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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 2 janvier 2019

Les « parigots-sur-Seine » me font rire !

Ils fuient leur ville…
 
Est-ce bien raisonnable ?
La « Ville-Lumière » parmi toutes les autres, celle de « l’Esprit », son humour mais aussi ses grandes heures et ses nombreux malheurs historiques… Ville meurtrie en 1870, ville occupée, outragée, martyrisée mais « libérée » en 1944.
Une ville construire autour de son histoire, moyenâgeuse et même romaine dans ses arrondissements les plus anciens enserrée dans l’enceinte de Philippe Auguste – qui vont bientôt être interdit à la circulation automobile –, ville bourgeoise construite sur les anciennes dépendances du clergé régulier tout autour, ville du labeur engoncée dans sa ceinture périphérique – lui-même hérité de l’enceinte de Thiers – qui a désormais du mal à s’ouvrir au-delà de « ses portes » haussmanniennes de ses anciennes fortifications.
Mais pourquoi donc cette ville aux 80 villages est-elle désertée tous les ans par 10.000 de ses habitants depuis maintenant plus de 10 ans ?
 
La vie y est chère (pour y habiter, s’y nourrir, y travailler), les entreprises industrielles ont disparu, l’agriculture se limite aux vignes de Montmartre et aux vergers du jardin du Luxembourg, reste un immense domaine public et parapublic d’administrations diverses (ministères, entreprises publiques, musées, hôpitaux), quelques commerces de proximité et d’innombrables HLM, comme autant de « no-go-zone » où il faut traverser trois barrages naturels pour y venir (ou en sortir) : Les boulevards de Maréchaux, leurs tramways, et le périphérique comme d’une autoroute où les piétons et autres « déplacements-softs » sont interdits.
À moins de passer par « en-dessous », en métro, train ou RER…
Prisonniers chez eux, les « parigots » !
Alors dès qu’ils le peuvent, ils filent en banlieue pour y travailler, en province pour y vivre, même à temps partiel, le temps des week-ends ou des vacances, pour encombrer les réseaux routiers pourtant surdimensionnés.
Pensez-y : Il y aurait entre 40.000 et 50.000 ronds-points en « Gauloisie-des-merveille » (le dernier qui a compté est mort, depuis plus personne ne sait très bien, d’autant qu’on en rajoute environ 500 tous les ans), soit la moitié de ce qui existe dans le monde pour écouler le trafic ainsi généré et réduire de 40 % les accidents aux carrefours…
20 milliards d’euros consacrés à votre bonheur (et ceux des parigots qui n’en collectionnent pas autant…) !
 
Bé oui, « vivre », ce n’est pas resté « coincé », « prisonnier » chez soi : C’est bouger, échanger, se déplacer.
Et on se déplace comment, avec son chargement, ses courses, avec seulement 14 lignes de métro et 316 lignes de bus ?
Pas à cheval, c’est interdit.
En vélo ou en patinette, on ne va pas très loin et c’est fatigant pour mes vieux os…
Alors on s’équipe de véhicule automobile, à condition de pouvoir le parquer à l’aller et au retour (plus aucune construction de place nouvelle de parking depuis deux décennies…). Or, la voiture est devenue l’ennemi public numéro 1 de la mairie « soce-écololo » depuis « De-La-Nuée ».
Il paraît que ça tue 48.000 personnes tous les ans pour cause d’émission de particules fines, sur les quelques 28.000 décès attribués dans le monde entier, le monde entier, aux mêmes effets de la pollution !
C’est dire si les « dogmes » des autistes-trisomiques qui vous gouvernent sont fondés sur de la rigueur « scientifique » (comme il se devait pour le « soce-scientifique » de Marx [Karl, pas Groucho], même si je ne sais pas quel était le plus comique, finalement…).
Aberrant.
 
D’autant que sans même causer de pollution, qui s’intensifie un peu partout, la faute à déplacer les axes de circulation à coup d’oukases-municipaux, ce sont bien sûr les embouteillages qui polluent le plus, moteur au ralenti, tournant à raison de 3,5 kg de CO2 par heure, quelle que soit la cylindrée affichée, pour n’avancer que de quelques kilomètres…
Car il y a toujours plus d’embouteillages à la Kapitale…
Paradoxe ? Non pas du tout : Le résultat d’une volonté délibérée de « Sœur-Âne » !
Histoire de décourager les banlieues de venir faire vivre le cœur de la Kapitale.
Ça, plus pas de place pour se garer, les « barrages-naturels » que représentent les « portes d’entrée » et normalement, il devait y avoir moins de circulation en centre-ville, donc moins de pollution, parce que moins d’embouteillage.
Mais aussi moins de « visiteurs » venant y faire des achats, donc moins de commerce, donc euthanasie du dynamisme économique de la ville, donc rente de situation pour ceux qui y survivent, donc prix affiché toujours à la hausse, donc désertion des classes moyennes remplacées au fil des construction HLM par des populations moins solvables…
La boucle infernale de la paupérisation d’une ville !
Ou les effets pervers des dogmes débilitants.
 
