Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 17 décembre 2018

Impôts & taxes (1) : Quelques rappels indispensables.

J’entends beaucoup de gens dire n’importe quoi.
 
Soyons clairs : Dans un pays où (d’après « Lyne-sait ») 70 % des « Gauloisiens » de 18 à 65 ans ont des « performances médiocres » en calcul dont 9,5 % sont carrément atteint « d’innumérisme » (7 millions ayant des difficultés avec l’arithmétique basique…) et 7 % (3,1 millions de 18 à 65 ans – 19,8 % des moins de 15 ans en 2010) sont qualifiés « d’illettrés » –, il n’est pas étonnant qu’on vous fasse avaler des âneries dans à peu près tous les domaines des connaissances (et même le reste) et notamment dans « la » matière dans laquelle je « touche encore un peu ma bille » : La fiscalité.
Ce petit-post, promis à « D.B » (et qui aura une suite) est là pour remettre sommairement les « pendules à l’heure » en ce domaine.
Et on va essayer d’être simple et clair (même si ce n’est pas gagné).
 
Premièrement, quoique vous fassiez, il faut bien comprendre avant toute chose que si vous inventez une taxe sur le « pet-des-vaches », elles pèteront autant qu’elles voudront, ce ne sont pas elles qui paieront.
Mais vous !
 
Et c’est valable pour toutes les taxes, impôts, contributions, cotisations, droits, redevances, tout, tout finira par se retrouver dans « votre assiette ».
Et il ne sert à rien de distinguer la nature du prélèvement (taxes, impôts, cotisations, redevances, droits, etc.) comme le font les « fiscalistes agréés » qui ne sont de toute façon que des exercices de taxinomie réservés à quelques-uns « qui se la pètent » eux-mêmes pour faire « sachants », tous les prélèvements obligatoires, tous, finissent par être supportés par les citoyens, femmes et hommes de chair et de sang, et personne d’autre…
Assez clair comme ça pour commencer ?
 
Deuxièmement et conséquemment, quand j’entends parler de « taxer les entreprises » (impôts et taxes directs ou indirects et cotisations), l’activité, les productions de biens et de services, c’est juste une facilité opératoire : Elles sont tout simplement moins nombreuses que les citoyens.
 
Là, de deux choses l’une, soit « elles » sont capables de « revendre » les prélèvements obligatoires qu’elles acquittent et tant mieux (c’est l’utilisateur final qui paye parce qu’il est solvable comme on vient de le noter ci-dessus), soit elles ne peuvent pas et ne produisent pas le bien ou le service généré par leur activité.
En tout cas, « pas assez ».
Résultat, c’est l’activité du pays qui s’en ressent (son PIB) et par contrecoup les « assiettes » des « taxes, impôts, cotisations » qui se rétrécissent (ou ne progressent pas).
 
Deux conséquences logiques : Pour une valeur donnée, l’objectif de recette publique n’est pas atteint et le réflexe inné est d’augmenter les taux (la fameuse « courbe de Laffer » : L’impôt tue l’impôt) ou d’inventer de nouvelles taxes (11 depuis l’avènement de « Jupiter » dans les urnes, d’après l’IFRAP).
Résultat, le « poids des prélèvements-obligatoires » augmente en proportion au détriment de l’activité des agents économiques (entreprises et citoyens en activité).
Au bout, quand les taux sont à 100 %, il n’y a plus de recettes, elles égalent zéro.
Assez simple pour vous ?
Alors on continue.
 
Troisièmement, j’entends souvent dire qu’il faut taxer « les riches » et redonner aux pôvres (sans-dent-qui-puent-la-clope-et-le-gasoil…).
Pourquoi pas, mais d’abord « les riches » sont assez peu nombreux et ils peuvent fuir plus facilement les enfers fiscaux créés de toute pièce ; ensuite, les pôvres sont infiniment plus nombreux et ne peuvent pas fuir aussi facilement. De plus, ils ont des « dépenses contraintes » qui ont une proportion plus importante dans « leur assiette » que chez celle des « riches ».
 
