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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 3 mars 2019

Janvier 2019

Après la poignée de crétins…
 
… Qui ne supportent pas les crèches de Noël, je rappelle que l’antisémitisme, c’est une chose absolument indigne.
Les actes et propos anti-mahométans tout autant.
Mais si les uns et les autres font la Une de vos médias préférés, ceux-là mêmes passent sous un silence-honteux, les actes « anti-chrétiens » (sauf pour s’indigner qu’il y ait encore des crèches dans les mairies).
Ils sont pourtant quasi-quotidiens en ce beau pays qui est le nôtre.
Ainsi, mon « robot-butineur » aura pu noter, en ce mois de janvier :
 
1 – Un incendie criminel dans une église de Toulouse.
Sainte-Madeleine est l’une des églises de l’ensemble paroissial de Ramonville-Pouvourville du diocèse de Toulouse (Haute-Garonne). La nature criminelle de cette tentative d’incendie n’est guère douteuse.
Un incendie d’origine volontaire s’est déclaré dimanche 30 décembre, dans une petite chapelle de l’église Sainte Madeleine, rue de Fondeville, dans le quartier de Pouvourville, à Toulouse. Sur place, des petits papiers noircis par les flammes ont été retrouvés. Le feu s’est éteint par lui-même. Il n’y a pas eu de blessés. Une enquête a été ouverte par la police. Un mur a été noirci après les dégagements d’une épaisse fumée.
Source : La Dépêche, 1er janvier
 
2 – Vol dans la chapelle Notre-Dame d’Uzerche, en Corrèze
L’affaire s’est déroulée fin août dernier sans que la date précise soit connue, dans la chapelle Notre-Dame-de-Bécharie à Uzerche (Corrèze) :
Fin du mois d’août 2018 alors que la chapelle Notre-Dame était ouverte, le tronc, qui était un ange Gabriel fixé au mur, a été arraché et volé…
 
3 – Vol dans la chapelle Notre-Dame-de-Bécharie, à Uzerche
On signale un vol survenu dans la chapelle Notre-Dame-de-Bécharie à Uzerche (Corrèze), dans la nuit du samedi 29 au dimanche 30 décembre 2018. Le contenu du tronc d’offrande a été dérobé.
 
4 – Dol-de-Bretagne : incendie du local du Secours Catholique
La piste d’un incendie criminel est privilégiée…
Triste spectacle au lever du jour, à Dol-de-Bretagne, en Ille-et-Vilaine. Un violent incendie a complètement ravagé cette nuit les locaux de l’antenne du Secours Catholique, situés rue de Rennes. Tout a été détruit. L’association caritative disposait d’un important stock de vêtements et jouets pour 94 enfants de familles défavorisées. Ces jouets étaient notamment prévus pour le Noël des enfants, qui devait se tenir mercredi prochain. Ils sont tous partis en fumée. À ce stade de l’enquête, on sait que l’incendie s’est déclaré vers 5 h 30 ce jeudi 13 décembre 2018. D’après nos premières informations, il serait d’origine criminelle. Les gendarmes auraient d’ailleurs déjà interpellé un suspect.
 
5 – Église vandalisée en Meurthe-et-Moselle
Il s’agit de l’église Sainte-Madeleine de Velaine-en-Haye (Meurthe-et-Moselle). Si l’incendie du résineux dont traite l’articulet de L’Est Républicain, est dû à l’inconscience et n’a rien à voir avec la christianophobie, il n’en va pas de même pour les vitres de la sacristie…
Un résineux planté sur le côté droit de l’église a brûlé pendant la nuit du 31 décembre. Il semble que les flammes ont été déclenchées par des irresponsables qui ont tiré un feu d’artifice sauvage et non déclaré, donc interdit. La planche de rive sous le toit de l’église a été touchée, au risque de mettre le feu à toute la toiture. Les pompiers sont intervenus. Des éléments de preuves ont été récupérés sur le site. En outre, pendant la même nuit, deux carreaux des vitres de la sacristie ont été brisés. Le maire a porté plainte.
 
