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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 15 mars 2023

On arrive au bout de la réforme des régimes de retraites.

Il était temps…
 
Même si j’anticipe un peu : C’est demain qu’on va savoir son sort final. Personnellement, je vous avoue que je ne suis pas vraiment très intéressé. Paradoxalement, je me suis toujours persuadé, aidé autant par mes professeurs de droit que de sciences-pô, que jamais je n’y parviendrai.
 
D’ailleurs, toute ma vie aura été orientée dans cet optique : Disparaître, au seuil de la soixantaine. Brutalement, épuisé par autant d’épreuves à surmonter.
J’en ai même organisé toute ma vie familiale autour de cette certitude, car de toute les façons, je suis né dans « une famille de veuves », une tradition qui se reproduit de génération en génération, depuis des temps immémoriaux des générations et générations passées, de l’atavisme familial, quoi : Nos femmes nous épuisent bien plus rapidement que nous ne les épuisons.
Il n’y a pas de veuf parmi mes « nombreux cousins ». À l’exception d’un seul, tout neuf (l’exception qui confirme la règle… familiale). Et seulement une paire de célibataires endurcis qui dépassent ce seuil…
 
Quand j’ai pondu mon roman intitulé « Ultime récit » en 2017, le titre était une évidence : Il ne pouvait pas avoir de successeur parce que j’allais décéder, peut-être même avant de l’avoir terminé… (ma hantise du moment : J’aime bien finir ce que je commence.)
(I-Cube (l'exilé): Ultime récit : Chapitre zéro (flibustier20260.blogspot.com))
Et je ressortais de mon quatrième « accident-létal » qui a tant donné de fil à retordre à mon « Ange-gardien » :
(https://flibustier20260.blogspot.com/2015/11/hommages-mon-ange-gardien.html). Pourtant on m’avait dit jamais « deux sans trois »… encore une exception qui confirme la règle, même les plus débiles, mais jamais quatre.
Depuis, j’en ai rajouté un cinquième et attend avec impatience le sixième en espérant que ce soit le bon…
(I-Cube (l'exilé): Estives 2022 (4/4) (flibustier20260.blogspot.com))
Parce que toutes ces « rallonges » finissent par coûter une blinde à l’assurance maladie et même à mes caisses de retraites !
Quoique que je suis moins inquiet pour elles : Il faudrait que je sois plus que centenaire pour être « gagnant », récupérer de la « solidarité nationale » plus que je n’ai pu payer au fil du temps. Je ne sais plus : 105 ou 110 ans (selon les hypothèses de réévaluation).
Il y a donc encore beaucoup de marge…
 
Il n’empêche, mes trottoirs parigots sont encombrés par les ordures de mes voisins et tous les soirs on m’annonce des statistiques d’où il ressort que « Lili-Bête-Borgne » et « Jupiter » auraient tout faux dans l’opinion publique avec cette réforme-là. L’un s’en fout : Il ne peut pas encore se représenter et l’autre, bien usée par la vie, va atteindre l’âge de la mise au rencard dans trois ans, à pantoufler prématurément dans son « corps d’État » d’origine (les « ponts », pour avoir été « X » et être passée par « la préfectorale »).
 
Certes, ils ont « tout faux » et auraient dû sans tenir à la première version de 2017 et la retraite universelle « à points » et pas revenir à une réforme paramétrique qui ne règle rien du foutoir qui existe entre citoyens, les uns étant « plus égaux » que les autres pour des raisons de lâcheté électorale accumulées au fil du temps.
Qu’on en spécule konnement, à pleines pages et à longueur d’antenne, sur les « tactiques » politiques possibles offertes par les institutions et les opportunités pour faire passer le texte coûte que coûte, même s’il n’a ni queue ni tête.
 