Résultats les uns et les autres ne consomment pas vraiment la même chose et ne financent pas non plus de la même façon l’investissement (créateur d’activités, d’emplois, de richesses et de biens durables [au sens « réutilisables »]) et l’activité publique, parce que les seconds ne peuvent pas alors qu’il en reste assez aux premiers.
D’où également les nécessaires « politiques de redistribution » au profit de ceux qui sont des « gens-de-rien » par « les possédants » (qui s’achètent ainsi la paix sociale et la sécurité juridique de leurs biens « durables » : Le rôle premier de tout État qui se respecte)…
 
Sauf que, un/ il n’y en aura jamais assez ; deux/ on rend les « pôvres » incontestablement esclaves de leur « pôvreté », incapables d’épargner assez pour faire autre chose que survivre dans leur misère : Ils n’ont pas accès à une vie décente où ils se prendraient en main à créer leur propre valeur-ajoutée-marchande, au détriment du pays (et de ses recettes fiscales).
C’est comme ça.
En bref, c’est probablement mieux que rien, mais ça ne fait que « geler », « cristalliser » la situation sociale d’un pays en panne d’ascenseur (social).
Notez, qu’il y en a eu qui aimait tellement les « pôvres », qu’ils en fabriquaient tous les jours…
Passons.
 
Quatrièmement, pour des raisons de « logique de fabrication », jamais dans ce pays qui est aussi le mien (que j’aime tant mais qui me le rend si mal…) on ne vote pas d’abord les recettes, mais seulement les dépenses et ensuite les recettes (assiette et taux).
C’est le principe budgétaire avec à une époque la notion de « budget-voté » qui reprenait l’exécution de l’année précédente (que j’ai même vu l’armée de l’air, du temps de mon service militaire, brûler le kérosène surnuméraire en décembre pour être sûre d’en avoir au moins autant l’année suivante !).
Et ce n’est jamais « à la baisse », mais toujours à la hausse (avec énormément d’efforts pour « se retenir » de dépenser plus que ça…).
 
Effectivement, si on part seulement des recettes raisonnablement envisageables, la puissance publique fait faillite : Elle dépense toujours plus depuis quarante ans qu’elle n’espère pouvoir vous faire cracher d’une façon ou d’une autre.
C’est ce que vous appelez « déficit » qui sera financé par un emprunt (qui coûte) et s’accumule en « endettement » au fil des années.
Alors que si on se fixait des règles assez simples d’un plafond de recettes (en base, en proportion, en ce que vous voulez) eh bien on serait dans l’obligation de modérer la dépense pour vous en laisser plus « dans votre assiette » (et vous sortir au moins à la marge de votre état de pôvreté-perpétuelle).
 
Notez au passage, qu’il existe une autre mesure assez extraordinaire, mais qui ne s’applique qu’à des dépenses nouvelles (interdit de l’étendre à tout le budget de la Nation, naturellement) : Quand le Parlement (ou le Gouvernement) décide d’une « dépense-nouvelle », il doit en déterminer une « recette-nouvelle » (nouvel impôt-taxe-cotisation, etc.), assiette, redevable et taux.
C’est ce qui s’est passé pour la politique de « transition énergétique ».
Pas mieux, pas plus…
 
C’est aussi l’exercice auquel le gouvernement « d’Ed-Fil-Lippe » s’attèle actuellement : Je renonce à des taxes surnuméraires sur les produits pétroliers, soit je compense avec des recettes nouvelles (augmentation des PV de circulation, par exemple, Impôt sur les sociétés exceptionnel ou encore autre chose, que vous serez dans l’obligation d’acquitter directement ou indirectement jusque dans « votre assiette ») soit je renonce à une dépense (un pont, une gare, la vaisselle neuve du château, 1.200 comités Théodule à rayer des effectifs, le CESE à supprimer, un ou deux stades,…).
Vous allez suivre ça de près…
 
Parce que cinquièmement, l’État ne renonce jamais à son train de vie : Logique, l’État, c’est vous tous !
Vous ne voulez tout de même pas crever la bouche ouverte dans l’indigence ?
Alors, il vous fera crever à coup de prélèvements supplémentaires (et peu importe le nom et comment ils seront recouvrés et déterminés : Ils se retrouveront de toute façon dans « votre gamelle »).
C’est la seule solution hormis des déficits accrus (ce qui est défendu) ou de jouer sur la valeur de la monnaie (création monétaire préemptée par la BCE et les banques, elles-mêmes « très encadrées »), ce qui n’est juridiquement pas possible.
 
