Je suis sorti acheter mes croissants dominicaux
En fait, c’est un « écart de régime » que je m’offre les samedis
et les dimanches, à mâtines. Ça et un grand verre de glucide sous forme de jus
d’orange.
Quand je ne suis pas en vacances « balanines » : Parce que le boulanger est trop loin…
Bon, comme ma « Nichée » est également passée, j’ai un peu explosé mon taux de glycémie à avaler des mignardises sans retenue que ça va se voir dans la prochaine mesure de mon hémoglobine glyquée à l’occasion d’analyses ultérieures… si je m’y soumets.
C’est ainsi que j’ai eu le plaisir à naviguer entre les sacs poubelles qui
gisent sur les trottoirs de ma ville : Une vaste répétition « grandeur
nature » pour … les « JO 2024 » !
Non pas pour les odeurs, qui ne sont pas encore trop atroces, mais pour rendre un hommage appuyé à nos agents territoriaux, municipaux quoi, qui refusent de travailler et sont soutenus par « Sœur-Âne », leur patronne : 5.000 se compteraient-ils…
Rassurez-vous, à temps partiel, parce qu’ils ne bossent que quelques heures par jour et moins de 30 heures par semaine, à se tourner les pouces ou taper le carton le reste du « temps-payé ».
C’est assez drôle d’ailleurs : Il y a des quartiers qui sont nettoyés impeccables, d’autres qui sont « policés » et certains où c’est déjà la jungle des montagnesrusses de déchets à retirer.
Je crèche dans un arrondissement « policé », celui d’à côté, chez les ruppins, c’est nickel-chrome, que je serai malin, au lieu de mettre mes poubelles le long des trottoirs, je les éventrerai bien au milieu des chaussées hors des champs de caméras de surveillance.
Ou alors avec un bas sur le visage…
Ce serait rigolo : D’abord, ça attirerait les mouettes rieuses qui ne savent pas tout du plaisir de la vie urbaine, et puis ça ferait plaisir aux rats qui pullulent dans mes sous-sols à tel point que ça déborde en surface et parfois sur les arbres.
J’en ai vu des gros et surtout des « nombreux ».
Il paraît même qu’un syndicat, le PAZ (ou quelque chose comme ça), aurait
manifesté devant l’hôtel des impôts de Paris-Saint-Sulpice pour soutenir les
rongeurs du pays, stigmatisant les campagnes de dératisation municipales !
J’adore les paradoxes de ce genre : Aucune raison que les rats des villes soient victimes d’un génocide alors que les rats des champs vivent tranquillement à la campagne et à l’air pur…
Quand on est « écololo », il faut défendre la biodiversité et même les « genres » parmi les rats, figurez-vous !
« Allo, « Cendrine-Rousse-eau » ! Appelle donc « Gratte-la-tune-berg »
à la rescousse, s’il te plait : Les rongeurs pestiférés pourraient
disparaître de nos macadams ! »
Que c’est l’occasion de se rappeler tout le bonheur d’être dirigée par des maires « écololos-verdoyants », de préférence sectaires et radicaux, même alliés à des « soce-dinosaures » des pluies d’antan, comme à « Paris-sur-la-plage » des flots bleus…
En 2020, rappelez-vous, ils ont remporté les élections dans huit grandes villes : Annecy, Besançon, Bordeaux, Grenoble, Lyon, Poitiers, Tours et Strasbourg, sans compter celles où le parti appartient à la majorité municipale comme à Marseille, Montpellier, Nancy ou « Paris-sur-la-Seine ».
Et, ô bonheur, presque trois ans après leur installation, leur bilan est tellement brillant.
Petits constats…
À peine élus, les maires écolologistes ont défrayé la chronique avec des
déclarations à l’emporte-pièce. On se souvient de « Pierrot-Hure-mic »
(Bordeaux) annonçant qu’on « ne mettra pas des arbres morts (des sapins)
sur les places de la ville » au moment de Noël !
On se rappelle de « Léonore Mon-Kon-d’huy » (Poitiers) affirmant que « l’aérien ne doit plus faire partie des rêves d’enfants d’aujourd’hui » pour justifier la réduction des subventions municipales aux deux aéroclubs de la ville. Si !
