… Et
de Jean-Paul
Les deux vieux compères, complètement saouls une fois de plus, se
racontent des histoires depuis des heures.
Soudain, Jean-Paul éclate en sanglots…
« – Je dois t’avouer une chose
terrible. Il faut que je te le dise. Je l’ai sur le cœur depuis des années.
– Bof. Vas-y, on est copain.
– Ben, ta femme…
– Quoi ma femme ?…
– Ta femme, je couchais
avec elle quand tu travaillais à Marseille.
– Ah…
– C’est tout ce que ça te
fait ?
– Ben oui. Moi, je
couchais avec la tienne la veille de ton mariage. »
Un couple meurt dans un tragique accident de voiture, alors qu’ils roulaient
vers l’église pour se marier.
Ils se retrouvent devant les portes du ciel.
Saint-Pierre arrive…
« – Saint-Pierre, pouvons-nous
nous marier au ciel ?
– Bien, je ne sais pas.
C’est la première fois que j’ai une telle demande. Je dois m’informer… »
Saint-Pierre revient quelques semaines jours plus tard…
Il a l’air épuisé.
« – OK ! Vous pouvez vous
marier.
– Merci beaucoup, mais
vous savez, on n’a jamais été marié, c’est notre première expérience, et,
finalement on ne sait jamais.
– On ne sait jamais quoi ?
– Ben, si ça ne marche
pas, et qu’on décide de divorcer. Est-ce qu’on peut rester au ciel quand même ?
– ÉÉCOUTEZ !!!!!!!!!!!! » s’emballe Saint-Pierre. « J’ai retourné tout le paradis à l’envers
pour trouver un prêtre pour vous marier, je ne prendrai pas encore trois
semaines pour trouver un avocat !
Et ce n’est même pas
certain si je peux en trouver un ici !
Alors VOUS ALLEZ VOUS
MARIER ! Compris ! »
« Tu m’énerves avec ta façon de
toujours répondre à mes questions par une question », dit Jean-Marc à son épouse.
« Ah oui. Comment ça ? »
Jean-Marc s’installe au bar.
Le patron le salue et lui demande ce qu’il désire.
« Un Gin Tonic ! »
Jean-Marc avale son verre qui quitte le bar.
« – Hé, monsieur, vous avez
oublié de payer !
– Moi ? Non.
– Mais oui, votre Gin
Tonic !
– Mais c’est vous qui
m’avez demandé ce que je bois. Moi, je n’ai rien commandé. Faudrait pas me
prendre pour un imbécile… »
Pour éviter le scandale devant ses autres clients, le patron, furieux,
laisse son client sortir et finit par oublier cette histoire.
Un mois plus tard, Jean-Marc revient.
Le patron le reconnaît et, alors qu’il s’est assis au bar, il ne lui
adresse pas la parole.
Environ une heure plus tard, Jean-Marc lève le doigt et commande des
cacahuètes.
« – OK mon pote, mais tu vas
payer cette fois.
– Oui, c’est moi qui
commande. C’est combien ?
– 2 euros.
– Voilà. Merci. »
Jean-Marc approche sa coupelle de cacahuètes, sort une petite cuillère de
sa poche, et commence à écraser les cacahuètes, une par une, pour en faire une
fine poudre.
Étonné, le patron s’approche…
« – Je peux vous demander ce
que vous faites ?
– Oui, je pile des
cacahuètes pour aller à la pêche, ça me sert d’appât. En fait, cette technique
fonctionne très bien pour les gros poissons !
– Ah bon ? Et qu’est-ce
que vous prenez avec ça ?
– Un gin tonic ! »
Un fonctionnaire meurt subitement (probablement des effets du stress), et
on l’envoie d’office au paradis : C’est un avantage marginal prévu par la
convention collective.
Là-haut, il se met à rechercher ses anciens collègues déjà partis au ciel,
mais pas moyen d’en trouver un seul !
Il va voir Dieu et lui demande où ils sont passés.
Dieu consulte les anges qui l’informent qu’il n’y a pas trace de
fonctionnaires ici.
Le pauvre fonctionnaire s’ennuyant vraiment trop, décide d’aller trouver
ses collègues en Enfer, mais ô surprise, le diable lui apprend qu’il n’y a pas
de fonctionnaire de l’Administration là non plus !
Le fonctionnaire ne sachant vraiment plus où aller va voir Saint-Pierre en
espérant obtenir une information et lui demande :
« – St Pierre, désolé de vous
déranger mais vraiment c’est très étrange… Je cherche mes ex-collègues et ils ne
sont ni au paradis ni en enfer !
– Hum… C’est très étrange
en effet… » lui répond St
Pierre. « Mais que faisais-tu comme
métier ?
– Fonctionnaire.
– Haaaa… mais il fallait
le dire tout de suite : ils sont à la cafétéria ! »
Deux ados, totalement nus, fument un joint assis près d’une fontaine.
La police les arrête.
Les policiers leur donnent le droit de faire un appel, sur leur téléphone
portable, puis on les embarque.
Au bout d’une demi-heure, au poste de police, un gars arrive.
« – Vous êtes sans doute
l’avocat des p’tits ?
– Non, j’apporte leur
pizza toute garnie. »
Jean-Marc, toujours mauvaise langue, rapporte ses
conclusions personnelles réservées aux seules dames !
D’après lui, personne d’autre ne peut comprendre…
« J’ai regardé 2 émissions
récemment qui insistaient sur le fait que la cinquantaine est un bon temps pour
les femmes.
La semaine dernière une
vedette tenait une émission qui discutait combien c’est agréable le temps de la
ménopause.
J’y ai bien réfléchi de
mon côté, et j’aimerais partager mes pensées avec vous.
Que vous ayez 50 ou 60
ans, vous vous reconnaîtrez sûrement.
– La ménopause c’est
quand la poussée des poils sur leurs jambes ralentit.
Ceci leur donne plus de
temps pour s’occuper de leur nouvelle moustache.
– À la ménopause, les
femmes n’ont plus les bras musclés, elles ont une petite quantité de peau qui
pend sous les bras.
Elles ne font plus partie
de la catégorie des femmes qui peuvent se permettre de porter des chemises sans
manches.
– La ménopause c’est lorsqu’elles
peuvent se tenir debout devant un miroir et qu’elles sont capables de voir leurs
fesses sans avoir à se retourner.
– La ménopause c’est
lorsqu’elles passent une mammographie et qu’elles réalisent que c’est le seul moment
où quelqu’un leur demande de se promener “topless”.
– La ménopause c’est
lorsqu’elles ont le désir d’attraper une de ces jolies jeunes filles au corps
encore ferme et de lui crier : “Écoute
chérie, même l’empire romain s’est écroulé et ça t’arrivera aussi un jour”.
– La ménopause leur apporte
la sagesse de reconnaître que la vie leur donne des courbes et qu’elles sont
assises sur les plus grosses.
– La ménopause c’est
lorsqu’elles regardent leur ado qui sait tout et qui se promène avec son portable
et elles en pensent alors : « Et dire que j’ai accepté d’avoir des vergetures sur la
bedaine juste pour ÇA ! »
– À la ménopause, elles commencent
à avoir des pertes de mémoire. En fait, avec le temps, la seule chose qu’elles peuvent
encore retenir c’est l’eau.
– À la ménopause, elles
deviennent plus réfléchies… Elles
commencent à se poser les “grandes questions” : Qu’est-ce que la vie ? Pourquoi suis-je ici ?
Quelle quantité de crème
glacée est-ce que je peux manger si je mets un petit peu de crème fouettée sur
mon beignet ?
– En revanche, la
ménopause leur permet aussi d’apprécier ce qui est important.
Elles réalisent que leur
poitrine s’affaisse, leurs hanches prennent de l’expansion et qu’elles doublent
leur menton, mais les personnes qu’elles aiment le plus remplissent leurs
journées.
Changeraient-elles les
connaissances qu’elles ont maintenant pour le corps qu’elles ont déjà eu ?
Peut-être que leur corps
doit simplement prendre de l’expansion pour pouvoir contenir toute la sagesse
et l’amour qu’elles ont accumulés au fil des ans… »
Un kangourou ne cesse de s’échapper de son enclos au zoo.
Les gardiens, sachant que ces bestiaux peuvent sauter très haut, élèvent
une barrière de 3 mètres de hauteur.
Le lendemain matin, ils le retrouvent rodant autour du zoo.
Ils élèvent alors une barrière de 5 mètres de haut.
Le kangourou s’échappe encore.
Quand la barrière atteint les 10 mètres, quelques jours plus tard, un
chameau de l’enclos d’à côté demande au kangourou :
« – Jusqu’à quelle hauteur
crois-tu qu’ils vont aller ?
– Jusqu’à un kilomètre, à
moins que quelqu’un ne ferme la porte à clé d’ici-là ! »
Dieu avait presque terminé de créer l’univers quand il s’aperçut qu’il lui
restait deux articles dans son sac, aussi décida-t-il de les partager entre
Adam et Ève.
Il leur mentionna qu’un des articles restants permettrait à son
propriétaire de pisser debout.
« C’est un bidule très pratique et
je me demandais si un de vous deux apprécierait de le posséder. »
Adam se mit à sauter d’excitation !
« Oh, donnez-le moi !
J’adorerais être capable de faire ça.
Ça semble être justement
une chose que seul un homme devrait pouvoir être capable de faire. »
Ève, en souriant, dit à Dieu que si Adam voulait tellement l’avoir,
qu’elle serait heureuse de le lui laisser.
Dieu donna à Adam l’article qui lui permettrait de pisser debout et qui
l’excitait tant.
Adam commença par viser le tronc d’un arbre pour ensuite écrire son nom
dans le sable riant de bonheur d’avoir autant de plaisir avec son nouveau
jouet.
Dieu et Ève le regardèrent pour un moment et Dieu s’adressa à Ève :
« – Bien, voici l’article qui
reste.
– Comment ça s’appelle ?
– Une cervelle… »
Un curé demande à un petit garçon nouvellement inscrit au catéchisme :
« – As-tu déjà entendu parler
du Bon Dieu ?
– Oh ! Oui ! Souvent.
– Et en quelles
circonstances ?
– Chaque fois que mon papa
bricole et qu’il se tape sur les doigts ! »
Poursuite de quelques définitions (dont certaines sont des « revenues ») :
– Mathématicien : Un aveugle dans une chambre noire qui cherche un
chat noir qui n’est même pas là.
– Psy : Quand une jolie fille entre dans une pièce, il est le seul
qui regarde tout le monde sauf la fille.
– Institutrice : Une femme qui pensait aimer les enfants, et qui a
perdu ses illusions.
– Consultant : Personne qui vous donne l’heure à partir de la montre
sur votre poignet.
(Classique…)
– Diplomate : Quelqu’un capable de vous dire d’aller chez le diable
d’une telle manière que vous aurez hâte de faire le voyage.
– Psychanalyste : Personne qui vous pose beaucoup de questions en
vous demandant beaucoup d’argent.
Alors que votre femme fait ça pour rien…
Un soldat déserteur coure sur une route.
Il cherche à se cacher de la police militaire qui est à ses trousses.
Il arrive à un croisement et tombe sur une religieuse qui attend
l’autobus.
« S’il vous plait ma sœur !
Cachez moi sous votre jupe pour quelques minutes ? Je suis très pressé et je ne
peux pas vous en dire plus, mais dès que le danger sera écarté je vous dirai
tout. »
La religieuse accepte sa demande.
Quelques instants plus tard, les 2 policiers militaires viennent vers elle
et lui demandent si elle n’aurait pas vu un soldat courant sur la route.
« – Un militaire ? Oui. Il est
parti par-là !
– Merci ma sœur ! »
Quand les policiers militaires sont
partis, le soldat se quitte sa cachette.
« – Je ne pourrai jamais assez vous remercier ma sœur, mais voyez-vous,
je ne veux pas aller en Irak.
– Je vous comprend très bien.
– J’espère que vous ne me trouverez pas impertinent, ma sœur, mais vous
avez les deux plus belles jambes que je n’ai jamais vues !
– Si vous aviez regardé un tout petit peu plus haut, vous auriez vu la
plus belle paire de testicules !
Moi non plus je ne veux pas aller en Irak… »
C’était juste pour en rire !
Bon week-end à toutes et à tous !
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