Ceci dit, un sixième point avant de continuer : C’est dans leurs mécanismes. Les impôts et taxes s’arrêtent aux frontières politiques du pays. L’impôt sur le revenu, il est peut-être mondial, mais il ne franchit pas la frontière quand vous vous la franchissez (pour peu que vous en ayez les moyens) et même quand il s’agit de la TVA, d’où les exils fiscaux.
Logique pour la TVA : On a déjà du mal à exporter nos joyaux (avec charges sociales accrochées et même tous les impôts et taxes « à la production ») si en plus on devait faire payer « notre » TVA à nos clients étrangers, on n’y arriverait pas…
Mais il s’agit là d’un mécanisme propre à la TVA : La CSG, les charges sociales, les « impôts à la production » sont exportés avec nos Airbus !
 
Alors, avec ces quelques rappels « basiques », maintenant essayez donc de bâtir un « système-fiscal » intelligent !
Figurez-vous que depuis la Révolution, ils s’y essayent et plus ils avancent et plus ils dérapent.
Ils s’en foutent de toute manière, puisque c’est vous qui payez !
Alors pourquoi se gêner ?
 
Si un jour on devait faire « ce travail », il faudrait commencer par « tailler dans les dépenses ».
J’entends les « décaissements » : Frais et charges de fonctionnement et investissements (en biens « durables », réutilisables), ce qu’ils n’envisagent même pas depuis des décennies.
 
Attention, c’est complexe : Dans les « frais de fonctionnement », il y a la rémunération des agents des services publics (fonctionnaires et assimilés). En réduire le nombre est une piqûre dans une jambe de bois : Soit ceux qui existent partent à la retraite et même sans être remplacés, ils persistent à coûter au titre des pensions qui leur sont dues ; soit on les vire et il faut pouvoir les « recaser » dans le secteur privé après les avoir correctement indemnisés, ce qui coûte également.
Mais on peut ne pas les remplacer, même si ça va demander des décennies…
 
Dans les « frais de fonctionnement », il y a les coûts connexes. Ceux-là, dans bien des cas, ils sont superfétatoires : Combien d’avions « présidentiels » stationnent sur les parkings de Roissy-Charles-de-Gaulle sans être utilisés que quelques jours par an (quand ils ne tombent pas en panne) ?
Trois ou quatre ? Je ne sais plus…
Et leurs équipages ? Et les équipes de maintenance « habilités sécurité intérieure » ?
 
Dans les « investissements », il y a les « infrastructures » indispensables (et à entretenir : Frais de fonctionnement) et qui rendent bien des services aux populations.
Mais expliquez-moi l’avantage à créer une « bretelle de contournement » d’équipements qui existent parfois depuis avant l’antiquité ?
Un rond-point là où des traits sur la chaussée faisaient leur office en toute sécurité ?
Rien que quatre ronds-points aux abords de Calvi (3.500 habitants) en Balagne, dont un qui dessert une poignée de lotissements occupés seulement l’été, et un dans la « zone industrielle » de Cantone…
Mais ils auraient pu en mettre deux de plus et ont préféré utiliser les budgets prévus pour mettre en place jusqu’à 12 « dos-d’âne » sur une portion de 2 kilomètres (pour mieux polluer en freinages et accélérations, sans compter le bruit généré par la manœuvre pour les riverains…).
Bien sûr, vu l’accroissement du trafic, parfois, c’est d’un intérêt notoire…
 