Ou encore de « Grégory-Poucet » (Lyon) s’en prenant au « Tour de la Gauloisie à vélo » qui véhiculerait « une image machiste du sport » (un sport pourtant « inclusif » de la pédale… pas d’évocation oiseuse s’il vous plait) et ne serait pas « écoresponsable » avec tous ses véhicules, ses déchets et tous « les petits objets, les goodies, les machins qui sont jetés par la caravane ».
C’est parfaitement vrai que ça fait dégueulasse dans les paysages ces « machins publicitaires » inutiles : Supprimons et interdisons les vélos !!!
Ah non, justement ?… bon-bon…
Heureusement les édiles « écololos » ne se contentent pas de parler. Ils agissent aussi en ne perdant jamais de vue qu’ils mènent d’abord un combat « idéologique ».
Dogmatique, quoi et vous savez combien j’adore les dogmes, surtout quand ils sont débiles…
À Grenoble, par exemple, le maire « Riton-Piollet » (élu depuis 2014) a souhaité autoriser le burkini dans les piscines municipales et imposer le menu végétarien dans les cantines scolaires !
Quel rapport avec les jolies fleurs en pot ? Personne ne sait, sauf lui puisque c’est son dogme à lui…
À Lyon, le menu sans viande est également préconisé, ainsi que le « budget genré » qui permettra de vérifier que les dépenses municipales bénéficient autant aux femmes qu’aux hommes…
Et les clodos ? Et les « migrants » ? Et les bambins ? et les « trans » ?
À ce sujet, à Bordeaux, la municipalité a été jusqu’à mettre en place un
plan de prévention et de lutte contre les « LGBT-phobies » prévoyant, entre
autres, des passages piétons « arc-en-ciel », l’illumination de la
porte de Bourgogne aux couleurs « arc-en-ciel » chaque 17 mai
(Journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie), et l’organisation
d’un « Mois des fiertés » en juin.
À Tours, le maire « Manuel-Pénis » a même prévu de bâtir une « Maison de l’Hospitalité » dédiée à l’accueil des migrants de passage : Ce n’est pas l’hôtel des postes, mais l’hôtel des passes(âge) (ou pas sage) !
Dans le magazine municipal le « Poitiers Mag », payé par les impôts locaux pour le moins magnifiquement utile aux acéphales locaux, « Léonore-Mon-Kon-d’huy » (encore elle) a fait la promotion de la manifestation publique organisée, les 17 et 18 septembre 2022, par l’association Alternatiba, au cours de laquelle les extrémistes d’Extinction Rébellion ont organisé des ateliers de désobéissance civile.
Je vous le dis, quand le dogme est porté par le responsable élu de l’ordre public républicain, il n’y a aucune contradiction à encourager la « désobéissance civile » premier pas vers l’anarchie-totalitaire !
Ou comment scier la branche sur laquelle on est assis… provisoirement.
À Annecy, la mairie a installé des distributeurs de protections
périodiques gratuites et « biologiques » (forcément), et se targue
d’être la première ville de « Gauloisie-réglée » à avoir porté et mis
en place ce dispositif à l’échelle communale.
Quant à « Âne-Vis-gnon », maire de Besançon, elle a introduit une clause de « bien-être animal » dans les marchés publics et a réalisé des travaux dans une des écoles de la ville en vue de désimperméabiliser la cour de la récréation et, par la même occasion, de la « dégenrer »…
Les gamins sont heureux : Ils pataugent dans la boue dès qu’il pleut un peu et l’usine de traitement des eaux usées ne sait plus quoi faire des eaux de lessive phosphatées…
On pourrait passer des pages et des pages à lister les actions de ces
maires d’exception qui essaient tous, semble-t-il, d’être plus « écololo-progressistes »
d’avenir de l’humanité les uns que les autres.
Deux sujets, comme trait commun, concentrent cependant leurs attaques : L’automobile et le logement.
Tous construisent des pistes cyclables à tout-va comme à Tours, où le maire
a fermé le pont Wilson aux voitures, un axe stratégique en plein centre-ville,
au grand dam des commerçants qui voient l’accès à leur boutique devenu très compliqué.
La ville était cependant l’une des moins embouteillées du pays : Ils n’ont pas à se plaindre mais au contraire, ils devraient se réjouir si plus personne ne peut accéder à leurs boutiques au bénéfice des centres commerciaux de périphérie…
Ce qui n’est pas le cas de Bordeaux qui vient de gagner deux places dans
le TomTom Traffic Index 2023 pour s’installer au deuxième rang des villes
comptant le plus d’heures de bouchons.
