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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 15 mars 2019

Les « aventures » de Jean-Marc…

… Et de Jean-Paul
 
Les deux vieux compères, complètement saouls une fois de plus, se racontent des histoires depuis des heures.
Soudain, Jean-Paul éclate en sanglots…
« – Je dois t’avouer une chose terrible. Il faut que je te le dise. Je l’ai sur le cœur depuis des années.
– Bof. Vas-y, on est copain.
– Ben, ta femme…
– Quoi ma femme ?…
– Ta femme, je couchais avec elle quand tu travaillais à Marseille.
– Ah…
– C’est tout ce que ça te fait ?
– Ben oui. Moi, je couchais avec la tienne la veille de ton mariage. »
 
Un couple meurt dans un tragique accident de voiture, alors qu’ils roulaient vers l’église pour se marier.
Ils se retrouvent devant les portes du ciel.
Saint-Pierre arrive…
« – Saint-Pierre, pouvons-nous nous marier au ciel ?
– Bien, je ne sais pas. C’est la première fois que j’ai une telle demande. Je dois m’informer… »
Saint-Pierre revient quelques semaines jours plus tard…
Il a l’air épuisé.
« – OK ! Vous pouvez vous marier.
– Merci beaucoup, mais vous savez, on n’a jamais été marié, c’est notre première expérience, et, finalement on ne sait jamais.
– On ne sait jamais quoi ?
– Ben, si ça ne marche pas, et qu’on décide de divorcer. Est-ce qu’on peut rester au ciel quand même ?
– ÉÉCOUTEZ !!!!!!!!!!!! » s’emballe Saint-Pierre. « J’ai retourné tout le paradis à l’envers pour trouver un prêtre pour vous marier, je ne prendrai pas encore trois semaines pour trouver un avocat !
Et ce n’est même pas certain si je peux en trouver un ici !
Alors VOUS ALLEZ VOUS MARIER ! Compris ! »
 
« Tu m’énerves avec ta façon de toujours répondre à mes questions par une question », dit Jean-Marc à son épouse.
« Ah oui. Comment ça ? »
 
Jean-Marc s’installe au bar.
Le patron le salue et lui demande ce qu’il désire.
« Un Gin Tonic ! »
Jean-Marc avale son verre qui quitte le bar.
« – Hé, monsieur, vous avez oublié de payer !
– Moi ? Non.
– Mais oui, votre Gin Tonic !
– Mais c’est vous qui m’avez demandé ce que je bois. Moi, je n’ai rien commandé. Faudrait pas me prendre pour un imbécile… »
Pour éviter le scandale devant ses autres clients, le patron, furieux, laisse son client sortir et finit par oublier cette histoire.
Un mois plus tard, Jean-Marc revient.
Le patron le reconnaît et, alors qu’il s’est assis au bar, il ne lui adresse pas la parole.
Environ une heure plus tard, Jean-Marc lève le doigt et commande des cacahuètes.
« – OK mon pote, mais tu vas payer cette fois.
– Oui, c’est moi qui commande. C’est combien ?
– 2 euros.
– Voilà. Merci. »
Jean-Marc approche sa coupelle de cacahuètes, sort une petite cuillère de sa poche, et commence à écraser les cacahuètes, une par une, pour en faire une fine poudre.
Étonné, le patron s’approche…
« – Je peux vous demander ce que vous faites ?
– Oui, je pile des cacahuètes pour aller à la pêche, ça me sert d’appât. En fait, cette technique fonctionne très bien pour les gros poissons !
– Ah bon ? Et qu’est-ce que vous prenez avec ça ?
– Un gin tonic ! »
 
