Je
reste très étonné.
Car ce n’est pas celui attendu. Mais « ils » le préparent
toujours.
Car, alors que le gouvernement semble avoir laissé dans le caniveau l’idée
que les « Gilets-jaunes » étaient des putschistes en herbe, pour l’avoir
clamé à plusieurs reprises rameutant parfois plus de flics pour les contrer
qu’il n’y avait de manifestants défilants,
Car alors que « Jupiter » persiste dans sa tournée des
« popotes » qui virent au marathon jusqu’au salon de l’agriculture et
qu’il enchaîne encore et encore des « rencontres », probablement
poursuivant son objectif électoral de mai prochain,
Car alors que l’internationale sionisme s’est mise en branle contre le
peuple de « Gauloisie » en révolte, toute la semaine, les annonces
s’étant succédées pour traiter les « Gauloisiens » de peuple
affreusement antisémite,
Que le ministre israélien de l’Immigration est même sorti de ses limbes
pour appeler les juifs de « Gauloisie » à quitter ce pays raciste et
antisémite pour « rentrer au bercail
» en passe d’être dépassé démographiquement par les
« arabes-israéliens » et les palestiniens,
La presse s’est tout d’un coup intéressée aux confidences de
« Jupiter » où il dit : « Qui
m’a soutenu pendant la crise des Gilets Jaunes ? Personne ».
Pôvre chéri esseulé des cougars !
D’autant qu’elle n’est pas finie, cette crise-là…
Un aveu significatif à bien des égards.
Trois mois après le début du mouvement, le régime « jupitérien »
se trouve dans une grosse impasse, incapable de réduire le mouvement :
Forcément ses « sachants » n’ont pas encore compris de quoi il
retournait.
La partition « antisémitisme » jouée
à l’aide des lobbyistes pro-Israël de « Gauloisie », combinée aux
appels menaçant du CRIF, puis aux cris de « rage
anti-antisionisme » du président à de quoi inquiéter, avec un peu de recul
face aux événements.
Quelques 1.800 arrestations, près de 1.400 en attente de jugement, des
centaines de peines de prison ferme, n’ont pas suffi à enrayer la crise et le
président dit se sentir « seul »…
On est où ?
D’où vient ce sentiment de lâchage et d’abandon, me demande-je à moâ-même ?
«
Quand le président dit que personne ne l’a aidé réellement depuis le
début du mouvement ou quand il va jusqu’à prévoir sa mort par balle, cela
pourrait bien envoyer à ce désaveu que manifeste l’armée française à l’égard du
président. D’ailleurs la thématique du putsch et de coup d’État vient de faire
son apparition dans le discours des officiels ».
Un putsch de « quarteron de généraux » qui viendrait se mêler
des affaires des « civils » ?
On n’est pas au Venezuela, tout de même…
Il faut dire que dès sa nomination, « Jupiter » a provoqué et
quasiment affiché son mépris à l’égard de l’état-major de l’armée, ce qui a
même poussé l’ex-chef d’état-major le général « Deux-Villes-Liées » à
démissionner.
Ça, c’est la version officielle, alors qu’il a su « payer de sa
personne » pour séduire les « militareux », n’hésitant pas à
mouiller sa chemise en se faisant hélitreuiller sur un sous-marin nucléaire, à
aller jour les « top-gun » sur les bases aériennes, à
« cajoler » ici et ailleurs la « grande-muette ».
Et que « Benne-Allah » n’était pas là, déjà empoisonné par
l’énârchie ambiante qui aura eu sa
peau un an plus tard…
Depuis, nécessairement, il se sent en danger létal.
Car apparemment, les rapports entre l’armée et le président, malgré les
budgets obtenus, sont pourtant loin d’être cordiaux d’abord avec la nomination
d’une « Mac-Modem » au ministère de la guerre, puis d’une transfuge
« mercenaire-soce ».
À leurs yeux, aussi bien sur le terrain des opérations étrangères qu’à
l’intérieur, l’armée s’agace du tropisme excessif de « Jupiter »
envers les États-Unis qui le lui rend si mal : « Certaines informations renvoient même à une demande de la ministre
française de la Défense, Mme Parly qui au début du mouvement des Gilets Jaunes
en novembre 2018 voulait disposer de la troupe pour protéger Paris. Or, la
réponse aura été négative. L’état-major a refusé d’engager des troupes contre
le peuple français lequel ne représente à ses yeux aucun danger de sédition et
apparaît totalement pacifiste ».
Bref la « grande muette » semblerait refuser de jouer le jeu de
la « Jupitérie » à s’occuper des œuvres de « basse-police »
de maintien de l’ordre et à mesure que le mouvement de protestation s’amplifie,
ce refus s’élargit : En effet, le pouvoir « Gauloisien » utilise les
BAC pour réprimer.
Un rapport cité par les sources de sécurité a même fait état que seuls 10 %
des LBD étaient tirés par la police contre 90 % utilisées par les BAC et les
CRS.
La Gendarmerie se démarque des violences policières et des « primes à la matraque » !
