I – Retombées
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un
roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit
de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des
actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie
lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc
purement, totalement et parfaitement fortuite !
Il fallait s’y attendre ! Le rapport de la proc’ Trois-Dom[1]
aura poursuivi son chemin jusqu’au plus haut de la hiérarchie de la République.
Je ne sais pas tout à ce sujet et je n’ai donc pas pu vérifier le détail de ce
qu’on m’a rapporté par la suite.
Mais j’imagine qu’il est passé par la Parquet (forcément), qu’il est
remonté jusqu’aux services de la Garde des sceaux « Belle-Loubet »
qui aura quémandé de rendre « confidentiel-défense » sa note après
avoir consulté son collègue de la Défense et des armées,
« Florence-Patrie » qui aura à son tour mobilisé ses propres
services.
Or, chez ceux-là, quand on entend parler de « Charlotte », leur
Capitaine de frégate mis en réserve par la vie, ils ont pris l’habitude, depuis
l’enlèvement de sa femme[2],
de ne pas rester les bras croisés !
Gustave, Morthe-de-l’Argentière, m’a ainsi rapporté avoir été
« contacté » par ses « correspondants » (étoilés) qu’il
aurait même reçus dans nos locaux de la CISA où il s’est retrouvé « un peu
sec ».
Pas vraiment très au courant de « leur affaire » et encore moins
de l’emploi du temps de notre patron commun, Paul de Bréveuil.
Il aura fait torturer le programme « BBR » par Dimitri pour
retrouver la vidéo de l’incendie de Notre-Dame de Paris où l’on détecte très
clairement un intru qui se glisse dans la flèche de Viollet-Le-Duc à deux
reprises avant d’y déclencher un début d’incendie et qui n’est désormais plus
disponible nulle-part, hors les serveurs de la CISA.
Il paraît que ça aura eu fait son effet…
Tel que de toute façon, Gustave me convoque une paire de journée plus tard
pour me tirer les vers du nez et accessoirement me passer un savon : il
veut absolument être, depuis désormais et jusqu’à présent, au courant de toutes
mes activités, heure par heure, savoir ce que je fais et qui je rencontre !
Je lui rétorque que je suis censée être déjà « poursuivie » par
le logiciel BBR dans le cadre d’une « sphère de sécurité » que je
n’ai pas demandée : il est très simple pour lui et ses équipes de me
suivre quasiment « en direct » et d’en déduire les informations qui
pourraient l’intéresser.
Je ne vais tout de même pas perdre mon temps et ma jeunesse à faire des
rapports d’activité en trois exemplaires toutes les heures non plus : je
ne rends compte qu’à Paul… seulement quand il me le demande !
« Oui, mais vous me mettez en difficulté. Qu’est-ce qui s’est
passé durant votre voyage avec « l’actionnaire » entre Amman et
Athènes ? »
Oh, là, il n’a qu’à lire le bouquin que j’allais sortir sous peu :
tout y est « consigné »[3].
Et pour lui faire plaisir, je lui offre en avant-première le manuscrit
encore à la « relecture-censure » qui reste sur une de mes clés USB
de sécurité à ce moment-là.
Plus de 630 pages dans sa version provisoire, je suis sûre et certaine
qu’il ne les aura pas lues !
Et le mois passe comme ça, sans rien de particulier à signaler.
Sauf que je bosse.
Alors que le mois de juin est marqué par la visite du Président Makarond
en Normandie à l’occasion des rencontres autour des commémorations du
« D-Day » auxquelles je participe.
Je vais y revenir.
Et bien évidemment, au mois de juillet 2019 alors que la canicule me cloue
à l’ombre et l’hélice d’un climatiseur, je trime comme un bête au lieu de
passer des vacances à me faire draguer par des « beaux-gosses » sur
la côte : il va falloir que je m’habitue à ce que les choses ne se passent
jamais comme je le souhaiterai !
