée
C’est que de nombreux élus, notamment en bord de mer, dénoncent la pénurie de logements sur leurs territoires à cause de l’explosion du nombre d’Airbnb.
Et c’est vrai jusqu’en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » où les « cousins » autonomistes dénoncent la « bombe sociale » que représente le logement. D’autant qu’un peu partout le secteur connaît une grave crise.
 
Selon la plate-forme SeLoger, qui révèle ces données le 29 janvier dernier, le nombre d’annonces de location sur la « capitale-olympique-sur-la-Seine » a chuté de moitié comparé à il y a un an, et de 73 % en trois ans.
D’autant que des phénomènes spécifiques à la ville de « Paris-olympique » impactent l’offre comme l’interdiction de relocation des logements G + (la capitale en compte 27 %) et l’encadrement des loyers. Cela démotive certains propriétaires à garder leur bien ou à le louer en longue durée.
Or, avec les Jeux olympiques et para-olympiques, certains préfèrent le mettre en location saisonnière.
Je sais, même « ma nichée » parigote va mettre à disposition le sien et venir squatter chez moâ avec son « plus 1 » et probablement quelques ami(e)s.
 
D’un autre côté, le 16 novembre dernier, la fédération des promoteurs immobiliers (FPI) avait fait savoir que seuls 27.500 logements neufs avaient été mis en chantier au troisième trimestre 2023. Résultat, les ventes ont décru de 30,6 % par rapport à la même période en 2022 : – 36,5 % aux propriétaires occupants et même – 58,6 % aux investisseurs particuliers.
« Le taux de désistement des acheteurs est de 50 % tant est si bien que si la tendance se poursuit, moins de 90.000 logements neufs seront vendus en 2023 »
 
Face à autant de signaux inquiétants, la présidente de l’Assemblée a affirmé faire de la crise du logement l’un des principaux thèmes de ses vœux : « On sait à quel point cette situation autour du logement est problématique pour nos concitoyens », « il faut légiférer (et) nous y atteler ardemment et urgemment ».
« J’ai interpellé le Premier ministre sur un grand projet de loi logement », a-t-elle martelé.
Blablabla…
Depuis le temps qu’on connaît le problème : Hiver 1954, je crois, n’est-ce pas ?
 
Tenez-vous bien, pour faire revenir des logements à la location longue durée, ils envisagent notamment de revoir à la baisse l’abattement fiscal de l’activité soumise au « micro-foncier » ! Même que le rapporteur du budget veut carrément supprimer l’article.
Lors de précédents débats, à coups de rappels au règlement et d’interventions en série dans l’hémicycle, les « Républicains-démocrates » et le « Air-haine » s’étaient opposés à des mesures qu’ils jugent pénalisantes pour les « petits propriétaires ».
Et certains cadres du groupe « René-sens » regrettent que le sujet logement soit abordé dans « plein de petits textes », plutôt qu’un projet de loi plus vaste.
 
Peu avant, cet automne, lors de l’examen du budget 2024, un bras de fer avait ainsi déjà eu lieu sur la niche fiscale des meublés touristiques.
Avec sa série de 49.3 pour faire passer le projet de loi de finances sans vote, le gouvernement avait laissé passer par erreur la réduction de l’abattement fiscal à 30 %, plus forte que ce qu’il souhaitait : Une « erreur matérielle »…
Le budget 2024 prévoit quant à lui une réduction de l’abattement à 50 % en zone tendue, jugée insuffisante même par certains députés de la majorité.
Et les critiques pleuvent sur la plateforme phare qui aura métamorphosé le tourisme mondial.
 
En « Gauloisie-olympique », le modèle fiscal des meublés touristiques est en plus assez avantageux : Ceux-ci bénéficient d’un abattement allant jusqu’à 71 %, avec un plafond de 188.700 euros – un statut paraît-il plus intéressant que celui imposé aux hôtels.
Je demande à voir, puisque dans le forfait à abattement, on ne déduit rien d’autre pour être imposable sur 29 % des recettes, sans déficit reportable ou imputable, alors qu’un hôtel peut déduire toutes ses charges, plus un amortissement exceptionnel sur ses rénovations et faire ainsi des déficits fiscaux reportables en plus que de se faire rembourser la TVA sur ses achats… et quelques crédits d’impôts à l’occasion.
Autrement dit il n’est jamais imposable sur 29 % de ses recettes, loin de là !
 
Et puis, il faut aussi reconnaître que cette concurrence entre deux types d’offre aurait l’avantage de faire baisser les prix pour les voyageurs : Sauf qu’à « Paris-olympique », l’augmentation de 10 % de l’offre Airbnb diminuerait les tarifs proposés par les hôtels de seulement 0,5 % pour un 5 étoiles à 1,5 % pour un établissement non classé. Rien quoi…
Et les spécialistes n’ont pas remarqué un désamour des touristes pour les hôtels depuis la multiplication des offres Airbnb : Toujours à « Paris-sur-la-plage », le taux d’occupation moyen dans l’hôtellerie serait resté à peu près au même niveau depuis dix ans.
 
Pour résumer, plus les offres se multiplient sur le marché touristique, plus celui-ci grossit. C’est le gâteau qui grossit rendant les deux possibilités de séjours courts complémentaires pour attirer les visiteurs.
Et naturellement, c’est notamment le cas lors de grands événements sportifs et culturels, comme les Jeux Olympiques, car la capacité hôtelière ne pourrait de toute façon pas absorber à elle seule l’afflux soudain de spectateurs.
 