D’habitude, quand je descends de London, je prends le train. De Saint-Pancras à Gare du Nord, on en a pour trois heures. Facile.
Mais cette fois-ci, pour passer les fêtes avec toute « ma nichée », j’ai pris l’avion pour louer une voiture à Roissy : J’avais de nombreux trajets Paris-banlieue et banlieue à banlieue au programme des festivités et au prix où sont les taxis, c’était plus rentable.
Je sais qu’il faut une demi-heure pour un Paris-centre à Roissy quand c’est dégagé (tôt le matin ou dans la nuit), une heure dans l’autre sens et qu’il faut doubler le temps de parcours aux heures « normales » du trafic.
Et puis, dans « Paris-sur-la-Seine », j’ai mes « petits-chemins », des « raccourcis » qui rallongent en kilomètres mais restent dégagés et font gagner du temps.
Sauf que là…
 
Je dois retarder d’une guerre : Quel foutoir ai-je pu constater !
« Il y a toujours eu des embouteillages dans Paris. Mais là, cette année c’est intense » m’en dira une de mes rencontres.
Passer par l’Hôtel de Ville pour aller vers le sud m’a demandé trois-quarts-d’heure, pour avoir renoncé au périphérique, annoncé comme totalement bouché depuis l’A3.
L’A1, de toute façon, ça se termine en entonnoir infranchissable…
J’avais vu une fois passer cinq fois les feux au vert sans pouvoir avancer porte de la Chapelle…
Pire : Il paraît qu’en un an, les travaux ont augmenté de 5 % dans la capitale.
Mais que parmi eux, ceux de la Ville ont augmenté de 70 % !
Avec quel pognon « elle » vous fait tout ça alors que le « Daβ-Paris » n’avance pas…
Réductions du nombre de voies, rues barrées un peu partout et pire, l’Île-de-la-Cité barricadée de voies réservées aux bus que tu es obligé de passer par la rue Mazarine pour rejoindre l’Odéon et finir devant le feux du boulevard Saint-Germain qui ne laisse passer que 5 voitures.
« Il y a des travaux partout… Ce qui m’énerve, c’est quand je ne vois personne travailler dessus. En plus, les chantiers sont toujours aux mêmes endroits et ils y restent pendant des mois » indique encore un de mes potes…
 
Et quand ils sont terminés, les nouveaux aménagements de la voirie réduisent notablement l’espace consacré aux voitures individuelles rajoute-t-il : « Avant on avait deux voies pour les particuliers, et maintenant il y en a plus qu’une, avec une voie pour les bus et une voie pour les cyclistes ».
Et pourtant les voitures seraient moins nombreuses dans la ville.
« Mais comme il y a moins de voies, il y a toujours autant de bouchons, sinon plus. On ne revient même pas à la case départ, on amplifie le phénomène ».
« C’est sciemment », lui répond-je.
Et je ne vous raconte même pas le délire pour parquer son « tas-de-boue-à-roulette ». La seule solution c’est de se « mettre bien » avec l’hôtelier qui a un parking pour ses clients, ou de trouver un parc souterrain à la journée, pas trop cher où l’on est sûr de ne pas tourner pendant des plombes à 4 heures du matin, pas très réveillé dans l’attente d’une hypothétique « fin de réveillon » encore plus tardif à proximité.
Au-delà des chantiers, par exemple les chauffeurs de taxi relèvent d’autres causes qui ajoutent à la pagaille : « Je prends les couloirs bus et ça me fait gagner beaucoup de temps. Mais à certains endroits, les couloirs sont de vrais parkings. Il y a beaucoup de livreurs en double file, très tôt le matin. »
J’imagine qu’avec les livraisons de Noël, ça a dû leur transformer la vie en enfer pavé de bonnes intentions…
 