Or, ces embouteillages augmentent la pollution et le taux de CO2 que les « écolologistes » disent vouloir combattre. Quand on vous dit qu’ils sont magnifiques avec leurs dogmes et interdits…
TomTom a calculé qu’à « Paris-sur-la-Seine » les bouchons sont responsables de plus de 13 % des émissions de CO2 liées au trafic routier.
C’est qu’à force de créer des « empêchements » la marmite chauffe plus qu’ailleurs…
Des villes polluées et congestionnées, voilà donc à ce jour le résultat des politiques municipales en faveur des « mobilité douces » !
La mise en place des zones à faibles émissions (ZFE) va peut-être régler une partie du problème (parce que ne comptez pas que le commerce de centre-ville puisse se passer de camionneur-livreur, sauf à fermer les commerce et toutes les activités économiques d’une ville), mais au prix de l’exclusion d’encore plus de citoyens des centres-villes.
Ou quand je vous dis que les dogmes sont source de sectarisme-fasciste…
L’autre ennemi d’un maire « écololos », c’est le propriétaire
foncier, petit ou grand bourgeois à qui il convient de pourrir et de ruiner la
vie jusqu’à la trame.
Ainsi l’encadrement des loyers (limitation des augmentations) est appliqué à « Paris-sur-le-Seine », Lyon et Bordeaux et leur banlieue proche.
D’autres agglomérations ont demandé à rejoindre ce club élitiste en 2023 comme Grenoble et Marseille : Il n’y aura bientôt plus un seul locataire mais que des propriétaire « habitant » dans ces villes…
À « Lutèce » et « Lugdunum », on applique ainsi le plafonnement des loyers (fixation d’un montant maximal). Une mesure dont les effets néfastes apparaîtront bientôt au grand jour : Pénurie de logements, augmentation de la fraude et de la délinquance, insécurité, précarité, ségrégation sociale, mauvaise allocation des ressources, etc.
De plus, avec les « vignettes » « Crit’air » contre les passoires thermiques, le nombre de logement inoccupé va bondir dans les années à venir.
Notez qu’il sera toujours temps de sortir quelques arrêtés de fermeture administrative pour insalubrité puis d’exproprier les occupants pour bâtir des HLM infects et inadaptés à la place…
Mais pas avant une bonne décennie, naturellement et entre-temps, les « SDF » iront garnir les trottoirs laissés libres par les poubelles, disputant le bitume aux rats (espèce devenue « protégée ») !
Les écologistes n’aiment pas non plus les locations touristiques de type
Airbnb. Annecy, Bordeaux, Lyon, Marseille, « Paris-sur-la-plage » ont
mis en place des restrictions pour les locations de courte durée.
À Annecy, par exemple, le maire « Fanfan-Astre-orgue » a décidé d’autorité et unilatéralement, sans concertation, de supprimer 52 % des meublés de tourisme (2.200 au lieu de 4.598 aujourd’hui).
C’est autant de loyers en moins pour pouvoir rénover au mieux, ou au moins entretenir correctement.
Et autant de moins de pouvoir d’achat qui irrigue les commerces qui vivent du tourisme tout autour…
Je ne vous dis même pas les dégâts que « Sœur-Âne » va pouvoir faire à « Paris-poubelle » !
La ville finira, comme d’autres, en ruine.
Sans même quelques habitants encore capables de payer le budget municipal qui ira en grossissant pour cause de rénovations… administratives, dans une urbanisme « inclusif » et « écololo-majeur ».
C’est-à-dire « municipalisée » aux mains des maires devenus promoteurs immobiliers avec de l’argent qui ne leur appartient pas, décidant même de l’affectation des habitats à leurs électeurs privilégiés, naturellement…
Par ailleurs, sur les 1.136 communes autorisées par le gouvernement à
appliquer une majoration de la taxe d’habitation sur les résidences
secondaires, 255 l’ont effectivement mise en place.
Parmi elles, Bordeaux, Grenoble, Lyon, Marseille et bien-sûr la kapitale du pays ont décidé d’appliquer le taux maximal de majoration de 60 %, d’un coup d’un seul.
Et ce sera bientôt le cas à Annecy.
Le matraquage des propriétaires se concrétise aussi par des taux de taxe
foncière élevés. Alors qu’en 2021, le taux moyen (taxe foncière + taxe
d’enlèvement des ordures ménagères) dans les cinquante plus grandes villes de « Gauloisie-éclairée »
était de 52,02 %, il s’établissait à 64,62 % à Poitiers, à 63,02 % à Grenoble,
à 55,87 % à Bordeaux de la valeur cadastrale (qui doit bientôt être revue dans
sa totalité).