Entre-temps, sur la recommandation de Paul de Bréveuil, je réussis à
contacter « le Gardien », Flibustier20260, un moustachu binoclard
vieillissant avec lequel j’étais en relation pour « suppléer » à
I-Cube dans l’écriture complète de la biographie de « Charlotte ».
À cette occasion, il me remet le manuscrit des billets à mettre en ligne
durant le mois d’août que je corrige et complète par une trentaine de chapitres
additionnels restés « inédits » sur le blog de référence.
Ce qui change complètement l’ouvrage à sortir : je m’adapte dans
la précipitation !
Et je le soumets tout de même pour validation avant d’obtenir le feu
vert : l’opus « Alex cherche Charlotte » (version 606 pages) est
désormais disponible chez Amazon en quelques clics de souris pour la modique
somme de 18 euros frais de port inclus : une bonne affaire pour la
plateforme qui se paye largement et le fisc qui encaisse plus de TVA que le
« Gardien » de royalties !
J’en ris encore : pas près de devenir romancière à temps-plein…
Dans la foulée j’entame mon travail autour de deux récits, « Parcours
olympiques » (ils avaient l’air d’y tenir comme d’une urgence, je ne sais
pas pourquoi) puis « Mains invisibles » (un autre pavé de plus de 528
pages) en même temps que je travaille à mes « interviews » autour de
l’entourage de mon personnage central pour commencer à retraduire tout cela
dans le volume « Sur les traces de Charlotte » (qui aura fait l’objet
d’une mise en ligne tardive et non prévue à l’origine) : ce devait être un
« petit fascicule » intermédiaire de 125 pages, reprenant la fin du
premier (« Alex cherche Charlotte »)[4].
Je ne suis pas partisane des « gros pavés » : ils ont très chers
à éditer et ils sont difficiles à lire.
Et encore plus difficiles à écrire et à corriger : une vraie
performance… physique !
Pendant ce temps-là, le quai d’Orsay organise le G7 de Biarritz et surtout
la venue du Président Russe jusqu’au fort de Brégançon.
Avec toujours quelques questions en suspens crois-je pouvoir deviner.
« Comment « Charlotte » a-t-il su pour
Notre-Dame-de-Paris ? Pourquoi désigne-t-il les Russes comme en étant les
responsables ? Comment doit-on aborder la question avec le Russe ou
doit-on faire l’impasse ? »
Combien de fois ai-je entendues ces questions dans la bouche des uns ou
des autres et de Gustave qui se fait le relai de leurs préoccupations !
Heureusement qu’il a déjà les cheveux couleur « argent », parce
qu’il s’en serait fait à pleines poignées, m’amuse-je à penser…
Lui qui a déjà la peau des mains sèche, il en fait une sorte d’exéma qui
se traduit par des petits boutons blancs de pue sur les paumes !
J’imagine qu’il en fait aussi des pellicules, mais ça ne se voit pas…
J’assiste d’ailleurs à une de ces vidéos conférences via Skype : il
faut que je « témoigne pour l’avenir », bien sûr.
« Je serai Makarond, je n’en piperai pas mot. »
Et pourquoi donc ?
Parce que c’est compliqué. « Tout part de l’affaire Skripal,
l’espion russe empoisonné au Novitchok à Salisbury en Angleterre… »
Je note le soupir de Gustave, levant les yeux au ciel un court instant.
« Une affaire à « multi-bandes ». Le FSB cherchait à
m’atteindre sur ordre du patron du Kremlin et ne ménageait pas ses efforts pour
faire porter le chapeau au GRU par la même occasion. Je résume, bien sûr.
Il s’en suit un incroyable imbroglio de la diplomatie russe
avec celle des occidentaux, parce que Skripal ne décède pas malgré la puissance
du poison supposé, tout simplement parce que j’avais prévenu les SIS qui ont pu
remplacer les fioles par un gaz innervant mais nettement moins dangereux et
dont ils avaient en plus les antidotes disponibles. »
Du roman !