Autrement dit, on refait la Révolution, pour le grand soir, tous les soirs au comptoir du bar !
La foule est dans la rue et la réforme ne passera pas.
Blocage, pays à l’arrêt, occupation, grève générale…, réforme des institutions qui supprimerait l’article 49.3, le 44 et pourquoi pas tous les autres dans le même élan !
C’est là toute la gloriole de la lutte sociale (et solidaire) qui est à l’affiche du psychodrame franchouillard qui se joue en ce Quintidi (cinquième jour) de la deuxième décade de ce mois de Ventôse de l’an 231 (comme en dit l’un des « hâbleurs » qui occupe le « PAF » [Paysage Audiovisuel de Gauloisie]).
 
Mais regardez plus précisément, s’il vous plait : Pendant que la « Gauloisie-parigote » et urbaine des « bobos-acéphales » en chie sous la pluie et sur leur trottinette électrique, qu’une partie est en RTT, que l’autre se crève les yeux sur l’écran de leur ordinateur à télé-travailler et rêve de guillotine et de tribunaux révolutionnaire, vous découvrirez peut-être que l’autre « Gauloisie-laborieuse », celle qui se lève tôt et ne renâcle pas à la tâche, se demande quand tout ce cirque va bien pouvoir cesser.
Impossible de commander et de se faire livrer « La Révolution pour les nuls » : Toutes les libraires sont en rupture de stock !
Il va donc falloir se rabattre sur #BlocusChallenge, la dernière web-série du député insoumis, le petit « Louison-Ah-Bois-Yard ».
Promis, on n’oubliera pas de cliquer sur le pouce bleu, juste pour le prendre à son propre piège, celui des « réseaux-sociaux » (qui n’ont rien de « social », ni de « socialiste », ni de « solidaire »), qui ne sont jamais qu’un réseau de plus destiné à « faire masse », plus gros qu’on est en réalité, histoire de se gonfler les chevilles et le melon !
D’ailleurs, il faut bien que les internautes amateurs gagnent leur vie, vu que ce n’est certainement pas avec son salaire de député que le benjamin de l’Assemblée peut s’acheter les baskets neuves qu’il ne porte de toute façon pas : C’est qu’il a aussi des frais à assumer.
 
Il est vrai qu’ailleurs il ne se passe pas grand-chose dans le monde pendant que les nostalgiques du suicide collectif sous acide de 1789 et des « Vacances du printemps » 1968 se montent le bourrichon en contemplant leur bonnet phrygien dans leur miroir…
Il ne se passe en effet pas grand-chose en Ukraine, presque rien en Afrique, c’est calme plat en Asie centrale, et la mer de Chine est une mer d’huile.
Il ne se passe rien dans les labos de recherche expérimentaux ni dans les bureaux d’études fallacieuses et encore moins dans le monde virtuel des cryptomonnaies, qui génère tout de même de « vraies faillites » !
Ce n’est pas du tout comme si la planète n’était pas en train de se transformer à toute vitesse.
 
C’est qu’en « Gauloisie-de-la-gaudriole », on préfère parler des vrais problèmes sans même tenter d’y apporter des solutions : C’est plus facile quand on est né « grande-gueule » et qu’on ne sait même pas être drôle pour n’avoir rien dans le falzard ni dans le cerveau.
On préfère se concentrer sur les priorités, comme l’âge de la retraire quand on est collégien ou retraité, ou sur l’avortement quand on est un homme, vous voyez, ce genre de choses…
 