Mais quid d’un stade démesuré qui ne servira que quelques heures dans l’année, d’un bâtiment scolaire ou universitaire ouvert seulement 36 semaines par an alors qu’on sait que les effectifs d’élèves et d’étudiants vont diminuer dans les années qui viennent (et qu’on manque de crèches depuis des décennies…) ?
Le cas le plus flagrant de « délire » que vous avez payé sans broncher, ce sont les abattoirs de La Villette. Des sommes colossales investies alors que le bâtiment n’a jamais vu un seul bestiau sur pattes.
Qu’il a fallu quantité de nouveaux impôts mobilisés pour transformer les bâtiments en musée et salle de concert… qu’il faut maintenant faire vivre et entretenir à coup de taxes.
Alors qu’on manque de foncier pour construire des logements.
Les rapports de la Cour des comptes regorgent de ces gaspillages éhontés, année après année…
Vous le constatez, il y a matière à faire… des efforts « faciles » !
 
Attention aussi côté recette : Tout ce qui est pris aux uns par la puissance publique sera réintroduit au profit d’autrui dans les circuits économiques.
J’entends par là que toutes les dépenses évoquées ci-avant reviennent par « ruissellement » dans la poche des acteurs économiques (traitements, pensions publiques, frais connexes de fonctionnement, investissements aux entreprises et à leurs salariés qui les fabriquent) et que ça redevient de l’assiette taxable/imposable/redevable, cotisable.
Si la dépense disparaît où est réduite, c’est autant de moins qui ne reviendra pas et pour personne.
Ce qui réduira d’autant et le PIB et les « redistributions-sociales » (par ailleurs indispensables par bien des aspects qui appelleront des taux plus élevés pour se maintenir étales).
Même s’il faut aussi se convaincre que le « prélèvement obligatoire » n’est pas vraiment du PIB : Nous verrons ça une autre fois.
Vous le constatez, ce n’est donc pas si simple qu’on peut le présumer…
 
Notez que, on a déjà inventé – et depuis des décennies – les solutions.
Figurez-vous que vous les retrouvez dans les « niches » (fiscales, sociales) et qu’on en invente toujours plus.
100 milliards par an rien que pour les « dépenses fiscales » (leur nom officiel dans la nomenclature).
En quoi ça consiste ?
La puissance fiscale n’ayant pas les moyens de tout, elle consent une « ristourne » sous forme d’exonération (parfois temporaire, parfois définitive jusqu’à « changement & réforme  » : Pensez-donc, on doit en être à la dixième réforme de la construction depuis Méhaignerie, sans aucun résultat probant !), de crédit-d’impôt, de déductions ou une autre formule « attractive », au contribuable qui assume le risque de la dépense (investissements dans le DOM-TOM, dans la recherche, les zones-franches, frais de fonctionnement de la garde d’enfant ou d’adulte handicapé, etc. il y en a plus d’un millier jusque dans la création filmographique d’un intérêt culturel forcément « majeur »…).
 
Là, deux choses : Soit le rendement est finalement positif et c’est de l’assiette à taxe/impôt/cotisation/redevance supplémentaire (d’où une éventuelle baisse des taux à anticiper…) ; soit le rendement est négatif, et ça n’aura rien coûté au Trésor Public (opération « blanche ») et pas plus dans l’avenir.
En plus, et ce n’est pas la moindre de ses qualités, en redonnant la main aux contribuables qui s’y essayent rationnellement (mais aussi de façon « opportuniste »), on sait par la suite ce qui « ne marche pas » et ce qui est rentable pour la finance publique.
Presque magique !
 
