Notamment à « Paris-sur-la Seine »
Pour lutter contre la désertification de sa ville, « Sœur-Âne »
(l’autre « drame des Parigots » après « De-la-Nuée »), dont
j’ai lu quelle part qu’elle s’était fait jeter comme une malpropre-sur-elle par
un tribunal, certes en référé qui ne préjuge rien du fond du contentieux,
contre « Air-BnB » (ou un autre) pour absence de déclaration, a eu
une idée géniale l’année dernière (mais qui ne produira ses effets qu’à partir
de cet été)…
Tu penses, les Parigots, non seulement payent les
taxes de voiries, de balayage, d’ordures-ménagères, des forfaits d’eau et de
vapeur, la taxe foncière et ses attributs, la taxe d’habitation (ils ne sont
que peu à être « abattus » façon « Jupiter ») et quelques
autres joyeusetés, alors qu’ils sont interdits de circuler en diesel (pas les
bus, rassurez-vous) mais en plus, ils sont poursuivis quand ils louent leur
logement in situ à des touristes de passage venus
konnement claquer leur fric en fanfreluches depuis « le monde entier »
!
Si on en vient à les interdire, en plus de tout le
reste et les difficultés de circulation et de parking (avec ses « bagnoles-espionnes »
qui se plantent et leurs amendes majorées) je ne te raconte même pas les dégâts
en 2024, quand il s’agira d’accueillir les JO d’été…
Elle les a pourtant voulus, mais si la billetterie ne
fonctionne pas à plein, ou mal, je te vous imagine déjà le déluge d’impôts
locaux à suivre pour payer la doudoune durant des années et des années.
Comment en venir à devenir si kon que ça, que même il
existe une taxe sur les logements vacants dans l’enceinte du périphérique te « sanctionnant »
si tu ne l’habites pas…
Bé, géniale sur elle, elle a trouvé la solution !
Puisque la
ville perd 10.000 habitants par an depuis plus d’une dizaine d’année
(autant qui manquent pour les commerces de proximité qui ont du mal à survivre –
même les agences bancaires ferment – comme quoi ce n’est pas qu’une question d’aires
de livraison en nombre pourtant indécent…), elle a décidé de taxer les
déménagements des « exilants » !
Extraordinaire de lucidité racketteuse-soce…
« Tagada-à-la-fraise-des-bois » n’aurait pas
fait mieux.
En fait, comme le dispositif législatif actuel ne le
permet pas directement, elle va taxer les déménageurs au titre de l’occupation
de la voie publique.
Et encore, eux, sont soumis à une obligation de
déclaration préalable, ce qui permet de les compter : 200.000 par an.
105.000 parigots qui s’en vont pour 95.000 arrivants qui
ne savent pas encore ce qui les attend !
Encore qu’on n’imagine pas qu’il n’y ait qu’un seul habitant
par logement…
De toute façon, delta final : 10.000 qui fuient !
La corne d’abondance en perspective (à tuer la poule
aux œufs d’or à petit feu)…
À partir du mois de juillet, les véhicules de
déménagement seront donc soumis à un forfait de stationnement unique : Les
propriétaires de voitures ne seront bientôt plus les seuls à avoir subi des
hausses de frais de stationnement sur la voie publique. Les déménageurs sont
les prochains sur la liste !
Après, les paris sont ouverts pour les camions de
livraison de la bouffetance et autres indispensabilités de « dépenses-contraintes ».
Jusqu’à présent, ces professionnels passaient à l’horodateur
comme n’importe quel autre automobiliste. À partir de cet été, ils devront
acquitter un forfait à la journée ou à la demi-journée.
« Le principe
est qu’un poids lourd occupant 3 fois la place d’une voiture, le tarif est donc
triplé. Appliquer cette règle à tous les camions aurait impacté fortement les
déménageurs, qui souvent stationnent plus de deux heures. Nous avons donc
adopté un tarif spécial, moins cher, à la journée ou à la demi-journée », qu’ils
en disent à la mairie-centrale, très « compréhensifs ».
Problème : Toutes les semaines c’est quelques 1.200
demandes qui sont enregistrées sur le site de la Ville par les professionnels.
Un super « manque-à-gagner » quand on sait
compter (1.200 x 52 < 200.000 n’est-ce pas…).
Mais les « sachants » de « la territoriale »
ne savent pas mieux compter que les fonctionnaires nationaux…
En plus, ils sont sortis « en bas » du
tableau ou se sont contentés d’un IRÂ à défaut d’avoir fait leur entrée à l’ENÂ…
En fait, la délibération portant sur la création de
nouveaux tarifs a été adoptée en mai 2018 et la mise en place de la nouvelle
tarification entrera en vigueur en juillet 2019.
À partir de l’été prochain, la redevance de
stationnement d’un véhicule de déménagement de moins de 3,5 t passera à 27 € la
journée (17 € la demi-journée) du lundi au samedi et s’élèvera à 40 € hors des
zones de stationnement (25 € la demi-journée). Le coût du stationnement pour
les plus de 3,5 t grimpera à 60 € la journée à (35 € la demi-journée) et 90 €
la journée hors de la bande de stationnement (50 € la demi-journée).
Et pour un monte-meuble il en coûtera en plus 20 €…
Bref, plus de 100 €/jour de travail.
Ce forfait unique à la journée sera payable quinze
jours à l’avance sur le site de la Ville (www. paris.fr) et reviendra, nous assure-t-on,
moins cher que le stationnement à l’heure (surtout dans le centre de Paris où
le prix est plus élevé que dans les arrondissements périphériques).
