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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 30 mars 2023

Encore une information ahurissante !

« Jupiter » espérerait une censure du conseil constitutionnel
 
J’avoue que ça très drôle : Le mek se bagarre depuis des années pour faire passer sa réforme et on nous annonce qu’il souhaiterait se faire invalider par le « ConsCons » à la première occasion !
On va avoir du mal à faire plus comique.
 
Son idée de réforme, la « mère d’entre toutes » celle qui suivraient, aura été, durant la campagne de 2017, de passer tout le monde « aux points ».
Des droits acquis tout au long d’une carrière, avec des « bonus » par-ci par-là quand la situation l’exige, et à l’âge de la retraite, on convertit les points en rente.
Plusieurs avantages : On peut ajuster la valeur d’acquisition du point (la cotisation) au fil du temps et des équilibres financiers du moment et on peut même ajuster la valeur du point au moment de la transformation du « capital de points » en rente.
Assez simple pour retrouver des équilibres financiers « durables ».
 
Et puis ça règle le problème de l’âge du départ : Plus tu pars tôt, moins tu cotises et moins tu as de points. D’autant que la valeur de la rente à servir peut également être ajustée en fonction de ton espérance de vie statistique. Les actuaires savent faire ça à la perfection (sans ça, il n’existerait pas d’assurance-vie… viable).
Et inversement, plus tu prolonges ta vie active, plus tu cotises, moins tu seras « pensionné-durable » et plus la valeur de la rente de ton capital de points pourra t’assurer un train de vie confortable…
Mais bon, on avait compris que les syndicats n’en voulaient pas.
 
Des dinosaures très attachés à leur fromage de la gestion « paritaire » des caisses de retraites obligatoires : Ça assure des rentes de situation à des « personnels protégés » « militants-assidus » qui s’occupent de gérer les flux.
Sauf que ça fait des décennies que le « paritarisme » ne parvient pas à  trancher entre augmentation des cotisations (qui vient plomber la compétitivité des activités laborieuses qu’il s’agit de revendre aux consommateurs), diminution des rentes versées aux pensionnés (qui resteraient alors partiellement à charge des collectivités publiques et qui persistent à survivre et à voter pour la « défense des avantages acquis » de haute lutte… syndicale) et le rallongement de la durée de cotisation (pour les ceux-ce qui restent en activité, parce que les chômeurs, les malades, les inaptes et le handicapés sont déjà à la charge de l’assurance-maladie ou de l’assurance-chômage).
 
Résultat des courses, il faut que l’impôt vienne régulièrement boucler les fins de mois desdites caisses, dont certaines sont gravement déficitaires faute de cotisants en nombre suffisant (les régimes spéciaux…) qui sont appelées à disparaître en raison de leur démographie.
Et là, le kon-tribuable, il a raison de dire stop !
Pourquoi payer pour des géomètres, des notaires, des huissiers, des rats-d’Opéra (et plein d’autres) qui ont emmerdé le peuple durant une génération et qui n’ont pas assez cotisé ?
Donc, pas d’entente possible : C’est la faillite du paritarisme !
 
Et à « Jupiter » de prendre ses responsabilités, puisque tous ses prédécesseurs, hors « Roro-Card » (qui a inventé la CSG pour replâtrer les trous béants), se sont courageusement défilés…
« Mes-Luches » se fout définitivement du monde et derrière lui l’ensemble des « syndicats ouvriers » qui sont incapables de se prendre en main.
 
Tu leur filerais les clés du bidule ― comme ils l’avaient depuis 1945 ― ils en reviendraient à faire payer l’État sans qu’il n’ait son mot à dire !
On n’est pas au Portugal où les retraites sont gérées par un ministère sans que quiconque ait son mot à dire…
Alors, quand « Jupiter » passe aux forceps une « réformette paramétrique », parce qu’il aura abandonné son idée de « régime universel » devant la bronca étouffée par le « Conard-virus », on m’annonce avant-hier qu’il en espérait remettre le couvert après une censure du « Cons-cons » !!!
J’ai failli ne pas pouvoir en dormir, tellement j’ai pu en rire !
 