Deux effets pervers : Les « niches » sont financées exclusivement par ceux qui n’y ont pas accès (paradoxal ? Non et j’explique) : Elles participent en effet à augmenter le taux des prélèvements obligatoires de tous, qui diminue à la marge pour ceux qui y ont accès, les ceux-ce qui en ont les moyens.
Un « truc » de « premier de cordée »…
Résultat, les « pôvres-sans-dent-qui-puent-la-clope-et-le-gasoil » resteront à jamais peu ou prou dans leur condition d’assisté !
C’est un effet pervers redoutable…
Deuxième effet : Plus le taux des prélèvements obligatoires est élevé, plus « la niche » est rentable.
Or, plus il y en a, plus l’assiette générale des prélèvements obligatoires se réduit, donc plus les taux augmentent, donc plus les « niches » sont rentables, etc…
C’est l’autre effet pervers redoutable…
 
Il y a bien sûr un moyen de se sortir de « ce piège-là ».
Vous connaissez mon point de vue : Il suffit de suspendre les effets de la « niche », qui ne disparaît pas pour autant (tellement elle est bénéfique pour l’économie et quelques contribuables avisés), ce qui a pour première conséquence de renflouer immédiatement les caisses courantes de l’État, afin de permettre de réduire les déficits (195 milliards à emprunter en 2019, c’est déjà programmé et on a même le calendrier des émissions à venir…), et donc, à « dépenses publiques égales », une réduction des taux de prélèvement obligatoire, réduisant le « bénéfice », le rendement et « l’attractivité » de la niche.
Simple, mais comment « on sort » de ce mécanisme ?
 
Tout simplement en générant un « avoir » du Trésor à valoir sur les impôts, taxes (et CSG-CRDS) sur cession, succession ou liquidation future.
Le Trésor est éternel, aucun contribuable, aucune entreprise ne l’est…
Et entre-temps, on constate une dette dans les comptes publics, mais une dette qui appartient non pas aux « banquiers et investisseurs exogènes » qui achètent la dette publique à chaque émission, mais aux citoyens qui « marchent » (à en crever) : Une « privatisation » de la dette nationale, tout simplement !
Les japonais sont les champions du monde de la dette « auto-détenue » et personne ne s’inquiète quant à la qualité de leur dette publique qui est pourtant deux fois supérieure à la vôtre…
 
L’effet est garanti et l’objectif est de remettre du « pognon dans votre assiette » en réduisant les taux de prélèvements obligatoires.
Réfléchissez : On a 1.000 milliards de dépenses publiques « obligées ». En « suspendant » seulement les effets des « 100 milliards » des « niches » (et les transformant en dette à valoir plus tard), c’est 10 % de plus, tout de suite pour les « plus pôvres ».
Et ça ne coûte qu’aux « premiers de cordées ».
Croyez-vous que nos « sachants » y songent ?
Absolument pas du tout, bien trop heureux de décider arbitrairement pour vous ce qui fait « votre bonheur » malgré vous.
Je note aussi de mon côté que c’est toutefois un peu plus compliqué que ça.
Mais j’avais promis de rester simple pour ce billet.
J’espère l’avoir été.
On y reviendra donc, plus tard.

6 commentaires:

  1. Dans ce cas il faudra repenser le système de fonds en combles car l'actuel est impossible à améliorer...
    Déjà pas de notion d'intérets ou totalement prohibés
    la monnaie ne peut etre une marchandise.
    Le système s'est emballé dès que les banques ont été autorisées à etre cotées! Durant les années 80 !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ca c'est ton point de vue DB.

      En fait, c'est très simple de réformer l'impôt lui-même et même les charges sociales, puisqu'il s'agit d'un taux sur une assiette.
      En revanche, c'est manifestement beaucoup plus difficile de réformer le mode de fonctionnement de l'Etat (les dépenses) tellement les "sachants" ont pris l'habitude de se mêler de tout et de n'importe quoi (jusqu'à l'usage et la diffusion des pailles dans ton verre...).
      D'ailleurs "Jupiter n'a même pas commencé ni même esquissé des solutions...
      Un "gros raté".
      Passons.

      Quant au loyer de l'argent, c'est aussi un point de vue qui en vaut un autre : Tu loues bien ton logement ou ta voiture (pas encore ton journal, mais ça va venir...) ta patinette ou ta chambre d'hôtel : Tout cela a une "valeur marchande" qui entre dans la fabrication du PIB.
      Si demain tu ne rémunère plus l'argent immobilisé (comme la liste ci-avant), tu ne finances plus rien, terminé, il n'y a plus d'activité !
      Tu auras l'aire malin tiens donc...