Dans certains lieux de blocage les gendarmes soutiendraient même et discrètement
les manifestants, comme par exemple à Saint Calais, dans la Sarthe, où un
gendarme sort son arme de service pour arrêter un chauffeur de poids lourd qui
voulait passer en force sur un barrage, m’a-t-on rapporté…
On se rappelle aussi que le Sénat a rendu son rapport sur l’affaire
« Benne-Allah », là où l’Assemblée nationale, complètement « caporalisée » par le
pouvoir exécutif, ne pouvait plus être considérée comme capable de remplir ses
missions.
Une véritable pantalonnade de la commission parlementaire de l’Assemblée
nationale, là où la justice complètement instrumentalisée par le pouvoir
exécutif ne dispose plus ni de la légitimité ni de la confiance populaire
nécessaire pour « instruire » selon son propre tempo les mêmes faits.
Or, qu’avons-nous vu ? Des membres éminents du pouvoir exécutif,
arc-boutés, dans cette volonté de protéger une bande de voyous qui ont réagi au
rapport de la commission d’enquête du Sénat. Des réactions hallucinantes qui démontrent
l’importance des dangers d’un pouvoir décidé à violer les règles républicaines
et les libertés fondamentales pour se maintenir.
Mais je n’imaginais pas tous ces « détours ».
Désormais, ils sont beaucoup à le considérer comme tout à fait indigne de
la fonction qu’il occupe. Et « il
apparaît très clairement que la présidence de la république dans son ensemble
est considérablement affectée par ce que révèle le rapport de la commission
sénatoriale, mais également par tout ce qui s’est produit depuis le
déclenchement du scandale au mois de juillet de l’année dernière. Ainsi, nous
apprenons qu’au plus haut niveau de l’État des gens qu’il n’est pas abusif de
considérer comme des voyous, disposent d’avantages et de pouvoirs mettant en
cause l’intégrité de l’institution, et bénéficient de protections fournies par
des hauts fonctionnaires d’État qui acceptent sans barguigner de se comporter
parfois comme des nervis. Au-delà des parjures imputés à Alexandre Benalla et
son compère Vincent Crase on apprend avec stupéfaction que des hauts
fonctionnaires n’auraient pas hésité à emprunter le même chemin. Secrétaire
général de l’Élysée, directeur de cabinet du président de la république, et
général de gendarmerie chargé de la sécurité du président, excusez du peu. »
Les analystes font deux observations :
1/ Tout d’abord les conditions de son élection, où le droit électoral
garant de la sincérité d’un scrutin a été allègrement violé, en particulier sur
le financement
de la campagne, le rôle de la presse et les manœuvres judiciaires et médiatiques visant
à décrédibiliser la candidature de « Fifi-le-souteneur ».
Et l’arrivée à la magistrature suprême d’un candidat sans expérience
parfaitement inconnu quelques semaines auparavant, manifestement choisi et
soutenu par l’oligarchie
financière et
la haute fonction publique d’État ne pouvait générer, dès le départ, qu’une
légitimité politique très faible.
2/ Ensuite les comportements de « Jupiter », ses inconséquences
et le mépris affiché en permanence à l’encontre de la « Gauloisie-d’en bas »
ont contribué à faire voler en éclats le peu d’autorité dont il pouvait
bénéficier dans la grande masse de la population.
L’affaire « Benne-Allah » et les ahurissantes pratiques qu’elle
a révélées dans le fonctionnement du petit groupe présent à l’Élysée a achevé
de le déconsidérer. « Toutes les
études d’opinion démontrent que ses éventuelles « remontées » dans les sondages
ne sont que le fruit du retour d’une partie des électeurs de François Fillon
apeurés par la révolte populaire ».
Il faut dire que malgré un reflux et un essoufflement, le soutien d’une
grande majorité de Gauloisiens au mouvement des « Gilets Jaunes »
reste lui, toujours élevé : Ils ne sont pourtant pas si nombreux…
« C’est cette faiblesse
politique directe, face à un mouvement qui ne voit de solution qu’en son
départ, qui a amené Emmanuel Macron à choisir la répression policière et
judiciaire massive. Accompagné d’une stratégie législative de mise en cause
drastique des libertés publiques. La vraie question est de savoir désormais si
la France et ses institutions sont disposées à accepter de pareilles dérives,
dont la lecture de la presse internationale permet de constater à quel point
elles provoquent la stupéfaction. »
Pour ma part, je pense que réellement, il n’en est pas question :
Mais comme il m’arrive aussi de me tromper, rien n’est joué.
« Ce que l’affaire Benalla
révèle des failles françaises de la séparation des pouvoirs, c’est
essentiellement l’instrumentalisation de la justice par l’exécutif à l’occasion
de la crise des Gilets Jaunes. Le président de la république a choisi non pas
le maintien de l’ordre mais la répression et de ce point de vue, son message de
nouvel an était clair. L’appareil judiciaire cravaché par Madame Belloubet a
immédiatement obéi aux ordres quand il n’a pas été au-devant. La confiance des
Français dans la magistrature déjà pas bien fameuse, sortira très abîmée par
cette séquence et malheureusement pour longtemps.