« Pas du tout ! C’est comme ça que ça s’est passé. Résultat,
le gouvernement de sa très gracieuse Majesté s’est lui-même enferré dans un
déni pour ne pas dévoiler ses sources et son stratagème, qui devait seulement convaincre
les russes de ne plus rien tenter… »
Et pourquoi Paul aurait fait ça ?
« Rappelez-vous que je suis devenu pair du royaume… Vous vous
souvenez ? »
Gustave se souvient très bien de ce « détail » même s’il n’y
avait pas participé[5].
« Quant à moi, il s’agissait de tirer Charlotte et Aurélie d’un mauvais
pas. Là, vous êtes au courant puisque c’est à ce moment-là qu’Alexis est
rentrée dans « notre circuit ». Et je lui ai fait rencontrer
l’officier du FSB qui était la cheville ouvrière de cette opération-là, celle
initiée par ses services.
C’était histoire de leur expliquer, je veux dire aux russes,
qu’ils n’avaient pas à interférer avec nos activités et encore moins avec moi,
sans ça il allait leur en cuire… et ce n’est pas fini. »
Je me souviens en effet que Paul avait menacé le capitaine Igor de mesures
de rétorsions, ce que j’indique depuis mon poste de travail, via Skype.
« De plus, il fallait que je donne des gages aux services du
ministre de l’intérieur britannique si je voulais légalement prendre le
contrôle de mon atoll des îles Chagos et pour une longue durée : on n’a
rien sans rien. »
Gustave découvre comme ça (et moi aussi) comment Paul avait réussi à
obtenir une concession sur les territoires de la Couronne, « propriété »
de la famille des Mountbatten depuis au moins l’ère victorienne…
Je pensais jusque-là que c’était l’œuvre de Lady Joan et de son seul
entregent.
« Pour les mesures de « blocage » des russes, c’est en
cours, effectivement ! Ils vont remettre ça, mais sous « fausse bannière ». »
Paul se remet-il dans la peau d’un « exécuteur » ?
« Même pas Gustave ! » et il en rit bruyamment
depuis le fin fond de l’océan Indien (ou de son bunker de Normandie, personne
ne sait).
« Et puis quoi encore ? Ça se met en place tout seul.
Les loups vont s’entredévorer sans qu’on n’y ait à rajouter une seule pincée de
sel ! »
Mais comment fait-il pour savoir tout ça ?
« Je sais, c’est tout. Le temps viendra où vous comprendrez. Je
vais vous dire, l’objectif est que le Président Makarond vienne tout seul me
rendre une visite discrète aux Chagos, sur mon invitation. Enfin… plutôt la
vôtre, finalement. Puisque vous allez être le premier à suggérer à vos
« honorables correspondants » qu’il vienne faire un détour en
Normandie où je le recevrai à dîner en aparté aux « Collines de
Cabourg », à l’occasion du D-Day. Mais seulement s’il vient seul, sans ses
« conseillers ». Et là je lui ferai cette invitation.
D’où l’idée de lâcher au capitaine Igor, très en amont,
l’accusation de l’implication des Russes dans l’incendie de Notre-Dame. »
Alors que je reste étonnée par cette anticipation qui ne peut pas être
l’effet du hasard, Gustave passe à côté de cet « enchevêtrement-là »
et pose « la » question bête du moment : pourquoi sans ses
« conseillers » ?
« Parce que j’en ai rencontré au moins un au secrétariat général
du premier ministre, rue de Babylone quand je lui ai remis les queues du
financement du troisième PAI en 2017. Or, j’étais sous « fausse
identité ». Je ne tiens pas à la cramer en me présentant sous ma vraie
devant ce guignol.
Vous comprenez ? »
Gustave saisit : il y veillera si nécessaire.
Quant à l’incendie de Notre-Dame de Paris, puisque j’en avais fait une
déposition anticipée, alors que finalement la cathédrale se met,
officiellement, à brûler toute seule (c’est comme ça), ça a de quoi étonner les
plus éminents cerveaux qui dirigent le pays.