      Quant la machine à cash s'emballant dans les années 80, c'est le fait de "Mythe-errant" et de "Mort-Roy", des "purs-soces" à l'époque.
      Mais leurs délires n'ont été possible que parce qu'on a interdit à la Banque de France de refinancer la dette publique en direct depuis sous "Giskard-A-la-barre", alors même que "Mythe-errant" aura nationalisé lesdites banque pour rattraper le coup : souviens-toi !

      Bien à toi en attendant !

      I-Cube

      Supprimer
  2. Je parlais des prets initiaux, de monnaie créée par les banques ou les banques centrales.
    Absolument pas normal qu'il y ait des interets dessus.

    Ensuite cette simple concurence initiale va fatalement obliger des taux tres faibles ou mme négatifs entre privés !

    Et si une banque centrale est bien gérée et intialment tout le monde au meme niveau, il n'y aura aucun besoin de prets "privés" !

    Il faut bien penser d'abord l'utopie puis voir comment l'atteindre.
    Dès la naissance tout a chacun a des droits inaliénables comme droit à la vie, à la mener librement sans gener celle des autres!
    En cascade bases nourriture/abri/information/education/partitipation inaliénables donc c gratuits.
    Système actuel ça ne peut etre qu'au niveau de la création monétaire !
    Or elle est bouffée exclusivement par des intérêts privés et sur laquelle ils rajoutent des intérêts !!! ???? pourquoi?
    ça devrait etre totalement illégal !
    Au niveau de l'europe, la commission est devenue une courroie de transmission des "seuls" lobbies industriels et financiers !
    Ou est le peuple au niveau de la commission ??

    Quand à l'assemblée c'est pire que les nationales, la plupart des "partis" n'y envoient que les "colleurs d'affiche" pour les "récompenser" et trafiquer les indemnités reçues !!
    Ah que voilé une bonne idée l'europe pour lancer des élections SANS parti et mandat unique (DANS SA VIE) et meme tirage au sort des candidats dans chaque pays !

    L'europe veut survivre hé bien qu'elle fasse un effort !
    Ce sont les prochaines échéances .

    Dans chaque pays limiter les indemnités de la représentation à 1.2 salaire médiant.
    Un seul mandat ds chaque niveau (maire député président)
    Cas FR: supprimer communauté de commune, département, région ; ne restera que commune et pays (hélas qui ne collent pas encore avec les fake super-régions créées par hollande).
    En représentation; maire / plusieurs députés de pays / assemblée qui désigne un triumvirat de "présidents". Pas de partis !

    Peut-etre repenser l'idée de "commune" un autre mot pr désigner des groupes de moins de 1000personnes (ou un autre chiffre assez bas pr que les gens se connaissent assez!).

    Ensuite penser comment modifier l'actuel pr aller vers le suivant !

    Les freins : l'égo des gens au pouvoir et leur influence sur les corps de "répression" comm police / armée / justice / services secrets !
    En y pensant déjà dissoudre tous les corps inventés pr "réprimer" le citoyen sur internet et l'y surveiller.

    Regarde comme "ils" usent du prétexte GAFA pour ..... taxer internet ! Encore !!!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ca a toujours existé, entre particuliers et depuis l'antiquité.
      Même que la Torah, le Coran, la Bible l'interdisent ... entre croyants !
      Mais pas avec d'autres religions et nos Rois de France en ont usé et abusé auprès des banquiers feujs et huguenots.

      C'est la création monétaire qui te reste choquante : Tu prêtes de la monnaie qui n'existe pas et tu te rémunères sur du vent.
      Ceci dit, quand Lesseps creusait son canal de Suez, il a fait la tournée des foyers pour lever des fonds : Il lui a bien fallu lui promettre un dividende exactement sur le modèle des armateurs (assyriens et leurs successeurs...).
      Autrement dit les banquiers te présentent la "création monétaire" comme d'une anticipation de création de valeur ajoutée future, et ils n'ont pas tort.

