Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 26 mars 2019

Est tombé d’une étagère…

Le rapport du GIEC de 2013
 
Vous savez, le prix Nobel de la Paix qui vous cause de « changement climatique » et de « réchauffement global ».
Celui pris à bras le corps par une toute grande partie de la classe politique des « sachants » qui veulent vous changer la vie (pour votre bonheur en vous infligeant des taxes à haute densité) : Changer la société, c’est globalement 30 % du budget de la « Gauloisie-impécunieuse » puisque seuls 20 % financent le fonctionnement d’un « État de droit régalien » sous vos tropiques et environ 50 % la « redistribution-sociale » que le monde entier vous envie.
C’est qu’ils y tiennent « au nom de l’avenir », du moment que… c’est vous qui payez de force !
 
Je vous explique : Je range mon bureau monégasque à l’occasion d’une « tournée hebdomadaire », en vue de préparer mon départ « post-Brexit » de London.
Ça aussi, ça aura été la « commedia-dell’arte » du siècle…
Passons…
Donc je fais de la place dans les archives où sont entreposés des documents inutiles comme fond de documentation et je découvre – ce que je ne savais pas – que « mon boss-à-moi », il collectionne les rapports.
Dont celui du GIEC : Il en a des cartons pleins…
Je feuillette l’AR 2013 qui compte 1.535 pages rédigées en anglais.
Moi et la langue de Shakespeare, on n’est pas très « copain », mais j’ai fait des progrès depuis mon exil-londonien.
Et le GIEC, de mon point de vue, ce n’est jamais qu’une façon comme une autre d’obtenir des subventions et de « forcer la main » des « décideurs politiques » pour anticiper la « décarbonation » de l’activité laborieuse des humains en vue d’affronter le prochain « pic d’extraction de pétrole » qui recule, recule, recule, mais qui arrivera bien un jour ou l’autre.
Ça permet aussi aux « intelligences » de rechercher des alternatives crédibles et financièrements à portée de portefeuilles…
 
2013, il y a six ans de ça, que j’en reste sur le kul…
Où est la catastrophe cataclysmique climatique annoncée à tue-tête ?
Car, sauf si je fais des contresens (ce qui, en ce qui me concerne, reste toujours possible), on y trouve des informations « lacunaires » pas si alarmistes que ça.
Jugez-en vous-même :
 
Le chapitre 2 (94 pages dont 18 de références) traite des « évènements climatiques extrêmes ». Il en existe de 9 types : Les températures ; les précipitations ; les inondations ; les sécheresses ; les évènements météorologiques locaux sévères (grêle, orages) ; les tempêtes tropicales ; les tempêtes extratropicales ; les vents ; et les marées (qui sont traitées dans le chapitre suivant, le n° 3).
 
– Les températures extrêmes (p. 212) je cite :
« … depuis 1950 il est presque certain que le nombre de jours et de nuits considérés comme froids a diminué et que le nombre de jours et de nuits considérés comme chauds a augmenté globalement, pour les régions terrestres qui présentent suffisamment de données. Il est probable que de tels changements se soient produits en Amérique du Nord, Europe, Asie et Australie. Mais ceci est moins certain pour l’Afrique et l’Amérique du Sud car il n’y a pas assez de données. Il existe une confiance modérée que la longueur et la fréquence d’épisodes chauds, incluant les vagues de chaleur, ait augmenté depuis 1950 et il est probable que la fréquence des vagues de chaleur ait augmenté durant cette période dans de larges parties d’Europe, Asie et Australie. »
Bien…
Comme en dit « ma nichée », « Papa, je ne comprends pas : Quand on nous dit qu’on a battu le record de chaleur de 1936, par exemple, ça veut bien dire qu’il a fait plus froid depuis tout ce temps ? »
Euh…
Le pic de chaleur extrême a été enregistré le 10 juillet 1913 aux USA avec… + 57,7° C au thermomètre, au tout début de l’ère post-industrielle, donc avant le réchauffement global.
Depuis, plus rien.
« On parle de fréquence et de moyenne et de médiane »…
Comme elle ne sait pas ce que ça recouvre, je m’en suis tiré à bon compte pour éviter un « débat enflammé ».
 