« Non pas toute seule. Vues les images que nos serveurs ont
pompées avant qu’elles ne disparaissent des réseaux, je vous rappelle. Et on
peut désormais tout imaginer.
Or, comme ni vous, ni Dimitri, ni moi ne sommes capables de
« tracer » ce « super-zombie », en amont comme en aval de
cet incendie. Donc… soit les Russes sont beaucoup plus doués que nous, soit
c’est « totalement exogène »… »
Ce qui veut dire ?
Parce que ça peut également ne même pas exister, après tout.
Effectivement. « C’est d’ailleurs la version officielle. Mais ça veut
dire que Poutine se sent « accusé », à tort ou à raison, peu importe
et lui seul sait qu’il n’est pas blanc comme neige, mais pour d’autres raisons,
et qu’il a besoin du Président Makarond pour dissiper les malentendus. C’est
pour ça qu’il veut le rencontrer. »
Plus quelques autres impératifs de « géostratégie », je suppose.
Et il se montrera même suffisamment aimable pour lui proposer le
rapatriement de la dépouille récemment découverte du général César Charles
Étienne Gudin de la Sablonnière, dit Charles Étienne Gudin, comte de l’Empire,
mort le 22 août 1812 à Smolensk sous les ordres du maréchal Davout, mortellement
blessé par un boulet de canon à la bataille de Valoutina Gora.
Ce qui n’empêchera pas Makarond de souffler le chaud et le froid,
promettant tour-à-tour de participer aux commémorations du 9 mai 2020 à Moscou
(ce qui ne pourra se faire que plus tard), mais de prononcer aussi des déclarations
ambigües sur le danger cybernétique que représentent les trolls russes sur les
démocraties occidentales.
« Alors, je serai lui, je ne causerai même pas des soupçons qui
peuvent peser sur Moscou, d’autant que c’est moi qui les ai initiés.
Éventuellement qu’il est juste au courant de leur existence. »
Pas seulement, semble-t-il : « Les services cherchent
toujours la piste de ce « super-zombie »… » vues les
demandes répétées autour de ce sujet de la part du ministère de l’intérieur..
On ne trouvera pas !
« Il existe, mais il a déjà définitivement disparu. »
Impossible !
« Et alors quand bien même ? Au mieux, ça devrait vous faire
vous poser quelques questions sur le devenir et le déroulé des choses : ne
sont-elles pas déjà inscrites dans les livres d’Histoire ? »
Quel rapport ?
« Bon passons, amiral… N’anticipons pas non plus. »
Et Gustave rebondit une fois de plus sur un sujet connexe : « Expliquez-moi
en quoi le Russe a un besoin si impérieux de se mettre dans la poche notre
Président ? »
C’est pourtant simple : même moi j’aurai pu le lui dire !
« Premièrement, il y a les sanctions économiques depuis sa
mainmise sur la Crimée qui plombent l’activité des russes. À peine 1 à 2 % de
croissance, ce n’est pas suffisant.
Deuxièmement il s’est fait shooter un charter dans le Sinaï
et un Mig en Syrie. Et par les Turcs pour ce dernier. Des membres de l’Otan.
Or, il ne veut pas de guerre avec l’Occident qu’il ne peut
pas soutenir alors que l’Otan a des avions et des troupes stationnées à sa frontière
dans les États-Baltes – l’opération Lynx avec des avions français – mais il ne
peut plus reculer du bourbier Syrien qui lui offre un port en eau-profonde et
une base aérienne solide en Méditerranée, donc un œil sur la région et sur les
champs gaziers au large de la même Méditerranée orientale.
Et là-bas, ses chasseurs sont au contact avec ceux de l’Otan
avec tous les risques de dérapages que cela comporte.
Il ne s’agirait pas non plus pour lui de se faire fermer le
passage des Dardanelles, ses troupes seraient isolées de tout ravitaillement…
c’est pour cette raison qu’il va faire « copain-copain » avec son
homologue turc, jusqu’à lui vendre du matériel anti-aérien, alors même que la
Turquie reste membre de l’Otan et ses missiles « Patriot », et ce, malgré
toutes les contrariétés qu’il subit de la part du Turc.