6 – Actes de vandalisme dans l’église d’Englefontaine, dans le Nord
Il s’agit de l’église Saint-Georges.
L’église d’Englefontaine, d’habitude ouverte au public la journée, est actuellement fermée. Et pour cause, le lieu a été la cible d’incivilités dans l’après-midi du 22 décembre. Un ou plusieurs individus ont inscrit des insultes au sol, sur les murs et sur un tableau à la craie (contre les curés et la police). Ils ont également arraché une porte, donnant accès à la sacristie. Du matériel comme des chaises a été détruit. « Ils ont même allumé des bougies avant de repartir. Ce qui aurait pu s’avérer dangereux vu que personne n’est retourné dans l’église avant le lendemain », lâche le maire d’Englefontaine. Rien n’a en revanche été dérobé. La commune a d’ores et déjà porté plainte. La gendarmerie, de son côté, enquête pour retrouver les auteurs. Une information sera mise à ce sujet dans le prochain bulletin municipal distribué début janvier aux habitants.
 
7 – Crèche vandalisée à Tassin-la-Demi-Lune, dans le Rhône
La crèche exposée depuis décembre devant la mairie par la municipalité, a été vandalisée le vendredi 4 janvier. Des inscriptions en anglais et des dessins obscènes ont été tracés sur les personnages.
« Elle n’était pas vierge », « C’était un idiot », « Il était noir »… Marie, Joseph et Jésus, mais aussi l’âne et le bœuf ainsi que le mouton de la crèche du parvis de la mairie tassilunoise ont été tagués au marqueur rouge, probablement dans la nuit de jeudi à vendredi. En verve (sic), le ou les vandale(s) a (ont) aussi ajouté des parties génitales à Marie et Joseph. En revanche, les Rois mages situés de l’autre côté de l’allée ont été épargnés. Contacté ce vendredi après-midi, l’adjoint au maire chargé de la Sécurité François Sintes, n’était pas au courant des faits. Tout comme la gendarmerie, qui a décidé de se rendre sur place à la suite du coup de téléphone du Progrès.
 
8 – Vol dans une crèche de Noël dans la Marne
Une crèche a été installée dans la sacristie de l’église de l’Invitation-Saint-Étienne, paroisse Saint-Dominique-Savio des Trois Rivières, diocèse de Châlons-en-Champagne de Saint-Étienne-au-Temple, commune d’environ 800 habitants, située dans le département de la Marne. Le culte n’est plus célébré dans cette église sauf rares exceptions et l’église, qui jouxte la mairie, est toujours fermée. La crèche qui est placée à environ un mètre d’une fenêtre, munie de barreaux et grillagée, est éclairée et bien visible de l’extérieur ; elle est signalée aux promeneurs par des illuminations de couleur bleutée que l’on aperçoit sur la gauche de d’ensemble de l’église. « Attiré par cette illumination dans la fin de l’après-midi du 2 janvier 2019, j’ai constaté que le grillage avait été arraché dans sa partie basse… et qu’il n’y avait pas d’enfant Jésus dans la crèche ! »
 
9 – Aubagne : la Croix du Garlaban de nouveau profanée
Elle avait déjà été peinturlurée en rouge en septembre dernier. Elle a été peinte en jaune dans la nuit du 5 au 6 janvier…
C’est un visage peu commun qu’offrait, hier matin, le massif du Garlaban. Un triste visage, puisque dans la nuit de samedi à dimanche, la Croix qui surplombe la colline chère à Pagnol avait été recouverte de peinture jaune. En référence à l’actualité ? Pour l’heure, rien (ou presque) ne permet de l’affirmer…
 
10 – Tombes vandalisée à Ligny-le-Châtel, dans l’Yonne
Ces dégradations ont été constatées le 2 janvier.
C’est la maire de Ligny-le-Châtel, Chantal Royer, qui a découvert les dégâts le 2 janvier. « Je ne peux pas supporter qu’on puisse toucher à un cimetière, fulmine-t-elle. Pour les familles, c’est monstrueux. Je suis au conseil municipal depuis 1995, nous n’avions jamais connu ce problème. Là on est venu pour casser ! Des plaques en marbre achetées par les familles pour leurs défunts… C’est inadmissible ».
 
11 – Un temple protestant tagué dans le Calvados
Un temple protestant a été tagué à la peinture noire de messages insultants à Condé-sur-Noireau (Calvados) dans la nuit du 31 décembre 2018 au 1er janvier 2019 : Les protestants ont dévoilé lors d’une conférence de presse, dimanche 6 janvier. «Sans savoir si ces actes ont un sens, ces inscriptions nous ont touchés et blessés», déclarait Etienne Fels, président du conseil presbytéral.
 
12 – Tags anarcho-satanistes sur la cathédrale de Coutances
Constatés le samedi 5 janvier sur un mur de la cathédrale Notre-Dame de Coutances (Manche). Il ne s’agit bien sûr pas d’une étoile à six branches, mais d’un pentagramme à cinq branches. L’échotier n’est pas d’une grande culture et en plus il ne sait même pas compter sur ses doigts…
Un triple six, évoquant le diable, le signe anarchiste et l’étoile à six (sic pour cinq) branches encerclée(s), synonyme de mauvais esprits (sic). Un des murs de la cathédrale de Coutances a été vandalisé, du côté du square Flandres-Dunkerque, près du monument aux morts. Les dégradations ont été constatées samedi 5 janvier, à 20h, par le sacristain. La police nationale est venue constater les faits lundi 7 janvier et a ouvert une enquête. Le recteur de la cathédrale, le Père Daniel Jamelot, va porter plainte dans la journée de mardi 8 janvier au nom de l’évêché.
 
13 – Vol dans le presbytère de l’église de Revel, en Haute-Garonne
Le vol a été constaté le 28 décembre dernier par le curé de l’église Notre-Dame-des-Grâces de Revel, en Haute-Garonne.
L’argent était stocké dans le bureau du curé. Du liquide en petites coupures qui venait d’être récolté suite à une cérémonie d’enterrement. Le 28 décembre, un individu escalade la façade du presbytère de Revel en Haute-Garonne. Muni d’une pierre, il parvient à briser une vitre avant de se faufiler dans l’enceinte du bâtiment. Après avoir tourné un petit moment, il arrive dans le bureau du curé. Lui aussi fouillé. Le cambrioleur repère alors plusieurs sacs, remplis de pièces et de billets. Et en les ouvrant, jackpot : il s’empare alors d’une somme de 260 euros. Le fruit de la quête de l’office du jour et d’une collecte qui venait d’être effectuée à l’occasion d’une cérémonie d’obsèques. Son « magot » sous le bras, l’individu prend alors la fuite. Le lendemain, le samedi 29 décembre, le prêtre découvre les traces d’effraction. Et réalise vite le préjudice subi. Alertés, les gendarmes de Revel arrivent sur place pour procéder aux premières constatations. Une fois les relevés d’indices en poche, ils tapent aux portes pour l’incontournable enquête de voisinage. Grâce à des témoignages, ils repartent avec un signalement précis. En quadrillant le secteur, les forces de l’ordre pensent vite reconnaître un homme correspondant à la description donnée. Cet homme de 60 ans été interpellé avant de reconnaître les faits en garde à vue. Il est identifié pour évoluer dans un milieu relativement marginal. La perquisition menée à son domicile a permis de saisir les fameux sacs dérobés la veille. Délestés entre-temps d’une centaine d’euros. Le sexagénaire sera re-convoqué devant la justice lors d’une audience de plaider coupable programmée en mai au tribunal correctionnel de Toulouse. Le curé de Revel a pour sa part pu récupérer la somme de 165 euros.
 