      Quant aux banques centrales, depuis Keynes, elles sont devenues un outil de "gestion publique" : Les politiques économiques.
      Ca ne tourne pas assez, elles créent de la "relance". Ca tourne trop vite, elles restreignent l'accès à la monnaie et c'est la "rigueur".
      Ce sont ces effets de yoyos qui créent des bulles et des crises et la prochaine va être saignante pour chauffer depuis plusieurs années !!!

      L'Europe a bien sûr besoin d'une nouvelle approche, moins technocratique, plus politique et humaine que comptable, c'est clair.
      C'était le "bonus" qu'apportait "Jupiter", mais là encore, il ne va pas aller très loin.>
      Reste qu'entre ceux qui portent le message de sa prochaine destruction (Marinella-tchi-tchi et quelques autres) et ceux qui veulent une "harmonisation" sociale, fiscale, normative plus forte, c'est là qu'est le vrai combat, même si personne ne t'en parlera.

      Et pour ce qui est d'une nouvelle réforme des institutions et de leur représentants, bien naturellement, nous sommes d'accord.
      "Tagada-à-la-fraise-des-bois" nous a bien enflé avec sa réforme des régions, même si l'idée était bonne : Faire des communautés territoriale d'intérêt.
      Personnellement, j'aurai fait ça autour des bassins et des reliefs, des "frontières naturelles". Mais eux sont trop kon pour savoir lire une carte géographique...

      Quant à aller où, c'est très simple : La puissance publique démontre tous les jours son incompétence-crade mais se mêle de tout.
      Il faut redéfinir le rôle de chacun et basta !
      Ca roulera mieux en payant juste le strict nécessaire.

      Bien à toi : On se retrouve sur un nouveau post autour du PIB. Mais j'ai du mal à le faire ces jours-ci !

      I-Cube

      Supprimer
  3. Justement l'argument des banquiers est nul sur la création monétaire et principalment ce sont ces interets là qui créent les crises récurentes.
    Toute l'économie provient de ces 1ers prets.
    Tout interet posé dessus fatalement finira par pomper toutes les sommes au bout d'un certain temps (de 50ans à 1 siècle à peu près ou meme moins si taux trop élevés).
    De PLUS ces interets sont encaissés par des ingtérets "privés" et là ça deviend très grave car celà permets à une caste de dominer TOUTE la planète.

    Et c'est ce qu'il se passe !!

    Une caste de psychopathes depuis des millénaires dominent la planète et font des "resets" en massacrant via des guerres pour obliger à des dépenses de reconstruction et des traumatismes psychologiques assez grands pour provoquer une amnésie globale traumatique et ils continuent à ne pas etre repérés !

    Le reste sont des détails dépendant de cette première très grosse erreur !
    Corriger rien que ce point et on ... respirera !
    Là on a les moyens technologiques que les banques centrales gèrent directement des comptes individuels.

    Les autres banques ne pourraient etre que d'affaires à faire leur business UNIQUEMENT avec le pognon de leurs clients et sans pouvoir de création monétaire !

    Evident que l'état doit se détacher de notre vie, trop invasif pour l'instant !
    Et pas que lui; la plupart des boites ont accès a trop de fichiers nationaux.
    Sinon Vinci ne peut avoir les addresses ou envoyer des réclamations de paiement directement !
    Meme les garages ont accès au fichier des cartes de grise ! C'est dire !