– Les précipitations extrêmes (p. 213) : « Il est probable que depuis 1951 il y ait eu une augmentation significative dans le nombre d’évènements de précipitations extrêmes pour plus de régions que l’inverse (diminution significative), mais il y a de fortes variations régionales et sous-régionales dans les tendances. En particulier, de nombreuses régions présentent des tendances non significatives ou négatives, et, lorsque les variations saisonnières ont été prises en compte, il y a aussi des variations entre saisons (c’est-à-dire plus de tendances affirmées en hiver qu’en été pour l’Europe). Les tendances les plus nettes vers des évènements de précipitation plus intenses concernent l’Amérique du Nord centrale (augmentation presque certaine). Pour l’Europe il est probable qu’il y ait plus d’augmentations que de diminutions pour de nombreuses régions. »
« Probable », mais sans plus de précisions… « scientifiques » !
 
– Les inondations (p. 214) : « À l’échelle globale il n’y a pas plus ni moins d’inondations et la magnitude n’a pas varié significativement. »
Ah tiens donc ?
 
– La sécheresse (p. 215) : « Il n’y a pas suffisamment d’évidences pour suggérer une tendance globale depuis 1950. Il est probable que la fréquence et l’intensité des sécheresses ait augmenté en région Méditerranéenne et Afrique de l’Ouest depuis 1950, et diminué en Amérique du Nord centrale et Australie du Nord-Ouest. »
Ah ? Et où sont les « certitudes » scientifiques, alors ?
 
– Les évènements météorologiques locaux sévères (p. 216), grêle et d’orages à petite échelle par exemple : « Les tendances observées ont un faible niveau de confiance, à cause d’inhomogénéités dans les données et de problèmes dans les systèmes de monitoring. »
Bien, bien…
 
– Les tempêtes tropicales (p. 216) : « L’AR4 concluait qu’il était probable qu’il y ait eu une tendance à l’augmentation dans l’activité des cyclones tropicaux intenses depuis 1970 de certaines régions mais qu’il n’y avait pas de tendance claire dans le nombre annuel de cyclones tropicaux.
Depuis, d’autres analyses et d’autres publications indiquent qu’il est difficile de tirer des conclusions définitives concernant le niveau de confiance associé avec les tendances observées avant l’ère satellitaire ainsi que dans les bassins océaniques en dehors de l’Atlantique Nord. »
On reste curieusement dans le domaine du « probable »…
Sans aucune certitude affirmée.
 
Un peu plus loin : « Les données actuelles n’indiquent aucune tendance significative pour la fréquence des cyclones tropicaux au niveau global pour le siècle passé et il reste incertain si les augmentations à long terme rapportées soient solides, après avoir pris en compte les variations des méthodes d’observation.(…) Aucune tendance solide dans les nombres annuels de tempêtes tropicales, ouragans et ouragans majeurs n’a été identifiée pour les 100 dernières années dans le bassin de l’Atlantique Nord. »
« En incluant les années 2010/2011 cette tendance devient non significative. Des tendances significatives ne sont pas observées dans d’autres océans sur de plus courtes échelles de temps (…). Les différences entre les études concernant les cyclones tropicaux sont telles qu’il est très difficile d’établir des tendances à long terme. »
« En résumé, le présent rapport ne modifie pas les conclusions du rapport SREX : l’activité des cyclones tropicaux n’a pas augmenté sur le long terme, après avoir tenu compte des variations dans les méthodes d’observation. Les publications les plus récentes indiquent qu’il est peu probable que le nombre annuel de tempêtes tropicales, d’ouragans et d’ouragans majeurs ait augmenté au cours des derniers 100 ans dans le bassin Atlantique Nord. »
Et puis cette remarque très instructive : « Il est virtuellement certain qu’il y ait une augmentation de la fréquence et de l’intensité des cyclones tropicaux les plus forts depuis les années 1970 pour cette région. »
Ah ?
Tant que ça reste virtuel…
 
– Les tempêtes extratropicales (p. 217) : « En résumé, les changements à large échelle d’intensité pour les cyclones extratropicaux depuis 1900 sont incertains. Il n’y a pas de tendance claire en ce qui concerne les tempêtes pour le siècle dernier à cause d’inconsistances entre études ou un manque de données à long terme dans certaines parties du monde. Les tendances concernant les vents extrêmes sont incertaines, car les données analysées sont inconsistantes ou de faible qualité. »
Bien : Circulez, il n’y a rien à voir, une fois de plus…
 
– Vitesse du vent en surface (p. 226) : « En résumé, la vitesse du vent de surface au-dessus des terres et des océans n’a pas changé de manière significative et il reste de nombreuses incertitudes dans les bases de données et les méthodes utilisées. »
Idem, bis-repetita…
 
