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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 1 août 2020

Dans le sillage de Charlotte (0)

0 – Préface
 
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Enfin un nouvel « épisode » des enquêtes de Charlotte !
Celui-là, il aura mis du temps à accoucher et j’en suis bien désolé, mais j’espère qu’il vous plaira tout de même.
 
Pourquoi tant de temps (plusieurs mois) ?
Parce que comme d’habitude, il a fallu bâtir un scénario, réunir la documentation indispensable et faire des « repérages » in situ.
Pour ma part, avec la crise sanitaire, avec le décès de ma Mère, avec les nombreuses démarches chaotiques du règlement de sa succession (c’est encore très loin d’être terminé…), cette année, je n’ai pas eu le loisir de faire tous les détours que j’avais initialement prévus.
Il a donc fallu adapter le scénario, le reformuler et le modeler en fonction de l’actualité qui déversait, comme toujours, son lot de nouveautés « intéressantes ».
La plupart des détails étaient prévus dès l’été dernier, sauf, naturellement, la crise sanitaire, traitée à peine à la marge dans cet opus-ci : ce sera pour le prochaine épisode (s’il existe un jour…).
 
Car je me fais vieux et… ça pèse !
Toutefois, j’ai désormais un sapiteur. Une « sapiteuse » !
Alexis Dubois, la « narratrice ».
Une idée de « mon Gardien », un peu coincé sur le plan juridique par « Pourrito » et probablement par « Charlotte » soi-même, en sous-main !
Il est décidément très directif.
C’est assez inconcevable qu’un personnage de fiction puisse ainsi prendre le dessus sur son « auteur-créateur » et pourtant, il faut que je m’y fasse !
Et « Flibustier20260 » m’aura sorti de l’ornière : il est parfois génial ce « pote-là », vous ne savez pas combien…
 
Donc, encore une « création » de ma part, qui prend corps, à savoir Alexis Dubois, fille de Camille Dubois, qui entre dans le cadre de « mes » créations avec l’épisode « Alexis cherche Charlotte » et qui depuis en fait des tonnes !
Bon très bien, « Charlotte » la fait bosser pour moi… et à ses frais à lui.
Sous le contrôle conjoint de « mon Gardien », de Paul de Bréveuil, et moi je n’ai plus qu’à « suggérer » et corriger, voire « enrichir ».
Notez, je reste persuadé que je ne suggère plus rien du tout depuis très longtemps, mais ce n’est pas bien grave de rester à vivre dans ses illusions : on s’y fait parfaitement (avec quelques doses d’alcool pour faire passer les glaçons…).
La preuve.
 
Je fournis donc le « scénario », le déroulé, quelques détails, elle écrit, je relis, je corrige, je modifie. C’est relu par les uns et par les autres, qui corrigent et modifient à leur tour. Ça me revient pour validation, je recorrige, remodifie et ça repart !
Et ainsi de suite.
Franchement, c’est long, c’est difficile, je préférais travailler tout seul.
Mais bon, je ne suis plus maître chez moi-même !
Que même, je suis obligé de retirer deux chapitres pour vous en remettre trois en annexe et de rajouter un chapitre intermédiaire, parce que ce n’était pas bon tel quel.
Trop de ceci et pas assez de cela… à mon goût !
 
Ceci précisé, il faut convenir que le travail d’Alexis Dubois n’est pas simple non plus : elle fait plusieurs choses à la fois (la reprise des volumes anciens, le travail sur les « épisodes manquants », ses interviews et rencontres, etc.) et en plus elle est « convoquée » dans le sillage de « Charlotte » dès que celui-ci a besoin d’elle : une cavalcade permanente !
Ce qui la fait voyager à travers la planète à son corps défendant.
 
Il faut dire également que l’actualité a été chargée entre le printemps et l’hiver 2019.
La suivante, encore plus, mais cet « épisode-ci » s’arrête avant : pour y travailler déjà, je vous avoue qu’on ne sait plus où donner de la tête entre la crise du « Conard-virus » et surtout la, les suites à lui donner.
Elles sont nombreuses sur plein de plans différents (sanitaire, économique, stratégique, politique, social et j’en passe) et si on voit bien l’essentiel, les grandes lignes, en revanche leurs conséquences détaillées ne sont pas très brillantes.
 
