Ils ont été vraiment surmenés !
Voici quelques notes absolument
authentiques glanées dans les rapports de police…
« C’est alors que le suspect a
eu l’audace de s’endormir pendant que nous l’interrogions. »
« Interrogé par nos soins,
l’homme a alors menacé de nous répondre si on continuait à l’interroger… »
« Le garçon de café était une
femme… »
« L’homme nous raconta toute la
vérité qui n’était qu’un tissu de mensonges. »
« L’homme a refusé de
reconnaître qu’il nous avait menti en affirmant qu’il était mort. »
« Le prévenu a attendu d’avoir
fini son repas pour commencer une grève de la faim. »
« L’homme attendait l’autobus
d’un œil suspect… »
« Les trois africains
soupçonnés d’avoir trempé dans l’affaire ont tous été blanchis par l’enquête
qui a suivi. »
« Le suspect nous a alors
menacés en fronçant les sourcils… »
« Le cadavre de l’homme qui
nous a été présenté correspondait bien à la description de la femme qui avait
été vue par les différents témoins. »
« L’homme avait tenté de forcer
toutes les issues de la femme sans parvenir à s’y introduire. »
« Seule l’autopsie pourra dire
si l’homme est encore vivant… »
« Non seulement la mère n’est
pas morte comme le prétendent ses enfants, mais il a même été prouvé qu’elle
est en vie. »
« La femme resta ouverte
jusqu’à l’arrivée de son mari…
Son alibi ayant pu être vérifié, nous
avons été obligés de constater que le suspect ne pouvait être présent à l’heure
dite sur les lieux du vol qu’il avait commis. »
« Dès que l’homme fut abattu,
nous avons pu procéder à son interrogatoire. »
« L’assassinat avait donc bien
le crime pour seule et unique raison. »
« On ignore les raisons qui ont
poussé le désespéré à se faire assassiner… »
« Après avoir déjà enfilé deux sens
interdits, l’homme s’en est pris à la conductrice… »
« La femme ayant été décapitée,
il nous a été impossible jusqu’à présent de mettre un nom sur son visage. »
« Aucun dégât n’est à déplorer
à l’exception de la seule et unique victime. »
« Selon ses dires, l’homme est
mort vers 16 h 30. »
« L’homme a déposé sa plainte
sur le bureau avant de s’envoler devant nos yeux qui n’ont rien compris. »
« Le choc fut sans gravité même
s’il fallut déplorer deux morts… »
« Seuls quelques dégâts
matériels furent notés sur le cadavre… »
« L’homme ne semblait pas avoir
prévu son meurtre avec préméditation… »
« Un violent coup sur la tête
semblait indiquer une mort naturelle… »
« Après identification, le
corps fut rendu à sa famille dont personne n’a pu retrouver la trace. »
« Le défunt confirma que son
meurtrier avait bien agi seul. »
« Malgré son mariage et ses quatre
enfants, l’homme vivait comme un veuf éploré… »
« Grièvement blessé, la vitrine
s’effondra en morceaux… »
« La mer était sa terre natale… »
« Le trio des voleurs était
composé de quatre hommes d’origine africaine… »
« Le suspect étant sans domicile
fixe, les policiers purent le cueillir quand il sortit enfin de chez lui. »
« L’homme qui avait dérobé les
miches s’en prit ensuite à celles de la boulangère… »
En cours de sport, une élève regarde
tendrement le garçon qu'elle aime, celui-ci s’étire et fait quelques mouvements.
Elle lui lance :
« – Comment ça va petit crabe
?
– Bien et toi crevette ?
– Pourquoi crevette ?
– Parce que dans la crevette tout est
bon sauf la tête ! »
Et puis quelques « revenues » :
L'ouvreuse du cinéma met en garde le couple
qui est venu à la séance avec son bébé :
« Si l'enfant pleure, vous devrez
quitter la salle. Bien sûr, on vous remboursera ! »
Une demi-heure après le début du film,
le mari se penche vers sa femme :
« – Qu’en penses-tu ?
– Ce film est archinul !
– T’as raison, secoue donc le petit. »
Jean-Marc va chez le docteur… :
« J’ai mal partout ! » Il indique
du doigt les endroits où il a mal… « J’ai mal là, et puis là, et encore
là. »
Le médecin prend des radiographies et
lui annonce :
« C’est bien ce que je pensais…
vous avez le doigt cassé ! »
Un jour, un professeur annonce fièrement
à toute la classe que sa femme vient d’accoucher d’une jolie petite fille.