– Les marées extrêmes (chapitre 3, p. 290) : « Les analyses globales des changements concernant les niveaux marins extrêmes (les grandes marées) sont limitées, et la plupart des rapports sont basés sur l’analyse de données régionales. Les estimations de variations dans les extrêmes sont basées soit sur l’analyse de données issues de marégraphes locaux, soit sur des prévisions multidécadales a posteriori en employant un modèle dynamique (WASA-Group, 1998). La plupart des analyses se sont focalisées sur des régions spécifiques et montrent que les valeurs extrêmes ont augmenté depuis 1950, en employant diverses mesures statistiques comme la hauteur maximale annuelle, la hauteur maximale annuelle à marée haute, le niveau moyen de marée haute mensuel, la variation du nombre de maximas obtenus lors de tempêtes, ou les changements dans les évènements dépassant le 99ème percentile.
Une analyse globale basée sur les marégraphes a été réalisée pour des données à partir de 1970 uniquement avec des données solides, et a montré que la magnitude des marées extrêmes a augmenté dans toutes les régions étudiées. »
Bien : La Lune se rapprocherait-elle de la planète ?
Moi, j’avais compris qu’elle s’éloignait insensiblement…
 
Conclusions : Sur les 9 types d’évènements climatiques extrêmes, seuls trois ont probablement augmenté selon le GIEC :
– Depuis 1950, la longueur et la fréquence d’épisodes chauds, incluant les vagues de chaleur. Mais seulement au niveau local car on ne sait rien pour de très nombreuses régions…
– La fréquence et l’intensité des cyclones tropicaux les plus forts depuis les années 1970 pour l’Atlantique Nord, mais l’évidence est limitée pour les autres régions du globe… Les augmentations ne sont donc que locales (Atlantique Nord), et non globales.
– Et finalement, les marées extrêmes, mais encore une fois, ceci n’est vrai qu’au niveau local…
Pas de quoi fouetter un chat (d’autant qu’il n’y est pour rien…) !
 
Pour les 6 autres évènements climatiques extrêmes le rapport du GIEC est beaucoup, beaucoup plus mitigé, et dit même clairement qu’il n’y a pas suffisamment d’évidences pour suggérer une tendance globale depuis 1950 !
Curieux qu’on vous en fasse tout un plat et qu’on puisse vous taxer sur autant d’incertitudes « scientifiques » et qu’en plus on l’impute sur les gaz à effet de serre (vous savez, ce couvercle situé en altitude qui empêche la chaleur de se dissiper dans l’espace) dues aux émissions de gaz carbonique (celui qui est plus lourd que l’air ambiant que vous respirez)…
Enfin… passons : Il faudrait rester logique, au moins un peu !
 
Je veux également préciser qu’il existe d’autres publications qui nous montrent que le climat était encore plus extrême dans la première moitié du XXème siècle… dont l’hiver 1940 resté dans toutes les mémoires (mais situé hors du champ de cette étude-là) !
Kon, ça !
D’où le bienfondé de la réflexion de « ma nichée »…
Et puis les rapports annuels des compagnies d’assurances qui doivent dédommager les sinistrés vous le démontreront également. Par exemple, la compagnie AON, dans son « Annual Global Climate and Catastrophe Report » suggère qu’il n’y a pas plus de cyclones tropicaux, toutes catégories confondues.
Et pour clore ce billet, allez donc consulter la « International Disaster Database » qui nous démontre que le nombre de tués causés par le climat (inondations, sécheresses, tempêtes, incendies, températures extrêmes) ne fait que chuter depuis 1920 !
 
J’ai rangé le « bottin » dans son carton, ai pu « caler » quelques-uns de mes dossiers dans les interstices dégagées et j’en ai conclu que « tout ça », c’est uniquement un « problème de riches » situés autour de l’Atlantique-Nord.
Tous les autres ne sont pas vraiment concernés (sauf quand le sous-sol de leurs « îlots » s’enfonce dans la croûte terrestre…)
Parce que vous avez remarqué, pas un seul mot sur le phénomène « El Niño » dont on attend pourtant et jusqu’en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » un été 2019 plus chaud que de coutume !
Si j’y vais et si je ne meurs pas avant, je vous dirai à mon retour.
Ça permettra d’aiguiser votre sens critique quand on vous demandera de « payer » (puisqu’ils ne savent faire que ça…).

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire