Jean-Marc
se répète…
La Section Spéciale de la CIA doit recruter des agentes de Top Niveau pour
la lutte contre le terrorisme.
Des femmes au cœur d’acier.
Après une longue et rigoureuse sélection, trois candidates sont toujours
dans la course.
Pour l’ultime test, on place les femmes devant une porte métallique, et on
leur remet un pistolet.
« Quelque soient les
circonstances, on veut s’assurer que vous allez suivre nos instructions.
Derrière cette porte, vous trouverez une personne attachée sur une chaise, et
vous devrez l’abattre ! Au signal, vous entrez dans la pièce. »
La première candidate ressort immédiatement :
« – Voyons, mais c’est mon mari
!!! Vous voulez que je tue mon mari ? Jamais !
– Alors vous êtes
refusée. »
Au même moment, la deuxième candidate sort dans sa cellule, les larmes aux
yeux.
« – Je ne peux pas… C’est mon
mari ! Le père de mes enfants, les pauvres petits. J’ai pointé l’arme,
mais je ne peux vraiment pas leur faire ça.
– Alors vous êtes
refusée. »
Dans la troisième pièce, la candidate est toujours dans la cellule.
Soudain, on entend trois coups de feu répétés.
Puis trois autres !
Puis des hurlements et des bruits sourds.
La fille pousse la porte violemment et lance en criant :
« C’est qui l’cave qui a mis
des balles à blanc ? J’ai dû l’étrangler sur sa chaise ! »
Un Indien veut acheter un grille-pain à sa femme, « Yeux-de-biche ».
La commerçante blanche lui dit :
« Non, t’as pas un cent
vaillant, j’te vends rien. »
La femme, voyant l’Indien déçu, décide de faire un marché…
Disons que la réputation de ce beau mâle est assez spéciale, et que les
femmes chuchotent plein de choses sur son compte…
« – Je vais te faire bander, et
si tu réussi à soulever le grille-pain avec ton pénis, il est à toi.
– Moi soulever
grille-pain, moi apporter grille-pain chez moi pour femme. »
L’homme bande, soulève le grille-pain et l’offre à sa femme une fois à la
maison.
Le lendemain, il retourne au même magasin pour aller faire un autre achat.
« Moi venir chercher téléviseur
pour femme. »
La femme blanche lui dit avec un sourire :
« Je vais te faire bander, et
si tu réussis à soulever le téléviseur avec ton pénis, il est à toi. »
Il refait le même manège et il gagne le téléviseur qu’il offre à sa femme en
entrant à la maison.
Cette dernière lui saute au cou, lui fait plein de mamours et l’entraîne
sur le lit.
« Non pas ce soir, « Yeux-de-biche ».
Demain, je veux aller chercher un frigo. »
Le prof à l’école, classe de première, dans le primaire :
« – Dis-moi, Jean-Paul,
qu’est-ce que tu as fait pendant la récréation ?
– J’ai joué dans le bac à
sable, Monsieur.
– Très bien, Jean-Paul.
Viens au tableau. Si tu arrives à écrire « sable » correctement, tu pourras
rentrer une heure plus tôt à la maison ».
Le gamin s’exécute correctement.
« Voilà, c’est très bien,
Jean-Paul. »
Le prof se tourne vers un autre élève :
« – À ton tour, Jean-Marc,
qu’est-ce que tu as fait pendant la récréation ?
– J’ai joué au bac à sable avec Jean-Paul, Monsieur.
– Eh bien, Jean-Marc, si tu arrives à écrire « bac » correctement au
tableau, tu pourras rentrer en même temps que Jean-Paul… »
Jean-Marc s’exécute à la perfection.
« – Voilà, c’est parfait.
– Et maintenant toi,
Mouloud, qu’est-ce que tu as fait à la récré ?
– Euuuuh, moi, missieur,
ji volu jouer au bac à sable, mais Ji-Pol et Ji-marre z’ont pas volu, m’ont dit
di mi casser !
– Mais, quelle horreur !
C’est la manifestation d’une discrimination scandaleuse d’un groupe ethnique
minoritaire dont l’intégration sociale pourrait être remise en cause, et en
plus, dans ma classe ! Écoute, Mouloud, si tu écris correctement au tableau «
discrimination scandaleuse d’un groupe ethnique minoritaire dont l’intégration
sociale pourrait être remise en cause », tu pourras aussi rentrer chez toi une
heure plus tôt ! »
Au tribunal :
« – Accusé, levez-vous !
Pourquoi avez-vous frappé votre femme avec un fer à repasser ?
– Elle prenait un mauvais
pli, Monsieur le Juge ! »
Au restaurant, le garçon récapitule :
« Nous disions donc : crème de
champignons, pâté en croûte, homard, foie gras… Et avec ça qu’est-ce que
Monsieur Jean-Marc prendra ? »
Alors, son épouse Germaine réplique :
« Du ventre, certainement. »
Un jeune couple de restaurateurs Chinois vient de se marier.