D’autant que la Turquie va être en position de faire le coup
de feu sur le contingent du groupe Wagner en Libye, le russe qui est copain comme
cochon de Poutine, et en pourchassant ses rebelles Kurdes qui sont à ses
frontières sud en Syrie.
Quant aux Buks livrés, inutile de vous dire que quelques
exemplaires vont être démontés pour voir ce que ces systèmes d’armes ont dans
le ventre et demain les rendre inutiles… »
Mais il n’y a pas que ça.
« Effectivement, le shoot d’un de ses charters dans le Sinaï est à
l’origine de l’engrenage après qu’il ait pu mettre au pas ses Tchétchènes. Il
ne faudrait pas que la situation s’envenime en Irak et en Syrie où des troupes
et des avions pourraient s’affronter les uns contre les autres avec le bloc des
alliés contre Daech.
Alors il vend à prix cassé ses matériels aux Turcs ce qui va
les pousser à aller soutenir les Libyens là où le russe a déjà envoyé contre
eux des mercenaires pour prendre le contrôle de Tripoli qui est menacé par les
ricains et les français : il a des troupes engagées au format
« mercenaires ». C’est vous dire la démarche schizophrène,
finalement !
Et puis je viens de le dire, il y a les sanctions
internationales qui pèsent alors qu’il a besoin de devises pour investir dans
son pays !
Et pour ça, il vend son gaz aux Chinois, aux Européens via
la Turquie et demain via la Pologne et jusqu’en Allemagne avec son gazoduc
en projet que ne veut pas l’américain : il a besoin d’être « pote avec tout
le monde » et donc du soutien de la France à charge pour Makarond de tenir
tête à l’américain et aux anglais à l’occasion du G7 suivant…, probablement
avec le soutien de l’UE, une fois le Brexit acté. »
Il est acté… En tout cas, à ce moment-là, ça discute « sévère »
avec l’anglaise pour obtenir le meilleur deal possible avec l’UE.
« Qu’a donc à perdre Makarond à ne pas le recevoir ? C’est le
Russe qui est demandeur ! »
Donc pas de « bulles » autour de Notre-Dame-de-Paris ?
Non : « Il faut laisser venir et à l’occasion rester ferme
quant à mon sort personnel à travers une déclaration de principe, par exemple.
Et pour ça, je vous invite à inviter le Président en Normandie où je
l’inviterai ensuite à venir aux Chagos droit dans les yeux, alors que lui vous
invitera à Brégançon.
Ce qu’il va bien sûr décider de faire, très intrigué,
puisque les services sont « secs » sur nos activités là-bas. Vous
pourriez même visiter le chantier si vous supportez encore les décalages
horaires à votre grand-âge ! »
Gustave pense manifestement que Paul, son ex-subordonné, se moque de lui
avec cette dernière remarque.
Mais je n’en suis pas sûre sur le moment…
« En octobre prochain, on y ouvrira une piste pour moyen-courrier.
Escales techniques obligées aux îles Maurice ou à La Réunion, car avec un long-courrier,
ce n’est pas possible… »
Les dés seront jetés lors de ces conversations, et les choses se mettent
en place dans mon dos.
Je veux dire sans en savoir tout de suite le détail.
[1] Cf.
« Les enquêtes de Charlotte », épisodes « Alex cherche
Charlotte » et « Sur les traces de Charlotte », aux éditions I3
[2] Cf.
« Les enquêtes de Charlotte », épisode « Mains invisibles – Tome
II », aux éditions I3
[3] Cf.
« Les enquêtes de Charlotte », épisode « Alex cherche
Charlotte », aux éditions I3
[4] Cf.
« Les enquêtes de Charlotte », épisode « Sur les traces de
Charlotte », aux éditions I3
[5] Cf.
« Les enquêtes de Charlotte », épisode « Parcours
olympiques », aux éditions I3
270 pages – 12,30 €
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