Sauf que ça coûtera plus cher à la demi-journée.
Bien entendu, le déménageur, il remet ça dans ses
tarifs à ses clients : C’est eux qui payent au bout du bout (comme
pour tous les autres impôts et taxes).
Et, comme alibi, de préciser que la mairie Parigote ne
fait qu’emboîter le pas aux Villes de Meudon, Colombes (Hauts-de-Seine) et Lyon
(Rhône) qui ont déjà mis en place de forfaits de stationnement payables à
l’avance pour les véhicules de déménagement.
Sauf que dans la kapitale, « cette mesure ne s’accompagne pas d’un service de réservation des places
par les équipes de la voirie comme dans les autres communes », proteste le
fondateur de Nextories, une plate-forme de réservation de déménageurs professionnels !
Ah merde étron !
Tu payes plus, mais tu n’as pas le « service ++ »
qui fait la différence « acceptable » en échange.
C’est donc une vraie taxe…
Résultat, selon le patron de la start-up basée dans le
XVIIème, « rien ne garantira
qu’il y aura une place pour se garer alors qu’à Colombes, par exemple, le coût
du stationnement est un peu plus élevé qu’à Paris mais s’accompagne d’une
réservation de l’emplacement et offre la possibilité de réclamer un enlèvement
pour libérer la place en cas d’occupation « illégalement » par un autre
véhicule. Au lieu d’être une avancée, cette réforme est contestable ».
À « Paris-sur-la-plage » les « événementiels »
ne sont pas si kons : Ils envoient des équipes plusieurs jours à l’avance
pour poser des plots dès qu’un véhicule libère une place…
Total manque à gagner pour la Ville, puisqu’il n’y a
rien sur les emplacements ainsi « retenus » (et autorisés par la
préfecture).
« On va payer à
l’avance mais sans aucune contrepartie », se serait étouffé le juriste
à la Chambre syndicale du déménagement. « Alors si nous répercutons ce tarif à nos clients ils doivent bénéficier
d’un service complet. On doit pouvoir se garer. Là, la situation n’est pas
normale. Nous sommes d’ailleurs prêts à aller au tribunal administratif pour
nous faire entendre. »
J’aime bien le « si »…
De toute façon, ils répercuteront !
Et la Ville de répondre : « La réservation d’emplacement impliquerait un coût largement supérieur,
puisqu’elle imposerait du ventousage. »
Un autre responsable de la société de déménagement ne
décolère pas non plus de son côté : « Nous
demandons depuis des années à la Ville de réserver les emplacements pour
faciliter la vie des déménageurs. Elle aurait pu profiter de l’application du
forfait de stationnement pour mettre en place cette mesure. Or malgré les
discussions engagées avec la chambre syndicale, la Ville reste sourde à nos
revendications ».
Si la mesure permettra peut-être de limiter le nombre
des amendes puisque le stationnement est payé à l’avance, « les déménageurs continueront à tourner,
polluer davantage et se garer en double file quand ils ne trouveront pas de
places libres. Au final, c’est une mauvaise réforme ».
Probablement.
Ceci dit, « Sœur-Âne » aurait tort de se
gêner après la flambée des prix du stationnement de rue et celle des « amendes »
qui n’en sont juridiquement plus : Tout est fait pour que les gens fuient
(de toute façon, de mauvais électeurs pour elle) et fassent un détour quand il
s’agit de les faire venir (pour la billetterie des JO et des musées) :
Résultat, 10.000 « partants » par an depuis le début de sa mandature
qui perdure abondamment.
Et quand je pense que « Rachida-Mimi » veut
se présenter pour hériter de ce racket « légitime », ça me donne
presque la nausée.
Enfin, comme elle n’y arrivera pas, ce n’est pas bien
grave : Ce sera un « rêveur-en-marche » qui héritera du fardeau
de la dette municipale et de ses effectifs pléthoriques.
Passons.
Que j’en reste tout perturbé. Il ne devait pas y
avoir un seul
impôt (ou taxe) de plus
durant la mandature de « Jupiter » et en fait, ils n’arrêtent pas,
quel que soit l’échelon de décision.
Le dernier en date (et à venir), c’est la « taxe
GAFAM » annoncé en grandes pompes par le « sinistre de l’économie »
: 3 % des recettes publicitaires en ligne.
Que je me pose la question (sérieusement) de savoir si
je ne dois pas en mettre sur ce blog.
Jusque-là, je m’y étais interdit, mais le pays à l’air
si mal en point que d’une part, j’aimerai l’y aider (un peu) à surmonter sa
crise perpétuelle, mais surtout « tester » le volume que ça peut
représenter à ma « petite-échelle » microscopique.
Et puis soyons clairs, si ça peut aider « Gogol »
pour survivre et racketter à son tour les annonceurs qui te le vous refacturent
directement dans le prix des biens et services qu’ils vous fournissent, c’est
de la parfaite « économie circulaire » accompagnée de « ruissellements »
divers jusque dans ma poche.
Sympa comme idée, non ?
Qu’en pensez-vous, vous qui avez assez de bon sens pour venir incrémenter le compteur du blog tous les jours (puisque nous sommes dans un
monde où des « trisomiques » formidables inventent des trucs
parfaitement débiles tous les jours) ?
Merci par avance pour vos réponses…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire