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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 8 mars 2019

Elle est connue !

Jean-Marc se répète…
 
La Section Spéciale de la CIA doit recruter des agentes de Top Niveau pour la lutte contre le terrorisme.
Des femmes au cœur d’acier.
Après une longue et rigoureuse sélection, trois candidates sont toujours dans la course.
Pour l’ultime test, on place les femmes devant une porte métallique, et on leur remet un pistolet.
« Quelque soient les circonstances, on veut s’assurer que vous allez suivre nos instructions. Derrière cette porte, vous trouverez une personne attachée sur une chaise, et vous devrez l’abattre ! Au signal, vous entrez dans la pièce. »
La première candidate ressort immédiatement :
« – Voyons, mais c’est mon mari !!! Vous voulez que je tue mon mari ? Jamais !
– Alors vous êtes refusée. »
Au même moment, la deuxième candidate sort dans sa cellule, les larmes aux yeux.
« – Je ne peux pas… C’est mon mari ! Le père de mes enfants, les pauvres petits. J’ai pointé l’arme, mais je ne peux vraiment pas leur faire ça.
– Alors vous êtes refusée. »
Dans la troisième pièce, la candidate est toujours dans la cellule.
Soudain, on entend trois coups de feu répétés.
Puis trois autres !
Puis des hurlements et des bruits sourds.
La fille pousse la porte violemment et lance en criant :
« C’est qui l’cave qui a mis des balles à blanc ? J’ai dû l’étrangler sur sa chaise ! »
 
Un Indien veut acheter un grille-pain à sa femme, « Yeux-de-biche ».
La commerçante blanche lui dit :
« Non, t’as pas un cent vaillant, j’te vends rien. »
La femme, voyant l’Indien déçu, décide de faire un marché…
Disons que la réputation de ce beau mâle est assez spéciale, et que les femmes chuchotent plein de choses sur son compte…
« – Je vais te faire bander, et si tu réussi à soulever le grille-pain avec ton pénis, il est à toi.
– Moi soulever grille-pain, moi apporter grille-pain chez moi pour femme. »
L’homme bande, soulève le grille-pain et l’offre à sa femme une fois à la maison.
Le lendemain, il retourne au même magasin pour aller faire un autre achat.
« Moi venir chercher téléviseur pour femme. »
La femme blanche lui dit avec un sourire :
« Je vais te faire bander, et si tu réussis à soulever le téléviseur avec ton pénis, il est à toi. »
Il refait le même manège et il gagne le téléviseur qu’il offre à sa femme en entrant à la maison.
Cette dernière lui saute au cou, lui fait plein de mamours et l’entraîne sur le lit.
« Non pas ce soir, « Yeux-de-biche ». Demain, je veux aller chercher un frigo. »
 
Le prof à l’école, classe de première, dans le primaire :
« – Dis-moi, Jean-Paul, qu’est-ce que tu as fait pendant la récréation ?
– J’ai joué dans le bac à sable, Monsieur.
– Très bien, Jean-Paul. Viens au tableau. Si tu arrives à écrire « sable » correctement, tu pourras rentrer une heure plus tôt à la maison ».
Le gamin s’exécute correctement.
« Voilà, c’est très bien, Jean-Paul. »
Le prof se tourne vers un autre élève :
« – À ton tour, Jean-Marc, qu’est-ce que tu as fait pendant la récréation ?
– J’ai joué au bac à sable avec Jean-Paul, Monsieur.
– Eh bien, Jean-Marc, si tu arrives à écrire « bac » correctement au tableau, tu pourras rentrer en même temps que Jean-Paul… »
Jean-Marc s’exécute à la perfection.
« – Voilà, c’est parfait.
– Et maintenant toi, Mouloud, qu’est-ce que tu as fait à la récré ?  
– Euuuuh, moi, missieur, ji volu jouer au bac à sable, mais Ji-Pol et Ji-marre z’ont pas volu, m’ont dit di mi casser !
– Mais, quelle horreur ! C’est la manifestation d’une discrimination scandaleuse d’un groupe ethnique minoritaire dont l’intégration sociale pourrait être remise en cause, et en plus, dans ma classe ! Écoute, Mouloud, si tu écris correctement au tableau « discrimination scandaleuse d’un groupe ethnique minoritaire dont l’intégration sociale pourrait être remise en cause », tu pourras aussi rentrer chez toi une heure plus tôt ! »
 
Au tribunal :
« – Accusé, levez-vous ! Pourquoi avez-vous frappé votre femme avec un fer à repasser ?
– Elle prenait un mauvais pli, Monsieur le Juge ! »
 
