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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 12 juin 2018

Lutter contre le chaos

George Soros, un autre « faiseur »

On se souvient du milliardaire Budapestois comme étant l’homme qui, en 1992, alors que le Royaume-Uni s’enfonce dans une crise économique, aura fait sauter la BoE et la livre sterling des « britishs ».
Vous n’étiez pas né, mais ça l’aura rendu célèbre et surtout durablement milliardaire !



À cette époque-là, la livre était liée au Système Monétaire Européen (SME), l’ancêtre de la monnaie unique. Ce système (dit « serpent monétaire ») induisait une valeur presque fixe de la livre (relativement aux autres monnaies européennes). Toutes les devises du SME flottaient autour d’un cours pivot sur des marges relativement très faibles. La faiblesse d’une des devises par rapport à un pays tiers, faisait bloc avec les devises fortes du SME.
Or, la situation de l’économie britannique, en raison de la crise de l’époque (je ne sais plus laquelle, depuis que je suis né – il y a longtemps de ça – je n’ai connu que des « crises »), devient trop fragile, et le niveau des taux d’intérêt de la dette se retrouve trop dépendant de ceux de la Bundesbank.
Il faut vous raconter qu’à cette époque-là, l’Allemagne avait besoin de taux d’intérêt élevés, car il fallait « réunifier » les deux Allemagnes à n’importe quel prix, alors que le Royaume-Uni avait besoin de taux faibles.
Pareil pour la « Gauloisie-déficitaire », et hélas, c’était l’inverse qui se passait : On payait déjà pour les Allemands.
Des fonds qu’on aura retrouvé depuis et qui servent à alimenter les « PIA » successifs après avoir un temps (sous « Tagada-à-la-fraise-des-bois ») servi à faire fondre les taux d’emprunt d’État…
C’est fini : « Jupiter », ex-banquier, il ne supporte même pas l’idée et il n’est pas le seul. Retirer de l’argent à un banquier, c’est le vider de son sang. Le priver de taux d’intérêt, c’est lui retirer le pain de la bouche : Vous savez déjà tout ça si vous venez « me lire »… (et quelques autres également).



Soros parie alors sur le fait que la Banque d’Angleterre ne peut résister à plus de pression sur sa monnaie et qu’elle sera forcée de sortir la livre du SME. Ce qui devait provoquer en particulier une chute importante de la valeur de la livre.
Le 16 septembre 1992 (le « mercredi noir »), le mek vend alors et à découvert 10 milliards de livres, pariant donc à la baisse sur cette monnaie. Il provoque, par cette opération, une pression telle sur la Livre que la Banque d’Angleterre, après avoir claqué le Trésor-royal pour soutenir le change, finit par prendre la décision de sortir sa devise du Système Monétaire Européen et laisser dévisser sa monnaie par effet multiplicateur.
Et plus tard, pour parer le « prochain coup », on a élargi la marge de « flottement » à + ou – 30 % du cours pivot…
La plus-value qu’en aurait tirée Soros serait d’environ 1,1 milliard de dollars : Il est alors surnommé pour cela « l’homme qui fit sauter la Banque d’Angleterre ».
Notez que durant la crise financière asiatique de 1997, dans des circonstances similaires, le Premier ministre malais de l’époque Mahathir bin Mohamad accuse Soros de spéculer sur le ringgit. À l'inverse, plus tard il se trompe dans d’autres circonstances et reperd des montants importants dans la spéculation contre d’autres monnaies telles que le Deutsche Mark.
Et avec l’arrivée de l’Euro, ça lui a un peu coupé l’herbe sous les pieds : Il ne peut plus spéculer sur les devises de l’UE, puisqu’elles n’existent plus…
Depuis, ce sont les anglo-saxons qui spéculent sur la perte de l’Euro : J’entends causer de sa « prochaine disparition » (incessamment sous peu) depuis au moins une bonne décennie.
Vous comprenez mieux pourquoi les « banques d’affaires » ne voient décidément pas d’un bon œil l’euro et parient régulièrement sur son éclatement (alors que d’autres s’emploient à faire exploser l’Europe sur le plan politique).
Les « faiseurs de chaos » ont perdu une poire pour la soif et font tout pour que les « populistes » et autres « sources de désordre » puissent un jour ou l’autre les laisser jouer avec votre avenir.
Et comme des idiots utiles, il y en a plein dans les travées des représentations populaires, rien ne dit qu’ils n’y parviendront pas un jour : Il faut rester vigilant.