Benjamin Griveaux
appartient à ce type de personnage que l’on voit graviter dans le système
Macron et dont on se demande comment il est possible que des gens qui ont en
charge le plus haut niveau de l’État acceptent de les côtoyer. Christophe
Castaner, Aurore Bergé, Marlène Schiappa, sont quand même les incarnations
d’une nullité politique assez avilissante, capables qu’ils sont de proférer les
pires niaiseries avec un aplomb jamais démenti. Mais le plus grave c’est leur
absence de la moindre culture républicaine et démocratique » en dit un autre.
Je ne fais que rapporter…
Il faut dire que « Ben-jasmin-Gris-veaux », sinistre de la
République, a reconnu n’avoir pas lu le rapport avant de lâcher son obscénité. Ce
qu’on peut trouver vraiment curieux en revanche c’est qu’un tel personnage,
avec de telle carence constitutionnelle (article 24 la Parlement vote les lois
et contrôle l’action du gouvernement) ait pu accéder à un tel poste…
Enfin passons, ce n’est pas moi qui forme le gouvernement.
Que j’en pense que si « Ed.Phil-Lipp » est encore en place,
c’est que comme on
l’avait déjà noté, il n’y a plus personne…
De là à l’imaginer avec une balle dans la nuque, il y a tout de même un
« grand écart » invraisemblable.
Il a une garde prétorienne qui fait le ménage autour de lui, même quand il
fait ses « one-man show » en province.
Mais ce qui reste stupéfiant, c’est que c’est lui qui s’imagine finir
comme JFK !
Que là, j’en suis sur le kul, fesses martyrisées par ma masse et ma haute
taille…
C’est dire l’état d’esprit dans lequel se trouve aujourd’hui
« Jupiter ».
Si, comme ne l’annoncent pas, une fois de plus, les sondages, il perd les
élections européennes derrière « Marinella-tchi-tchi », là, ce sera
un vrai tournant.
Si, comme l’annoncent, une fois de plus, les sondages, il passe devant (je
ne sais même pas qui est sa tête de liste), alors ce sera un vrai tournant, le
melon gros comme une pastèque enflée…
Formidable époque, où le devenir d’un pays tout entier ne tient finalement
qu’à l’égo d’un seul, « disruptif » toute sa vie et depuis
l’adolescence : Un authentique sociopathe narcissique incapable
d’empathie.
Mais il donne le change, comme tous les « sociopathes » qui
« réussissent » (à s’imposer).
Quel pays, mais quel pays…
« Christophe Castaner, Aurore Bergé, Marlène Schiappa, sont quand même les incarnations d’une nullité politique assez avilissante, capables qu’ils sont de proférer les pires niaiseries avec un aplomb jamais démenti ».
RépondreSupprimerÇa c’est sûr ! Mais chaque président depuis Chirac (avant je ne sais pas trop, j’étais jeune) a ses crétins et ses bécassines de service ; ces derniers (dans tous les sens du terme) peuvent faire diversion à l’insu de leur plein gré.
Hollandouille 1er en a eu une kyrielle, mais lui en était le Roi : « Sa majesté des mouches » à l’état larvaire.
Enfin bref des idiots utiles pour des présidents déficients au cube, cœur, mental, morale.
ComtesseÔPiedNu
Chère comtesse au pied dénudé !
SupprimerCa faisait longtemps que... vous ne vous étiez pas manifestée!
J'en suis toujours ravi !
Ceci dit, c'est une opinion (et je ne faisais que rapporter une opinion, qui comme vous le savez en vaut une autre) et je vous avoue de mon côté deux choses:
1/ Avant "le Chi" (c'est-à-dire sous "Mythe-errant", Dieu, le maître du verbe), c'était pareil.
Et il en usé des fats (y compris "Tapis" qui n'en revenait pas d'être ministre de la République... lui qui n'avait pas encore escroqué la République, mais ça chauffait ferme !), toute une palanquée...
Y'en a même qui respirent encore !
Sous "Giskar-A-la-barre", il y en avait tout autant une kyrielle, mais plus discrète.
"Pompon-pie-doux", là je ne sais pas bien : C'est à mon tour d'avoir été trop jeune pour me rappeler...
2/ Ceci dit, j'ai un "béguin" assumé pour la "cousine" "Marre-Laine-Schie-à-pas" : Hier, je crois, elle était en déplacement à Aiacciu ("Corsica-Bella-Tchi-Tchi") et elle n'a rien trouvé de mieux que de vouloir organiser une "Gay-Pride" dans la cité Bonapartiste !
Si !
Fabuleux n'est-ce pas, même si elle reconnaît que ce n'est pas sûr...
Ca doit la mettre dans tous ses états de voir les bonnets de poil des grenadiers de la garde impériale défiler le 15 août dans les rues. Alors elle mettrait bien tout le monde à poils !
J'admire, j'admire !
Bien à vous !
I-Cube