C’est leur première nuit.
Rapidement, la belle Lei glisse sous les draps, et lance sa chemise de
nuit par terre.
Tong, fringant, se glisse sous les draps, et se colle sur elle.
« – Chérie, c’est notre
première nuit ensemble, et je veux que ça reste un excellent souvenir toute ta
vie ! Dis-moi si tu veux quelque chose spécial et je m’exécuterai.
– Ouiii, j’ai envie
quelque chose spécial, mais j’ose pas le dire.
– Non, vas-y, pas de gêne
Lei, nous sommes mariés !
– Ok, ok, pas problème,
pas problème… Je voudrais… un 69 !
– Comment ?
– Un 69 mon chéri s’il te
plaît.
– Lei ? Comment ? Un 69 ?
Maintenant ?
– Oui, ben quoi ?
– Tu pourrais quand même
arrêter de penser au commerce. Tu veux vraiment un poulet gingembre sauce
piquante ? »
Deux associés, avaient la même jeune femme pour maîtresse.
Un jour, celle-ci tomba enceinte et les deux hommes se mirent d’accord
pour partager les frais qu’occasionnerait la venue au monde du bébé.
Là-dessus, l’un des deux s’en alla en voyage d’affaires en Australie.
Et c’est là qu’il reçut de son associé le courriel suivant :
« Odette a eu des jumeaux. Le
mien est mort. »
Jean-Gérald, dans la quarantaine, souffre d’une maladie dégénérative du
système digestif et doit absolument boire du lait chaud et frais d’une
nourrice.
Aucun médicament possible et sa vie en dépend.
Suite à une petite annonce classée dans le journal local, une nourrice
consent à offrir ses services moyennant une bonne rétribution.
Jean-Gérald commence sa première tétée un peu malhabilement mais, finalement, tout va très bien.
Après plusieurs séances quotidiennes, la nourrice ressent un petit «
feeling » pas déplaisant du tout.
À un moment donné, près de l’extase quasi-totale, elle lui demande d’une
voix tremblante :
« – Aimerais-tu autre chose
avec cela ?
– Euh… j’osais pas le
demander, mais… Oui, des petits biscuits svp ! »
Jean-Marc dit à sa femme :
« Tous les matins, quand je me
rase, j’ai l’impression de rajeunir de vingt ans ! »
Alors, Germaine, toujours gourmande :
« Rase-toi le soir, mon chéri ! »
Une dame vient de mourir et aujourd’hui, c’est son enterrement.
Après la cérémonie religieuse, les employés du service de pompes funèbres
transportent le cercueil hors de l’église jusqu’au corbillard.
Mais à la sortie, les porteurs évaluent mal la trajectoire et heurtent le
mur de l’église avec le cercueil.
Celui-ci tombe violemment sur le sol, provoquant une stupéfaction
générale.
Et dans la confusion qui s’en suit, l’un des croque-morts entend un
gémissement plaintif qui semble venir du cercueil.
On décide donc de l’ouvrir et on découvre que la femme est encore bel et
bien vivante !
Elle vit d’ailleurs une bonne dizaine d’années et finit par mourir.
Une nouvelle cérémonie est donc organisée à la même église.
Et au moment où les employés des pompes funèbres transportent le cercueil
hors de l’église, ils entendent le veuf hurler en paniquant :
« Faites attention à ce foutu mur !
»
Lorsque Noé a récupéré un couple de chaque espèce vivante, il s’est trouvé
confronté à un problème quasi insoluble : Les poissons !
Les poissons, devait-il les mettre dans l’Arche ou les laisser dans l’eau ?
Entendue sur les quais du port Hercules (Principauté de Monaco) :
« Mon mari est tellement gros
que chaque fois qu’il monte dans un taxi, le chauffeur file directement à
l’hôpital. »
Une Jeune-femme, belle à tomber par terre, avec des pare-chocs à la Mae
West vient consulter le médecin :
« Docteur, j’ai un très, très gros
problème de mémoire… Je ne parviens pas à me rappeler de ce que j’ai fait
au-delà de cinq minutes ! »
Le docteur prend un air sérieux et lui dit d’un ton autoritaire :
« Eh bien… Veuillez retirer tous vos
vêtements et vous coucher sur la table d’examen mademoiselle… »
« Sais-tu que tu es vieux quand
tu peux
éternuer,
tousser,
uriner
et rire en même temps ? »
« – Camarades ! Suite à la
nouvelle convention collective que nous venons d’arracher au gouvernement, nous
travaillerons beaucoup moins.
On tombe à 4 jours par
semaine !
– YOUPPI !