14 – Vol dans une église de Rostrenen, dans les Côtes-d’Armor
Ce vol a été perpétré quelques jours avant Noël dans la collégiale Notre-Dame-du-Roncier.
L’abbé Yves Poilvet, curé de la paroisse de Rostrenen, en est encore tout « remué ». Il ne souvient pas du jour exact, mais se rappelle que quelques jours avant Noël un paroissien est venu lui annoncer que la couronne surmontant Notre-Dame du Roncier avait disparu. Un vol ? Sûrement puisque le diadème n’est pas réapparu depuis. Fort heureusement, l’auteur des faits a emporté avec lui une copie. « Une couronne de représentation en métal qui n’a pas de valeur, signale l’abbé. Il n’y a aucune pierre précieuse, il ne fera pas d’affaire avec ça », renseigne-t-il. Ce qui chagrine le plus l’homme d’Église c’est « ce manque de respect vis-à-vis de la population ». Et il assure que l’église de Rostrenen est ouverte tous les jours « et le restera ! ». Un vol qui aura tout de même un coût pour la paroisse car une telle couronne, même factice, « n’est pas un objet que l’on fabrique en série », annonce le prêtre. Il a porté plainte auprès de la gendarmerie sitôt les faits avérés.
 
15 – Une église protestante caillassée en Alsace
On n’apprend qu’aujourd’hui le caillassage dont a été l’objet une église protestante de Reichstett (Bas-Rhin), le dimanche 4 novembre dernier.
Dimanche matin, aux environs de 10h, une paroissienne et le pasteur Eloi Lobstein ont découvert, peu avant lheure du culte, que l’église protestante de Reichstett avait été victime de jets de pierres, durant la nuit. «Des cailloux ont été projetés dans les vitres et les vitraux» raconte le pasteur. «On a fait le culte comme dhabitude mais les gens étaient choqués »
«Une église, ce nest pas un bâtiment comme les autres. On essaie davoir un message de tolérance, de paix et damour. On a été victime dun message de violence qui nous a choqués» confie le pasteur Lobstein, qui tient toutefois à ne pas donner à ces dégradations une portée excessive. «Nous navons pas vécu cet acte de vandalisme comme une agression contre la communauté protestante mais comme une grosse bêtise».
Les gendarmes de Mundolsheim se sont rendus sur place à 14 h afin de faire les constatations d’usages et d’évaluer l’étendue des dégâts.
 
16 – Vol dans un presbytère à Mirambeau, en Charente-Maritime
Il s’agit du presbytère de l’église Notre-Dame-de-l’Assomption (paroisse Saint-Martin, diocèse de La Rochelle). Le vol a été perpétré dimanche 13 janvier.
Dimanche dernier, le père Ferdinand Sambou a eu la désagréable surprise de constater que le presbytère avait été cambriolé alors qu’il célébrait l’office. Après avoir fracturé la porte, les voleurs ont essentiellement fait main basse sur le produit des quêtes qui n’avait pas encore été remis à la banque. Tout laisse à penser que les visiteurs étaient bien informés. Une enquête est en cours.
 
17 – Tentatives de vol et d’incendie dans deux églises de Sélestat, dans le Bas-Rhin
 
18 – Église détruite par un incendie à Grenoble, en Isère
L’église Saint-Jacques (paroisse de la Sainte-Famille de Grenoble, a été entièrement détruite par un incendie dont les pompiers ont reçu l’alerte à 2 h ce matin, jeudi 17 janvier. L’incendie a pu être circonscrit vers 6 h, mais l’église construite en bois, est entièrement détruite. On ignore les causes de l’incendie, donc je publie cette brève pour information en attendant les résultats de l’enquête. Le diocèse a précisé toutefois que l’électricité de l’église avait fait l’objet d’une rénovation voici quelques années.
Mise à jour 18 janvier (6 h) : selon Le Dauphiné (17 janvier, 20 h 15), « la thèse accidentelle est privilégiée ».
19 janvier à 11:49 : Le diocèse de Grenoble a diffusé un communiqué sur l’incendie qui a détruit l’église Saint-Jacques. En voici un extrait.
Dans la nuit du 16 au 17 janvier 2019, un grave incendie a entièrement détruit l’église Saint Jacques de Grenoble. Seul le clocher et sa croix restent debout. Située rue de Chamrousse dans le quartier Capuche, l’église saint Jacques était le lieu de culte principal de la paroisse de la Sainte Famille. La maison paroissiale à proximité n’a été que très légèrement touchée […] La police nationale et la police scientifique mènent l’enquête ; aucune piste n’est écartée pour l’instant.
De son côté, le blogue d’Yves Daoudal apporte aujourd’hui des détails qui ne sont pas sans intérêt :
On fait savoir que : « Le curé, prêtre missionnaire de la Salette, est un grand défenseur de la vie. Il avait déjà trouvé des tags pro mort, dont “béni soit l’avortement” sur un des murs de l’église. »
On observe donc que le diocèse demeure prudent sur la cause de l’incendie (accidentel ou intentionnel) et que cette église avait auparavant été taguée… Une affaire à suivre.
 