Au fait, peut-on participer à « #BlocusChallenge » quand on est encore à la crèche ?
J’imagine que oui, puisque que quand on est collégienne avec des couettes, on se fait applaudir en insultant les puissants de ce monde… un môme de 3 ans sur le perchoir de l’Assemblée pointant la représentation nationale du doigt en zozotant « dis, monsieur, pourquoi tu as fait bobo à ma retraite ? Comment oses-tu ? » ça doit le faire, non ?
« Gratte-la-Thune-Berg » s’est bien fait une réputation mondiale et même internationale (en plus) quand elle a « twisté » en juin 2018 pour annoncer la fin de l’Humanité en 2023 si on n’arrêtait pas immédiatement l’utilisation des énergies fossiles…
Bon le « twist » a disparu depuis, et le site (gritpost.com) qui le relayait également.
Quant à l’Humanité, elle n’a jamais été aussi nombreuse et la planète continue de tourner comme par magie.
Ce qui est vraiment kon, dans cet épisode-là, c’est qu’après avoir terrorisé les populations avec cette échéance d’une bêtise assez rare et spectaculaire, ce sont les conséquences dramatiques au regard des sommes astronomiques dépensées et gaspillées pendant que d’autres secteurs de la vie avaient tellement besoin de cet argent…
Passons, passons !
 
Pendant que tous ces révolutionnaires en carton-maché font sortir des lapins de leur chapeau, la planète Terre effectue une vraie révolution : une rotation complète autour de son axe en un peu moins de 24 heures.
Et finalement, quand on vous annonce un, voire deux millions, peu importe, de Gauloisiens défilant dans les rues, ça veut dire qu’il y en a 64 à 65 qui ne défilent pas !
Disons même 44 millions d’adultes qui votent et ne se déplacent même pas…
Dans ces conditions, où sont les majorités démocratiques ?
La majorité, la vraie, reste donc silencieuse.
Elle ne fait pas de bruit.
Elle bosse et elle cotise.
Quand il fait bon vivre, elle se dore la pilule au soleil.
Elle n’embête personne tant qu’on ne l’embête pas.
Mais malheur si on vient la chercher, elle s’habille alors en jaune, crie « Ne me marche pas dessus ! » et elle se met, elle, à semer vraiment le bazar partout dans le pays.
Et là, ça change tout.
Mais on ne l’entend pas sur les retraites : Curieux, non ?
 
Plus de 90 % des « Gauloisiens » gagnent moins de 4.000 boules par mois. 4.000 euros par mois, c’est moins que le salaire minimum en « Helvétie » qu’aucune « convention collective » ne s’est permise de fixer d’autorité.
Je ne vous ferai pas l’injure d’aller chercher le salaire moyen au Grand-Duché du Luxembourg ou au Lichtenstein…
Un élève médecin ou ingénieur chez nous a quasiment la certitude de gagner moins qu’un plombier expérimenté.
Il a surtout la totale certitude de gagner bien moins qu’un petit dealer de « no-go-zone » qui fera la gloire de nos sites olympiques.
 
Alors certes, 10 % de « Gauloisiens » gagnent plus de 4.000 euros : Les « riches » (selon le critère de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » qui en gagne à peu près un peu plus, désormais, dans sa retraite dorée), ceux qui ont des montagnes d’or dans leur placard et chez qui on peut aller se servir à volonté, n’est-ce pas…
Certes !
Mais ils ne sont que 10 %. Et 10 % ça ne fait pas beaucoup pour beaucoup… selon la théorie des vases communicants de la mécanique des fluides mis en évidence par les Romains antiques !
Il n’y a vraiment que des lessivés du cerveau, ceux qui croient qu’un pays où quasiment tout le monde gagne à peine de quoi survivre est une grande puissance mondiale que le monde entier nous envie : Il faudrait les soigner !
 
En fait, la majorité est silencieuse et n’en a absolument rien à faire du système et de la politique.
Tant qu’on ne lui marche pas sur les pieds.
Elle vit avec le système.
Elle fait avec le système.
Quand ça ne lui plaît pas, elle se débrouille.
Ça se passe toujours comme ça dans tous les pays communistes (même ceux qui s’ignore l’être) : On répare les vieilles voitures et on travaille au noir.
 