    Pour les régions exemple "occitanie" qui englobe (tiens toi bien) "occitanie et catalogne partie française".
    J'étais a Perpignan qd ils créaient ces régions et dans les bars on te faisait baisser le ton dès que tu dis le mot "catalan"!
    celà va jusqu'au logo ou le symbole occitan "englobe" partiellement et légèrement plus grand le symbole catalan.
    La porte de catalogne sur la A9 est faite par une association et l'accès se faot via la N9 à 10kms de distance ! C'est dire que l'état n'en voulait pas.
    Car la catalogne est à cheval sur les 2 pays et fait peur aux deux !
    Alors que ce serait parfait pour l'europe.
    La super région occitanie est donc bancale et on le voit quotidiennement ; une foultitude de salaires confortables dont one voit fichtre pas l'utilité hormis que confidentiellement entre "initié.e.s" triés sur le volet par consanguinités politiques ou quasi "mafieuses" !

    Ces derniers temps suis vraiment en pétards voir tous toutes ces incapables se pavaner... ! Désolé...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Si tu veux pour la Catalogne.
      Mets aussi le Pays-Basque dans ton écuelle.
      Il reste les Pyrénées entre les deux "parties" de pays en sachant que longtemps la frontière entre l'Hispanie et la Gauloisie descendait jusque sur les contreforts de l'Occitanie.
      L'Histoire l'aura fait reculer jusque sur les cimes pyrénéens : C'est comme ça.
      Et tu peux étendre l'idée en Savoie et jusque sur le Comté de Nice...

      Les bases de données concernant les individus sont considérables et ouvertes à toute personne "habilitées".
      Depuis toujours.
      Figure-toi que tu n'imagines même pas l'étendue de ceux disponibles pour le fisc. Et alors quand ils croisent avec ceux des caisses d'assurances sociales, ça en devient "Big-Brother". Heureusement qu'ils n'exploitent pas tout ça en temps "t", faute de personnel.
      Mais avec l'IA, ils vont s'améliorer, ne t'en fais pas.

      Pour ce qui est du rôle des banques, essaye de mettre un peu en parallèle les 1 ou 2 % d'intérêt et la masse des crédits.
      On en est à 340 % du PIB mondial pour cette masse, en comptant l'endettement des entreprises et celui des particuliers (peut-être bien plus...).
      Si tu mets 2 % d'inflation, ça fait "intérêt nul"...
      Alors il faut savoir "garder-raison" et relativiser.

      Et puis souviens-toi que l'UE et la "Teutonnie" ont abandonné les intérêts sur les avances faites aux Grecs dans le cadre de leur plan de soutien.
      Note que c'est normal : Les Teutons ont fait deux fois faillite et on ne leur a rien demandé de dirimant, même après les bénéfices du plan Marshall (http://flibustier20260.blogspot.com/2015/01/pour-en-finir-avec-notre-semaine-grecque.html).

      Maintenant, il est clair également que s'endetter pour financer "la relance" au lieu que d'investir, c'est une konnerie éhontée.
      Mais que veux-tu, en "Gauloisie-ruinée", c'est "Mythe-errant" et "Mort-Roy" qui ont commencé, aveuglés par le dogme "soce" et les leçons des kénésiens (ces débilos).
      Depuis, personne n'a trouvé de solution pour s'en sortir sans tuer le peuple.
      Pourtant, je t'en propose une dans ce post.
      Et une très simple...

      Parce que tu auras noté, mais on verra ça dans un post ultérieur, c'est que quand la nation s'endette, ce sont les citoyens qui s'enrichissent (tous les citoyens) et ça se voit jusque dans la valeur actualisée de leurs patrimoine.
      Un effet de vases communicants que personne n'a mis en exergue jusque-là et qui n'a fait l'objet d'aucune étude sérieuse et "un peu scientifique".

      Il faut dire que c'est éminemment explosif : La dette publique est souscrite par des particuliers pour environ 40 % qu'on retrouve dans les assurances-vie.
      Les mêmes qui servent à payer les retraites et compléments de retraites individuelles à travers les SICAV et PEA.
      Et c'est surtout vrai aux USA et leurs "fonds de pension".
      Si on arrête ou bloque le système, des centaines de millions de personnes n'auront plus de pension de retraite.
      C'est d'ailleurs ce qui va arriver, mais on ne sait pas quand.
      Tu le vois, c'est très complexe...

      Bon week-end à toi : Je file !

      I-Cube

      Supprimer