19 – Des actes ont été perpétrés lundi 14 janvier en pleine journée…
La police de Sélestat a été alertée lundi après-midi, vers 16 h 20, par le sacristain de l’église Saint-Georges. Un ou plusieurs individus s’en sont pris aux troncs de l’église, vraisemblablement pour en dérober le contenu, mais ils n’y sont pas parvenus. Le ou les auteurs ont ensuite essayé de forcer la porte de la sacristie, cassant même la pierre autour de la serrure, là encore sans succès. Près d’une heure plus tard, la police et les sapeurs-pompiers de Sélestat sont intervenus pour un autre acte de vandalisme, commis cette fois dans l’église Sainte-Foy toute proche. Une petite table se consumait dans un coin. Les causes de l’incendie, sans départ de feu, sont pour le moment inconnues, mais il s’agirait d’un acte malveillant. La police de Sélestat lance un appel à témoins. Toute personne ayant des renseignements à communiquer qui permettraient d’aider les forces de l’ordre peut appeler au 03.90.57.77.20.
 
20 – Poitiers : une croix détruite ou jetée à la déchetterie…
Le 18 juillet 2017, on pensait de l’enlèvement “à la chinoise” de la croix qui sommait le bâtiment de l’ancien lycée catholique des Feuillants vendu en 2010 pour devenir la Cité judiciaire de Poitiers. Cette croix, dont on avait dit qu’elle avait été déposée avec délicatesse et dans les règles de l’art le 7 juillet 2017, devait revenir à l’ensemble scolaire privé Isaac de l’Étoile. Elle n’y finira pas et voici pourquoi…
« La croix de l’ancien lycée catholique des Feuillants à Poitiers a été égarée l’an dernier. Elle ne nous sera donc pas restituée », indique Philippe Misery.
Le directeur de l’ensemble scolaire Issac de l’Étoile à Poitiers a été avisé par courrier de l’APIJ (agence publique pour l’immobilier de la justice) de l’erreur humaine à l’origine de la perte de ce symbole religieux. Selon le souhait du maire de Poitiers Alain Claeys (ancien élève de l’établissement), cette croix dominant l’énorme ensemble immobilier de 38 mètres de hauteur édifié entre 1858 et 1864 devait être préservée, afin d’être ensuite remise à l’OGEC (organisme de gestion de l’enseignement catholique) Poitiers Nord gérant Isaac de l’Étoile. M. Misery confirme: « Nous avions retenu un site près de la chapelle du Porteau pour la mettre en valeur » sur le haut de la falaise donnant sur la vallée du Clain. Cela ne se fera pas. « La croix a été perdue lors du premier semestre de l’année dernière (2018) », indique Marion Moraes, responsable de la communication de l’APIJ.
« L’entreprise a procédé à un changement de l’espace de stockage et c’est lors de ce transfert que la disparition de la croix a été constatée ». Elle aura sans doute été détruite ou mise en déchetterie par erreur.
Honteux !
 