Et puis hier-matin, dans les couloirs des « milieux bien informés », on parlait d’une pause.
« L’or-Rend-Burger » et plusieurs responsables syndicaux demandaient à « Jupiter » de suspendre sa réforme des retraites pour plusieurs mois, quitte à trouver un médiateur entre les centrales et l’Élysée.
Eh oh, les « irresponsables », vous aviez la main dans une large concertation depuis des années, de quoi que vous causez donc ?
Naturellement, c’est une proposition balayée d’un revers de main par « Olive-Verre-à-dent », le porte-la-parole du gouvernement.
Qu’on en concluait savamment que « force est de constater que le président de la République est toujours aussi déterminé à aller au bout du parcours démocratique »…
 
Une inflexibilité qui s’explique évidemment par un rapport bénéfices/risques quelque peu déséquilibré pour le principal intéressé. Car si le président de la République apaiserait les tensions, à n’en pas douter, en mettant son texte en pause, de tels atermoiements viendraient semer le trouble sur la suite de son quinquennat et sa capacité à réformer !
On se referait un « Chi » bis où plus rien ne bougerait. Avec au bout une société sclérosée par l’immobilisme ambiant !
« Dans ces cas-là, les gens ont souvent en tête qu’une pause veut dire un abandon », chacun se rappelant l’exemple de la hausse de la taxe carbone au moment des gilets jaunes en 2018…
Une disposition suspendue puis définitivement annulée par l’exécutif pour calmer la fronde.
Rebelote cinq ans plus tard ? « On peut se dire que lâcher ne serait pas forcément déshonorant dans un tel contexte », estime un politologue trisomique, où la foule des contestataires « reproche essentiellement au président son arrogance, son manque de dialogue, d’écoute, et une adoption du texte assimilée à un passage en force. »
Cela lui permettrait peut-être d’enrayer la chute de sa popularité dans les enquêtes d’opinions, tout en retrouvant sans doute un peu de crédit d’écoute entamé depuis le début de la séquence.
Mais comme il ne cherche même plus à se faire réélire…
 
À ces doutes sur la crédibilité du chef de l’État en cas de recul, pourraient également s’ajouter les états d’âmes d’une majorité qui ferraille depuis des semaines pour ce projet. « Il est possible que ce soit très désarçonnant pour son camp, ceux qui sont attachés à la réforme », les troupes du chef de l’État pourraient alors se demander : « Tout ça, pour ça ? Est-ce que ça valait le coup d’une telle montée en tension ? »
« S’il recule, il est ’’mort’’ politiquement. Il n’a déjà pas de majorité à l’Assemblée nationale. Reculer serait, pour lui, perdre son pouvoir ».
Lui en reste-t-il au juste ?
« S’il fait ça, il est cuit ».
Dans la majorité, le discours entretenu en public évoque un recul qui serait douloureux à vivre : « Si on retire la loi, comme ça en rase campagne, on ajoute de la crise à la crise », avançait le député « Gilou-le-Beauf’ » en estimant que son camp ressort déjà « affaibli » de cette épisode désopilant. Sans parler du fait que le président de la République donnerait, en cas de recul, l’impression de réagir aux scènes de violence après s’être tu face aux manifestations syndicales historiques.
Pour des meks qui s’estimaient « trop intelligents », elle n’est pas mal comme sortie !
 
D’où l’idée iconoclaste que le Conseil constitutionnel est peut-être le dernier salut du chef de l’État, s’il veut passer à d’autres questions essentielles comme la pénibilité, la progression des carrières ou encore les bas salaires, le sort des talibanes et des couches-culottes…
« On peut toujours faire pire, mais là ce n’est pas sûr ! », angoissent certains devant « tant de maladresses, d’inconséquences multiples avec cette réforme des retraites qui nous a plongés dans la crise ».
Crise sociale, crise démocratique et crise dans les crises.
Et cerise sur ce gâteau indigeste, le désordre dans les têtes comme dans les rues !
 
L’économie pourtant tourne. Les usines ne sont pas occupées, mais on craint de ne pas remplir son réservoir et de ne plus pouvoir vider sa poubelle.
Je m’en fous, je fais comme au moyen-âge : Je benne tout par la fenêtre ! Les passants n’ont qu’à s’abstenir de passer au moment de la manœuvre.
Et surtout on ne se sent pas représenté. Ni gouverné. Ni guidé vers un horizon qui ne fuirait pas. Ni administré avec justesse et justice.
Donc, ultime recours : Le droit de grâce.
On y est, dans cette impasse piégeuse, alors que le chef de l’État fait le gros dos, mais façon hérisson. Avec tant de piquants qu’il a ulcéré même les plus modérés.
« Jupiter » est face à un pari risqué : Incarner le parti de l’ordre face aux désordres, face à « la chienlit ».
Et jusqu’ici, force est de constater que c’est « Marinella-tchi-tchi » qui tire les marrons des feux de poubelles, de mairies, de commissariats et même de kiosques à journaux, ultime symbole hélas calciné d’un « vivre ensemble » républicain.
Au Palais de l’Élysée revient cette leçon après la mort de Malik Oussekine qui entraîna le retrait de la loi Devaquet en décembre 1986 : « Aucune réforme ne vaut la vie d’un homme ! ».
Or les d’jeu’s, aiguillonnés par les Insoumis ont commencé à bloquer les lycées et les facultés.
 
Des « crétins » pour la CFDT, car ceux-là nuisent à la cause qu’ils parasitent. Ceux-ce qui agressent les élus aussi, vandalisent les permanences, menacent de mort. Mais aussi alimentent la peur de ceux qui se replient sur leur famille, leurs amis.
Cette dissidence molle qui prend pour nom abstention et s’aggrave à chaque élection. Face à ces peurs l’impuissance du pouvoir est en effet angoissante. Car tournent dans les têtes du sommet tant d’impossibles comme un manège désespérant.
 
Et puis pas de porte de sortie : Une dissolution ? Ce serait « suicidaire » (On se souvient du « Chi » qui l’aura faite à froid en 1997).
Un référendum ? Il serait « perdu ».
Un remaniement ? Pour quoi, pour qui ? « Lili-Bête-Borgne » a le charisme d’un pétoncle, et l’empathie d’une hyène. Elle est sérieuse, mais sans lyrisme.
Des chiffres, mais peu de lettres.
Sa feuille de route ― élargir la majorité minoritaire ― c’est « mission impossible » pour elle qui vient de gôche et doit trouver des relais à droâte.
 
Dès lors, « le salut », sans perdre la face, ne parlons pas d’âme ce n’est plus de saison, existerait du côté de l’Autorité suprême : Le saint conseil constitutionnel, tout à coup paré de vertus par ceux-là qui aimeraient parfois même qu’il rejette l’entièreté de la réforme !
Après tout, les débats ont été « précipités » et ont manqué de « la clarté et de la sincérité » qu’exigent les saintes Écritures républicaines.
« Jupiter » pourrait trouver quelque soulagement à voir retoqués une série d’articles, sinon la loi en son entièreté.
On pourrait alors passer à ces questions essentielles par lui récemment soulevées : La pénibilité, la progression des carrières, les bas salaires…
Tout ce par quoi on aurait dû commencer en toute concertation assumée, en pense-je !
 
Réponse d’ici le 14 avril au soir, dans l’espoir que les manifestations s’apaisent entre-temps, m’explique-t-on.
Si le chef de l’État peut se permettre actuellement de « faire le dos rond » en attendant que les choses se calment, c'est qu'il est largement protégé par la Constitution qui lui attribue des pouvoirs souvent jugés supérieurs à ceux du président des États-Unis.
Notre régime dit « semi-présidentiel » prévoit en effet que seul le « Premier sinistre » est responsable devant le Parlement, contrairement au président.
Or, « dans la pratique, c'est le président le véritable chef de l’exécutif », relève une grognasse qui ne sait déjà plus qu’on a eu droit à trois « cohabitations »…
 
« Jupiter » ne quitte que rarement le 55, rue du Faubourg Saint-Honoré. Certains dans son entourage décrivent des « amis » qui n’osent lui dire en face quand il fait fausse route. De toute façon, l’accès est « blindée » depuis l’attentat manqué de juillet 2017 (cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2018/09/ultime-recit-suite-chapitre-zero.html) que personne n’aura vu, sauf l’intéressé et quelques-uns tenus au secret d’État !…
 
Et des fissures apparaissent dans son propre camp : Le « Mac-MoDem », son premier allié, a apporté mardi son soutien à la médiation réclamée par les syndicats (probablement téléguidée par quelques « frangins-trois-points ») même si elle est rejetée par la « Jupitérie ».
Une impression d’isolement que les oppositions s’empressent d’amplifier, à l’instar du patron des « soces-dinosaures » qui s’en prend à « un président complètement sourd et aveugle qui ne comprend pas son pays ».
Normal : Il est à la tête d’une armée d’autistes-trisomiques ».
 
« Ce qui alimente la colère ou le rejet de nos concitoyens, c’est la certitude que le pouvoir est aux mains de dirigeants qui ne leur ressemblent plus, ne les comprennent plus », estimait-il.
Euh, les amis… si au lieu de déserter les urnes, les « Gauloisiens-démocrates » s’étaient déplacés au moment des dernières élections, peut-être que les choses auraient été différentes, non ?
Vous avez fait quoi pour mobiliser les 53,77 % de « non-votants » au juste ?
Il n’y a que moâ pour me révolter de ce déni-démocratique, depuis ma « petite-bulle » !
 
Tout cela conduit à un « blocage ».
D’autant qu’il est vrai que l’exécutif « n’a pas pris la mesure » du paysage politique issu des législatives, avec « trois pôles totalement irréconciliables » incapables de former un projet politique cohérent, sur la durée au moins d’une mandature, pour le pays, et du coup, l’exécutif continue de « gouverner comme s’il avait encore une majorité absolue ».
Résultat, la situation dégénère en « un face à face entre le pouvoir et la rue, parce que les corps intermédiaires n’ont pas vraiment pu jouer leur rôle » et qu’il n’existe « plus d’arène pour une confrontation canalisée ».
Ce qui fait le jeu des extrêmes, droâte et gôche réunies dans une détestation commune et réciproque…
 
Je vous avoue que quand je me suis réveillé pour pondre ce billet (hier donc), je n’étais finalement pas trop inquiet.
Le Conseil Constitutionnel censurera les « cavaliers législatifs » concédés par la « Jupitérie » pour arracher le vote de « Républicains-démocrates » (les kons que voilà…) dont il s’est finalement passé.
La rue va se calmer par la force des choses, la fin de mois est proche et si les échéances d’emprunt tombent régulièrement les payes vont être lourdement amputées.
La « réformette » entrera en vigueur autour de l’été tel qu’il faudra remettre le couvert dans deux à trois ans, mais avec une démographie qui aura évolué pour cause de « Conard-virus » (ou un autre…).
La coupe du monde de rugby va passer par là en septembre, pour calmer les esprits, les prochaines élections seront perdues (européennes 2024, mais après des sénatoriales en septembre prochain), gagnées par les abstentionnistes haut-la-main, et tout le monde aura les yeux rivés sur les JO dès après Noël !
Et la Seine continuera de couler sous les ponts « parigots », pas de souci !
 
Personnellement, je serai plus inquiet de l’avenir de la Russie, si par hasard les Ukrainiens réussissent leur contre-offensive de la Pâques orthodoxe, autour du 16 avril prochain…
À suivre, une fois de plus.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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