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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 25 mars 2019

Gros pavé dans la marre !

La vie est si belle en « Gauloisie-ruinée »…
… qu’ils en rajoutent !
 
Il s’agit d’un petit rapport parlementaire qui passera presqu’inaperçu, comme d’habitude, mais qui annonce déjà à quelle sauce vous allez être bouffés « tout-cru ».
Souvenez-vous, vos Parlementaires ont voté l’année dernière le budget de l’État pour 2019.
Je vous la fais courte : Le déficit prévisionnel sera de 107 milliards d’euros (mais les programmes d’appel aux marchés financiers portent sur 195 milliards) et le déficit public ressortira à environ 47 % des ressources de l’État soit, selon toutes vraisemblances, 3,2 % du produit intérieur brut.
Bien.
 
Sauf qu’à dépenser deux fois plus que ce que vous lui payez, alors même que vous n’en pouvez plus de dégarnir « votre gamelle » (puisque quel que soit l’endroit où tout ce fric sera retiré, c’est vous qui payez), en échange vous en recevez presque deux fois plus : Ne vous plaignez donc pas, svp !
231,689 milliards de ressources pour 340,352 milliards de dépenses (déficit mathématique = 108,663… Mais ma calculette Windows [soit maudit Bill Gates !] ne compte pas les 985 millions de solde positif des « comptes spéciaux ») et on retombe bien à quelques 107,678 milliards qui vont donc aller se réfugier dans l’accroissement artificiel (budgétaire…) du futur PIB !
On l’a vu avec les « Gilets jaunes », le fait de rajouter 10 milliards sortis de nulle part, ça booste la « croissance » !
Bien.
 
On sait par ailleurs qu’on a dépassé l’année dernière les 1.000 milliards de « dépenses publiques » et que seulement 200 milliards sont consacrés aux missions régaliennes de l’État, 250 milliards à l’éducation & la recherche et que tout le reste ressort de décisions « politiques » d’en remettre plus ici que par ailleurs, histoire de montrer qu’on s’occupe de vous et qu’on vous aime tant qu’on va vous obliger à « vivre mieux » en changeant le contenant de votre existence malgré vous.
C’est assez simple à faire : il suffit de mettre tellement d’obstacles et de taxes sur vos envies de vivre libre, que vous y renoncerez tôt ou tard !
Tout cela est réglé comme du papier-musique et vous dites « amen »…
 
Parmi ces mesures de rétorsions (de vivre dans un si beau pays), on vous a annoncé que vous devrez renoncer à vos moteurs-diesel à l’horizon 2040.
On ne sait pas trop comment, sinon de passer au super classique (probablement nettement plus polluant), parce que question électricité, je vous ai déjà émis des doutes, notamment si vous renoncez unilatéralement à l’énergie nucléaire.
Mais peu importe : C’est dit, c’est dit et celui qui s’en dédit ira en enfer, croix-de-bois, croix-de-fer !
Donc, par définition, c’est « réalisable » et on vous y emmènera de gré ou de force afin de permettre « une très forte réduction des émissions de CO2 ».
À quel coût ?
 
C’est ce que le rapport parlementaire, quelque peu alarmiste, aura présenté mercredi de la semaine dernière, tentant une « approche » comptable…
Et là surprise : Si selon un scénario médian, les émissions de CO2 seront « divisées par cinq entre aujourd’hui et 2040 » (bien très bien, puisqu’on vous le dit), « les coûts associés à cette transition sont très élevés, de l’ordre de plusieurs centaines de milliards d’euros cumulés sur une période de vingt ans » pour les collectivités publiques et les entreprises, vous prévoit l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst).
(Encore un « machin »…)
Plusieurs centaines, mais encore ?
 