Avec respectivement 50,29 % et 50,13 %, Strasbourg et Tours étaient dans la moyenne, quand Annecy, Besançon et Lyon pratiquaient des taux inférieurs à celle-ci. Mais cela risque de ne pas durer !
En 2022, la hausse moyenne de la taxe foncière était de 4,7 % dans les 200
plus grandes villes du pays.
Elle était de 16,3 % à Marseille, de 16 % à Tours, de 12,6 % à Strasbourg, de 8,8 % à Annecy.
En 2023, la hausse sera de 52 % à « Paris-sous-les-ordures », de 25 % à Grenoble, de 14 % à Marseille, de 11,6 % à Tours, de 9 % à Lyon, de 5,3 % à Annecy, de 4,53 % à Bordeaux…
Autrement dit, les « sales-bourges’ de propriétaires » n’ont pas fini de payer les lubies des maires écolologistes et les locataires en subiront aussi les conséquences en voyant l’offre de logements à la location se raréfier…
Il n’y a pas que ça : En matière de délinquance, c’est également la
hausse qui prévaut. Certes, les maires ne sont pas seuls responsables de la
situation mais leur inaction dans ce domaine entraîne immanquablement une
hausse de la délinquance.
Hostiles aux polices municipales et à la vidéosurveillance au début de leur mandat, beaucoup d’entre eux sont en train de réviser leur jugement.
Il faut dire que Lyon, Bordeaux, « Paris-sur-la-plage », Grenoble sont dans le top 10 des villes les plus dangereuses de « Gauloisie-délinquante », bien loin des délires de « Du-Pont-Moriarty » sur la criminalité de la « Corsica-Bella-Tchi-tchi ».
(Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2023/03/tout-ca-pour-ca.html).
Annecy, Besançon, Tours et Poitiers, de taille plus modeste, sont plus paisibles, mais la criminalité y progresse aussi : + 27,4 % à Tours ; + 15 % à Annecy ; + 7,8 % à Poitiers !
Politiques environnementalistes offensives, sinon offensantes au bon sens,
augmentation de l’insécurité, difficultés à se loger et à se déplacer… tout
cela fait fuir les entreprises.
On cite parfois Chicago qui a ainsi vu disparaître des sièges sociaux en raison de l’augmentation de la criminalité et de la mauvaise gestion de l’État de l’Illinois. Caterpillar, Boeing et Tyson Foods ont, elles aussi, déjà quitté Chicago…
Ainsi à Barcelone, la maire écologiste « À-dada-Col-haut » entend réduire le tourisme de masse et lutter contre la spéculation : Elle refuse d’agrandir l’aéroport, ferme certains lieux touristiques, sanctionne les entreprises pour mauvaise gestion des déchets.
Airbnb y est quasiment interdit.
Des immeubles résidentiels appartenant à des banques ont été expropriés pour en faire des logements sociaux à destination de leurs « sans-dent ».
Tout cela sur fond de velléités séparatistes au niveau régional…
Plus de 7.000 entreprises ont ainsi quitté la Catalogne, dont la moitié pour la région de Madrid où les impôts sont moins élevés et le climat plus favorable aux affaires.
Il est encore trop tôt pour savoir si nos grandes villes dirigées par les
écolologistes perdront leurs entreprises.
De toute façon, à part des sièges vides qui dégagent à la Défense, à « Paris-sous-les-ordures », il n’y en a plus. Les usines ont dégagé depuis longtemps, même les « Grands-moulins » et les usines d’incinération de nos ordures sont situées en banlieue.
Il n’y a plus que des ministères, des locaux de bidule étatiques divers et avaris (les comités Théodule) et des églises…
Je crois que le diocèse est un des plus gros propriétaire foncier de ma ville, juste derrière la puissance publique et les bailleurs sociaux…
Le « monde d’après » vous aura exproprié, les villes iront à la
campagne, puisqu’on ne peut pas mettre la campagne à la ville…
Et en ce qui concerne « Paris-Ville-Lumière », les JO vont masquer ces échecs « écolologistes » qui laisseront un mauvais souvenir aux athlètes du monde entier : Pas de climatisation autorisée dans le village olympique !