Ce sont les zones touristiques qui font les frais de cette multiplication de l’offre.
Faute d’habitants à l’année, le cœur historique de Saint-Malo s’est ainsi vidé de ses services publics et des commerces de proximité.
À La Rochelle, les habitants peinent désormais à se loger. La mairie estime que 10 % des logements sont des meublés vacanciers, une situation allant jusqu’à pénaliser l’emploi en Charente-Maritime car les potentiels nouveaux venus ne peuvent pas y habiter.
À Barcelone, où des manifestations ont éclaté dès 2014 contre le surtourisme, les locaux sont poussés à vivre en périphérie. Et pour ceux qui restent, les commerces essentiels disparaissent, à l’inverse des nuisances sonores.
C’est pourtant là que j’ai pu voir la plus grande densité de places de crèche (quand je m’occupais de ce type d’activité…)
En « Ritalie », 1.000 à 1.500 Vénitiens seraient contraints chaque année de quitter leur ville pour s’installer sur la terre ferme, transformant la Sérénissime en ville-musée.
Mais ça fait vivre le « petit-commerce »…
En Balagne, l’hiver, c’est un désert qui s’anime autour des ékoles et de quelques festivités diverses et municipales pour pas que les citoyens ne meurent d’ennui…
 
Si la location par des particuliers d’une chambre inoccupée pour arrondir leurs fins de mois n’a pas d’effet sur la disponibilité de logements pour les habitants locaux, il n’en est pas de même lorsque des biens entiers sont convertis en gîtes touristiques.
Il paraît qu’en trois ans, le nombre d’habitations détournées du parc locatif traditionnel aurait été multiplié par trois !
Les multi-annonceurs pullulent sur le site, pénalisant les locations longue durée.
Un effet inflationniste sur les loyers a même été remarqué : + 1,65 % à Lyon, + 1,29 % à Marseille, + 1,5 % à Montpellier et + 1,26 % à Paris.
Une façon comme une autre de contourner cette stupidité de blocage des loyers…
 
Toutefois, en « Gauloisie-olympique », les personnes souhaitant louer leur résidence principale ne peuvent le faire que cent vingt jours par an au maximum.
Pour les résidences secondaires, il faut obtenir une autorisation de changement d’usage (pour les transformer en hébergement hôtelier), assortie d’une compensation, laquelle consiste à transformer des surfaces commerciales en logement afin de corriger la perte de surface d’habitation occasionnée par le meublé.
Par exemple, à Madrid, il est impossible de louer un bien immobilier plus de quatre-vingt-dix jours par an. Pour dépasser ce seuil, il faut attester qu’il dispose d’une entrée indépendante du reste de l’immeuble.
Palma de Majorque n’autorise plus que la location de maisons individuelles.
À New-York, seules les personnes vivant dans leur logement peuvent le louer, mais moins de trente jours par an, et seulement après avoir obtenu une autorisation auprès de la mairie.
Elles doivent être obligatoirement présentes pendant la location et accueillir deux personnes au plus.
Mais mise en place en septembre dernier, la mesure est déjà contournée sur les sites de petites annonces…
 
En « Gauloisie-olympique », en 2022, le revenu médian perçu par les hôtes non professionnels se serait élevé à 3.086 euros net. Soit une hausse de pouvoir d’achat de 6,6 %, supérieure à l’inflation qui était de 5,2 % l’an passé.
Et devinez donc quelle est la catégorie de la population dont les revenus se sont le plus améliorés ?
Les 60-90 ans.
Ça complète utilement la retraite pour mettre un peu de beurre dans les « pâtes-beurres-sans-crème »…
 
Avec les Jeux olympiques, on s’attend déjà à ce que les prix atteignent des sommets autour des sites, au vu de ceux pratiqués pendant la Coupe du monde de rugby.
Les tarifs se sont en effet envolés les soirs de match dans les villes hôtes : + 116 % à Saint-Étienne lors de la rencontre Australie-Fidji, + 95 à 98 % à Marseille les soirs de quarts de finale, + 60 % à Saint-Denis pour la finale…
Notez que ça reste peu coûteux de regarder les équipes jouer à la télé : On a en plus les ralentis…
 
Il faut également rappeler qu’Airbnb c’est 100.000 villes qui abritent des logements Airbnb dans plus de 220 pays. C’est 170 milliards d’euros de gains cumulés pour les hôtes depuis 2008. C’est 6,6 millions de logements qui sont proposés sur le site, gérés par 4 millions d’hôtes, dont 1,2 million d’offres en « Gauloisie-accueillante ». Ce qui classe le pays au deuxième rang mondial du plus grand nombre d’annonces recensées sur Airbnb, derrière les États-Unis.
Je ne sais pas comment ils comptent : Je suis allé plusieurs fois en Grèce-hellénique dans ma jeunesse. Et j’ai toujours trouvé à loger chez l’habitant ravi de m’accueillir, car ce sont surtout des Britanniques que je croisais en leurs villes et villages.
Et sans Internet, ni téléphone portable, seulement quelques drachmes en poche…
(Grosse concurrence avec les « teutons vagabonds » d’ailleurs).
 
Alor si le législateur légifère, et bien « Sœur-Âne » fait passer ses flics : On n’est pas « soce-de-progrès » pour rien à la Mairie de « Paris-olympique ».
Elle, elle estime que c’est 25.000 meublés touristiques ne respectent pas les règles.
Et le rythme des contrôles s’accélère à l’approche des Jeux Olympiques.
C’est que les règles sont strictes. Chaque location de meublé touristique doit être enregistrée auprès de la Ville.
La mise en location de sa résidence principale ne doit pas dépasser 120 jours par an. Et dans le cas d’une résidence secondaire, la procédure est très contraignante, avec une obligation de compensation par la location en logement classique d’une surface équivalente, voire double ou triple selon les zones.
Autant dire qu’on fait tout pour écœurer le citoyen de voter pour la mairesse.
À croire qu’elle tient à ce que « Rachi-dada-mimi » lui succède… à moins qu’elle n’en ait rien à foutre, du moment que ça rapporte des sous, sa part de gâteau en somme !
 
