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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 22 mars 2023

Ils sont merveilleux !

Fin des moteurs thermiques suspendue…
 
Franchement, ils me font vraiment rire aux éclats !
Ils étaient pourtant tous unanimes à pourrir la vie aux automobilistes de leur pays.
Rouler en bagnole, c’était trop polluant pour la planète. Et à défaut de faire tourner nos chignoles au ketchup ou au gazogène, on devait tous passer à l’électrique intégral, faisant le bonheur « d’Élan-Must » et ses « ordinateurs montés sur roues » plus quelques chinois capables de saccager la planète pour fournir des batteries au lithium.
Parce que bon, les vieilles bonnes piles au plomb et au chlore, ce n’est pas non plus des plus soft pour la planète…
Et quand on est « écololo », quoi de mieux que de proposer « d’interdire » ?
Ils ne savent faire que ça et bientôt, on sera interdit de bouffer de la vache, de baiser entre hétéros de peur de se reproduire, de pisser ailleurs que sous la douche…
 
Il faut dire qu’ils sont « sapités[1] » par des « sachants » autistes et trisomiques dont c’est le métier que de pondre des « interdits ».
D’ailleurs ce sont les mêmes qui trouveraient plus simple de, non pas interdire, mais de permettre.
Et c’est justement ce vers quoi on dérive à longueur de temps : « Permis de… », « permission de… », « Licence de… » même jusqu’à la IV pour les débits de boisson.
En effet, plus on permet, moins on interdit, vous avancera-t-on.
Or, dans un régime de « permis » (de polluer, de râler, de défiler…), tout ce qui ne l’est pas est de facto interdit. Hors la loi…
Autrement dit, c’est le trait commun de toutes les dictatures, sans exception.
Alors que dans un régime « libéral », au contraire, tout ce qui n’est pas interdit est permis, même quand les « interdits » se multiplient…
Bon, passons : C’est hors sujet !
 
Pour y revenir, la manœuvre apparaît de plus en plus sous sa vicieuse nudité, à peine fardée de quelques artifices.
On part de l’idée de la finitude des choses. Et au lieu d’envisager sérieusement le recyclage, on pose les bornes de « l’indépassable ». En douce, sans rien dire.
On commence avec le rapport du MIT au « Club de Rome » dans les années 70 (de l’autre millénaire) qui tire des droites et des courbes pour estimer que nos croissances économiques sont insoutenables.
Absolument comme un Malthus ressuscité. Mathématiquement, ils ont forcément raison à un moment ou à un autre.
Même si on sait que Malthus avait totalement tort et alors que nous entrons dans une phase de transition démographique qui s’accélère sous nos yeux.
Peu leur importe…
 
Et puis on fout la peur panique à tout le monde avec la couche d’ozone : Un essai, parce qu’il y ait ou non de l’ozone dans la stratosphère, ça ne change pas grand-chose car le problème, c’est son trou qui se creuse aux pôles où il n’y a pas grand monde pour admirer les aurores boréales et australes.
Mais on fait croire qu’on va tous griller sous les ardents rayons solaires…
On n’avait tout simplement pas encore inventé le « Conatd-virus » !
Le pire, c’est que ça fonctionne parfaitement et les industriels sont sommés de réviser les processus de refroidissement de leur machines.
 
Ça a tellement bien marché qu’on refait le coup avec le « réchauffement climatique ».
C’est d’autant plus facile qu’il est indéniable, même s’il reste « léger comme une plume » et qu’il est possiblement le résultat de causes naturelles qui existent et fluctuent depuis la nuit des temps.
Mais peu importe : On nous prend l’exemple de la planète Vénus et de son enfer à plusieurs centaines de degré, d’une atmosphère saturée de gaz carbonique.
Vénus c’est plus de 90 % de CO2. Notre planète bleue, c’est 400 ppm ! Énorme n’est-ce pas !!!
Pas du tout : C’est seulement 0,04 %, très loin de notre sœur jumelle du cosmos proche.
 
