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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 31 mars 2023

Les dernières de Jean-Marc

Ou quand il revient nous bassiner…
 
Le téléphone sonne.
La secrétaire répond puis se tourne vers son patron :
« ― Monsieur, je pense que cet appel est peut-être pour vous.
― Comment ça « peut-être » ? Cet appel est-il pour moi, oui ou non ?
― Je pense bien. Le type en ligne demande à parler au gros connard qui dirige notre entreprise ! »
 
Une « revenue »… rapidement :
Un jeune homme plutôt timide s’enhardit un beau matin et s’en va demander la main de sa fille à un père plutôt grincheux.
« Ah ! Ça jamais ! » répond le père. « Je ne veux pas voir ma fille gâcher sa vie auprès d’un imbécile ! »
Alors, le jeune homme rougissant, bafouille :
« Moi non plus, monsieur c’est justement pourquoi j’étais venu vous demander sa main. »
Restée inchangée…
 
Une autre :
Mariée depuis trois ans, Marie-Geneviève n’a pas d’enfants.
Inquiète, elle se rend chez son gynécologue.
« Déshabillez-vous et couchez-vous sur ce divan » dit le docteur.
« C’est que… docteur, pour mon premier, je préférerais tout de même qu’il soit de mon mari ! »
Il en a d’autres plus drôles…
 
Jean-Marc, en pleine activité laborieuse, entre dans un bar à 14 heures et remarque tout de suite une très belle grande blonde assise au comptoir.
En se commandant une bière, il s’approche de la fille et lui demande :
« Qu’est-ce qu’une belle fille comme toi fait dans un bar par un beau temps pareil ? »
Et la jeune femme de répondre :
« Quinze cent à deux mille euros par semaine. »
 
Jean-Marc entre dans restaurant, s’assied à une table libre et commande à la serveuse une entrecôte cuite à l’unilatéral seulement sur le dessus et un demi.
La serveuse s’empresse de passer commande à la cuisine et lui apporte sa chope.
La clochette sonne, elle file apporter son assiette à son client qui est manifestement pressé, le côté grillé en dessous.
Jean-Marc lui dit alors :
« ― Je vous demandé une entrecôte rôti » sur le dessus et vous me l’apportez rôtie en dessous.
― Je vais vous en apporter une autre. »
Jean-Marc réplique :
« Laissez tomber : Je vais la manger à l’envers ».
 
Jean-Marc et Jean-Paul, après une dure journée de manifestation se rincent la gorge chacun devant une bière et devise à la table d’un café.
« ― Quelle différence y a-t-il entre un crocodile et un alligator ?
― Tu me l’as déjà faite !
― Et alors ? C’est quoi ?
― Y’en a pas, c’est caïman la même chose… »
 
C’est l’histoire d’une religieuse anglaise qui débarque à Montréal et demande au premier passant venu :
« Do you speak english ? »
Et l’autre de répondre :
« Yes sœur ! »
 
Un petit garçon entre dans la salle de bain et surprend sa mère qui prend sa douche.
« Maman, mais qu’est-ce que tu as là entre les jambes. »
Elle lui répond un peu confuse :
« Ah, çà c’est mon éponge ! »
Il repart tout bonnement.
Une dizaine de minutes plus tard, il entre dans la maison et dit à sa mère :
« Maman, me passerais-tu ton éponge pour laver mon bicycle dehors ? »
Elle lui répond :
« Mon éponge, je ne l’ai plus, je l’ai perdue. »
Et le gamin s’en retourne jouer dehors.
Environ une heure plus tard il arrive en courant dans la maison et tout content dit à sa mère :
« ― Maman, maman j’ai trouvé ton éponge !
― Ah oui ! tu as trouvé mon éponge, et où est-elle ? »
Il lui répond tout fier :
« C’est la femme de ménage qui l’a dans le garage et elle lave la figure de papa avec »
 