Alors, je me frite avec un « beauf’ » (un soce-style « Deux-noix-Âme-Mont » après avoir encensé « Tagada-flanby-à-la-fraise-des-bois » et s’être « tâté » à voter « Mes-Luches », c’est dire s’il est atteint…) qui trouve que tout cela est très bien : « Quand je monte à Paris, je ne prends jamais ma voiture ».
Alors, elle te sert à quoi si tu n’en as pas besoin, ta chiotte diesel ?
Et euh, tu y montes souvent à Paris ?
Bien sûr : « Au moins trois ou quatre fois par an » !
Vous apprécierez entre ce donneur de leçon et tous ceux qui y vivent 365 jours par an ou qui y travaillent seulement 225 jours dans l’année.
« De toute façon, tu es interdit de séjour à Paris : Tu te chauffes au bois et ça pollue bien plus qu’une voiture en suies diverses et cancérigènes, espèce de criminel ! »
Ambiance festive de fin d’année…
Alors, on se renseigne chacun de son côté entre les huîtres et le foie-gras.
14,1 km/h, c’est la vitesse moyenne du trafic automobile dans la capitale en 2017, selon l’Observatoire des déplacements à Paris.
C’est 2 km/h de moins qu’en 2002…
Merci qui ?
13 %, c’est la part des déplacements effectués en voiture dans la capitale.
Rien que du marginal. L’essentiel est assuré par les livraisons de camions et quelques bus.
Dans le même temps, l’automobile, les bus, les camions, les cars occupent environ 50 % de la voirie de Paris.
Jeudi, c’est le jour le plus chargé. C’est ce jour-là que l’on roule le plus mal dans Paris, avec une moyenne de 13,3 km/h.
Et le lundi que la fluidité est la meilleure (15,1 km/h).
À retenir !
Et effectivement 6 ménages sur 10 ne possèdent pas de voitures dans Paris intra-muros.
Donc l’essentiel est assuré par la flotte des bus et des camions de livraison de toutes les tailles (voiturettes de la poste au 38 tonnes qui promène ses palettes jusqu’aux pieds de chez vous), plus les quelques provinciaux qui s’y risquent et les banlieusards bien obligés de venir y bosser dans les banques, assurances, administrations qui n’ont pas le choix par défaut d’accès à des transports en communs malcommodes.
Car les banlieusards sont plus nombreux à en posséder au moins une.
Quand ce n’est pas deux quand ils habitent plus loin…
 
Mon vécu, c’est que malgré la baisse du trafic dans la capitale, les embouteillages semblent toujours aussi nombreux. En cause : La réduction de l’espace dédié aux voitures plus le grand nombre de chantiers en cours.
Moins de voitures, mais toujours autant de bouchons : C’est bien le constat – paradoxal – dressé par de nombreux automobilistes amenés à circuler dans Paris.
Le trafic intra-muros a pourtant chuté de 34 % entre 2002 et 2017, selon l’Observatoire des déplacements à Paris : Autant de « clients » pour l’activité commerciale en moins qui se replient sur les centres-commerciaux installés en couronne.
La Ville revendique même une nouvelle baisse de 6,5 % entre janvier et mai 2018.
Pourtant, les embouteillages sont toujours là : Selon une étude du fabricant de GPS Tomtom Telematics, les conducteurs perdraient en moyenne 40 minutes par jour dans les bouchons. Un chiffre qui reste stable depuis une dizaine d’années.
CQFD.
 
Ces derniers mois, beaucoup d’usagers de la route disent même ressentir une détérioration, qu’ils imputent (on y revient) au nombre élevé de chantiers en cours dans la Kapitale. La mairie de Paris recense ainsi une cinquantaine de chantiers « très perturbants » en ce mois de décembre dépassé. Et d’après les calculs de la cellule Data du Parisien, établis avec les données mises en ligne par la mairie de Paris, les chantiers ont effectivement provoqué des temps de parcours rallongés de 12 à 16 minutes par rapport à la normale dans plusieurs secteurs…
D’après les spécialistes, si les bouchons persistent, malgré la diminution du nombre de voitures, c’est pour une raison de fond. « Dans la capitale, depuis une quinzaine d’années, la réduction du trafic automobile va moins vite que celle de l’espace dédié à la voiture », éclaire un professeur émérite à l’École d’urbanisme de Paris (EUP). « Des kilomètres de voirie et de places de stationnement ont été récupérés pour faire place au tramway, à des couloirs de bus ou de vélos, ou encore à des zones 30 km/h. »
Des stations de vélos (et d’autolib’) désertés, ai-je pu constater…
Une ville « soft », tous à pied ou avec sa carte Navigo hors de prix pour les petites-bourses…
 