En effet, mieux vaut ne pas se faire attraper en contournant les règles, car la sanction peut monter jusqu’à 50.000 euros.
Une centaine de ces amendes ont été distribuées en 2023, renflouant les caisses de la ville de plus d’un million d’euros.
Car environ 43.000 annonces de location de type Airbnb sont enregistrées auprès de la capitale. « On estime (dans le tas) que 25.000 meublés touristiques ne sont pas en règle », affirme l’adjoint chargé du logement.
Les services de la ville s’organisent pour débusquer ceux qui passent sous les radars, car ça peut être rentable de faire caguer le citoyen.
Déjà qu’on lui interdit de louer ses passoires thermiques, que quand il a le droit de louer, on lui bloque ses revenus locatifs et qu’en plus, quand il a affaires à un mauvais payeur, on va mettre des années à autoriser son expulsion effective…
Au moins, en Balagne, en deux ou trois fois une semaine de location estivale, ça paye les taxes, les impôts, les charges, les travaux et parfois les emprunts.
La quatrième semaine, c’est même tout bénéfice, très loin des 120 jours requis par la loi…
 
 
Toutefois, il faut savoir que pour arriver à faire condamner un propriétaire, le chemin est semé d’embûches.
D’abord, il y a une astuce (parmi plein d’autres) qui consiste à « prêter » son logement à « des amis » : Ce n’est pas une location, mais la contrepartie peut aussi être non-monétaire ou payée en Bitcoin sur un compte off-shore anonyme qui sera dépensé au fil du temps en le transformant en rente assurancielle d’origine étrangère…
J’avais même des amis qui, comme ça, échangeaient leur loft montmartrois sur un réseau qui propose ce type d’opération : Ils ont ainsi pu visiter la plupart des grandes villes de la planète…
 
Ensuite, il savoir qu’une contrainte juridique permet à de nombreux propriétaires d’échapper aux amendes de la ville : Pour la location des résidences secondaires, la ville doit apporter la preuve que l’appartement était bien un local à usage d’habitation au 1er janvier 1970.
S’il ne l’était pas, la location « touristique » n’est pas interdite.
C’est le cas de « Ma Nichée » qui habite un ancien couvent, lieu cultuel par excellence, transformé depuis plus 20 ans en appartements à peu-près habitables et qui va ainsi accueillir des touristes à tous les étages…
Mais pour parvenir à cette démonstration, les fouilles dans les archives de la Ville peuvent durer une éternité pour les agents.
Alors pour frapper encore plus fort, les élus de l’Hôtel de Ville attendent avec impatience l’aide des parlementaires.
 
C’est justement l’objet de cette proposition de loi trans-partisane débattue avant-hier, pour réglementer les locations saisonnières qui fait donc son retour à l’Assemblée nationale.
Si elle est adoptée, la loi interdira notamment la location de logement type Airbnb aux passoires thermiques, réduira l’abattement fiscal existant, et augmentera le pouvoir de régulation de certaines communes.
 
Trop tard pour racketter les opportunistes olympiens…
Pas de chance !
Et ce n’est que plus tard qu’on mesurera tous les effets pervers de ces mesures législatives à la kon, qui poussent les gens hors de chez eux… ou détruise le patrimoine (comme les lois de blocage des loyers : Il y en eu tellement depuis 1948…)
C’est comme tout : Il faut que ça tourne pour faire du PIB supplémentaire !
Et puis de toute façon, l’argent des autres, ça les rend cinglés : Ça les rend malades de ne pas pouvoir en croquer, alors, hein… paradoxalement ils en arrivent même à consolider les rentes de situation !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

mardi 30 janvier 2024

De l’histoire des métiers qui se meurent…

La colère des agriculteurs
 
Moâ, je me marre !
Pas du malheur d’autrui et sûrement pas de l’agonie de nos « agrikul’ ».
D’ailleurs qui sont-ils, ces râleurs qui veulent bloquer la « Kapitale-sur-la-Seine-olympique » de « Sœur-Âne » ?
Sûrement pas des « ouvriers agricoles » qui peuplent nos campagnes, ni les saisonniers ou un intermittents des champs, quand on voit les tracteurs sur lesquels ils sont juchés : Vue le prix des bagnoles même pas neuves, celui de ces machines agricoles, qui en trainent d’autres encore plus onéreuses qu’un camion, ce ne sont sûrement pas des « traine-savates » qui vivent d’expédient en bout de champ…
 
Moâ, je dirai plutôt que ce sont les mêmes « fêtards » qui viennent à la ville vendre leur camelote ou faire la foire à… de Paris-olympique une fois par an et en grand équipage !
Bref, des patrons de PME, voire de TPE qui redoutent le déclassement social qui les guette (alors qu’ils n’ont rien à faire dans leurs champs que c’est d’un ennui mortel en plein hiver), mais ni les seigneurs de l’agriculture, à la tête de leurs sociétés anonymes du luxe, dont le pinard est côté en bourse tout comme les récoltes futures de coton ou de laine.
D’ailleurs, on ne cultive plus de coton en Gauloisie-supérieure et la laine de nos moutons est tout juste bonne pour les touristes d’hiver des alpes et des Pyrénées.
Même pas ceux des Alpilles…
Quant aux artisans, les « petits », ils n’ont déjà pas les moyens de survivre sans autoconsommation, alors descendre bloquer la kapitale…
 