Au restaurant, le garçon récapitule :
« Nous disions donc : crème de champignons, pâté en croûte, homard, foie gras… Et avec ça qu’est-ce que Monsieur Jean-Marc prendra ? »
Alors, son épouse Germaine réplique :
« Du ventre, certainement. »
 
Un jeune couple de restaurateurs Chinois vient de se marier.
C’est leur première nuit.
Rapidement, la belle Lei glisse sous les draps, et lance sa chemise de nuit par terre.
Tong, fringant, se glisse sous les draps, et se colle sur elle.
« – Chérie, c’est notre première nuit ensemble, et je veux que ça reste un excellent souvenir toute ta vie ! Dis-moi si tu veux quelque chose spécial et je m’exécuterai.
– Ouiii, j’ai envie quelque chose spécial, mais j’ose pas le dire.
– Non, vas-y, pas de gêne Lei, nous sommes mariés !
– Ok, ok, pas problème, pas problème… Je voudrais… un 69 !
– Comment ?
– Un 69 mon chéri s’il te plaît.
– Lei ? Comment ? Un 69 ? Maintenant ?
– Oui, ben quoi ?
– Tu pourrais quand même arrêter de penser au commerce. Tu veux vraiment un poulet gingembre sauce piquante ? »
 
Deux associés, avaient la même jeune femme pour maîtresse.
Un jour, celle-ci tomba enceinte et les deux hommes se mirent d’accord pour partager les frais qu’occasionnerait la venue au monde du bébé.
Là-dessus, l’un des deux s’en alla en voyage d’affaires en Australie.
Et c’est là qu’il reçut de son associé le courriel suivant :
« Odette a eu des jumeaux. Le mien est mort. »
 
Jean-Gérald, dans la quarantaine, souffre d’une maladie dégénérative du système digestif et doit absolument boire du lait chaud et frais d’une nourrice.
Aucun médicament possible et sa vie en dépend.
Suite à une petite annonce classée dans le journal local, une nourrice consent à offrir ses services moyennant une bonne rétribution.
Jean-Gérald commence sa première tétée un peu malhabilement mais, finalement, tout va très bien.
Après plusieurs séances quotidiennes, la nourrice ressent un petit « feeling » pas déplaisant du tout.
À un moment donné, près de l’extase quasi-totale, elle lui demande d’une voix tremblante :
« – Aimerais-tu autre chose avec cela ?
– Euh… j’osais pas le demander, mais… Oui, des petits biscuits svp ! »
 
Jean-Marc dit à sa femme :
« Tous les matins, quand je me rase, j’ai l’impression de rajeunir de vingt ans ! »
Alors, Germaine, toujours gourmande :
« Rase-toi le soir, mon chéri ! »
 
Une dame vient de mourir et aujourd’hui, c’est son enterrement.
Après la cérémonie religieuse, les employés du service de pompes funèbres transportent le cercueil hors de l’église jusqu’au corbillard.
Mais à la sortie, les porteurs évaluent mal la trajectoire et heurtent le mur de l’église avec le cercueil.
Celui-ci tombe violemment sur le sol, provoquant une stupéfaction générale.
Et dans la confusion qui s’en suit, l’un des croque-morts entend un gémissement plaintif qui semble venir du cercueil.
On décide donc de l’ouvrir et on découvre que la femme est encore bel et bien vivante !
Elle vit d’ailleurs une bonne dizaine d’années et finit par mourir.
Une nouvelle cérémonie est donc organisée à la même église.
Et au moment où les employés des pompes funèbres transportent le cercueil hors de l’église, ils entendent le veuf hurler en paniquant :
« Faites attention à ce foutu mur ! »
 
Lorsque Noé a récupéré un couple de chaque espèce vivante, il s’est trouvé confronté à un problème quasi insoluble : Les poissons !
Les poissons, devait-il les mettre dans l’Arche ou les laisser dans l’eau ?
 
Entendue sur les quais du port Hercules (Principauté de Monaco) :
« Mon mari est tellement gros que chaque fois qu’il monte dans un taxi, le chauffeur file directement à l’hôpital. »
 
Une Jeune-femme, belle à tomber par terre, avec des pare-chocs à la Mae West vient consulter le médecin :
« Docteur, j’ai un très, très gros problème de mémoire… Je ne parviens pas à me rappeler de ce que j’ai fait au-delà de cinq minutes ! »
Le docteur prend un air sérieux et lui dit d’un ton autoritaire :
« Eh bien… Veuillez retirer tous vos vêtements et vous coucher sur la table d’examen mademoiselle… »
 
« Sais-tu que tu es vieux quand tu peux
éternuer,
tousser,
uriner
et rire en même temps ? »
 