Si une immense majorité était contre la réforme de la pitoyable aumône au prétexte de laquelle ils auraient été rackettés toute leur vie, cette même majorité est loin d’être prête à apporter son soutien aux clowns collectivistes qui les ont mis dans cette situation absurde.
Ils ont été sept millions à voter « Mes-Luches » au premier tour de la dernière élection présidentielle, soit 15,8 % des inscrits, qui ont d’ailleurs quasiment tous voté pour « Jupiter » au second tour.
Pourtant le mouvement de défiance dépasse plus que très largement la gôche : Plus de 70 % des sondés sont contre la réforme.
Il n’a également rien à voir avec la droâte dont une partie, par réflexe pavlovien anti-gôche, soutient le gouvernement et dont l’autre ne pense qu’à passer entre les gouttes et à ne pas faire de vagues d’ici la prochaine élection présidentielle.
 
Tous les partis confondus, droâte, gôche, centre-mou, tout comme tous les syndicats, seraient très mal inspirés de penser que les « Gauloisiens » sont opposés à la réforme parce qu’ils supportent le système actuel et qu’ils sont prêts à se battre pour le conserver.
La preuve seulement 34 % des personnes interrogées lors des derniers sondages pensent que la réforme sera retirée.
Ça fait quand même un sacré nombre, 66 % (proche des 70 % ci-avant) qui sont assez lucides pour ne se faire aucune illusion.
Ça fait surtout un sacré nombre de « silencieux », de ces « classes moyennes » qui ont disparu, comme « diluée », par nivellement par le bas et par le haut au fil du temps et des « réformes de tout », et globalement aucunement représentés par aucun parti politique que ce soit, ni par un syndicat quelconque.
 
Si on ajoute à cela qu’une bonne moitié de la population se dit très en colère au sujet de la politique économique et sociale du gouvernement, il y a de très fortes probabilités que derrière le baroud d’honneur des syndicalistes et des gôchistes nostalgiques des soixante ans et des 35 heures, se cache un mouvement de grogne totalement différent, voire à l’opposé des refrains tenus par tous les partis représentés au Parlement.
De plus en plus de gens savent comment vivent certains de nos voisins : Ils ont accès à Internet et à ses traducteurs automatiques (parce que bon, en langues vivantes étrangères, même en anglais, ils sont dans l’ensemble assez nuls pour se perdre irrémédiablement n’importe où, tellement ils ont eu des enseignants gonflés aux dogmes de l’égalité pour tous et en tout… les « nivellements » signalés ci-avant).
 
Et pour revenir au sujet des retraites, ils sont nombreux à comprendre qu’une retraite différente, celle refusée par « Tonton Yoyo » avec la loi Thomas abrogée sans même avoir été discutée alors qu’elle avait été votée en première lecture, par capitalisation de ce qui vous appartient, ne vous place pas sous la menace permanente de voir de petits malins changer les règles du jeu tous les quatre matins, quand ça les arrange et pour que ça les arrange, parce qu’ils ont loupé tous les trains et métros qui se présentaient.
C’est ce à quoi sert leur étatisme : Ruiner autrui pour mieux s’enrichir !
Pôv’ kouillon que voilà…
Une armée de ratés !
Résidus de bidet, aurait dit ma « Môman » qui n’était parfois pas tendre…
Bon, il faut savoir à quoi servait un bidet… encore une chose qui aura disparu avalée par le « progrès de la civilisation » en marche et que personne ne pleure plus.
 
Et c’est sans parler de ce qu’on daigne gracieusement vous octroyer en fin de compte, comparé à ce qui vous a été racketté toute votre vie.
C’est un peu ce que j’ai compris dès la fin de ma vie d’étudiant (en droit et finance).
Je m’en félicite aujourd’hui, même si ça me fait payer beaucoup d’impôts, en me disant qu’après moâ, ça restera à ma « Nichée », au moins en partie !
Et le plus tôt pourrait être le mieux pour elle : C’est un « calcul » difficile entre son « affect » et sa vie matérielle présente et ses difficultés quotidiennes…
Mais c’est prévu comme ça.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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