En bref, manifestent parfois bêtement, tous ceux qui ont loupé quelque chose dans le remodelage de nos campagnes, qui a commencé il y a bien longtemps, puisque déjà l’industrie et l’artisanat recrutaient dans les champs à la morte saison dès la révolution industrielle naissante (IIème empire pour ceux qui ne savent pas).
D’ailleurs, dès qu’on « butine » du client comme j’ai pu le faire au-delà des frontières de « l’Île-de-Gauloisie-olympique », souvent on tombe sur des boîtes qui avait mis en place la modulation annuelle des horaires bien avant les lois « Eau-Brie » sur les RTT : La saison des labours et des moissons étaient déjà des « basses saisons » dans les ateliers…
Et on rattrapait ensuite, ou souvent… avant avec des horaires de 48 heures hebdomadaires en morte saison agricole.
 
Par conséquent, quand vos médias vous causent de la colère des agriculteurs, ils ne comprennent pas grand-chose à quoi qu’ils vous causent.
En fait, une fois de plus, ils ne font que relayer les communiqués des agences de presse, qui elles vont pomper de l’information « chez qui de droit », à savoir les « communicants » des syndicats paysans (la FNSEA et quelques autres) et des ministères concernés (agriculture naturellement, ministère de l’ordre publique et des préfectures, bien sûr).
Or, c’est là qu’on retrouve les plus hautes densités de « sachants » qui passent leur vie à essayer de comprendre et d’élaborer des réponses aux problèmes du moment, pour contenter « les politiques », les « Sinistres, députacrouillees », sénateurs et autres élus locaux.
 
Et c’est là qu’on peut en rigoler, car tous ces « sachants », qui savent tout de comment pousse un haricot et norment tout ce qui peut échapper à leur contrôle, jusqu’à la taille et la forme de bananes, la composition des additifs et herbicides, les normes biologiques et ce dans la plus grande « dé-concertation » possible… avec les meks qui vivent sur le terrain et sont à 100 lieues de comprendre l’immense intérêt de protéger la planète… ils veulent faire du « partout pareil ».
Le mimétisme des élites : Quand l’un dit une konnerie, elle sera reprise à l’infini sans y réfléchir jusqu’à devenir une réalité incontournable et « autoréalisatrice » !
 
M… (étron, crotte) ! Résultat, ça fait au moins 4 décennies sinon 5 où chacun est sommé de payer des impôts et des taxes pour subventionner « élevage et pâturage » (les deux mamelles d’un pays disparu à l’occasion de deux guerres mondiales), et globalement c’est pour payer toujours plus cher ce que les mêmes « sachant » décident qu’on peut encore mettre dans son assiette !
Il y a un moment, il faut que ça s’arrête, non ?
Bé non, même si tout le monde va en mourir…
 
Il faut ainsi comprendre qu’à l’orée des 30 glorieuses – à la libération –, il y avait encore des tickets de rationnement – qui auront heureusement rapidement disparu – parce que le tiers de la population ne parvenait pas à nourrir les 2 autres tiers bien que l’on comptât plus de 2,3 millions d’exploitation.
Désormais, on en compte à peine 390.000, et encore 10 % sont en situation de faillite avec 18 % des ménages d’agriculteurs qui vivent en dessous du seuil de pauvreté…
Et ce sont les mêmes qui vont fournir à manger aux athlètes olympiques cet été ?
Vous êtes sûrs ?
 
Quand je vous dis qu’il y en a qui ont loupé quelque chose, ce n’est pas que du vent.
Même s’ils vivent au grand air, font souvent de l’électricité avec, un air parfois pollué de fragrances nauséabondes…
Et malgré le prix à la caisse, la filière est tellement nulle à vouloir nourrir le pays que nous sommes obligés d’importer 20 % de nos consommations, 71 % des fruits et 28 % des légumes !
Mais de qui se moque-t-on au juste ?
 
En réalité, il me semble que « les agriculteurs » ont parfois conscience que leur modèle est en pleine transformation. D’ailleurs ils revendiquent aussi de ne pas nécessairement vivre sur l’exploitation, de pouvoir partir en vacances, d’avoir du temps à soi, autrement dit un modèle plus proche du monde salarial en général. S’ils crient à la fin d’un monde, ils sont aussi les premiers à espérer vivre autrement.
La solution serait à mon avis de les fonctionnariser : Tu leurs assures un RSA, « A » pour agricole, comme dans les sovkhozes, par exemple en louant leur terre, et ils cultivent et élèvent leurs chèvres et leurs buffles pour leur plaisir ou se faire de la « gratte »… chacun dans son kolkhoze !
Ça paiera le gasoil !
Et les « sachants » se débrouilleront pour éviter les émeutes de la faim, comme ils savent si bien l’organiser…
 
Car ceux qui sont en colère aujourd’hui ne le sont pas seulement contre l’Europe, l’État, la grande distribution, les normes, mais également contre eux-mêmes, leurs enfants, leurs voisins. Ils voudraient incarner la transformation mais ils n’ont jamais eu les moyens d’accélérer le changement et ils subissent des normes qui vont plus vite qu’eux : Merci aux « écololos » d’avancer l’heure de leur agonie !
 
