Et la « vérité » commence à
se dessiner
Je reste extraordinaire (« incroyable »
même, le premier « I » de I3) !
En effet, dès le premier chapitre, dans les premières lignes du volume « L’année Covid de Charlotte » (https://flibustier20260.blogspot.com/2021/08/1-une-annee-hors-norme.html), probablement écrit un peu avant mars 2020, alors que la pandémie commençait à déferler sur mon pays (celui que j’aime tant et qui a mis beaucoup de temps à commencer de me le rendre… un peu), je prenais le parti de vous raconter que l’origine du « Conard-virus » était d’origine humaine.
Il faut dire que j’avais déjà une longueur d’avance puisque dès 2017 j’avais alors posé les prémices de ces dangereux travaux en laboratoire « P4 » (Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2017/09/ultime-recit-chapitre-zero.html)…
C’est vous dire que vous avez intérêt à lire le volume suivant, parce que s’il est accepté tel quel, ce n’est pas piqué des hannetons non plus !
Bref, du « statut de vil complotiste »,
désormais, l’Histoire semble vouloir s’écrire exactement comme j’avais pu
l’anticiper.
Une fois de plus…
En effet, le directeur du FBI a estimé avant-hier, mardi 28 février 2023, qu’un accident de laboratoire à Wuhan en Chine est « très probablement » à l’origine de la pandémie de « Conard-virus », deux jours après qu’une hypothèse similaire était avancée par leur ministère américain de l’Énergie.
Remarquez, à ce dernier, on ne lui demandait rien.
Et ça pourrait donc être un effet du « lobbying » antichinois du moment, après les « invasions » de ballons-espions de Pékin au-dessus du continent américain.
En réalité, on apprend que « le FBI estime
depuis un certain temps déjà que l’origine de la pandémie est très probablement
(liée à) un incident de laboratoire à Wuhan » : Ils lisent
« mes romans » d’actualité pour se tenir au courant, ce n’est pas
possible autrement !
Sauf qu’on nous rapporte que de nouveaux et récents éléments de renseignement avaient fait basculer l’analyse du ministère du côté de l’hypothèse de la fuite, selon des sources anonymes citées par le Wall Street Journal, le New York Times et CNN… la grande presse (« aux ordres » ?).
Les journaux insistent cependant lourdement sur le fait que cette nouvelle analyse est publiée « avec un faible niveau de confiance » par le ministère, qui chapeaute des laboratoires de biologie : On n’est jamais trop prudent !
Car le monde du renseignement américain, qui s’inspire de mes écrits, est désormais encore plus divisé, certains estimant toujours que le « Conard-virus » est survenu par « transmission naturelle ».
Hein, c’est un peu comme le Sida, cette histoire-là…
Or, il se trouve que, élément aggravant aux
yeux du quidam accusateur, la Chine tente depuis toujours de bloquer l’enquête
menée par les États-Unis sur les causes de la pandémie surgie début 2020, tuant
depuis près de 7 millions de personnes et bousculant la marche « normale »
du monde pendant des mois.
Et encore aujourd’hui en recherche de « repères » durables.
« Le gouvernement chinois (…) a
fait de son mieux pour essayer de contrecarrer et embrouiller le travail que
nous faisons, le travail que notre gouvernement américain et nos proches partenaires
étrangers » sont en train d’effectuer a assuré le directeur du FBI. « Et
c’est malheureux pour tout le monde », a-t-il ajouté, ce qui est vrai…
Entretenir le « flou » est pour le moins suspect.
Mais pas seulement…
Alors, « on » fait pression : Le Wall Street Journal a ainsi révélé, dimanche, qu’un rapport de la Direction nationale du renseignement ― récemment fourni à la Maison-Blanche et aux principaux membres du Congrès ― l’attribue « très probablement » à une mauvaise manipulation d’un laboratoire chinois.
Aussi kon que ça…
Une hypothèse qui n’est pourtant pas
nouvelle, mais le rapport étant classifié, on n’en saura pas plus sur « les
nouvelles informations, l’étude plus approfondie des travaux universitaires et
la consultation d’experts extérieurs au gouvernement » qu’évoque un agent
d’une des très nombreuses administrations du renseignement américain.
Lesquelles ont toujours des avis divergents, au point que le conseiller à la Sécurité nationale de la Maison-Blanche, s’est senti obligé de conclure, dimanche, que « pour l’instant, aucune réponse définitive de la communauté du renseignement n’a émergé sur la question ».
Exactement : « Certains éléments de la communauté du renseignement sont parvenus à des conclusions d’un côté, d’autres de l’autre, et un certain nombre ont déclaré qu’ils n’avaient tout simplement pas assez d’informations pour être sûrs (…) Pour l’instant, aucune réponse définitive ne se dégage du monde du renseignement. »
Circulez, il n’y a rien à voir…
Car, il faut dire que Pékin conteste encore vigoureusement
ces affirmations. Or, pour la communauté scientifique, il est crucial de
déterminer l’origine de la pandémie, afin de mieux prévenir et combattre une
prochaine vague épidémique.
La Chine s’estime « salie » par l’hypothèse d’une fuite, tandis que son grand copain le patron de l’Organisation mondiale de la santé nie formellement traîner les pieds sur l’enquête, toujours en cours, de son organisation sur les origines du « Conard-virus ».
Mi-février, il s’était engagé à tout faire pour obtenir « une réponse » sur les origines du « Conard-virus », démentant fermement des informations selon lesquelles l’organisation a renoncé à son enquête.
C’est que ce serait quand même extraordinaire
qu’un pays capable, grâce à la reconnaissance faciale, de punir automatiquement
un piéton qui traverse hors des clous, mais qui causerait sept millions de
morts par son incapacité à surveiller un laboratoire en principe
ultra-sécurisé, ça ne ferait pas bon effet, faut-il rajouter pour rester
sérieux !
Et de toute façon, si l’hypothèse « laboratoire passoire » faisait un jour sa preuve irréfutable, il serait plus opportun de parler de catastrophe de gouvernance communiste que d’échec de la science.
Pour le moment, de nombreuses pistes seraient encore à explorer.
Dont acte, même si ma « religion » est faite depuis bien longtemps.
Mais dites-donc, est-ce que pendant ce
temps-là, pourquoi les masques obligatoires n’ont eu aucune utilité et que l’immunité
naturelle est aussi protectrice que deux doses de vaccins, viennent nous dire
les « enquêteurs » ?
Naturellement, si on avait su ça il y a trois ans, la face du monde en aurait été …« probablement »… changée.
En effet, les trois piliers de la réponse mondiale à la crise sanitaire sont en train de s’effriter en quelques semaines, et pour dire le moins, les médias « aux ordres » de « Gauloisie-imperturbable » se font curieusement très discrets sur la question.
Le ton de la classe médiatique était beaucoup plus tranché en 2020 où toute opinion suggérant une origine autre que zoonotique du virus était étiquetée comme « complotiste » !
La recherche scientifique à l’époque était alors victime de « l’anti-trompisme » dominant : Parce que le président peu recommandable, d’après les élites « progressistes », avait suggéré une idée assez sulfureuse, invitant ses compatriotes à se nettoyer les naseaux à l’eau de javel, et que l’idée d’une contamination « par erreur » (voire d’un « essai ») était immédiatement labellisée comme folle, complotiste ou d’extrême droâte et ostraciser ceux qui osaient penser en dehors du cadre de l’autoritarisme sanitaire.
Or, à ce que je sache (ou ignore encore peut-être encore), je ne suis pas d’extrême-droâte.
De centre-droât, façon « Gaulliste-universel », aucun doute, mais pas d’extrême, même pas « central » et « McDo-Trompe » représente exactement tout ce que je redoute des démocraties d’une façon générale, de celles qui font copain-copain avec les premiers dictateurs venus que porte le globe : Suivez mon regard jusque chez « Mes-Luches », « Zézé-Amour » ou « Marinella-tchi-tchi » & Cie.
Ce n’est seulement après un article de « l’ex-journaleux-scientifique »
du New-York Times, Nicholas Wade, que la question s’est dépolitisée et qu’on a
pu accéder et lire des articles explorant sérieusement cette piste de « fuite »,
désormais clairement envisagée par les organes politiques officiels.
Depuis, et par ailleurs, je constate qu’une
analyse portant sur l’efficacité des masques pour réduire la propagation des
maladies respiratoires, dont le « Conard-virus », a été publiée par
la très prestigieuse « Cochrane Review », sous la direction d’un
épidémiologiste d’Oxford.
C’est la première « folie » de autistes-trisomiques qui nous gouvernent.
Sa conclusion est sans appel : « Le résultat signifie que quel que soit l’agent pathogène ou le symptôme présenté aucune étude de haute qualité ne prouve que les masques médicaux ou chirurgicaux font une différence dans la transmission, ce qui est le but du port ou non d’un masque ou de toute autre intervention comme le lavage des mains. » explique-t-il.
Notez que je doute de ce type d’assertion : Pour quelles raisons existent-ils et sont portés dans les hôpitaux ?
Et si c’était vrai, dans ce cas et celui de toutes les études utilisées par la classe politique, pourquoi les rendre obligatoires sauf à faire de la buée sur mes binocles ?
Pourquoi traîner « Agnelle-Buse-One » devant les tribunaux parce qu’elle n’en avait pas assez acheté ?
« Ils ont été convaincus par des études
non randomisées, des études d’observation imparfaites. » répond encore une
fois à la journaleuse qui soulève le lièvre.
L’étude ne prouve pas qu’à titre individuel, porté correctement, le masque est sans efficacité. Seulement, le rendre obligatoire pour toute une population devient problématique.
Encore une fois, les moindres réserves relatives au port du masque pendant toute la crise sanitaire étaient dénoncées à l’unisson par les « sachants-politiques », les médias et les hypocondriaques comme parias.
Les politiciens et les scientifiques sont
faillibles, comme tout le monde, mais les outils technocratiques pour répondre
à la pandémie sont politiques, produits par des choix réfléchis : En
l’occurrence, les gouvernants ont choisi de transformer le port du masque en
dogme et d’excommunier toutes les voix dissidentes au nom du bien commun
sanitaire.
Résultat, non seulement ils avaient tort, mais le port du masque a eu des effets catastrophiques en matière de développement pour les enfants.
Bravo les « autistes-sachants-trisomiques » de nos « élites superlatives » !
Et puis troisième mensonge : Je me souviens
encore que la revue médicale The Lancet a publié ce mois dernier une analyse de
65 études qui conclut qu’une infection préalable par « Conard-virus »
― c’est-à-dire l’immunité naturelle ― est au moins aussi protectrice que deux
doses de vaccin à ARNm.
Les mêmes qui avait publié une « étude » révélant « scientifiquement » que le remède miracle du professeur Raoult était de la foutaiserie…
Il aura donc fallu trois ans pour que les autorités politiques et sanitaires reconnaissent ce principe autrefois assez peu controversé de l’intérêt de l’immunité naturelle pour lutter contre une pandémie.
Ces derniers temps, on voit même mentionner « immunité naturelle », qui dériverait selon les tenants de cette « fake » d’une infection, en opposition à celle qui serait issue de la vaccination.
Encore une fois rhétorique antivax : L’immunité artificielle n’existe pas !
Cependant, au plus fort de la crise, parler
d’immunité naturelle vous classait naturellement dans le camp des opposants au
confinement et en faveur de la déclaration de Great Barrington, par laquelle 10.500
scientifiques et plus de 29.000 médecins en appelaient à une gestion de crise
moins restrictive, donc « rassuriste » pour reprendre la dénomination des « sachants »
qui se sont alignés sur l’autoritarisme sanitaire.
« Le clergé de la santé publique craignait que la reconnaissance de l’immunité naturelle n’encourage les gens à être contaminés ou ne les décourage de se faire vacciner.
La première crainte n’était pas
fondée, et la seconde n’était pas une raison pour nier la réalité scientifique.
Les responsables de la santé publique aux États-Unis (et ailleurs) se sont néanmoins retranchés et ont refusé d’accorder des exemptions aux vaccins obligatoires pour les personnes présentant une immunité naturelle, comme l’ont fait de nombreux pays européens » observe le Wall Street Journal.
Et, forcément, de devoir rajouter que
l’immunité naturelle, c’est gratuit, contrairement aux vaccins.
En synthèse, tout cela ne change pas
grand-chose au fait d’avoir été condamné à la mise en « résidence surveillée »
durant 55 jours sans autre forme de procès, avoir servi de cobaye à une
technologie de vaccination innovante qui n’a pas fait ses preuves et d’avoir
chopé tout de même le « Conard-virus » à en être rétamé durant 10
jours au fond de mon lit…
J’avoue que « l’épisode » restera marquant.
Et tout ça pour des chinois qui sont incapables de jouer avec les beaux joujoux qu’on a mis à leur disposition à Wuhan.
Au juste, à quoi jouaient-ils avec des souches
de virus dangereux ?
À mettre au point des vaccins ou des remèdes contre des futures pandémies ?
Non : Ils n’ont rien fait avancer en ces domaines…
Ou alors à manipuler des souches qui ravageront l’humanité dans un futur plus ou moins proche ?
C’est très drôle, parce que c’est justement
ce que mon « chercheur » payé pour ça dans le volume « Ultime
récit » (https://flibustier20260.blogspot.com/2017/09/ultime-recit-chapitre-zero.html)
qui devait d’ailleurs être le dernier que je publiais…
Et puis comme lui, j’ai survécu à tout ça, un peu par hasard.
Et vous aussi, malgré la torture subie de nos institutions politiques : Ce n’était finalement qu’une vaste répétition, à l’échelle planétaire, de ce qu’ils veulent nous faire subir.
Hors, et curieusement, le continent africain : Eux, de toute façon n’ont pas les moyens ni de se payer des masques, ni encore moins des doses de vaccins.
Radicalement insolvables !
À notre inverse : La rançon des « riches », quoi !
La liberté se mériterait-elle ?
En effet, dès le premier chapitre, dans les premières lignes du volume « L’année Covid de Charlotte » (https://flibustier20260.blogspot.com/2021/08/1-une-annee-hors-norme.html), probablement écrit un peu avant mars 2020, alors que la pandémie commençait à déferler sur mon pays (celui que j’aime tant et qui a mis beaucoup de temps à commencer de me le rendre… un peu), je prenais le parti de vous raconter que l’origine du « Conard-virus » était d’origine humaine.
Il faut dire que j’avais déjà une longueur d’avance puisque dès 2017 j’avais alors posé les prémices de ces dangereux travaux en laboratoire « P4 » (Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2017/09/ultime-recit-chapitre-zero.html)…
C’est vous dire que vous avez intérêt à lire le volume suivant, parce que s’il est accepté tel quel, ce n’est pas piqué des hannetons non plus !
Une fois de plus…
En effet, le directeur du FBI a estimé avant-hier, mardi 28 février 2023, qu’un accident de laboratoire à Wuhan en Chine est « très probablement » à l’origine de la pandémie de « Conard-virus », deux jours après qu’une hypothèse similaire était avancée par leur ministère américain de l’Énergie.
Remarquez, à ce dernier, on ne lui demandait rien.
Et ça pourrait donc être un effet du « lobbying » antichinois du moment, après les « invasions » de ballons-espions de Pékin au-dessus du continent américain.
Sauf qu’on nous rapporte que de nouveaux et récents éléments de renseignement avaient fait basculer l’analyse du ministère du côté de l’hypothèse de la fuite, selon des sources anonymes citées par le Wall Street Journal, le New York Times et CNN… la grande presse (« aux ordres » ?).
Les journaux insistent cependant lourdement sur le fait que cette nouvelle analyse est publiée « avec un faible niveau de confiance » par le ministère, qui chapeaute des laboratoires de biologie : On n’est jamais trop prudent !
Car le monde du renseignement américain, qui s’inspire de mes écrits, est désormais encore plus divisé, certains estimant toujours que le « Conard-virus » est survenu par « transmission naturelle ».
Hein, c’est un peu comme le Sida, cette histoire-là…
Et encore aujourd’hui en recherche de « repères » durables.
Mais pas seulement…
Alors, « on » fait pression : Le Wall Street Journal a ainsi révélé, dimanche, qu’un rapport de la Direction nationale du renseignement ― récemment fourni à la Maison-Blanche et aux principaux membres du Congrès ― l’attribue « très probablement » à une mauvaise manipulation d’un laboratoire chinois.
Aussi kon que ça…
Lesquelles ont toujours des avis divergents, au point que le conseiller à la Sécurité nationale de la Maison-Blanche, s’est senti obligé de conclure, dimanche, que « pour l’instant, aucune réponse définitive de la communauté du renseignement n’a émergé sur la question ».
Exactement : « Certains éléments de la communauté du renseignement sont parvenus à des conclusions d’un côté, d’autres de l’autre, et un certain nombre ont déclaré qu’ils n’avaient tout simplement pas assez d’informations pour être sûrs (…) Pour l’instant, aucune réponse définitive ne se dégage du monde du renseignement. »
Circulez, il n’y a rien à voir…
La Chine s’estime « salie » par l’hypothèse d’une fuite, tandis que son grand copain le patron de l’Organisation mondiale de la santé nie formellement traîner les pieds sur l’enquête, toujours en cours, de son organisation sur les origines du « Conard-virus ».
Mi-février, il s’était engagé à tout faire pour obtenir « une réponse » sur les origines du « Conard-virus », démentant fermement des informations selon lesquelles l’organisation a renoncé à son enquête.
Et de toute façon, si l’hypothèse « laboratoire passoire » faisait un jour sa preuve irréfutable, il serait plus opportun de parler de catastrophe de gouvernance communiste que d’échec de la science.
Pour le moment, de nombreuses pistes seraient encore à explorer.
Dont acte, même si ma « religion » est faite depuis bien longtemps.
Naturellement, si on avait su ça il y a trois ans, la face du monde en aurait été …« probablement »… changée.
En effet, les trois piliers de la réponse mondiale à la crise sanitaire sont en train de s’effriter en quelques semaines, et pour dire le moins, les médias « aux ordres » de « Gauloisie-imperturbable » se font curieusement très discrets sur la question.
Le ton de la classe médiatique était beaucoup plus tranché en 2020 où toute opinion suggérant une origine autre que zoonotique du virus était étiquetée comme « complotiste » !
La recherche scientifique à l’époque était alors victime de « l’anti-trompisme » dominant : Parce que le président peu recommandable, d’après les élites « progressistes », avait suggéré une idée assez sulfureuse, invitant ses compatriotes à se nettoyer les naseaux à l’eau de javel, et que l’idée d’une contamination « par erreur » (voire d’un « essai ») était immédiatement labellisée comme folle, complotiste ou d’extrême droâte et ostraciser ceux qui osaient penser en dehors du cadre de l’autoritarisme sanitaire.
Or, à ce que je sache (ou ignore encore peut-être encore), je ne suis pas d’extrême-droâte.
De centre-droât, façon « Gaulliste-universel », aucun doute, mais pas d’extrême, même pas « central » et « McDo-Trompe » représente exactement tout ce que je redoute des démocraties d’une façon générale, de celles qui font copain-copain avec les premiers dictateurs venus que porte le globe : Suivez mon regard jusque chez « Mes-Luches », « Zézé-Amour » ou « Marinella-tchi-tchi » & Cie.
C’est la première « folie » de autistes-trisomiques qui nous gouvernent.
Sa conclusion est sans appel : « Le résultat signifie que quel que soit l’agent pathogène ou le symptôme présenté aucune étude de haute qualité ne prouve que les masques médicaux ou chirurgicaux font une différence dans la transmission, ce qui est le but du port ou non d’un masque ou de toute autre intervention comme le lavage des mains. » explique-t-il.
Notez que je doute de ce type d’assertion : Pour quelles raisons existent-ils et sont portés dans les hôpitaux ?
Et si c’était vrai, dans ce cas et celui de toutes les études utilisées par la classe politique, pourquoi les rendre obligatoires sauf à faire de la buée sur mes binocles ?
Pourquoi traîner « Agnelle-Buse-One » devant les tribunaux parce qu’elle n’en avait pas assez acheté ?
L’étude ne prouve pas qu’à titre individuel, porté correctement, le masque est sans efficacité. Seulement, le rendre obligatoire pour toute une population devient problématique.
Encore une fois, les moindres réserves relatives au port du masque pendant toute la crise sanitaire étaient dénoncées à l’unisson par les « sachants-politiques », les médias et les hypocondriaques comme parias.
Résultat, non seulement ils avaient tort, mais le port du masque a eu des effets catastrophiques en matière de développement pour les enfants.
Bravo les « autistes-sachants-trisomiques » de nos « élites superlatives » !
Les mêmes qui avait publié une « étude » révélant « scientifiquement » que le remède miracle du professeur Raoult était de la foutaiserie…
Il aura donc fallu trois ans pour que les autorités politiques et sanitaires reconnaissent ce principe autrefois assez peu controversé de l’intérêt de l’immunité naturelle pour lutter contre une pandémie.
Ces derniers temps, on voit même mentionner « immunité naturelle », qui dériverait selon les tenants de cette « fake » d’une infection, en opposition à celle qui serait issue de la vaccination.
Encore une fois rhétorique antivax : L’immunité artificielle n’existe pas !
« Le clergé de la santé publique craignait que la reconnaissance de l’immunité naturelle n’encourage les gens à être contaminés ou ne les décourage de se faire vacciner.
Les responsables de la santé publique aux États-Unis (et ailleurs) se sont néanmoins retranchés et ont refusé d’accorder des exemptions aux vaccins obligatoires pour les personnes présentant une immunité naturelle, comme l’ont fait de nombreux pays européens » observe le Wall Street Journal.
J’avoue que « l’épisode » restera marquant.
Et tout ça pour des chinois qui sont incapables de jouer avec les beaux joujoux qu’on a mis à leur disposition à Wuhan.
À mettre au point des vaccins ou des remèdes contre des futures pandémies ?
Non : Ils n’ont rien fait avancer en ces domaines…
Ou alors à manipuler des souches qui ravageront l’humanité dans un futur plus ou moins proche ?
Et puis comme lui, j’ai survécu à tout ça, un peu par hasard.
Et vous aussi, malgré la torture subie de nos institutions politiques : Ce n’était finalement qu’une vaste répétition, à l’échelle planétaire, de ce qu’ils veulent nous faire subir.
Hors, et curieusement, le continent africain : Eux, de toute façon n’ont pas les moyens ni de se payer des masques, ni encore moins des doses de vaccins.
Radicalement insolvables !
À notre inverse : La rançon des « riches », quoi !
La liberté se mériterait-elle ?
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
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