C’est l’histoire de deux championnes suédoises (c’est important qu’elles soient suédoises) qui s’entraînent sur un terrain d’athlétisme.
Après une course de fond, celle des deux que la nature a le plus généreusement avantagée dit à l’autre :
« Pas de chance ! J’aurais dû battre mon record, mais sur la fin mes seins ont perdu le rythme. »
 
Le médecin demande à une patiente de se déshabiller. 
« ― Mais, docteur, votre remplaçant que j’ai consulté la semaine dernière m’a trouvé très en forme !
― Justement… Il me l’a dit ! »
Je vous avais prévenu qu’il en avait d’autres…
 
Une classique qui revient régulièrement :
Dans un collège catholique sous contrat, le prof de biologie fait passer un examen oral à ses élèves.
Il invite Marie-Nathalie au tableau.
« Mademoiselle, quel est l’organe du corps humain qui, dans certaines conditions, peut multiplier sa taille par six ? »
Rouge comme une tomate, Marie-Nathalie répond :
« ― Monsieur, je ne crois pas que ce soit la question la plus appropriée à poser à une jeune fille… Croyez-moi, je vais en parler à mes parents. 
― Bon… Qui a la réponse ?
― C’est la pupille de l’œil dans la lumière ! » dit Jean-Sébastien.
« Très bien ! Quant à vous, Marie-Nathalie, laissez-moi vous dire trois choses : Premièrement, vous n’avez pas appris votre leçon ; deuxièmement, vous avez l’esprit mal placé et, troisièmement, préparez-vous à la plus grande désillusion de votre vie. »
Dans l’originale, le prof’ explique qu’il sera ravi de rencontrer les parents de son élève pour leur dire ces trois vérités.
 
Encore une, mais qui vient de plus loin dans le passé :
C’est l’histoire d’une mère achète un perroquet pour ses deux jeunes filles.
À l’animalerie, on lui propose un spécimen extraordinaire à un très bas prix : 200,00 €.
« ― C’est que », lui dit le vendeur, « il a été élevé dans un bordel et qu’il est très malappris. Il a un vocabulaire épouvantable et les gens nous le retournent.
― Pas de problème. Je vais lui apprendre un langage poli.
― D’accord. Dans un sens, vous avez raison car il est vraiment très beau. »
Une fois à la maison, elle installa la cage dans le salon.
Coco, tel est son nom, dit alors…
« Nouvelle maison, nouveau Bordel. »
La femme se dit que ce n’est pas grave et qu’il va se corriger.
Les deux petites filles arrivent donc au salon et coco s’exclame :
« Deux nouvelles p’tites putes, deux nouvelles p’tites putes. »
La mère, confuse explique à ses filles que le perroquet vient d’un bordel et que son langage fleuri va se corriger au jour le jour.
Sur ce, son mari Jean-Robert, arrive à la maison.
Quand le perroquet l’aperçoit depuis le salon, il lance…
« Nouveau bordel, nouvelles p’tites putes, mais toujours ce bon vieux Jean-Robert… »
Dans l’originale, c’était Bernadette qui achète le perroquet au marché aux fleurs installé en face de la Mairie et l’installe dans ses appartements à la mairie de « Paris-sur-la-Seine ». Et quand le perroquet aperçoit « Le Chi » il s’exclame : « Tiens, Jacquot est de retour ! »
C’est vous dire si elle date d’un autre millénaire, cette histoire-là !
 
C’est l’histoire du corbeau, sur un arbre perché, qui est là à ne rien faire de toute la journée.
Un petit lapin repère le corbeau et lui demande :
« ― Moi aussi, j’aimerais m’asseoir comme toi, et ne rien faire de toute la journée…
― Bien sûr, pourquoi ne pourrais-tu pas ? »
Le lapin s’assoit alors par terre sous l’arbre et reste là à se reposer.
Quand tout à coup, un renard apparaît, se jette sur le lapin et le dévore.
Moralité de cette fable que n’a pas vu Jean-de-la-Fontaine :
« Si vous voulez rester assis à ne rien faire, mieux vaut être très haut placé. »
 