En fait, ceux qui manifestent pour avoir du gazole moins cher et des pesticides en abondance savent qu’ils ont perdu la bataille, et qu’ils ne gagneront qu’un sursis de quelques années, car leur modèle n’est tout simplement plus viable.
Ils sont aussi en colère contre leurs syndicats (voire leurs coopératives) qui étaient censés penser pour eux la transformation nécessaire.
Mais les « sachants » de la FNSEA, pas plus que ceux des ministères, ne maîtrisent vraiment le mouvement.
Tous savent qu’ils ne peuvent plus modifier la direction générale du changement en cours, et ils souhaitent seulement être mieux accompagnés ou a minima, le ralentir.
 
Si l’on revient à l’idée d’un monde agricole qui se meurt, difficile de ne pas penser également au nombre de suicides parmi les agriculteurs, avec deux suicides par jour en moyenne.
« Enfant, on en rêve ; adulte on en meurt » : Tout est dit sur les pancartes…
Ces chiffres dramatiques sont effectivement les plus élevés parmi les groupes professionnels.
Ils sont aussi révélateurs des immenses changements du monde agricole depuis un siècle.
Les études historiques des suicides, à la fin du XIXème siècle, montre que le groupe agricole était alors celui qui se suicidait le moins. Il y avait peu de suicides car le monde agricole formait un tissu social très riche avec des liens familiaux, professionnels et villageois au même endroit.
 
Or, aujourd’hui, on voit plutôt des conflits entre scène professionnelle et personnelle, une déconnexion avec le village et des tensions sur les usages productifs, résidentiels ou récréatifs de l’espace.
Ce qui était cohérent et cohésif est devenu explosif, provoquant un isolement des agriculteurs les plus fragiles dans ces rapports de force.
Par la suite, la fuite en avant productiviste, l’angoisse des incertitudes marchandes, l’apparition des normes à rebours des investissements réalisés, l’impossible famille agricole entièrement consacrée à la production et les demandes sociales, générationnelles[1], pour le changement agricole, placent les plus fragiles dans des positions socialement intenables.
Le « sur-suicide » agricole est en tout cas un indicateur d’un malaise social collectif, bien au-delà des histoires individuelles que sont aussi chacun des suicides.
 
Mais ça ne fait rien : Les médias relayent toujours autant de konneries sur le sujet.
Il paraît que « l’agricul’ » crie « sus aux « distributeurs » : D’accord, eux aussi ils essayent de survivre… mais on l’empêche de le faire avec toutes ces normes infernales et ces produits phytosanitaires interdits.
Même qu’ils ont été jusqu’à inventer la loi Egalim (une idée lumineuse, paraît-il), soi-disant pour protéger les revenus des « agricul’-producteurs » à la ferme, et qui interdit au distributeur de revendre non plus à perte (ça existait depuis les lois Royer 27 décembre 1973, ce qui ne date pas d’hier…) mais en-dessous de 110 % du prix d’achat consenti !
Mais bon, vous aurez remarqué que les industriels-transformateurs et les logisticiens en sont pas concernés par ladite loi…
D’autant que parfois ils commercent aussi ailleurs, là où la loi ne s’applique pas.
 
Et puis ils se sont obligés à faire moins de promotion dans leurs magasins, même que les places en linéaire en deviennent encore plus chères pour les fournisseurs…
C’est que l’industriel, il a des machines à amortir, des banquiers à rembourser, des salariés à payer et des engagements vis-à-vis des agriculteurs. Il faut qu’il dépote s’il ne veut pas se faire bouffer par un géant transnational (qui a des fournisseurs de matière première partout dans le monde et règle ses factures sur les marchés mondiaux au « cours du moment » de sa transaction)…
Ils ne sont pas nombreux, mais beaucoup dépend du cours des oléagineux à Chicago ou du prix du tourteaux de soja fixé au ministère, à Washington…
Ça a un autre poids que la criée de Plérin (marché breton du porc de charcuterie) !
 
D’autant mieux que la création de nouvelles surfaces de vente devient toujours plus compliquée et plus onéreuse…
(Loi Royer oblige…)
Que les grandes enseignes, avec Internet, réinventent le « click & collect » et installent même des pissotières en centre-ville pour faire des volumes.
Vous avez entendu parler du dépeçage de Casino ?
Je vous annonce des déférencements sauvages dans les 24 mois, des hausses de prix hilarantes et même des réductions de format déjà en cours…
Ça avait commencé avec « Badadi-badadoi, la meilleure eau c’est la Bas-doigt ! » il y a au moins deux ou trois bonnes décennies de ça.
 
Alors, évidemment, les « petits-producteurs », ceux qui n’ont pas les moyens de suivre, eh bien ils et se ramassent gamelles sur gamelles quand il s’agit de refourguer leur camelote…
Qui reste trop chère à vendre au chaland qui passe, assommé que ce dernier reste de taxes et d’impôts qui servent notamment à financer la PAC et les quelques « coups de pouce » telle la ristourne sur le gasoil « non-routier »…
Car c’est incroyable comme nos céréaliers, même eux, les papes du métier, sont incapables d’avoir des coûts similaires et des prix comparables à leurs collègues russes ou ukrainiens…
Figurez-vous qu’il faut comprendre que si nous achetons de la taxe de production (sur le blé, sur la farine, sur ce que vous voulez, des capsules congés, des droits indirects) c’est que le producteur est obligé de vous les vendre et d’engraisser au passage le Trésor public…
Notez que c’est autant de moins à aller chercher ailleurs, mais quand vous savez que dans un paquet de tabac ou un litre de gasoil, il y a plus de taxe que de tabac ou de pétrole, transport et raffinage inclus, il n’y a pas de quoi s’étonner.
Donc, on est capable d’importer des clémentines du Maroc pendant que celles de « Corsica-Belle-Tichi-tchi » pourrissent sur l’arbre ou dans les frigos agricoles…
Heureusement, les Ukrainiens font la guerre aux russes (ou l’inverse… et réciproquement) parce que bientôt on fera venir notre fourrage d’Argentine ou du Middle West.
D’ailleurs, déjà, parfois la viande dans quelques restaurants parigots…
 