Globalement, cette crise, sanitaire au démarrage, aura été gérée n’importe comment à travers la planète : on a voulu sauver des vies (c’est à voir…) mais surtout un système de santé (notamment celui que « le monde entier nous envie… ») qui aura révélé ses incommensurables faiblesses et pas seulement en « Gauloisie-patriotique », mais à peu près partout.
On ne lutte pas contre un virus imprévisible, mutant, divers, d’autant qu’il va devenir endémique (il faudra vivre avec durablement, un peu comme le SIDA), on n’a lutté que contre ses conséquences et ça aura été fait dans le désordre !
N’importe comment vous dis-je…
 
Imprévisible, pas tant que ça : il y a un virus tueur qui émerge globalement tous les dix ans. En fait tous les ans, mais on n’en fait un tel drame (réel le drame : tout de même des centaines de milliers de morts en quelques mois !) seulement que tous les 10 ans.
On sait la règle empirique depuis le début du siècle précédent et personne n’anticipe !
Notez que ça ne doit pas être si facile que ça à anticiper et apprendre à réagir correctement, j’en suis bien conscient et je l’ai déjà dit, je ne jette la pierre à personne : « qu’aurions-nous fait de mieux à leur place ? »
 
En revanche, je l’ai déjà affirmé sur ce blog, c’est du « pain béni » pour le prochain opus.
La théorie du « virus-chimère », déjà exploitée dans une nombreuse production littéraire et filmographique, et jusqu’à par moi-même (cf. « Ultime-récit – suite ») va devoir rebondir. C’est indéniable, inévitable.
« Paul de Bréveuil » est bien placé pour connaître du détail de ce qui va suivre. Il aura échoué à liquider le professeur Phîu (ce n’était pas « sa mission » et ce n’est décidément pas un tueur à gage, ou un exécuteur des « basses-besognes »…), mais il lui faudra « inciter » d’autres à « réguler » tous ces esprits-tordus-là.
Or, rien n’est simple : voyez comment réagissent les autorités planétaires et les quelques « grandes-puissances » (y compris d’argent) qui se disputent déjà l’avenir tels des charognards !
À croire qu’eux aussi restent « éclairés ».
Diabolique, finalement.
 
Il faut que j’en parle à « mon Gardien », pour qu’il en cause à Alexis et pour qu’elle-même soit éclairée par « Charlotte » afin que ça me revienne.
Je te vous jure, que ça devient vraiment compliqué de créer un scénario dans ces conditions-là !
D’autant qu’au bout, c’est censuré, coupé, remanié et trituré dans tous les sens !
Tout ça pour que vous compreniez bien que travailler à « plusieurs paires de mains » (et autant de cerveaux), eh bien c’est très fatigant et très compliqué.
Épuisant même !
Aussi, j’ose espérer que vous appréciez tout de même ce « laïus » ci.
Qui va vous suivre durant tout ce mois d’août, comme les années précédentes.
 
Aussi, bonne lecture à toutes et à tous !
Sans oublier de vous détendre un peu (vous l’avez bien mérité) et de rattraper le temps perdu en confinement (et « résidence-surveillée ») : on ne vit jamais qu’une seule fois (et heureusement…).
Si tout va bien, on se retrouve en septembre.
Bien à vous !
 
I3
 
0.1 – Le « 4ème de couverture »
 
La narratrice :
Alexis Dubois est journaliste. Maîtrise de lettre moderne à Paris-Sorbonne et pigiste puis reporter, elle devient la « biographe » officielle de Paul de Bréveuil alias l’agent « Charlotte » non pas par hasard, mais comme d’une nécessité. Aussi, elle enquête et poursuit « son sujet » au cours des années récentes qui restent denses. Elle est en contact permanent et direct avec ce dernier qu’elle suit à sa demande et sous le contrôle duquel elle travaille.
« Le Gardien », alias « Flibustier 20260 », directeur de publication, fait la liaison entre Alexis Dubois et l’inventeur du personnage central dans la collection des « Enquêtes de Charlotte » en libre publication. Il est chargé par les uns et les autres d’éditer les volumes successifs relatant la vie de Paul de Bréveuil.
I3 est « l’inventeur » de « Charlotte », le créateur, inspiré à la fois par ce dernier (qui prend corps) et « Haddock » (Jean-Charles Duboc) : des personnes « réelles » qui toutes existent ou ont existé sur la planète Terre au confluent du XXème et XXIème siècle
Paul de Bréveuil est le personnage central de cette série : son rôle reste ambigu.
S’il opère bien en toutes ses qualités, de façon parfois très « discrètes » au fil du temps, au moins aux yeux du public (mais pas des autorités), il est l’homme qui a besoin, pour des raisons qu’on découvre au fil du temps, d’avoir un biographe officiel. D’où « l’inspiration » téléguidée d’I3 puis, parce que tout le monde est mortel, d’Alexis Dubois.
Une saga qui tourne sur elle-même…
 