21 – Nice : Vandalisme et tentative de vol dans une église du Cannet
Il s’agit de l’église Saint-Charles. Les faits se sont déroulés vers 13 h 45 hier, samedi 19 janvier…
Un homme pénètre dans l’église Saint-Charles du Cannet. Ivre, il tente, sous l’œil médusé de deux femmes, de s’emparer de l’argent récolté auprès des fidèles qui se trouve dans différentes urnes. Lorsqu’il s’aperçoit qu’il n’est pas seul, il entre dans une colère noire. Il se rue sur l’immense croix de Jésus, l’arrache de son support, renverse pots de fleurs et statues… et repart tranquillement. Il sera interpellé par les motards de la police municipale du Cannet, à quelques pas de là dans les minutes qui suivent. Emmené au commissariat de Cannes afin d’être placé en garde à vue, il a d’abord passé quelques heures en cellule de dégrisement.
 
22 – Vandalisme contre l’église Saint-Agricol à Avignon
Lu dans Le Dauphiné Libéré des 22 et 24 janvier 2019.
Ce lundi 21 janvier, vers midi à Avignon, un individu est entré dans l’église Saint-Agricol pour sortir et casser du mobilier. Quelques chaises, un chevalet et une statue font partie du bilan des dégradations. L’auteur de ces actes semble aussi avoir allumé des bougies, et réalisé un empilement de tables et de chaises à l’intérieur du bâtiment. L’individu a été interpellé à la sortie de l’église et placé en garde à vue dans la foulée. Ses motivations sont inconnues. La police scientifique a également effectué ses relevés à la mi-journée (…)
Hier, à l’audience correctionnelle d’Avignon. L’individu de 36 ans arrêté après les actes de vandalisme commis à l’église Saint-Agricol, à Avignon lundi midi, a sollicité un délai pour préparer sa défense comme le lui permet la loi lors d’un jugement en comparution immédiate. Le prévenu a tenu des propos incohérents depuis le box. Le tribunal a ordonné qu’il soit vu par un expert psychiatre d’ici la date du jugement au fond le 1er  mars. En attendant, il reste en détention. Cinq chaises, un chevalet, des affiches et la statue d’un ange ont été détruits.
 
23 – Actes de vandalisme contre la Maison diocésaine de Grenoble
La Maison diocésaine de Grenoble a accueilli l’Alliance Vita le 14 janvier dernier pour la première journée de son Université de la vie. La presse locale a signalé qu’une manifestation de groupes hostiles à l’Alliance Vita, avait réuni quelques centaines de protestataires devant la Maison diocésaine ce soir-là. C’est sans doute entre le 14 et le 19 janvier que la Maison diocésaine été taguée par des militants d’extrême gauche. Les actes de vandalisme contre les portes et les fenêtres ont été commis entre le 19 et le 21 janvier. Pour mémoire, après avoir été tagué de slogans favorables à l’avortement, l’église Saint-Jacques était réduite en cendres dans la nuit du 16 au 17 janvier. Il y a des rapprochements qui s’imposent…
 
24 – Église vandalisée à Mamers, dans la Sarthe
Dans la nuit de lundi 22 au mardi 23 octobre 2018, des individus ont caillassé les vitraux de l’église Notre-Dame. Après avoir appris ces dégradations, Frédéric Beauchef, maire de Mamers, a décidé de prendre le taureau par les cornes : « Ce sont des gestes stupides et irrespectueux. J’ai demandé à la gendarmerie d’intensifier ses patrouilles. De plus, les vitraux dégradés étaient les seuls de l’édifice à ne pas être équipés d’un grillage de protection. Ce sera chose faite prochainement pour empêcher d’autres actes de vandalisme ».
 
25 – Vandalisme dans l’église Saint-Étienne de Tours, Indre-et-Loire
Les faits remontent au lundi 4 juin 2018.
Lundi, vers 14 h 30, un Américain s’est adonné à un drôle de cérémonial, dans l’église Saint-Étienne, place Michelet. Vases, chaises, pupitres, extincteur, crucifix et matériel de sonorisation ont été brisés ou abîmés. « Le forfait de quelqu’un qui avait bien bu », tente de pardonner une fidèle, croisée sur place hier. L’auteur présumé des faits, 52 ans, dont on ne sait pour le moment pas grand-chose, a été appréhendé par la police sur place, en état d’ébriété. « Il ne s’agit pas d’un événement, mais d’un incident embêtant », insiste-t-on au presbytère. L’Américain, interpellé, n’avait pu être entendu par la police au soir des incidents. Tenant des discours jugés incohérents par la police, en état « d’hyperexcitation », le quinquagénaire a été hospitalisé de force à Trousseau et placé sous surveillance psychiatrique.
 