C’est là où je ris jaune car ça revient, pour les « sachants », à lever des impôts pour « sauvegarder » le pouvoir d’achat des électeurs-contribuables !
Alors que justement tout le monde en crève, nos paysans étant parmi les premiers à être écœurés de leur sort.
C’est dire le délire chez la « caste des sachants »…
D’autant que ça ne marche pas, parce que les mêmes « sachants » imposent de vendre plus cher que cher : Manger devient un produit de luxe.
 
Au kon de chaland, on lui a d’abord fait bouffer du Bio, puis « du local » : Résultat, c’est encore plus que trop cher, même pour le « bobo-écololo » de la kapitale. Il faut accepter de se nourrir avec le crotte lointaine, dégueulasse, mais qui colle au ventre !
Vous avez déjà essayé de baffrer un McDo ou une pasta-box ?
Notre « démocrature » arrive même jusqu’à interdire au fil du temps dans votre assiette tout ce qui est peu couteux…
Alors les industriels se sentent obligés de faire des « innovations » en permanence pour « faire de la valeur ». Il n’y a que Ferrero qui s’engraisse à l’huile de palme (qu’on aura crié sur tous les toits que c’était dégueulasse pour la santé et que ça tuait la planète plus mieux que les gaz de moteur diesel) et sans se démouler le chou : Ça persiste à se vendre à n’importe quel prix…
Car il faut du pognon pour être présenté à la vente et c’est le consommateur qui de toute façon paye à l’arrivée…
Il n’y a pas de création monétaire ex-nihilo, juste des flux.
 
Vivre a finalement un coût, et il va devenir de plus en plus inabordable…
C’est aussi une excellente stratégie fiscale de « sachant » : C’est comme ça que les assiettes des prélèvements obligatoires augmentent sans avoir à augmenter les taux… ce qui serait politiquement contreproductif !
C’est qu’on leur en apprend, des « recettes de sachants », à la grande « ékole de EN », figurez-vous…
Mais ils ne sont pas allés jusqu’au bout de la « courbe de Laffer »… trop peur de perdre de leur importance, si des fois ça fonctionnait !
 
Et quand on y réfléchit un peu plus de deux secondes, il y a finalement de quoi pleurer parce que ce n’est pas que chez nous.
Voici plusieurs mois qu’un mouvement de colère monte dans le monde agricole européen. Cela a commencé en Batavie autour des normes « écololos », ça s’est poursuivi en Teutonnie pour les mêmes raisons et le prix des engrais que ne fournissent plus les russes, pour arriver chez nous à retourner les panneaux de villes, geste censé évoquer un monde qui tourne à l’envers.
Et plus récemment, les vieux réflexes sont revenus : Blocage autoroutier, déversement de fumier, de lisier, de pneus usagés, défilé de tracteurs, opérations escargot, barrages pas filtrant, produits déversés sur la chaussée, etc.
 
Très bien les meks : On a compris, c’est que « le monde agricole », celui qu’on croise à la campagne ou au salon de l’agriculture à « Paris-olympique-sur-la-Seine » est bien plus divers qu’il n’en a l’air, plus complexe et traversé par de nombreuses contraintes…
Parce que l’idée d’aller bloquer Rungis pour empêcher leurs clients de travailler, c’est d’une absurdité absolue…
Vas-y, flingue celui qui te fait vivre, tu ne mourras pas tout seul !
 
Car, il faut bien l’avouer, aucun paysan n’est capable de livrer le filet de patate chez vous à des horaires convenables pour le réceptionner utilement : Il faut des intermédiaires pour faire ce métier-là.
On l’a vu à l’époque du « Conard-virus » : D’abord, les métiers de l’alimentation ont été considérés comme « activité essentielle » exonérée de toutes contraintes.
Ensuite, j’ai vu un producteur qui peinait à arriver sur mon trottoir pendant le confinement, pour donner rendez-vous à ses clients qu’il avait démarché par téléphone, plutôt que de nourrir ses cochons…
Il a compris : Il ne le refait plus…
D’autres persistent dans leurs non-sens : C’est comme ça !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
[1] Réécouter « La montagne » de Jean Ferrat…

lundi 29 janvier 2024

Vous n’y étiez pas, Moâ non plus, mais je me suis fait raconter…

Le CES 2024 de Las Vegas !
 
Il s’est achevé et a vu défiler de nombreuses innovations technologiques, parfois complètement dingues.
On y a vu un appareil qui vous permet d’être ausculté à distance !
Des télévisions transparentes ;
Une poussette « biberonnée » à l’IA qui va vous changer la vie ;
Un futur robot pour enchanter les hôpitaux ;
Une voiture qui se pilote à distance ;
Une voiture volante ;
Des jumelles intelligentes qui reconnaissent les oiseaux ;
Un « Mouthpad » qui va vous permet de contrôler votre téléphone avec la langue (parce que vous le valez bien à vous lécher les doigts en permanence…).
Et il paraît qu’après l’Ukraine, le Hamas, demain « Kim-tout-fou » et pékin contre Formose, c’est au tour de Sony de déclarer la guerre au Vision Pro d’Apple
 
On aura aussi vu que « Sam-sung » lance de nouveaux robots pour le ménage et un assistant personnel, « Bot Care »…
Si vous êtes avides de nouvelles technologies, des gadgets les plus farfelus aux innovations les plus pointues, le CES 2024 vous en aura mis plein les mirettes.
 