Espérons pour eux que la météo soit à la douce pluie d’été…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A
ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA
DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE »
!
Quand je ne suis pas en vacances « balanines » : Parce que le boulanger est trop loin…
Bon, comme ma « Nichée » est également passée, j’ai un peu explosé mon taux de glycémie à avaler des mignardises sans retenue que ça va se voir dans la prochaine mesure de mon hémoglobine glyquée à l’occasion d’analyses ultérieures… si je m’y soumets.
Non pas pour les odeurs, qui ne sont pas encore trop atroces, mais pour rendre un hommage appuyé à nos agents territoriaux, municipaux quoi, qui refusent de travailler et sont soutenus par « Sœur-Âne », leur patronne : 5.000 se compteraient-ils…
Rassurez-vous, à temps partiel, parce qu’ils ne bossent que quelques heures par jour et moins de 30 heures par semaine, à se tourner les pouces ou taper le carton le reste du « temps-payé ».
C’est assez drôle d’ailleurs : Il y a des quartiers qui sont nettoyés impeccables, d’autres qui sont « policés » et certains où c’est déjà la jungle des montagnes
Je crèche dans un arrondissement « policé », celui d’à côté, chez les ruppins, c’est nickel-chrome, que je serai malin, au lieu de mettre mes poubelles le long des trottoirs, je les éventrerai bien au milieu des chaussées hors des champs de caméras de surveillance.
Ou alors avec un bas sur le visage…
Ce serait rigolo : D’abord, ça attirerait les mouettes rieuses qui ne savent pas tout du plaisir de la vie urbaine, et puis ça ferait plaisir aux rats qui pullulent dans mes sous-sols à tel point que ça déborde en surface et parfois sur les arbres.
J’en ai vu des gros et surtout des « nombreux ».
J’adore les paradoxes de ce genre : Aucune raison que les rats des villes soient victimes d’un génocide alors que les rats des champs vivent tranquillement à la campagne et à l’air pur…
Quand on est « écololo », il faut défendre la biodiversité et même les « genres » parmi les rats, figurez-vous !
Que c’est l’occasion de se rappeler tout le bonheur d’être dirigée par des maires « écololos-verdoyants », de préférence sectaires et radicaux, même alliés à des « soce-dinosaures » des pluies d’antan, comme à « Paris-sur-la-plage » des flots bleus…
En 2020, rappelez-vous, ils ont remporté les élections dans huit grandes villes : Annecy, Besançon, Bordeaux, Grenoble, Lyon, Poitiers, Tours et Strasbourg, sans compter celles où le parti appartient à la majorité municipale comme à Marseille, Montpellier, Nancy ou « Paris-sur-la-Seine ».
Et, ô bonheur, presque trois ans après leur installation, leur bilan est tellement brillant.
Petits constats…
On se rappelle de « Léonore Mon-Kon-d’huy » (Poitiers) affirmant que « l’aérien ne doit plus faire partie des rêves d’enfants d’aujourd’hui » pour justifier la réduction des subventions municipales aux deux aéroclubs de la ville. Si !
Ou encore de « Grégory-Poucet » (Lyon) s’en prenant au « Tour de la Gauloisie à vélo » qui véhiculerait « une image machiste du sport » (un sport pourtant « inclusif » de la pédale… pas d’évocation oiseuse s’il vous plait) et ne serait pas « écoresponsable » avec tous ses véhicules, ses déchets et tous « les petits objets, les goodies, les machins qui sont jetés par la caravane ».
C’est parfaitement vrai que ça fait dégueulasse dans les paysages ces « machins publicitaires » inutiles : Supprimons et interdisons les vélos !!!
Ah non, justement ?… bon-bon…
Heureusement les édiles « écololos » ne se contentent pas de parler. Ils agissent aussi en ne perdant jamais de vue qu’ils mènent d’abord un combat « idéologique ».
Dogmatique, quoi et vous savez combien j’adore les dogmes, surtout quand ils sont débiles…
À Grenoble, par exemple, le maire « Riton-Piollet » (élu depuis 2014) a souhaité autoriser le burkini dans les piscines municipales et imposer le menu végétarien dans les cantines scolaires !
Quel rapport avec les jolies fleurs en pot ? Personne ne sait, sauf lui puisque c’est son dogme à lui…
À Lyon, le menu sans viande est également préconisé, ainsi que le « budget genré » qui permettra de vérifier que les dépenses municipales bénéficient autant aux femmes qu’aux hommes…
Et les clodos ? Et les « migrants » ? Et les bambins ? et les « trans » ?
À Tours, le maire « Manuel-Pénis » a même prévu de bâtir une « Maison de l’Hospitalité » dédiée à l’accueil des migrants de passage : Ce n’est pas l’hôtel des postes, mais l’hôtel des passes(âge) (ou pas sage) !
Dans le magazine municipal le « Poitiers Mag », payé par les impôts locaux pour le moins magnifiquement utile aux acéphales locaux, « Léonore-Mon-Kon-d’huy » (encore elle) a fait la promotion de la manifestation publique organisée, les 17 et 18 septembre 2022, par l’association Alternatiba, au cours de laquelle les extrémistes d’Extinction Rébellion ont organisé des ateliers de désobéissance civile.
Je vous le dis, quand le dogme est porté par le responsable élu de l’ordre public républicain, il n’y a aucune contradiction à encourager la « désobéissance civile » premier pas vers l’anarchie-totalitaire !
Ou comment scier la branche sur laquelle on est assis… provisoirement.
Quant à « Âne-Vis-gnon », maire de Besançon, elle a introduit une clause de « bien-être animal » dans les marchés publics et a réalisé des travaux dans une des écoles de la ville en vue de désimperméabiliser la cour de la récréation et, par la même occasion, de la « dégenrer »…
Les gamins sont heureux : Ils pataugent dans la boue dès qu’il pleut un peu et l’usine de traitement des eaux usées ne sait plus quoi faire des eaux de lessive phosphatées…
Deux sujets, comme trait commun, concentrent cependant leurs attaques : L’automobile et le logement.
La ville était cependant l’une des moins embouteillées du pays : Ils n’ont pas à se plaindre mais au contraire, ils devraient se réjouir si plus personne ne peut accéder à leurs boutiques au bénéfice des centres commerciaux de périphérie…
Or, ces embouteillages augmentent la pollution et le taux de CO2 que les « écolologistes » disent vouloir combattre. Quand on vous dit qu’ils sont magnifiques avec leurs dogmes et interdits…
TomTom a calculé qu’à « Paris-sur-la-Seine » les bouchons sont responsables de plus de 13 % des émissions de CO2 liées au trafic routier.
C’est qu’à force de créer des « empêchements » la marmite chauffe plus qu’ailleurs…
Des villes polluées et congestionnées, voilà donc à ce jour le résultat des politiques municipales en faveur des « mobilité douces » !
La mise en place des zones à faibles émissions (ZFE) va peut-être régler une partie du problème (parce que ne comptez pas que le commerce de centre-ville puisse se passer de camionneur-livreur, sauf à fermer les commerce et toutes les activités économiques d’une ville), mais au prix de l’exclusion d’encore plus de citoyens des centres-villes.
Ou quand je vous dis que les dogmes sont source de sectarisme-fasciste…
Ainsi l’encadrement des loyers (limitation des augmentations) est appliqué à « Paris-sur-le-Seine », Lyon et Bordeaux et leur banlieue proche.
D’autres agglomérations ont demandé à rejoindre ce club élitiste en 2023 comme Grenoble et Marseille : Il n’y aura bientôt plus un seul locataire mais que des propriétaire « habitant » dans ces villes…
À « Lutèce » et « Lugdunum », on applique ainsi le plafonnement des loyers (fixation d’un montant maximal). Une mesure dont les effets néfastes apparaîtront bientôt au grand jour : Pénurie de logements, augmentation de la fraude et de la délinquance, insécurité, précarité, ségrégation sociale, mauvaise allocation des ressources, etc.
De plus, avec les « vignettes » « Crit’air » contre les passoires thermiques, le nombre de logement inoccupé va bondir dans les années à venir.
Notez qu’il sera toujours temps de sortir quelques arrêtés de fermeture administrative pour insalubrité puis d’exproprier les occupants pour bâtir des HLM infects et inadaptés à la place…
Mais pas avant une bonne décennie, naturellement et entre-temps, les « SDF » iront garnir les trottoirs laissés libres par les poubelles, disputant le bitume aux rats (espèce devenue « protégée ») !
À Annecy, par exemple, le maire « Fanfan-Astre-orgue » a décidé d’autorité et unilatéralement, sans concertation, de supprimer 52 % des meublés de tourisme (2.200 au lieu de 4.598 aujourd’hui).