Qu’à cela tienne, on nous invente « l’effet de serre ». Globalement ça correspond à un couvercle qui empêche la chaleur de s’échapper dans le cosmos. Chaleur qui est renvoyée au sol.
Pour l’heure, je n’ai pas encore vu une seule étude qui me raconte que la planète reçoit plus de chaleur qu’elle ne peut en évacuer, mais passons.
Et on impute ce mécanisme aux émissions de CO2 de nos voitures, camions, bus, assez peu à nos usines, qui filerait en altitude et rien du tout à nos avions…
Là encore, personne n’est capable de m’expliquer qu’un gaz plus dense que l’air, plus lourd, ne pense qu’à une chose c’est d’aller former un « bouclier » thermique « à effet de serre » en très haute altitude !
À ce régime-là, tous les navires devraient couler dès leur mise à l’eau, aucune montgolfière ne pourraient s’envoler et l’ami Archimède devrait recevoir un bonnet d’âne en or !
 
En réalité, tout le monde sait qu’il fait plus doux sous les nuages, qui sont le véritable « bouclier » à effet de serre de la planète.
Or, plus il y en a plus, plus la planète chauffe et plus l’évaporation des mers et océans est important, formant des nuées plus épaisses…
Exactement comme sur Vénus, d’ailleurs. Même s’il est probable que la planète opaque ait une activité volcanique que nous n’avons pas aussi développée qui aura précipité son réchauffement : Je rappelle qu’il n’y a aucune voiture polluante sur Vénus…
Mais, « miracle » on met ça sur le dos du CO2 de nos voitures et industries qui reste un poison respiratoire sans odeur dans les caves de vinification…
Et là encore, ça fonctionne !!!
 
Ultime étape, on paye une palanquée de « sachants » qui affirment que les choses s’aggravent quand on compare à ce qu’on suppose savoir des dernières centaines de millions d’années qui ont vu le taux de CO2 atmosphérique s’effondrer depuis au détriment des plantes et des cyanobactéries…
Que justement quand on est « écololos » anti-nucléaire, parce qu’on est né avec la peur au ventre de se faire irradier « par accident », mais pas du tout chez son dentiste et son installation obsolète, ou chez les radiologues qui arrivent même à t’injecter des particules d’antimatières dans le sang (que tu as intérêt à aller polluer fissa la nappe phréatique en pissant tout ce que tu sais pour ne pas garder leurs « crottes » trop longtemps dans tes délicats organes qui n’apprécient pas du tout ce genre de délire), relayent, à coup de subventions et d’études scientifiques subventionnées et « corsetées » (il t’est interdit de dire le contraire de ce qu’ils avancent, parce que tu n’es qu’un étron qui n’aurait même pas dû naître…) le message du, premièrement, le principe du « pollueur-payeur », deuxièmement, « pollueur-saccageur » de l’avenir.
 
Oui parce qu’au bout d’un moment, on s’est rendu compte que le payeur final, ce n’est pas le pollueur, mais bien celui qui consomme le produit du pollueur. Et que finalement personne n’a de moyens illimités.
 
Donc, au final, on t’invente la « mobilité douce » autrement dit électrique !
Ah oui, mais c’est tarte ça : On ne sait pas faire d’électricité sans polluer.
Bon en fermant les yeux, on affirme que le vent, ça ne pollue pas. Et ça fonctionne.
Comme ça coûte cher et que c’est un véritable saccage de la nature, on subventionne à mort des installations qui ne seront jamais rentables, ne serait-ce que pour se rembourser elles-mêmes le temps passant.
Durée de vie : À peine 10 ans, durée d’amortissement financier entre 15 et 20 ans.
D’autant que ce n’est pas « pilotable »… La cagade, quoi !
 
Et puis il y a le solaire, qui artificialise des surfaces agricoles dont on détourne les cultures de nourriture pour faire des « bio-carburants », quitte à faire crever des « sans-dents » loin de nos frontières (qu’on s’étonne encore qu’ils tentent coûte que coûte de venir survivre chez nous…).
Et l’hydrologique, sauf qu’on exploite déjà tous les sites et que ça provoque l’épuisement de nos rivières et des faunes et flores locales, mais passons.
Bref, miracle, il ne reste plus que le nucléaire.
 