– Nous finirons à 16
heures au lieu de 17 heures.
– YOUPPI !
– Nous commencerons à 10 heures au lieu de 9.
– YOUPPI ! Bravo !
– Nous aurons une
augmentation de salaire de 15 %.
– Bravo, bravo !
Vive le syndicat !
– Nous ne travaillerons
que le mercredi ! »
C’est là qu’on entend une voix au fond de la salle :
« Quoi ? Pas tous les
mercredis de chaque semaine tout de même ? »
Deux copains au bar…
« – Dis-moi Jean-Paul, ça fait
bien 20 ans qu’on se connaît, t’as eu des filles comme ça et tu ne t’es pas
marié. Jamais. C’est quoi ton problème ?
– Ben je vais te dire, Jean-Marc… Moi je cherche une femme qui
fait la cuisine comme ma mère.
– Hé ! Raconte-moi une
autre histoire.
– Je te dis, je cherche
une femme qui fait la cuisine comme ma mère.
– Viens pas me dire que
tu n’as rien trouvé ?
– Qui font la cuisine
comme ma mère ?
– Ouais…
– Oui, des tas, sauf que
chaque fois que j’en ai trouvé une, elles voulaient faire chambre à part. Comme
ma mère ! »
C’était probablement une « revenue »…
Une autre ?
Deux nains originaires Quézac (Cantal) se rencontrent sur la Place
St-Pierre à Rome.
« – Jean-Gabriel !
– Jean-François !
– Ça fait une éternité
qu’on s’est vu !
– Ben oui, au moins 15
ans.
– Oui, c’est à peu près
ça. Qu’est-ce que tu fais ici ?
– Les vacances…
– Moi aussi. C’est
incroyable comme le monde est petit ! »
Souvenirs de Jean-Marc :
« Le principal usage du tablier
de Grand-Mère était de protéger la robe en dessous, mais en plus de cela, il
servait de gant pour retirer une poêle brûlante du fourneau. Il était
merveilleux pour essuyer les larmes des enfants, et à certaines occasions, pour
nettoyer les frimousses salies.
Depuis le poulailler, le
tablier servait à transporter les œufs, les poussins à réanimer, et parfois les
œufs fêlés qui finissaient dans le fourneau.
Quand des visiteurs
arrivaient, le tablier servait d’abri à des enfants timides et quand le temps
était frais, Grand-Mère s’en emmitouflait les bras.
Ce bon vieux tablier
faisait office de soufflet, agité au-dessus du feu de bois.
C’est lui qui
transbahutait les pommes de terre et le bois sec jusque dans la cuisine.
Depuis le potager, il
servait de panier pour de nombreux légumes.
Après que les petits pois
aient été récoltés venait le tour des choux.
En fin de saison il était
utilisé pour ramasser les pommes tombées de l’arbre.
Quand des visiteurs
arrivaient de façon impromptue, c’était surprenant de voir avec quelle rapidité
ce vieux tablier pouvait faire la poussière.
À l’heure de servir le
repas, Grand-Mère allait sur le perron agiter son tablier, et les hommes au
champ savaient aussitôt qu’ils devaient passer à table.
Grand-Mère l’utilisait
aussi pour poser la tarte aux pommes à peine sortie du four sur le rebord de la
fenêtre pour qu’elle refroidisse, tandis que, de nos jours, sa petite-fille la
pose là pour décongeler.
Il faudra de bien longues
années avant que quelqu’un invente quelque objet qui puisse remplacer ce bon
vieux tablier qui servait à tant de choses… »
Des dizaines de personnes se bousculent au coin d’une rue.
Et plus le temps passe, plus l’attroupement prend de l’ampleur.
Un policier approche, fend la foule et voit deux gars couchés par terre,
l’oreille collée au sol.
« – Alors ? » demande
le policier. « Vous entendez quelque
chose ?
– Non », répond Jean-Marc.
« – Et c’est justement ce qui
nous embête » ajoute Jean-Paul. « Ça fait une heure qu’on est ici et on n’entend rien.
– Mais vous pensez
entendre quoi au juste ?
– Nous ? Ben on ne sait
pas… »
Un touriste texan contemple la tour Eiffel.
Il hoche la tête et il dit à sa femme :
« Tu vois, c’est bien ce que je
te disais : Les Français, sont vraiment des tarés !
Ça fait 100 ans qu’ils
ont construit cet immense truc et il n’est toujours pas sorti une goutte de
pétrole ! »
« Comme ça tu as pris une maîtresse ? »,
lance Germaine en hurlant après Jean-Marc,
son mari, qui vient de rentrer aux petites heures du matin.
« – Comme ça tu en as assez de
moi ?
– Non. Justement, je n’en
ai pas assez ! »
Bon week-end de bonne humeur à toutes et à tous !
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