Ainsi la start-up « Gauloisienne-olympique » Withings dévoile BeamO, un « multiscope » 4-en-1 (thermomètre, électrocardiogramme, stéthoscope, oxymètre).
Prévu pour un lancement en juin en Europe, aux États-Unis et au Royaume-Uni au prix de 250 euros, BeamO est présenté comme un complément à la téléconsultation.
Il vise à fournir aux médecins des données vitales et des sons cardiaques et pulmonaires enregistrés.
Withings espère étendre son produit à un usage quotidien afin de détecter des problèmes tels que la fibrillation auriculaire et des signes de désaturation en oxygène.
Cependant, l’approbation des autorités sanitaires est nécessaire, et des essais cliniques sont prévus avant le lancement.
 
Encore un gadget à angoisser, comme si la lecture de la presse et l’écoute des annonces télévisuelles n’était pas assez anxiogène comme ça !
Ma « Nichée » me faisait savoir qu’elle est « née au monde » et ces nombreuses menaces avec le 11 septembre. Et que depuis, aucune nouvelle rassurante sur son avenir n’avait réussi à attirer son attention, bien au contraire.
Bref, traumatisée avant l’âge pour se rendre compte qu’elle est née pour mourir sur une planète en voie de destruction…
BeamO sera-t-il suffisant pour la rassurer ?
 
LG Electronics a présenté le premier téléviseur Oled transparent du marché. Avec un écran de 77 pouces, ce téléviseur offre une expérience d’utilisation inédite en se fondant dans le décor lorsqu’il est éteint.
Conçu pour libérer l’aménagement d’une pièce, il peut être placé au centre, séparant deux espaces de vie, ou contre une fenêtre sans obstruer la vue.
Ou placé devant un miroir pour agrandir encore les volumes…
Fabriqué par LG Display, l'écran Oled présente un taux de transparence de 45 %, dépassant celui des modèles précédents.
Bien que d’autres fabricants, dont Samsung, aient également présenté des produits similaires, celui de LG est prêt à être commercialisé cette année, tandis que les autres sont encore au stade de concepts technologiques.
J’avoue que ça reste un summum : Concevoir un « home cinéma » transparent pour ne pas être vu a tout de même quelque chose de surréaliste…
 
La start-up canadienne Glüxkind a présenté « Ella », une poussette connectée et intelligente !
Avec un prix de départ fixé — tout de même — à environ 3.110 euros, elle utilise l’IA pour se déplacer toute seule, sans les mains des parents, et peut détecter les obstacles.
La poussette s’arrête automatiquement lorsqu’elle est hors de portée ou face à un obstacle.
C’est mieux que les Tesla, finalement…
Elle offre également des fonctionnalités pratiques comme la capacité à contenir environ six sacs de courses et des options pour endormir le bébé.
Sa vitesse est limitée à 4 km/h, et elle ne peut pas être utilisée de manière autonome si elle est occupée : Kon, ça ! (Ils auraient dû prévoir non pas une poussette, mais un caddie autonome à ce prix-là !).
Les premières livraisons sont prévues pour avril aux États-Unis et au Canada, et pour le courant de l’année 2024 en Europe.
La poussette a reçu le titre d’Innovation Award Honoree dans la catégorie « Technologie des véhicules et mobilité avancée ».
 
L’autre start-up « Gauloisienne olympique », Enchanted Tools, a développé des robots humanoïdes baptisés Miroki et Miroka.
Lauréate de la French Tech 2030, elle a remporté le prix de l’innovation CES.
Leurs produits sont conçus pour aider dans des environnements sociaux comme les hôpitaux et les maisons de retraite.
Les droïdes sont capables de déplacer des objets et d’aider le personnel soignant, ce petit robot devrait en faire fondre plus d’un, d’autant qu’il s’accompagne d'une histoire animée destinée à l’humaniser.
Des expérimentations sont en cours à l’hôpital Broca à « Paris-sur-la-plage » (un établissement « long séjour »), avec des retours positifs.
Enchanted Tools prévoit de construire 500 robots Miroki et Miroka d’ici 2025.
En fait, ces robots visent à apporter de la gaieté et de l’utilité (tellement ils ont l’air de sortir d’une BD), et ils sont conçus pour être non intrusifs et se faire discrets.
La start-up souligne que son objectif est d’apporter du merveilleux dans des endroits qui ne le sont pas tout le temps.
Les premières livraisons sont prévues pour avril aux États-Unis et au Canada, et pour 2024 en Europe, avec des prix avoisinant les 30.000 euros.
Faites le calcul du CA prévisionnel…
 
Donc Sony a profité d’une conférence de presse pour présenter le développement d’un casque de réalité mixte axé sur la « création de contenu spatial » (sic).
Le dispositif, doté de la puce Snapdragon XR2+ Gen 2 de Qualcomm, d’écrans micro-OLED 4K, de six caméras et capteurs, propose une expérience réaliste pour afficher des objets virtuels dans le monde réel.
Il se distingue par deux manettes atypiques, un contrôleur de pointage et un contrôleur annulaire (une bague), pour interagir intuitivement avec les objets 3D.
Le design permet au casque de se relever sur le front, offrant aux utilisateurs la possibilité de revenir dans leur espace de travail physique sans le retirer.
Sony vise ainsi le marché de la création 3D, et bénéficie déjà d'un partenariat avec Siemens.
Aucun prix ni aucune date de sortie précise n’ont été divulgués, mais le lancement est prévu courant 2024.
Cette annonce intervient peu de temps après celle d’Apple concernant son casque de réalité mixte, l’Apple Vision Pro, dont la sortie est prévue pour février.
Ça va chauffer sur les gondoles des distributeurs…
 