26 – Statues volées dans une église de Leulinghem, Pas-de-Calais
On a appris que très récemment des vols survenus dans l’église Saint-Maurice de Leulinghem (Pas-de-Calais), et constatés le dimanche 25 mars 2018. Fort heureusement, ces deux statues ont été retrouvées un jour plus tard dans le butin d’étudiants qui avaient pillé des centaines d’objets dans de nombreuses églises de la région…
Dimanche 25 mars lors de l’office, Daniel Bocquet, conseiller municipal et chargé de la surveillance de l’église Saint-Maurice, a eu une mauvaise surprise : deux statues avaient disparu : «  Des cavaliers romains en toge avec un châle rouge en provenance d’un calvaire  », indique Michel Tillie, responsable de la valorisation du patrimoine religieux au diocèse d’Arras.
 
27 – Vandalisme dans l’église Notre-Dame à Dijon
On n’a pris connaissance que très récemment de cet acte de vandalisme survenue le jeudi 15 mars 2018 dans l’église Notre-Dame de Dijon (Côte-d’Or).
Sur sa page Facebook le père Emmanuel Pic évoque un acte troublant. Ce jeudi (15 mars 2018) le bénitier de l’église a été démonté par un ou plusieurs inconnus.
Est-ce l’œuvre d’un déséquilibré ? Ou peut-être de gamins ? En écho à un article paru dans La Croix il s’interroge : « faut-il installer des caméras ? »
 
28 – Vol dans l’église de Sainte-Agathe-la-Bouteresse, dans la Loire
Il s’agit d’une église de la paroisse Saint-Vincent-en-Lignon, sise au bourg de la commune de Sainte-Agathe-la-Bouteresse, département de la Loire. On n’apprend qu’aujourd’hui dans la presse locale ce vol survenu en juillet dernier, sans que la date exacte soit précisée.
Le pilleur de troncs n’était pas bien malin. En juillet dernier, les gendarmes découvrent simultanément que l’église de Sainte-Agathe-la-Bouteresse a été victime d’un vol, et que le visiteur nocturne a, entre nef et transept, laissé tomber… les papiers de son véhicule. Ladite voiture a d’ailleurs été retrouvée quelques minutes plus tôt, dans un fossé. Elle appartient à David, un chauffeur-livreur en intérim de 30 ans. Ce dernier, cueilli alors qu’il s’apprêtait à récupérer sa voiture accidentée, a expliqué s’être disputé avec son épouse. Il a bu, il est sorti, il ne se souvient de rien, si ce n’est s’être réveillé le lendemain avec un bon mal de tête. L’homme, trois mentions au casier et absent à son procès, a été condamné à cinq mois avec sursis pour le vol au sein de l’édifice religieux d’une lampe, retrouvée dans la voiture, et de menue monnaie représentant le produit d’une quête pour les fleurs de l’église. David l’avait affirmé aux gendarmes : «Je suis moi-même catholique, je naurais jamais fait de tels actes dans mon état normal».
 