Le résumé :
« Dans le sillage de Charlotte » retrace les faits et gestes de Paul de Bréveuil, alias « Charlotte », entre le printemps et l’hiver 2019.
Les deux précédents volumes finissaient sur l’époque de l’incendie de la cathédrale de Notre-Dame-de-Paris et ses conséquences « obscures », le 15 avril 2019. Dans le présent volume, il faut bien comprendre que les révélations de « Charlotte » auront interrogé bien des responsables politiques : si les présidents « Makarond » et russe sont les seuls à leur donner un certain crédit pour des raisons qui leur sont propres, il s’en suit une série de rencontres à « fleuret-moucheté » pilotée de loin par « Charlotte ».
Tout d’abord le Président français fait un détour en Normandie dans le « bunker » de Paul de Bréveuil pour une visite « privée » sinon « secrète », à l’occasion des commémorations du 75ème anniversaire du « D-Day » sur les plages de la région. Il entre sans le savoir dans une série de manipulations orchestrée par « Charlotte ».
Ensuite, il reçoit son homologue russe à Fort-Brégançon avant d’animer le G7 de Biarritz : c’est en réalité un piège pour piéger « Charlotte » qui finalement « piège » les « barbouzes » russes mandatés pour le kidnapper un peu plus tard aux Canaries…
Enfin, le Président « Makarond » fait un détour éreintant de plusieurs jours entre les Comores et La Réunion. Ce n’est évidemment pas pour rien. Il aura l’occasion de faire un saut de puce de quelques heures jusqu’aux installations de Paul de Bréveuil aux Îles Chagos.
Mais ce dernier, comme prévu, échoue à avertir le Président sur les menaces qui pèsent sur le pays…
Tout ce que vous n’auriez jamais su si cet ouvrage ne vous les révélait pas.
 
0.2 – Le mot de la narratrice :
Un « épisode » fatigant, mais bien nommé : j’aurai passé ma fin d’année 2019 à suivre mon sujet de biographie, Paul de Bréveuil, alias « Charlotte », capitaine de frégate de réserve, industriel, agent spécial et que sais-je encore à découvrir.
Juste dans son sillage : je n’ai été que spectatrice, mais j’ai pu y être plus… « personnelle » que d’accoutumée !
Et il m’aura promené avec lui d’Écosse à l’océan Indien, en passant par les Canaries, la Normandie et la côte varoise, entre-autres…
 
Parfois, je n’ai pas tout compris et personne ne m’aura vraiment éclairée. C’est probablement que ce n’était pas nécessaire.
Je retrace comme je peux, avec mes mots à moi, sous le contrôle de « mon sujet » mais également et selon l’accord conclu avec le « Gardien », que je rencontre plusieurs fois, et derrière lui l’auteur premier, « I3 ».
Ce dernier, je ne sais pas comment il fait, m’aura fait remettre très en amont (en janvier 2019) un scénario détaillé de ce volume, qu’il aura enrichi jusqu’en mai 2019 puis en janvier 2020, pour en faire « ses posts-d’été » de la même année.
C’est lu et validé par « Charlotte ».
D’autant mieux que c’est quasiment conforme au déroulé de ce que j’ai vécu à le suivre : je n’avais plus qu’à retracer… « avec mes mots à moi » !
Le texte est ensuite revu, corrigé, remanié par les uns et les autres, pour être finalisé en avril 2020.
Normalement, le « Gardien » doit en faire un volume broché aux « éditions I3 » (en réalité fabriqué par Amazon.com qui se charge également de sa distribution).
 
Pour ma part, même si j’ai été parfois un peu débordée, j’aurai pris plaisir à « raconter » comme ça s’est passé « pour de vrai », même si certaines parties ont été censurées, retirées, d’autres restant volontairement incomplètes et quelques-unes rajoutées ex-nihilo.
En réalité, se dessine un scénario beaucoup plus vaste qui prend toute sa cohérence au fil du temps.
Et là, ça devient passionnant : nous sommes comme « guidés » par des « mains invisibles » qui mènent leur jeu, nous prennent par la main et nous conduisent là « où c’est déjà écrit ».
Une aventure passionnante, finalement : j’en viens jusqu’à penser qu’il n’y a pas vraiment de hasard !
 
Alexis DUBOIS
 
 
 
 
270 pages – 12,30 €

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