Sony — toujours lui — a introduit son concept de voiture électrique Afeela de manière plutôt surprenante, puisqu’il l’aurait fait entrer en scène et en le contrôlant… avec la manette DualSense de la PS5 !
Bien que cette fonction ne soit pas destinée au modèle de série prévu en 2026, elle aurait suscité l’enthousiasme.
C’est que le projet Afeela, développé en collaboration avec Honda, se concentre particulièrement sur l’aspect logiciel de son véhicule, intégrant des fonctions de réalité augmentée, de jeux (avec le moteur Unreal Engine 5.3 d’Epic Games) et un assistant personnel basé sur la solution Azure AI de Microsoft.
Ça devrait faire fureur, mais on ne sait pas quand…
 
En revanche, Xpeng Aeroht a dévoilé son concept de voiture volante appelé Land Aircraft Carrier, capable à la fois de rouler et de voler.
Et le rêve de l’homme-oiseau devient réalité ! (sans passer par la case « Icare » et ses ailes dans le dos…)
Il se compose en effet d’un module terrestre et d’un module aérien.
Le module terrestre peut accueillir jusqu’à 5 passagers, et dispose d’un groupe motopropulseur électrique à autonomie étendue.
Le module en vol, un avion entièrement électrique, offre la possibilité de décoller verticalement et de voler à basse altitude.
Il est équipé d’un cockpit biplace panoramique à 270° et propose des modes de conduite manuel et automatique.
Cette voiture volante — baptisée eVTOL — combine l’apparence et l’expérience de conduite d’une voiture de luxe et une transition fluide du mode route vers le mode vol.
Les précommandes seront ouvertes fin 2024, avec des vols de tests déjà en cours.
Les détails techniques et le prix ne soient pas encore divulgués mais, si vous êtes intéressé, commencez à économiser.
 
Swarovski Optik lance les jumelles AX Vision 10×32, les premières jumelles « intelligentes » capables de reconnaître des animaux.
Pour la bagatelle de 4.799 dollars, ces optiques promettent d’identifier environ 9.000 espèces en cinq secondes grâce à une caméra de 13 mégapixels, également capable de prendre photos et vidéos, partageables via une application smartphone.
Ma lunette astronomique reconnaissait les astres…
Avec un grossissement de x 10, un champ de vision de 1.000 mètres, et un GPS intégré, ces jumelles garantissent une expérience immersive en plein air.
Fonctionnant de manière autonome sans connexion constante au smartphone, elles ont une autonomie de 15 heures avec une batterie rechargeable.
Disponibles en précommande à 4.599 € en kit complet (la belle promotion de lancement que voilà), les livraisons débutent en février 2024.
 
C’est peu de dire que Rabbit R1 aura fait parler de lui à Las Vegas. Son objectif n’était pas de remplacer immédiatement les smartphones, mais d’offrir une alternative novatrice qui simplifie les interactions avec les applications.
Vendu à 199 dollars, le R1 est compact, doté d’un écran tactile, d’une caméra rotative, et il tient dans une poche.
Ce dispositif fonctionne avec Rabbit OS, utilisant un « grand modèle d’action » (LAM) pour gérer diverses tâches par le biais d’une interface unique.
Contrairement aux autres modèles de langage, Rabbit OS se base sur l’apprentissage d’actions autonomes plutôt que sur des API, facilitant l’utilisation d’applications existantes.
Par exemple, il peut commander une voiture, gérer la musique, effectuer des achats, et bien plus, tout en apprenant à reproduire des actions spécifiques.
Il n’empêche, il ne fait toujours pas la vaisselle que j’en reste désolé…
 
Augmental aura dévoilé le « MouthPad », un dispositif d’accessibilité révolutionnaire sous la forme d’un pavé tactile sans fil, conçu pour être placé… dans la bouche !
Comme un chewing-gum qu’on ne mâche surtout pas !
L’utilisateur pourra le fixer sur le palais, le moulage en résine offrant un ajustement sur mesure.
Connecté via Bluetooth, le MouthPad est reconnu comme une souris Bluetooth standard ou un appareil AssistiveTouch sur les appareils Apple.
Contrôlé par la langue, il permet des mouvements précis, offrant une alternative innovante pour les personnes handicapées, en particulier celles ayant des problèmes musculosquelettiques.
On ne se moque pas des handicapés…
Malgré sa conception sur mesure, l’appareil est discret avec une épaisseur de 0,7 mm et un poids de 7,5 grammes. La batterie offre 5 heures d’utilisation, avec une recharge complète en 2 heures.
En démonstration, le cofondateur d’Augmental a utilisé le MouthPad pour prendre un selfie avec son iPhone.
Bien que la commercialisation soit prévue fin 2024, le produit est déjà en accès anticipé, avec un kit d’empreintes dentaires pour personnalisation.
Reste à prendre assez de précautions pour ne pas l’avaler bêtement…
 
En bref, un salon passionnant, paraît-il.
J’en suis certain : Il y avait le « ring » étincelant alors qu’à Davos, il y avait de la neige et des jets privés.
Ça n’a pas le même effet…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !