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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 24 mars 2023

Jean-Marc se répète…

 
Le début de la sénilité ?
 
Je vous laisse juge pour « ses revenues » du moment :
 
C’est tard dans la nuit, un voleur qui entre dans une maison qu’il croit inhabitée. Il marche à petits pas jusqu’au salon quand soudainement il entend une petite voix dire :
« Jésus te regarde ».
Il se fige d’effroi.
Il ne bouge pas pendant plusieurs minutes, glacé et silencieux.
Puis il avance sur la pointe des pieds.
« Jésus te regarde. »
Pris de panique, ces yeux tentent de percer la nuit.
Enfin il aperçoit, près d’une fenêtre, une cage d’oiseau avec un perroquet à l’intérieur.
Il s’approche sans faire de bruit…
« ― C’est toi qui as parlé ? C’est toi qui as dit que Jésus me regardait ?
― Oui. Jésus te regarde.
― Quel est ton nom ?
― Macarie.
― Macarie ?
― Oui, Macarie.
― Quel est l’imbécile qui t’a appelé ainsi.
― Le même qui a appelé le pitbull, Jésus ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul bavassent devant une bière.
En terrasse, la bière puisque les beaux jours reviennent.
Et que de la terrasse, c’est plus facile de détailler les dames qui passent.
« ― Je crois que j’ai loupé ma vie.
― Ah bon ? Et pourquoi ?
― J’aurai dû faire gynécologue-obstétricien…
― Ah bon ? Et pourquoi ?
― Tu te répètes, JP… Mais que c’est la plus belle profession du monde.
― Ah ?
― Bé oui : Tu peux recevoir une femme à ton bureau, bien installé confortablement et douillettement au chaud, lui demander de se déshabiller, l’examiner sur tous les sens, et… envoyer la facture à l’assurance sociale. »
 
C’est l’histoire du vieux Jean-Jacques.
Sa grange vient de brûler.
Son assureur lui rend visite…
« ― J’ai une bonne nouvelle pour vous Jean-Jacques.
Nous ferons beaucoup mieux que vous verser un montant d’argent pour votre grange, notre compagnie va en construire une neuve !
― Ah bon !!! Alors puisque c’est comme ça, j’annule immédiatement l’assurance-vie que j’ai contracté sur ma femme. »
 
C’est l’histoire des deux jeunes qui sont à l’hôpital.
Le premier dit :
« ― Tu es ici pourquoi ?
― Pour me faire enlever les amygdales !
― C’est rien ça ! Ils me les ont enlevés l’année dernière !
Quand tu te réveilles, ils te donnent des glaces autant que tu en veux !
― Ah bon ? Et toi, pourquoi tu es ici ?
― Pour me faire circoncire !
― Pas grand-chose, ça. Ils m’ont circoncis quand j’étais bébé !
― Et puis ?
― Bé rien. J’ai pas pu marcher avant un an… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul philosophent devant une autre bière :
« ― À ton avis, c’est quoi la définition de sentiments partagés ?
― Facile ! C’est quand tu vois reculer votre belle-mère vers un ravin avec ta voiture toute neuve… »
 
Germaine et sa femme de ménage :
« ― Madame Contraception, quand vous montez sur une chaise pour épousseter les lustres, mettez donc une ou feux pages de journal sur la chaise…
― Inutile madame ! Je suis bien assez grande. »
 
Tard, ce soir-là, Jean-Marc et Jean-Paul sortent du bar.
Ils décident de prolonger leur tournée en voiture à l’autre bout de la ville quand le chauffeur évite de justesse un poteau.
« ― Jean-Marc ! » hurle Jean-Paul. « Fais attention t’as failli taper le poteau.
― Com… Comm… Comment, c’est pas toi qui conduit ? »
 
Les mêmes un peu plus tôt dans la soirée :
« ― Quel est le comble de l’égocentrisme ?
― Aucune idée…
― C’est de crier son propre nom lors d’un orgasme ! »
 
C’est l’histoire d’un monsieur obsédé par le désir de vivre très vieux qui consulte son médecin.
« ― C’est simple », lui dit celui-ci. « Plus d’alcool, ne faites plus l’amour, dormez 12 heures par jour et devenez végétarien.
― Et avec tout ça, je vivrai plus vieux ?
― Je ne sais pas, mais le temps va vous sembler beaucoup plus long. »
C’est du vécu… sous une autre forme !
 
Une « très vieille » qui nous revient :
Dans un hypermarché, un Jean-Marc bouscule accidentellement le caddie d’un autre client.
« ― Faites attention, mon vieux !
― Excusez-moi, je ne vous ai pas vu, c’est que je cherche ma femme…
― Ah oui ? Je cherche la mienne aussi justement !
― Je l’ai peut-être vue, de quoi a-t-elle l’air ?
― Eh bien, elle est grande, des grands cheveux longs, yeux bleus, elle porte une mini-jupe, des talons hauts et un chemisier transparent sous lequel elle a une brassière en dentelle noire. Et votre femme, de quoi elle a l’air ?
― Laissez tomber ma femme, on va plutôt chercher d’abord la vôtre ! »
 
Le directeur du personnel de la boîte de Jean-Marc se frotte la joue tandis que la postulante à l’emploi de secrétaire sort de son bureau en claquant la porte :
Embarrassé, il s’explique : « C’est pas de ma faute si je bégaie », gémit-il.
« C’est vrai, mon pauvre ami », lui dit le directeur général témoin de la scène. « Mais sa réaction s’explique peut-être.
Quand vous lui avez dit : « montrez-moi votre cu… cu… cu… », elle n’a peut-être  pas attendu que vous ajoutiez « …riculum vitae » ! »
 
C’est l’histoire de Marie-Chantal, très distinguée, assise à une table dans un restaurant très chic attendait, Germaine, son amie.
Voulant que tout soit parfait, surtout son apparence, elle se penche vers son sac-à-main pour pouvoir prendre son miroir et se repoudrer.
Mais en se penchant elle ne peut se retenir et lâche un « pet » super bruyant, juste comme le garçon de table s’approchait pour lui tendre la carte.
Marie-Chantal, de nouveau assise droite comme un if et le visage rouge de honte, imaginant que tout le monde dans le restaurant avait entendu son « gros pétard », se tourne alors vers le garçon de table et dit pour que tout le monde l’entende :
« Garçon, voulez-vous arrêtez-ça ! »
Le garçon répond du tac-au-tac :
« Bien sûr Madame ! Dans quelle direction se dirige-t-il ? »
 
C’est un petit garçon qui entre dans la chambre de sa mère qui est en train d’allaiter le nouveau-né.
Il lui demande :
« Maman qu’est-ce qu’il fait-là mon petit frère ? »
Elle lui répond :
« ― Il mange.
― Mais maman, il va s’étouffer avec un gros morceau de viande comme çà et il n’a rien à boire. »
 
Quelques minutes plus tard il demande à sa mère :
« Maman combien tu l’as payé mon petit frère ? »
Elle lui dit :
« Ah… Il m’est revenu à 300 euros. »
Le gamin répond alors tout surpris :
« Pas de cheveux, pas de dents, je pense que tu t’es faite rouler ! »
 
Jean-Marc achète un perroquet.
Le vendeur lui dit :
« ― Il est bilingue français/anglais.
― Ah oui ? Et comment on choisit la langue ?
― Très simple ! Il a un fil à chaque patte.
Vous tirez sur le fil de gauche, il parle en français.
Vous tirez sur le fil de droite, il parle en anglais.
― Et si je tire sur les deux fils à la fois ? »
Alors le perroquet lui répond :
« Je me casse la gueule, eh, con… »
 
C’est Marie-Françoise
« ― Dis, ma chérie, lorsque tu seras grande, aimerais-tu avoir des enfants ?
― Oh oui…
― Et comment vas-tu les appeler ? »
Marie-Françoise se met alors à frapper dans les mains et à hurler :
« LES ENFFAANNTTS ! »
 
Marie-Chantal raconte à Germaine :
« ― Hier, j’explique à ma fille Julie que je vais commander son tee-shirt sur Internet.
Tu sais ce qu’elle me répond ?
― Non !
― Et il va sortir de l’imprimante ? »
 
Jean-Alexandre, 3 ans, après avoir regardé la baignoire se vider déclare très sérieusement à sa mère :
« Voilà… La baignoire elle a tout bu. Elle avait très soif. »
 
C’est l’histoire des trois hommes qui meurent et se retrouvent devant St-Pierre à la porte du paradis.
St-Pierre dit :
« Messieurs, pour entrer au paradis, il y a un dernier test ultime que vous devez réussir.
Il s’agit de monter les 100 marches de l’escalier devant vous.
Or, cette épreuve vise à tester votre capacité à résister à la tentation !
Sur chaque marche, il y a une femme très séduisante.
Si vous touchez à une des femmes, vous irez directement en enfer. »
Le premier monte jusqu’à la 10ème marche, mais, n’en pouvant plus, embrasse la séduisante fille de la 11ème marche.
Une trappe s’ouvre sous ses pieds et il chute en enfer !
Même scénario pour le deuxième qui chute à la 52ème marche.
Le troisième monte, monte et arrive finalement en haut où Jésus l’attend à la 101ème marche.
Jésus lui dit :
« Bienvenue au paradis mon fils ! »
Et l’homme lui répond :
« Ah… Enfin un Homme ! »
 
Petite prière qui a fait le tour du monde pour emporter les fidèles au paradis :
Notre Père
Notre Gates, qui est à Seattle,
Que Ton Windows soit débogué,
Que Ton monopole s’impose,
Que Tes commandes soient exécutées,
Sur le Web comme sur le disque dur.
Donne-nous aujourd’hui,
Nos mises à jour quotidiennes.
Et pardonne-nous nos utilisations de Linux,
Comme nous pardonnons aussi,
À ceux qui ont utilisé des Macs.
Et ne nous soumets pas au Dr Watson,
Mais délivre-nous du plantage.
Car c’est à toi qu’appartiennent,
Les Copyrights, les Megahertz et les Capitaux,
Au moins jusqu’au-delà de l’an 2000.
Amen
 
Encore un vieille, raciste de surcroît, mais qui a survécu au wokisme :
C’est l’histoire du pilote Juif et de son second Chinois qui font leur premier vol commercial ensemble.
Il est évident que, par leur silence, ce n’est pas le grand amour entre les deux.
Après 30 minutes de vol, le capitaine dit :
« ― Je n’aime pas les Chinois.
― Ooooh, tu n’aimes pas les Chinois ? Mais pourquoi ?
― Vous avez bombardé Pearl Harbor. C’est pourquoi je n’aime pas les Chinois.
― Non, non, non, ce n’est pas les Chinois mais les Japonais qui ont bombardé Pearl Harbor !
― Chinois, Japonais, Vietnamiens, ça n’a pas d’importance, ils sont tous pareils. »
Un autre silence de trente minutes s’écoule.
Le Chinois dit :
« ― Je n’aime pas les Juifs.
― Mais pourquoi tu n’aimes pas les Juifs.
― Les Juifs ont coulé le Titanic.
― Non, non, non, c’est un iceberg, qui a coulé le Titanic.
― Iceberg, Greenberg, Goldberg, ça n’a pas d’importance, ils sont tous pareils. »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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