Ceci dit, « Soros », c’est un milliardaire « de « gôche » devenu philanthrope aime-t-on à rappeler dans son entourage. C’est un soutien indéfectible des « démocrates-ricains » qui investit 12 millions de dollars pour s’opposer à la réélection de « Boubouche-senior » alors qu’il l’a sauvé « junior » de la faillite en 1990 et qu’il fait partie des très nombreux investisseurs du Groupe Carlyle, 11ème fournisseur du Pentagone, fonds de la famille précitée.
Mais on y retrouve également la famille des machine à laver « Laden », dont un des rejetons aura inventer « Al Qaïda »…
Passons.
Fervent soutien « d’Il-a-ri-Pine-Tonne », dont il est l'un des plus importants donateurs pendant la campagne électorale américaine de 2016, il s’investit très activement et tous azimuts contre « MacDo-Trompe » jusqu’à être « partenaires » de la Marche des femmes qui a lieu à Washington le jour de la prise de fonction du nouveau président américain.
Ce qui reste assez étonnant, lui le Hongrois dont son pays d’origine ne veut plus de l’Euro, en octobre 2011, il adresse une lettre ouverte aux dirigeants de la zone euro publiée dans le Financial Times, les sommant de répondre à la crise de la monnaie unique par « plus d’Europe ». La lettre a été signée par 95 autres personnalités européennes comme Javier Solana, « Dany-le-Rouge », Andrew Duff, Massimo D’Alema ou Emma Bonino et quelques autres.
Pas tous des « gôchistes » mais aussi des « écololos-bobos ».
Paradoxal ?
Non : Il sait les ravages du désordre et du chaos !
Il apporte ainsi son soutien financier à une campagne anti-Brexit en février 2018 et injecte 400.000 livres dans une campagne intitulée « Best for Britain », dont l’objectif est d’inciter les parlementaires britanniques à ne pas ratifier l’accord du « Brexit » avec le succès que vous savez.
Et depuis les années 1990, il est régulièrement pris à parti par les sphères d’extrême droite comme « la figure emblématique du riche Juif qui cherche à influencer la marche du monde ».
Résurgence du « protocole des sages de Sion », une fois encore.



En 2016, le « F.Haine » publie un communiqué pour s’indigner de son soutien de à la Ligue des droits de l’homme. En mai 2018, Valeurs actuelles lui consacre sa Une en le présentant comme « le milliardaire qui complote contre la France » et « le militant de la subversion migratoire et de l’islamisme ». Même Mediapart estime que les propos du magazine reprennent « tous les poncifs de l’antisémitisme (…), dans une prose qui fleure bon les années 1930 », et juge cette focalisation sur lui « calquée sur les orientations prises par le premier ministre hongrois Viktor Or-bán » et estime qu’il « pourrait bien être l’ennemi commun capable de fédérer les extrêmes droites européennes ».
Controversé, le bonhomme.



Vous vous rappelez probablement qu’en 2015, il appelle l’Europe à prêter à l’Ukraine une somme de l’ordre de 20 milliards de dollars, car « l’attaque de la Russie contre l’Ukraine est indirectement une offensive contre l’UE et ses principes de gouvernance. (…) Les membres de l’UE sont des pays en guerre, et ils doivent commencer à agir comme tels, c’est-à-dire modifier leur engagement en faveur de l’austérité budgétaire, et reconnaître qu’il vaut mieux pour eux aider l’Ukraine à se défendre plutôt qu’espérer ne pas avoir à défendre l’UE eux-mêmes. »
Un peu allumé, finalement, parce que s’il  s’agit d’une guerre, il faut acheter des armes, des munitions et former de la « chair à canon… »
Or, l’Europe de la défense joue les arlésiennes.
Et lui, il focalise beaucoup d’ennemi qui l’instrumentalisent.
Ce qui ne l’a pas empêché d’en rajouter une couche encore récemment, ai-je appris.
C’est pourquoi je vous en parle aujourd’hui.



C’était le dernier mardi du mois de mai crois-je me souvenir, à « Paris-sur-la-plage ».
Sa vision de l’UE est avant tout une feuille de route pour sauver l’Union Européenne de sa « crise existentielle ».
(Encore une crise… !)
« Tout ce qui pouvait aller de travers est allé de travers », a-t-il assuré son discours sur l’Europe devant 18 anciens chefs d’État, de nombreux ministres des affaires étrangères en exercice ou non, des commissaires européens, des élus…
D’emblée il a expliqué qu’il a toujours « personnellement considéré l’Union Européenne comme l’incarnation de l’idée de l’Open Society » : « C’était une association volontaire d’États égaux qui se sont réunis en sacrifiant une part de leur souveraineté pour le bien » commun (vous savez, ce « truc » tout-nouveau-tout-beau de la « tech de Jupiter »).
C’est la crise financière de 2008 (celle des subprimes qui s’est ensuite transformée en « crise de la dette ») qui est selon lui responsable de tous les malheurs de l’UE, enfoncée dans un programme d’« austérité fiscale » qui conduit les jeunes Européens à accuser l’Union de les priver de leur avenir.
D’où le succès des « populistes » qu’il déplore.



Deuxième facteur de déclenchement de cette « crise existentielle » : La « crise des réfugiés de 2015 ». D’abord bien accueillis, ils ont été perçus comme responsables des problèmes des services sociaux en même temps que les autorités ont manifesté leur incapacité à gérer la crise. « D’où le succès de l’AfD en Allemagne et des partis antieuropéens en Italie. »
Jusque-là, des lapalissades…
« C’est l’ensemble de l’Europe qui a été en proie à la disruption du fait de la crise des réfugiés. Des leaders sans scrupules l’ont même exploitée dans des pays qui n’ont quasiment pas accueilli des réfugiés. En Hongrie, Victor « Or-ban » a fondé sa campagne de réélection sur de fausses accusations à mon encontre, affirmant que j’avais le projet d’inonder l’Europe, Hongrie comprise, de réfugiés musulmans ». Et d’accuser « Or-ban » de vouloir prendre la tête des chrétiens-démocrates en majorité au Parlement européen.
Autre tête de Turc : « MacDo-Trompe », qu’il accuse de détruire l’Alliance transatlantique à travers sa dénonciation du traité nucléaire iranien. « Cela va ajouter une pression d’une force imprévisible sur une Europe déjà assiégée ».
C’est clair : Il va y parvenir.
Il n’y aurait pas eu la crise syrienne/kurde/turque, il n’y aurait pas eu des millions de « déplacés » qui quittent les zones de guerre, juste des africains jetés à la mer par des libyens…
Mais pour lui, il ne fait pas de doute que le règlement de la crise des migrants est la première mesure à prendre, assurant que dans ce domaine, la distribution des réfugiés à l’intérieur de l’UE doit être « entièrement volontaire ».
À la fois pour les États qui accueillent et pour les réfugiés que l’on répartit.



Après la révocation des règlements de Dublin sur le sujet, « l’UE doit protéger ses frontières externes mais les laisser ouvertes aux immigrants légaux. En retour, les États membres ne doivent pas fermer leurs frontières internes. L’idée d’une “forteresse Europe” fermée aux réfugiés politiques comme aux migrants économiques viole aussi bien la loi européenne que la loi internationale et elle est de toute façon totalement irréaliste ».
Aider l’Afrique pour réduire le flux ? Il est d’accord, à condition de mettre en place une sorte de plan Marshall européen, dans le cadre d’une politique d’immigration intégrée, et visant non à faire affaire avec des « dictateurs » que l’on paie pour qu’ils empêchent les flux de migrants de passer, mais à financer le développement de l’Afrique.
Et il en évalue le coût à « au moins 30 milliards d’euros par an pendant nombre d’années ».
Punaise de gourgandine : Le reprise de la dette des cheminots tous les ans, ça ne va pas être facile de financer…
Mais c’est le prix à payer au nom de la nécessité de trouver une « solution européenne » à la crise des migrants, et il propose que l’UE mette à profit sa notation élevée sur le plan du crédit et de la capacité d’emprunt. « Quand utiliser cette capacité sinon au cœur d’une crise existentielle ? Tout au long de l’histoire, la dette nationale a toujours cru en temps de guerre. C’est vrai, augmenter la dette nationale va à l’encontre de l’addiction actuelle à l’austérité : mais la politique d’austérité elle-même est un facteur qui contribue à la crise dans laquelle se trouve l’Europe. »
Le serpent qui se mange la queue…
Personnellement, j’anticiperai une sortie de l’OTAN (qui va se désagréger sous les pulsions de « Air-Do-Gan » et de « Trompe » « mélangées-zoukées », ce qui va arranger les affaires de « Poux-tine » sur son flanc sud) et organiserai un pacte européen de défense.
Mais je ne suis « Jupiter ».



En conséquence de quoi, il voudrait voir l’Union européenne s’endetter solidairement pour éviter la nouvelle crise financière qui s’annonce selon lui du fait de la perte de contrats avec l’Iran et de la destruction de l’alliance transatlantique.
Pas bien sûr qu’elle soit financière : Elle va être industrielle (mais il n’y a plus que les teutons qui ont encore une industrie solvable) et évidemment commerciale. D’autant plus drôle à entendre de la part du bonhomme qui s’apprête à rendre « volatile » l’euro soi-même avant les prochaines échéances électorales européennes (c’est « Poux-Tine » qui en aura averti le président populiste de Vienne), histoire de pousser à resserrer les liens dans l’UE.
Pas de solution détaillée, mais il a assuré qu’il fait une proposition « qui contient un dispositif ingénieux permettant à l’Union européenne d’emprunter sur les marchés à un taux très avantageux sans encourir d’obligations directes ni pour elle-même, ni pour ses États membres, avec un intérêt comptable considérable », déjà utilisé aux États-Unis par diverses municipalités : Une fumisterie.
Et demain, on rase gratis ?
L’essentiel est bien sûr dans la démarche fédéralisée et l’injection de fonds en Afrique, une technique qui jusqu’ici n’a pas beaucoup réglé nombre de problèmes du continent noir…



Pour le reste, il se tournait vers « Jupiter » et « En-Gèle-Là-Mère-Quelle » où il veut voir mis en œuvre la proposition de consultations citoyennes mises en avant par le président gauloisien afin que l’UE soit désirée par le peuple (et surtout par l’électorat). C’est tout le principe de la démocratie participative qui n’est pas sans lien avec la dynamique de groupe.
Reste le danger de dislocation, déjà entamée avec le Brexit, demain un « Ritalexit » qui commencer à chatouiller la coalition-populiste d’ici 12 mois (si elle tient jusque-là), vu l’aggravation de la situation des électeurs qui va enfler.
« Tsi-tis-prass » en causait déjà de son propre « Grèce-exit ». Voyez om il en est rendu…
Soros n’a pas renoncé à l’idée que les Britanniques pourraient être privés de leur sortie à travers une intervention du Parlement. Il ose affirmer que « à la fin, c’est au peuple britannique de décider ce qu’il veut faire », mais non sans tout mettre en œuvre pour inverser le résultat d’un référendum où ce peuple a déjà affirmé ce qu’il voulait faire. Quitte à mettre en place une « Europe multipistes » laissant aux États différents niveaux de choix de participation.
L’objectif restant, à travers ces coopérations volontaires, de rendre la « participation universelle » désirable et possible, notamment en matière de défense, grâce aux « initiatives pro-européennes de la base ».
Pas de doute : Il s’agit désormais de mettre à profit des « disruptions » entièrement prévisibles pour faire avancer le globalisme auquel il croit encore.
Les « vieux », je vous l’ai déjà affirmé en ce qui me concerne, ça a des idées fixes…

Il n’empêche qu’entre les « forces du désordre », déjà évoquées la semaine dernière, qui sont à l’œuvre partout où le soleil ne se couche pas, qui ont pris une vigueur inattendue depuis deux ans, et tous les autres qui n’imaginent pas un seul instant qu’on puisse faire vivre des peuples côte-à-côte sans un minimum d’entente cordiale assis sur le respect mutuel partagé, décidément, il y a un gouffre qui se creuse.
Et pendant ce temps-là, des gamins crèvent de faim ou sous les bombes, parfois pas seulement des gamins, mais aussi leur mère, des civils loin d’être des « combattants » qui n’aspirent seulement qu’à vivre, le tout sur une planète qui ne cesse d’être pillée, abîmée jusqu’aux tréfonds de ses abysses océaniques.
Vous, je ne sais pas, mais personnellement, j’insupporte de plus en plus…
Je tenais à vous le redire.
Soros que je n’apprécie pas plus que ça – pour s’être enrichi outrageusement au détriment du contribuable britannique – m’a redonné l’occasion de le réaffirmer, car là encore, j’aspire à ce que vous détectiez l’écheveau des « fils-rouges » qui se dessine invariablement sous vos yeux.

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