Poursuivant cette politique favorable aux modes de déplacements « doux et non polluants », la mairie de Paris a même lancé en 2018 plusieurs opérations de grande ampleur, afin d’étendre le réseau de pistes cyclables et réaménager les grandes places, comme celle de Bastille (pourtant un axe « roulant » jusque-là). À la multiplication des chantiers, s’ajoutent d’autres phénomènes qui amplifient les bouchons : « La congestion est le résultat de nombreux facteurs », souligne un expert à l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France (IAU-IDF). Ainsi, « le boom du commerce en ligne a considérablement augmenté le nombre de livraisons en porte à porte », remarque-t-on à l’IAU.
Logique : En tuant à petit feu le commerce de proximité, la faute à du foncier trop onéreux et aux difficultés d’approvisionnement (congestion de la circulation, rétrécissement des voies de déplacement), le gars avec son vélo (s’il ne se fait pas tuer), il a un métier d’avenir, quand ce n’est pas avec une simple estafette qui pollue de l’huile chaude…
Notez qu’il ne fera pas fortune avec son boulot. Peut-être même qu’il aura du mal à survivre sans être subventionné d’une façon ou d’une autre (logements aidés par exemple)…
Le bahut de 38 tonnes qui ballade de la flotte par palettes entières, lui, il a vraiment du souci à se faire.
 
Et puis en cherchant je trouve plus inattendu : Les embouteillages sont parfois aggravés par… les applis pour smartphones censées aider à les éviter, comme Waze, Coyote ou Google Maps. Des petites rues peuvent servir d’itinéraires de délestage. Sauf que ces rues ne sont pas adaptées et créent à leur tour des goulots d’étranglement.
Voilà donc pourquoi, même mes raccourcis sont parfois des pièges à kon mal-embouchés !
Seule solution, finalement, quand on est piégé dans les bouchons : prendre son mal en patience.
En fait, la ville change.
Y faire vivre décemment « des gens » (vous savez, ces ploucs sans dents, qui puent le gasoil et la clope) qui votent et qui payent même ce qui est aberrant : J’en connais qui vivent et travaillent à la campagne et passent leurs week-ends à « Paris-sur-la-Plage », tellement la pollution ça leur manque, un peu comme à London où ils vivent tous dans des « cottages » avec jardinet mais viennent bosser à Londres après une heure de trajet infernal… Dans le même genre, j’avais un client qui rentrait tous les soirs « en son château » en Dordogne… en hélicoptère !), ça va devenir de plus en plus difficile.
Forcément, le commerçant, « vendeur-assis », si plus personne ne fréquente son échoppe, il crève au profit du mek qui livre la pizza vespérale (avec coca : On est « écololo-bobo » ou on ne l’est pas…).
Ou alors on déserte et on se fait sa pizza soi-même…
 
J’admire cette destruction du paysage-urbain et ses grands et beaux projets grandioses qui oublient les « gens de rien », les « sans-dents », expulsés loin de chez eux, toujours plus loin tellement leurs maigres revenus n’y suffisent plus, pour faire place à un sous-prolétariat logé en HLM, bien docile à récurer la merde des « z’élites » qui pensent le bonheur de tous.
 
Je vous le dis depuis belle lurette : Je n’ai pas demandé à naître, mais plus j’y songe, plus je suis persuadé de m’être trompé de planète et d’époque…
Un monde d’interdits toujours plus nombreux.
Pas de veine, alors que la vie pourrait être si agréable.
Comme la mienne touche à sa fin, je peux encore me permettre de râler en espérant des solutions plus convenables pour « ma nichée » comme des voiries de circulation plus larges, des feux synchronisés permettant une circulation plus fluide (moins d’accélérations polluantes à bas régime et moins de freinages qui dispersent de la chaleur dans l’atmosphère) des parkings souterrains partout où c’est possible (y compris dans tous les immeubles en construction) et pas forcément à 50 euros la journée…
Évidemment, ça fera autant de sous en moins ramassés par la flottille de véhicules balançant des PV par centaines en une seule tournée, juste ne lisant les plaques d’immatriculation : Les « ex-aubergines » devront être recasées à d’autres tâches plus utiles, comme la protection des abords des ékoles, par exemple.
Mais ce que j’en dis ou rien comme d’habitude… autant pisser dans un violon en espérant qu’il peigne la girafe.

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