Et c’est là que le dernier miracle opère : Pour anticiper, l’UE te nous invente des normes, critères et politiques du zéro carbone auxquelles tout le monde adhère en applaudissant. Au moins l’Europe, ça sert à quelque chose d’utile…
Sauf que les « écololos » antinucléaires doivent se reconvertir et que de toute façon, on se rend compte qu’on ne peut pas changer de modèle industriel, notamment dans les « mobilités » aussi facilement qu’en claquant dans les doigts.
Y’a pas de « Y’a-qu’a », « faut qu’on » qui tienne : Ça demande du temps, une bonne génération, au moins autant que quand on est passé de la navigation à voile à la vapeur, puis de la vapeur au fioul lourd, puis du fioul au gaz qui te refait de la vapeur non pas dans des chaudières mais dans des turbines.
 
Bon, les avions, on en parle à peine : Les projets se font dessiner mais restent dans les cartons, tellement on en reste au stade des expérimentations…
Parce que faire de la vapeur avec des turboréacteurs (ils ne font jamais que ça, ces beaux nuages blancs et rectilignes qui signalent leur passage dans l’azur), sauf qu’elle est perdue en haute altitude à faire écran au soleil et au rayonnement renvoyé par les sols…
 
Dans la panique du moment, quand on se rend compte de l’étendue du problème, les « sinistres des Transports » de huit pays européens se réunissent récemment, le 13 mars 2023 pour être exact.
Allemagne, République tchèque, Pologne, Italie, Roumanie, et Slovaquie… désormais s’opposent à l’interdiction de la vente de voitures neuves à moteur thermique en 2035 décidée préalablement dans « l’urgence climatique ».
Moâ, ça me fait rire : Mon veaux diesel est encore bon pour 100.000 kilomètres, mais pas en Europe. Seulement en Afrique où il fera une seconde carrière pour le plus grand bien de la savane et des autochtones !
 
Cette imposition de fait des véhicules électriques avait pourtant fait l’objet en octobre d’un accord entre États membres et les élus du Parlement européen, et a été formellement approuvée mi-février par les eurodéputés.
Pof, un mois plus tard, l’euphorie « écololo » retombée, la « Teutonnie » a bloqué un vote censé relever de la formalité.
Et, dans son sillage, sept autres pays européens s’opposent désormais à cette interdiction.
 
Et de justifier, par un « sinistre minoritaire » cette décision par un : « Nous avons clairement dit que nous attendons une proposition de la Commission européenne pour voir comment les carburants synthétiques pourront être utilisés dans les voitures après 2035 », a dit le « sinistre des Transports teuton », comme pour justifier cette volte-face. « Nous avons besoin de ces carburants de synthèse car il n’existe pas d’alternative afin d’opérer notre flotte (de voitures) de manière climatiquement neutre », a-t-il même précisé dans le quotidien britannique The Financial Times.
Fameux…
(Ah tiens, ils sont encore européens, les britanniques ? Je suis surpris, mais bon…)
 
La technologie des carburants de synthèse, encore en développement, est notamment défendue par des constructeurs haut de gamme Teutons : Elle leur permettrait de prolonger lutilisation des moteurs thermiques.
Et l’industrie automobile allemande est très puissante : Elle procure plein de travail à leurs esclaves-électeurs.
Un exemple : Ce pays « possède plus de 25 % des parts du marché automobile européen et près de 50 % des voitures en Europe sont de marque allemande », selon la Chambre de commerce et d’industrie « Gauloisie-Teutonnie ».
Les « ritaux » avaient obtenus de ne pas être concernée pour leurs « super-cars » de niche à « ultra-riche », à condition d’avoir des éditions limitées de leur modèle.
Mais ça ne fonctionne pas pour les usines teutonnes, qui inondent le monde de leurs « tas-de-boue-à-roulettes ».
 
Naturellement, il y a aussi une question de politique, derrière cette volte-face : Le « sinistre » concerné est un membre du parti libéral-démocrate, le FDP, plus petit membre de la coalition gouvernementale au pouvoir. Or, le FDP a subi une sèche défaite électorale lors d’élections régionales organisées à Berlin en février : 4,6 % des suffrages exprimés seulement.
« Les libéraux, qui se sentent actuellement menacés politiquement, veulent profiter de ce dossier pour s’autoproclamer comme les défenseurs de la puissante industrie automobile allemande », explique un de nos « journaleux » émigré outre-Rhin.
 
Même son de cloche du côté de la « ritalie » qui embraye le pas. « Nous devons défendre notre industrie automobile », a dit le « sinistre des Affaires étrangères », à la mi-février, dans des propos rapportés par l’agence de presse Reuters.
De l’autre côté des Alpes, cette industrie est, elle aussi, importante avec des constructeurs automobiles et des sous-traitants.
Ce secteur emploie 168.000 personnes et pèse 54,3 milliards d’euros de chiffre d’affaires, selon des chiffres cités par un autre « journaleux ».
 
Les autres pays qui s’opposent à l’interdiction européenne comptent eux aussi de nombreux sous-traitants automobiles, et donc de nombreux emplois, sur leurs sols.
En Pologne, l’automobile est par exemple le deuxième secteur industriel, avec plus de 180.000 emplois. Il représente environ 8 % du produit intérieur brut.
Autre exemple, la Slovaquie abrite une importante usine du constructeur Sud-coréen Kia, qui couvre « près de 47 % de la demande européenne » de l’entreprise. D’autres de ces pays comptent des constructeurs automobiles, comme Skoda (République tchèque) ou Dacia (Roumanie).
 
Et que demandent-ils, ces huit pays ? « L’accord (sur la fin des moteurs thermiques) ne peut être renégocié », a reconnu le « sinistre des Transports » tchèque, dans des propos rapportés par l’Agence Gauloisie-Presse (AFP). « Mais la Commission doit pouvoir trouver des solutions pour des exemptions. »
Bé voyons : Le principe tient, sauf toutes les exceptions à venir…
Vous savez, le provisoire qui dure une éternité.
 
La « Teutonnie », par exemple, réclame que les véhicules fonctionnant aux carburants de synthèse soient exclus de la future interdiction européenne.
Côté « Gauloisien-franchouillard », autre pays qui compte plusieurs constructeurs automobiles on en dit que « nous sommes prêts à aller au bras de fer sur ce sujet parce que c’est une faute environnementale », a prétendu « Pruneau-Le-Mère », notre « sinistre des Économies et des Finances », qui garde une dent d’avoir dû batailler pour faire admettre que le « tout nucléaire » est une solution peu polluante et surtout de « souveraineté assumée » !
Et d’ajouter : « Je pense aussi que c’est une faute au niveau économique parce que nous avons cinq à dix ans de retard sur le véhicule électrique par rapport à la Chine, il faut mettre les bouchées doubles. »
Mais il va retourner sa veste à loccasion du prochain remaniement ministériel qui chauffe.
 
Vous voulez que je vous dise ? Ce n’est pas 5 à 10 ans de retard, c’est une génération entière qui est passée sans que personne ne voit rien des délires « écolologiques » qui nous poussent à la ruine.
Parce que la voiture électrique, c’est bien, mais c’est cher et ce n’est pas prêt : Il faut fabriquer cet électricité (on n’aurait besoin, immédiatement de 6 tranches de nucléaires, 12 à terme, alors que vous commencez à compter les décennies pour la centrale de Flamanville…). Il faut délivrer la puissance là où on en aura besoin (or le réseau est à construire : Vous avez vu déjà combien de temps il faut compter pour passer du cuivre à la fibre en matière de télécommunication, combien il a fallu d’effort et de subventions pour passer de la téléphonie mobile « Bip-Bop » à la 5G), et question stockage (les batteries) on démarre seulement.
 
D’autant que ce serait se jeter dans la gueule du loup chinois : L’avenir reste au stockage par hydrogène.
Mais la filière industrielle n’en est qu’à ses débuts…
Alors que nous avons des géants : Nos « pétroleux », comme « TotalEnergies » et nos « gaziers » comme Air-Liquide plus quelques autres.
 
En bref, on se fout de vous !
Mais ce n’est pas bien grave puisque c’est avec votre argent.
Celui que vous n’avez pas encore gagné, en plus !
Imaginez que j’en rigole bien fort, finalement…

Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !


[1] De l’effet d’un « sapiteur ». Si on se réfère à l’origine latine du mot, « sapiteur » doit être utilisé pour désigner justement un « Sachant ». De fait, il est souvent employé d’une manière extensive pour désigner un technicien ou un expert judiciaire.

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