Tous les élèves le félicitent pour cet
heureux événement.
Tous, sauf Jean-Pierre qui lui demande
:
« Est-ce qu’on connaît déjà le
père ? »
Deux prêtres partent en vacances à
Acapulco.
Ils sont déterminés à prendre de vraies
vacances en ne portant rien qui pourrait les identifier comme étant membres du
clergé.
Aussitôt arrivés, ils achètent
bermudas, shorts, chemises, sandales, lunettes de soleil.
Et le matin suivant, ils sont à la plage,
habillés comme des touristes…
Assis sur leur chaise de plage, ils
prennent un drink au soleil en appréciant leur situation de vacanciers
lorsqu’une belle grande brune aux formes appétissantes, en bikini, passe devant
eux et lance avec un grand sourire :
« Bonjour, mon Père, bonjour
mon Père » à chacun d’eux…
Ils sont éberlués…
Comment sait-elle qu’ils sont prêtres ?
Le jour suivant, ils retournent au
magasin pour acheter des costumes de plage encore plus modernes…
Toujours assis sur leur chaise de plage,
ils profitent du soleil lorsque la même fille leur adresse son plus beau
sourire :
« Bonjour mon Père… Bonjour mon
Père… » et continue son chemin.
Un des prêtres, n’en pouvant plus,
l’interpelle :
« – Une minute, jeune fille !
– Oui, mon Père ?
– Nous sommes des prêtres et fiers de
l’être, mais j’ai besoin de savoir comment vous pouvez vous en rendre compte,
habillés comme nous le sommes ?
– Mais enfin mon Père … C’est moi … Sœur
Catherine ! »
Jean-Jacques travaille comme valet chez
un couple fortuné.
La femme, ravissante, est beaucoup plus
jeune que son mari.
Un soir, ils lui annoncent qu’ils
rentreront très tard, mais l’épouse rentre beaucoup plus tôt que prévu.
En arrivant elle aperçoit Jean-Jacques…
« Jean-Jacques, venez donc dans
ma chambre. »
Il la suit.
Elle ferme la porte…
« Enlevez ma robe. »
Il obéit.
« Mes bas, maintenant. »
Il les enlève.
« Et mes dessous. »
Il s’exécute.
« Maintenant, Jean-Jacques »,
dit-elle en le fixant droit dans les yeux, « que je ne vous reprenne
plus à porter mes vêtements ! »
Un psychiatre trouve que son service
est trop rempli.
Il décide de faire passer des tests à
trois patients pour voir s’ils sont aptes à sortir de l’asile.
Il interroge le premier qui répond bien
à toutes ses questions mais à la fin, il lui demande de regarder la bicyclette
par la fenêtre et lui dit :
« – Est-ce qu’elle peut avoir
des bébés ?
– Ben oui une bicyclette ça peut avoir
des bébés.
– Hum. Tu ne peux pas sortir. »
Le même scénario se déroule avec le
deuxième.
Il fait enfin venir le troisième qui
passe aussi brillamment les tests.
Arrive la question fatidique… « La
bicyclette peut-elle avoir des bébés ? »
« – Ben non, elle ne peut pas
avoir de bébé.
– Bravo vous pouvez sortir d’ici. »
Alors que le fou qui n’est plus fou va
faire ses bagages et les deux autres fous lui demandent ce qu’il a répondu…
« – Ben, j’ai dit que la
bicyclette ne pouvait pas avoir de bébé.
– Ben oui, elle peut avoir des bébés » affirment les deux autres…
« – Ben non ! Vous avez vu le cadre :
C’est un bicycle de gars. »
Une vieille dame se fait frapper en
traversant la rue.
Un témoin engueule le conducteur de la voiture :
« – Connard ! tu aurais pu
klaxonner !
– Klaxonner ? Mais je ne voulais pas
lui faire peur. »
Les
solutions de la semaine dernière :
« En
mai, c’est l’amère défaite… »
« Ça
pue la trique ! »
« L’archéologue
mettait le produit de ses couilles dans des fesses… »
Celles
de la semaine :
« Le
rap menace la paix publique ! »
« Notre
père est Martiniquais… »
« Je
cherche le lac des sapins. »
Bon
week-end à toutes et à tous !
Moâ,
je suis parti.
Je
vous laisse avec « Charlotte » : Profitez-en bien…
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