Histoires de mômes :
Quand Margaux a su nager, je lui dis :
« C’est formidable, nous allons enfin pouvoir aller à la piscine »,
Elle me répondit aussitôt :
« Maman, je sais nager, mais je ne sais pas conduire ! »
(Margaux 5 ans)
 
La grand’mère vient de mourir et tout le monde est triste.
Claire va voir son grand-père avec un grand sourire et lui dit :
« T’as tellement de chance toi ! T’es si vieux que tu vas mourir bientôt et tu seras le premier à la voir. »
(Claire 5 ans)
 
« Où j’étais quand j’étais pas né ? » demande Jean-Pierre à sa maman.
« ― Tu étais dans mon ventre.
― Et où j’étais avant d’être dans ton ventre ?
― Eh bien tu étais dans ma tête.
― Et tu pouvais réfléchir quand même ? »
(Jean-Pierre 4 ans)
 
« ― S’il te plait, maman, je voudrais une petite sœur.
― Mais, chérie, papa ne veut pas maintenant.
― On n’a qu’à lui faire la surprise… »
(Marie 6 ans)
 
Jean-Guillaume dit à son Papa :
« Papa, quand je vais être grand, je veux te ressembler, mais avec des muscles. »
(Jean-Guillaume 3 ans)
 
Un jour, un citron entre dans une banque afin d’y commettre un vol.
Tout en braquant son revolver, il s’adresse à la caissière comme suit :
« Pas un zeste, je suis pressé ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une autre bière :
« ― Quel est le comble pour un dentiste ?
― Tu radotes de plus en plus : Tu me l’as déjà faite !
― Alors ? C’est quoi ?
― C’est faire une prothèse pour une bouche de métro ! »
 
C’est l’histoire des deux chasseurs qui sont dans les bois quand l'un d'eux s’effondre tout à coup.
Il ne semble pas respirer, ses yeux sont révulsés.
L’autre chasseur sort son téléphone portable et appelle les urgences.
Haletant, il dit à l'opérateur :
« Mon ami est mort ! Qu’est-ce que je peux faire ? Qu’est-ce que je peux faire ? »
L’opérateur, d’une voix calme et apaisante, lui dit :
« Calmez-vous. Je peux vous aider. D’abord, assurons-nous qu’il est bien mort. »
Il y a un silence au bout de la ligne.
Puis un coup de feu est entendu.
Le chasseur reprend alors le téléphone et dit : « OK, et maintenant ? »
 
Une dernière « revenue » et « adaptée » :
C’est l’histoire d’un petit garçon arrive à l’école un bon lundi matin tout souriant.
Le professeur lui demande :
« Jean-Jacques tu es bien de bonne humeur ce matin, qu’est-ce qui t’arrive ? » Jean-Jacques lui répond :
« ― C’est que ma chatte vendredi soir elle a eu cinq petits chattons.
― Cinq ?
― Oui, et tous des petits macronistes ».
Le professeur étant lui-même un électeur de « Jupiter » lui dit :
« Écoute Jean-Jacques, la semaine prochaine M. l’inspecteur va passer et tu lui raconteras çà. »
Comme prévu la semaine suivante l’inspecteur arrive, il adresse quelques mots aux enfants et demande ensuite si quelqu’un avait des questions.
Le professeur lui dit :
« Je crois que Jean-Jacques a quelques choses à vous raconter. Jean-Jacques, tu veux raconter à M. l’inspecteur ce que tu nous as dit la semaine dernière. » Jean-Jacques se lève et commence :
« Eh bien M. l’inspecteur, il y a une dizaine de jours ma chatte a eu cinq petits chattons, tous des petits cégétistes. »
Le professeur très déçu lui dit :
« Mais ce n’est pas çà que tu nous as dit la semaine dernière, tu as dit que c’était tous des petits macronistes ! »
Et le petit garçon de répondre :
« Oui mais maintenant, ils ont ouvert les yeux et ils voient clairs. »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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