Un fonctionnaire meurt subitement (probablement des effets du stress), et on l’envoie d’office au paradis : C’est un avantage marginal prévu par la convention collective.
Là-haut, il se met à rechercher ses anciens collègues déjà partis au ciel, mais pas moyen d’en trouver un seul !
Il va voir Dieu et lui demande où ils sont passés.
Dieu consulte les anges qui l’informent qu’il n’y a pas trace de fonctionnaires ici.
Le pauvre fonctionnaire s’ennuyant vraiment trop, décide d’aller trouver ses collègues en Enfer, mais ô surprise, le diable lui apprend qu’il n’y a pas de fonctionnaire de l’Administration là non plus !
Le fonctionnaire ne sachant vraiment plus où aller va voir Saint-Pierre en espérant obtenir une information et lui demande :
« – St Pierre, désolé de vous déranger mais vraiment c’est très étrange… Je cherche mes ex-collègues et ils ne sont ni au paradis ni en enfer !
– Hum… C’est très étrange en effet… » lui répond St Pierre. « Mais que faisais-tu comme métier ?
– Fonctionnaire.
– Haaaa… mais il fallait le dire tout de suite : ils sont à la cafétéria ! »
 
Deux ados, totalement nus, fument un joint assis près d’une fontaine.
La police les arrête.
Les policiers leur donnent le droit de faire un appel, sur leur téléphone portable, puis on les embarque.
Au bout d’une demi-heure, au poste de police, un gars arrive.
« – Vous êtes sans doute l’avocat des p’tits ?
– Non, j’apporte leur pizza toute garnie. »
 
Jean-Marc, toujours mauvaise langue, rapporte ses conclusions personnelles réservées aux seules dames !
D’après lui, personne d’autre ne peut comprendre…
 
« J’ai regardé 2 émissions récemment qui insistaient sur le fait que la cinquantaine est un bon temps pour les femmes.
La semaine dernière une vedette tenait une émission qui discutait combien c’est agréable le temps de la ménopause.
J’y ai bien réfléchi de mon côté, et j’aimerais partager mes pensées avec vous.
Que vous ayez 50 ou 60 ans, vous vous reconnaîtrez sûrement.
 
– La ménopause c’est quand la poussée des poils sur leurs jambes ralentit.
Ceci leur donne plus de temps pour s’occuper de leur nouvelle moustache.
 
– À la ménopause, les femmes n’ont plus les bras musclés, elles ont une petite quantité de peau qui pend sous les bras.
Elles ne font plus partie de la catégorie des femmes qui peuvent se permettre de porter des chemises sans manches.
 
– La ménopause c’est lorsqu’elles peuvent se tenir debout devant un miroir et qu’elles sont capables de voir leurs fesses sans avoir à se retourner.
 
– La ménopause c’est lorsqu’elles passent une mammographie et qu’elles réalisent que c’est le seul moment où quelqu’un leur demande de se promener topless.
 
– La ménopause c’est lorsqu’elles ont le désir d’attraper une de ces jolies jeunes filles au corps encore ferme et de lui crier : Écoute chérie, même l’empire romain s’est écroulé et ça t’arrivera aussi un jour.
 
– La ménopause leur apporte la sagesse de reconnaître que la vie leur donne des courbes et qu’elles sont assises sur les plus grosses.
 
– La ménopause c’est lorsqu’elles regardent leur ado qui sait tout et qui se promène avec son portable et elles en pensent alors : « Et dire que j’ai accepté d’avoir des vergetures sur la bedaine juste pour ÇA ! »
 
– À la ménopause, elles commencent à avoir des pertes de mémoire. En fait, avec le temps, la seule chose qu’elles peuvent encore retenir c’est l’eau.
 
– À la ménopause, elles deviennent plus réfléchies Elles commencent à se poser les grandes questions : Quest-ce que la vie ? Pourquoi suis-je ici ?
Quelle quantité de crème glacée est-ce que je peux manger si je mets un petit peu de crème fouettée sur mon beignet ?
 
– En revanche, la ménopause leur permet aussi d’apprécier ce qui est important.
Elles réalisent que leur poitrine s’affaisse, leurs hanches prennent de l’expansion et qu’elles doublent leur menton, mais les personnes qu’elles aiment le plus remplissent leurs journées.
Changeraient-elles les connaissances qu’elles ont maintenant pour le corps qu’elles ont déjà eu ?
Peut-être que leur corps doit simplement prendre de l’expansion pour pouvoir contenir toute la sagesse et l’amour qu’elles ont accumulés au fil des ans… »
 
Un kangourou ne cesse de s’échapper de son enclos au zoo.
Les gardiens, sachant que ces bestiaux peuvent sauter très haut, élèvent une barrière de 3 mètres de hauteur.
Le lendemain matin, ils le retrouvent rodant autour du zoo.
Ils élèvent alors une barrière de 5 mètres de haut.
Le kangourou s’échappe encore.
Quand la barrière atteint les 10 mètres, quelques jours plus tard, un chameau de l’enclos d’à côté demande au kangourou :
« – Jusqu’à quelle hauteur crois-tu qu’ils vont aller ?
– Jusqu’à un kilomètre, à moins que quelqu’un ne ferme la porte à clé d’ici-là ! »
 
Dieu avait presque terminé de créer l’univers quand il s’aperçut qu’il lui restait deux articles dans son sac, aussi décida-t-il de les partager entre Adam et Ève.
Il leur mentionna qu’un des articles restants permettrait à son propriétaire de pisser debout.
« C’est un bidule très pratique et je me demandais si un de vous deux apprécierait de le posséder. »
Adam se mit à sauter d’excitation !
« Oh, donnez-le moi ! J’adorerais être capable de faire ça.
Ça semble être justement une chose que seul un homme devrait pouvoir être capable de faire. »
Ève, en souriant, dit à Dieu que si Adam voulait tellement l’avoir, qu’elle serait heureuse de le lui laisser.
Dieu donna à Adam l’article qui lui permettrait de pisser debout et qui l’excitait tant.
Adam commença par viser le tronc d’un arbre pour ensuite écrire son nom dans le sable riant de bonheur d’avoir autant de plaisir avec son nouveau jouet.
Dieu et Ève le regardèrent pour un moment et Dieu s’adressa à Ève :
« – Bien, voici l’article qui reste.
– Comment ça s’appelle ?
– Une cervelle… »
 
Un curé demande à un petit garçon nouvellement inscrit au catéchisme :
« – As-tu déjà entendu parler du Bon Dieu ?
– Oh ! Oui ! Souvent.
– Et en quelles circonstances ?
– Chaque fois que mon papa bricole et qu’il se tape sur les doigts ! »
 
Poursuite de quelques définitions (dont certaines sont des « revenues ») :
 
– Mathématicien : Un aveugle dans une chambre noire qui cherche un chat noir qui n’est même pas là.
 
– Psy : Quand une jolie fille entre dans une pièce, il est le seul qui regarde tout le monde sauf la fille.
 
– Institutrice : Une femme qui pensait aimer les enfants, et qui a perdu ses illusions.
 
– Consultant : Personne qui vous donne l’heure à partir de la montre sur votre poignet.
(Classique…)
 
– Diplomate : Quelqu’un capable de vous dire d’aller chez le diable d’une telle manière que vous aurez hâte de faire le voyage.
 
– Psychanalyste : Personne qui vous pose beaucoup de questions en vous demandant beaucoup d’argent.
Alors que votre femme fait ça pour rien…
 
Un soldat déserteur coure sur une route.
Il cherche à se cacher de la police militaire qui est à ses trousses.
Il arrive à un croisement et tombe sur une religieuse qui attend l’autobus.
« S’il vous plait ma sœur ! Cachez moi sous votre jupe pour quelques minutes ? Je suis très pressé et je ne peux pas vous en dire plus, mais dès que le danger sera écarté je vous dirai tout. »
La religieuse accepte sa demande.
Quelques instants plus tard, les 2 policiers militaires viennent vers elle et lui demandent si elle n’aurait pas vu un soldat courant sur la route.
« – Un militaire ? Oui. Il est parti par-là !
– Merci ma sœur ! »
 Quand les policiers militaires sont partis, le soldat se quitte sa cachette.
« – Je ne pourrai jamais assez vous remercier ma sœur, mais voyez-vous, je ne veux pas aller en Irak.
– Je vous comprend très bien.
– J’espère que vous ne me trouverez pas impertinent, ma sœur, mais vous avez les deux plus belles jambes que je n’ai jamais vues !
– Si vous aviez regardé un tout petit peu plus haut, vous auriez vu la plus belle paire de testicules !
Moi non plus je ne veux pas aller en Irak… »
 
C’était juste pour en rire !
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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