Pour être plus précis, le plus gros impact financier serait « la disparition progressive » des taxes sur les produits pétroliers, liée à l’essor des véhicules électriques ou hybrides : Voilà une bonne nouvelle, dites donc !
Car sur la seule année 2019, ces taxes doivent rapporter 37,7 milliards d’euros et ces recettes alimentent à la fois les budgets de l’État et celui des collectivités territoriales.
Bé… elles se serreront la ceinture, non ?
Bé non, suis-je kon…
 
Car de plus et parallèlement, « les coûts liés à la mise en place de l'infrastructure nécessaire » pour la recharge des véhicules sont évalués entre 30,7 et 108 milliards d’euros, selon les scénarios étudiés par deux organismes de recherches, le CEA et l’IFP EN, sollicités par les parlementaires.
Et encore, l’un de ces scénarios prévoit l’émergence de voitures à hydrogène (là où tu mets de l’eau dans ton réservoir et tu roules en l’électrolysant : Des progrès phénoménaux sont bientôt attendus pour protéger les anodes… mais il y a d’autres schémas alternatifs)… en plus des voitures électriques à batterie-baladeuse.
(Quand penseront-ils à poser des caténaires sur la plupart des axes ?)
 
Et voilà la clé : Plus de dépense, moins de recettes !
Pas vraiment évaluable. 100, 200 milliards ? Plus encore ?
« Nous pensons que le double objectif d’une très forte réduction des émissions de CO2 et d’une disparition des motorisations purement thermiques est réalisable pour les véhicules particuliers d’ici 2040 » et de recommander (seulement ?) de « protéger le marché européen » des batteries, aujourd’hui entre les mains des pays asiatiques (Chine, Corée du Sud, Japon) en définissant des critères de qualité environnementale (les « droits de douanes invisibles et qualitatifs ») pour ces équipements qui représentent entre 35 et 50 % de la valeur d’un véhicule électrique.
Ah bon, seulement ?
Bé non, suis-je décidément kon…
 
Le rapport estime que les pouvoirs publics devraient renforcer les efforts pour développer les points de recharge et maintenir les aides à l’achat sur les véhicules électriques tant que leur prix n’aura pas baissé. En revanche, il n’envisage pas l’hypothèse d’une taxation de la mobilité électrique différenciée de la fourniture d’électricité domestique.
Ah oui ?
Pourtant les nouveaux compteurs déployés permettraient d’appliquer des taxes aux bornes de distribution et de compenser ainsi la décroissance des recettes fiscales due à l’agonie de la voiture thermique.
Ah oui… taxer encore plus le courant électrique, la bonne idée pour l’heure refoulée…
 
Notons que parmi leurs autres recommandations, ils proposent « la création, sur le modèle de l’étiquette énergie pour les logements, d’un label permettant aux consommateurs de visualiser simplement, pour un véhicule, son coût total de possession et ses émissions tout au long de la vie ».
Passionnant…
Mais alors quid des « centaines de milliards » dans les 20 prochaines années ?
Bé ce n’est pas dit, mais comme la mise en place du « plan 2040 » va coûter chaud, que si on ne se rattrape pas sur les taxes supplémentaire au KWh distribué, il faudra bien rajouter, soit une nouvelle tranche de déficit de 100 milliards, soit une taxe toute neuve !
Pas encore baptisée : Je propose « taxe-Jupiter » pour un environnement plus pur avec une loi du style « Comment faire cracher le Gauloisien pour l’avenir de la planète » !
 
Avouez que tout cela reste assez drôle finalement : Rien à faire, à problème nouveau (inventé de toute pièce celui-là), taxe nouvelle !
Décidément, j’adore ce pays-là (qui reste le mien et qui me le rend si mal…).
Aux 107 milliards de déficit chronique, comptez donc qu’il faille en rajouter au moins 5 pendant les 20 prochaines années (à moins que vous ne les sortiez de votre poche avant même qu’ils n’y rentrent), juste parce qu’une andouille (c’était du temps de « Tagada-à-la-fraise-des-bois », mais il y en a un [Bord-L’eau] qui avait inventé le « Grenelle de l’environnement » du temps de « Bling-bling », « Grenelle » annoncé sous « Le Chi » par « Juppette ») aura annoncé que les « écololo-bobos » (qui ont disparu) étaient déterminants pour gagner une élection (c’était du temps de « Vois-Née »)…
Comme quoi, vos « sachants » ont de la suite dans les idées, et quel que soit le gouvernement qui les pilote, ils rebondissent toujours pour venir vous pourrir la vie !…
 
Franchement, il serait peut-être temps que vous repreniez la direction de vos propres affaires, non ?

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