« – Camarades ! Suite à la nouvelle convention collective que nous venons d’arracher au gouvernement, nous travaillerons beaucoup moins.
On tombe à 4 jours par semaine !
– YOUPPI !
– Nous finirons à 16 heures au lieu de 17 heures.
– YOUPPI !
Nous commencerons à 10 heures au lieu de 9.
– YOUPPI ! Bravo !
– Nous aurons une augmentation de salaire de 15 %.
– Bravo, bravo ! Vive le syndicat !
– Nous ne travaillerons que le mercredi ! »
C’est là qu’on entend une voix au fond de la salle :
« Quoi ? Pas tous les mercredis de chaque semaine tout de même ? »
 
Deux copains au bar…
« – Dis-moi Jean-Paul, ça fait bien 20 ans qu’on se connaît, t’as eu des filles comme ça et tu ne t’es pas marié. Jamais. C’est quoi ton problème ?
– Ben je vais te dire, Jean-Marc… Moi je cherche une femme qui fait la cuisine comme ma mère.
– Hé ! Raconte-moi une autre histoire.
– Je te dis, je cherche une femme qui fait la cuisine comme ma mère.
– Viens pas me dire que tu n’as rien trouvé ?
– Qui font la cuisine comme ma mère ?
– Ouais…
– Oui, des tas, sauf que chaque fois que j’en ai trouvé une, elles voulaient faire chambre à part. Comme ma mère ! »
C’était probablement une « revenue »…
Une autre ?
 
Deux nains originaires Quézac (Cantal) se rencontrent sur la Place St-Pierre à Rome.
« – Jean-Gabriel !
– Jean-François !
– Ça fait une éternité qu’on s’est vu !
– Ben oui, au moins 15 ans.
– Oui, c’est à peu près ça. Qu’est-ce que tu fais ici ?
– Les vacances…
– Moi aussi. C’est incroyable comme le monde est petit ! »
 
Souvenirs de Jean-Marc :
« Le principal usage du tablier de Grand-Mère était de protéger la robe en dessous, mais en plus de cela, il servait de gant pour retirer une poêle brûlante du fourneau. Il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants, et à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses salies.
Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les œufs, les poussins à réanimer, et parfois les œufs fêlés qui finissaient dans le fourneau.
Quand des visiteurs arrivaient, le tablier servait d’abri à des enfants timides et quand le temps était frais, Grand-Mère s’en emmitouflait les bras.
Ce bon vieux tablier faisait office de soufflet, agité au-dessus du feu de bois.
C’est lui qui transbahutait les pommes de terre et le bois sec jusque dans la cuisine.
Depuis le potager, il servait de panier pour de nombreux légumes.
Après que les petits pois aient été récoltés venait le tour des choux.
En fin de saison il était utilisé pour ramasser les pommes tombées de l’arbre.
Quand des visiteurs arrivaient de façon impromptue, c’était surprenant de voir avec quelle rapidité ce vieux tablier pouvait faire la poussière.
À l’heure de servir le repas, Grand-Mère allait sur le perron agiter son tablier, et les hommes au champ savaient aussitôt qu’ils devaient passer à table.
Grand-Mère l’utilisait aussi pour poser la tarte aux pommes à peine sortie du four sur le rebord de la fenêtre pour qu’elle refroidisse, tandis que, de nos jours, sa petite-fille la pose là pour décongeler.
Il faudra de bien longues années avant que quelqu’un invente quelque objet qui puisse remplacer ce bon vieux tablier qui servait à tant de choses… »
 
Des dizaines de personnes se bousculent au coin d’une rue.
Et plus le temps passe, plus l’attroupement prend de l’ampleur.
Un policier approche, fend la foule et voit deux gars couchés par terre, l’oreille collée au sol.
« – Alors ? » demande le policier. « Vous entendez quelque chose ?
– Non », répond Jean-Marc.
« – Et c’est justement ce qui nous embête » ajoute Jean-Paul. « Ça fait une heure qu’on est ici et on n’entend rien.
– Mais vous pensez entendre quoi au juste ?
– Nous ? Ben on ne sait pas… »
 
Un touriste texan contemple la tour Eiffel.
Il hoche la tête et il dit à sa femme :
« Tu vois, c’est bien ce que je te disais : Les Français, sont vraiment des tarés !
Ça fait 100 ans qu’ils ont construit cet immense truc et il n’est toujours pas sorti une goutte de pétrole ! »
 
« Comme ça tu as pris une maîtresse ? », lance Germaine en hurlant après Jean-Marc, son mari, qui vient de rentrer aux petites heures du matin.
« – Comme ça tu en as assez de moi ?
– Non. Justement, je n’en ai pas assez ! »
 
Bon week-end de bonne humeur à toutes et à tous !
 
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