29 – Nouvelle-Calédonie : vol, vandalisme et profanation d’une chapelle à Ducos
On apprend que des actes graves commis en avril 2018 en Nouvelle-Calédonie, dans la chapelle Saint-Pierre-Chanel de Ducos. Effraction, vol, vandalisme, profanation… Rien n’aura été épargné à cette chapelle qui est régulièrement la cible de vols et de vandalisme. Voici quelques extraits de l’article du quotidien Les Nouvelles Calédoniennes, qui raconte l’audience du tribunal au cours de laquelle le jeune délinquant a été condamné à un an de prison…
Avait-il simplement des arguments pour se défendre des faits que la justice lui reproche : le cambriolage de la chapelle Saint-Pierre-Chanel, située rue de Papeete, à Ducos, en avril dernier. On devine chez Gabriel un peu de honte. « On ne s’attaque pas aux lieux de culte », tonne le procureur de la République, Richard Dutot. À l’époque, la chapelle subissait de nombreuses visites nocturnes. Quatre en moins d’un an. « Je ne comprends plus les jeunes. Il n’y a aucun respect », avait déclaré, résigné, Tutaane Sivi, à la tête du comité de gestion de la chapelle. Gabriel avait causé d’importants dégâts à l’édifice. Il avait fracassé les vitres et les portes d’accès à la salle du culte et de la sacristie avec une barre à mine, renversé le contenu des armoires, saccagé les bureaux… « Tout était sens dessus dessous », raconte la présidente du tribunal, Évelyne Camerlynck. « Il a tout renversé sur son passage, les hosties, les livres… », complète le ministère public. Gabriel avait également volé l’argent de la quête, quelques pièces tout au plus. Et emporté avec lui une quinzaine de bouteilles de… vin de messe. « Il avait juste envie de boire un coup », ironise sans sourire la présidente. Gabriel n’a toujours pas dit un mot. Il se remet à mâcher sa chemise. Le procureur comprend qu’il n’aura pas plus d’explications. « La liberté de croyance doit être respectée quelle que soit la religion », dit-il. Il requiert une année d’enfermement. Le tribunal part délibérer. Un instant plus tard, les réquisitions sont suivies à la lettre : Gabriel est condamné à un an de prison ferme avec mandat de dépôt. « C’est grave de s’en prendre à un lieu de culte », conclut la juge. Le jeune homme ne réagit pas et rejoint sa cellule du palais de justice.
 
30 – Vandalisme et incendie dans une église à Sainte-Foy-les-Lyon, dans le Rhône
Il s’agit de l’église de la paroisse Sainte-Foy-Centre. Les faits ont été commis lundi 28 janvier. Encore un détraqué…
Un homme d’une quarantaine d’années a été interpellé lundi 28 janvier à 14 h 30 à Sainte-Foy-les-Lyon, près de Lyon. Connu des services de police, l’individu avait tenté quelques minutes auparavant, de mettre le feu à l’autel d’une église dans laquelle il se trouvait. Pour cela, il avait volontairement incendié la nappe placée au-dessus. Il venait également de briser un prie-Dieu, précisent ce jour les enquêteurs lyonnais. Le quadragénaire, qui compte 23 antécédents judiciaires, « tenait des propos incohérents et ne jouissait pas de toutes ses facultés mentales », selon la police. Il a été hospitalisé en milieu psychiatrique.
 
31 – Vol dans l’église de Sains-du-Nord, dans le Nord
Sans que j’en sache beaucoup plus que le petit extrait qu’on a pu lire dans La Voix du Nord, l’église Saint-Remi de Sains-du-Nord (Nord), a subi un vol dans la nuit du 17 au 18 décembre 2018.
 
32 – Hier (jeudi 31 janvier) en début de soirée a été volé le tabernacle de l’église Sainte-Marie-Madeleine à Vendôme (Loir-et-Cher). Il contenait nombre d’hosties consacrées… Le tabernacle n’ayant aucune valeur marchande, nous avons affaire à un acte de pure profanation. Les services de police ont été prévenus et se sont déplacés. L’évêque de Blois présidera la Messe dimanche et procédera à la liturgie de réparation. Le journal local, la Nouvelle République, devrait se faire l’écho de cette profanation demain.
 
Heureusement que le mois de janvier 2019 n’a jamais eu que 31 jours calendaires cette année !…
On y reviendra dimanche prochain pour un tour des provinces Gauloisiennes concernant le mois de février.
Et puis ainsi de suite, tous les mois s’il le faut.
 
Bon dimanche à toutes et à tous !
 
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