C’est autant de loyers en moins pour pouvoir rénover au mieux, ou au moins entretenir correctement.
Et autant de moins de pouvoir d’achat qui irrigue les commerces qui vivent du tourisme tout autour…
Je ne vous dis même pas les dégâts que « Sœur-Âne » va pouvoir faire à « Paris-poubelle » !
La ville finira, comme d’autres, en ruine.
Sans même quelques habitants encore capables de payer le budget municipal qui ira en grossissant pour cause de rénovations… administratives, dans une urbanisme « inclusif » et « écololo-majeur ».
C’est-à-dire « municipalisée » aux mains des maires devenus promoteurs immobiliers avec de l’argent qui ne leur appartient pas, décidant même de l’affectation des habitats à leurs électeurs privilégiés, naturellement…
Parmi elles, Bordeaux, Grenoble, Lyon, Marseille et bien-sûr la kapitale du pays ont décidé d’appliquer le taux maximal de majoration de 60 %, d’un coup d’un seul.
Et ce sera bientôt le cas à Annecy.
Avec respectivement 50,29 % et 50,13 %, Strasbourg et Tours étaient dans la moyenne, quand Annecy, Besançon et Lyon pratiquaient des taux inférieurs à celle-ci. Mais cela risque de ne pas durer !
Elle était de 16,3 % à Marseille, de 16 % à Tours, de 12,6 % à Strasbourg, de 8,8 % à Annecy.
En 2023, la hausse sera de 52 % à « Paris-sous-les-ordures », de 25 % à Grenoble, de 14 % à Marseille, de 11,6 % à Tours, de 9 % à Lyon, de 5,3 % à Annecy, de 4,53 % à Bordeaux…
Autrement dit, les « sales-bourges’ de propriétaires » n’ont pas fini de payer les lubies des maires écolologistes et les locataires en subiront aussi les conséquences en voyant l’offre de logements à la location se raréfier…
Hostiles aux polices municipales et à la vidéosurveillance au début de leur mandat, beaucoup d’entre eux sont en train de réviser leur jugement.
Il faut dire que Lyon, Bordeaux, « Paris-sur-la-plage », Grenoble sont dans le top 10 des villes les plus dangereuses de « Gauloisie-délinquante », bien loin des délires de « Du-Pont-Moriarty » sur la criminalité de la « Corsica-Bella-Tchi-tchi ».
(Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2023/03/tout-ca-pour-ca.html).
Annecy, Besançon, Tours et Poitiers, de taille plus modeste, sont plus paisibles, mais la criminalité y progresse aussi : + 27,4 % à Tours ; + 15 % à Annecy ; + 7,8 % à Poitiers !
On cite parfois Chicago qui a ainsi vu disparaître des sièges sociaux en raison de l’augmentation de la criminalité et de la mauvaise gestion de l’État de l’Illinois. Caterpillar, Boeing et Tyson Foods ont, elles aussi, déjà quitté Chicago…
Ainsi à Barcelone, la maire écologiste « À-dada-Col-haut » entend réduire le tourisme de masse et lutter contre la spéculation : Elle refuse d’agrandir l’aéroport, ferme certains lieux touristiques, sanctionne les entreprises pour mauvaise gestion des déchets.
Airbnb y est quasiment interdit.
Des immeubles résidentiels appartenant à des banques ont été expropriés pour en faire des logements sociaux à destination de leurs « sans-dent ».
Tout cela sur fond de velléités séparatistes au niveau régional…
Plus de 7.000 entreprises ont ainsi quitté la Catalogne, dont la moitié pour la région de Madrid où les impôts sont moins élevés et le climat plus favorable aux affaires.
De toute façon, à part des sièges vides qui dégagent à la Défense, à « Paris-sous-les-ordures », il n’y en a plus. Les usines ont dégagé depuis longtemps, même les « Grands-moulins » et les usines d’incinération de nos ordures sont situées en banlieue.
Il n’y a plus que des ministères, des locaux de bidule étatiques divers et avaris (les comités Théodule) et des églises…
Je crois que le diocèse est un des plus gros propriétaire foncier de ma ville, juste derrière la puissance publique et les bailleurs sociaux…
Et en ce qui concerne « Paris-Ville-Lumière », les JO vont masquer ces échecs « écolologistes » qui laisseront un mauvais souvenir aux athlètes du monde entier : Pas de climatisation autorisée dans le village olympique !
Espérons pour eux que la météo soit à la douce pluie d’été…
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