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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 29 mars 2023

Visite de « Xi-Ping-pong » à Moscou.

 C’est curieux… on n’en parle déjà plus !
 
Et pourtant, il pourrait s’agir d’une étape importante de notre futur géopolitique : La Russie de « Poux-tine » se tourne vers Pékin et « Xi » en fait même le déplacement.
Il est pourtant loin le temps où l’empire communiste soviétique toisait l’empire communiste maoïste !
Il se trouve que la semaine dernière, à Moscou, les dirigeants chinois et russe ont révélé leur engagement commun à « redéfinir l’ordre mondial », une entreprise qui n’a « pas été vue depuis 100 ans ».
 
Ce qui vient de se passer à Moscou pourrait n’être rien de moins qu’un nouveau Yalta, qui, soit dit en passant, se trouve en Crimée occupée.
Mais contrairement à la rencontre capitale entre le président des États-Unis Franklin Roosevelt, le dirigeant soviétique Joseph Staline et le Premier ministre britannique Winston Churchill en Crimée, territoire de l’URSS en 1945, c’est la première fois depuis sans doute cinq siècles qu’aucun dirigeant politique de l’Occident ne fixe l’ordre du jour mondial.
 
Ce sont les présidents chinois et russe qui dirigent désormais le spectacle multilatéral et même « multipolaire » !
Et mes « petits-kamarades-trolls » russes s’en donnent à cœur-joie : Les « exceptionnistes occidentaux » peuvent déployer leur routine de pleurnichards autant qu’ils le veulent, disent-il, rien ne changera les aspects spectaculaires et la substance sous-jacente de cet ordre mondial en développement, en particulier pour le Sud mondial.
 
Ils se trouve que les objectifs de « Xi » et de « Poux-tine » ont été expliqués en détail avant leur sommet, dans deux articles d’opinion rédigés par les présidents eux-mêmes. Tel un ballet russe hautement synchronisé, la vision de « Poux-tine » a été exposée dans le Quotidien du Peuple en Chine, en mettant l’accent sur un « partenariat tourné vers l’avenir », tandis que celle de « Xi » a été publiée dans la Gazette russe et sur le site web de RIA Novosti, en mettant l’accent sur « un nouveau chapitre de la coopération et du développement commun ».
 
Il paraît, à les lire, que dès le début du sommet, les discours auraient plongé la foule de l’OTAN dans une frénésie hystérique de colère et d’envie : La porte-la-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova (pas encore empoisonnée) aurait parfaitement saisi l’ambiance lorsqu’elle a fait remarquer que l’Occident avait « l’écume à la bouche ».
Vous avez vu ça, vous ?
 
Au contraire, moâ j’ai vu qu’à la première page de la Gazette russe de lundi en huit un sosie de « Poux-tine » visitait la ville de Marioupol, « libérée de ses nazis », et discutant avec les habitants, côte à côte avec l’éditorial de « Xi ».
C’était, en résumé, la réponse de Moscou à la cascade du MQ-9 Reaper de Washington incapable d’éviter la manœuvre de percussion d’un Mig au-dessus de la Mer Noire, ainsi qu’aux inculpations de la Cour pénale internationale (CPI).
Et de rappeler que lors de leur première rencontre « informelle », « Xi » et « Vlad » se sont entretenus pendant pas moins de quatre heures et demie.
À la fin, le russe a personnellement escorté « Xi » jusqu’à sa limousine. Cette conversation était paraît-il la véritable affaire : Tracer « les lignes directrices de la multipolarité », qui commence par une solution pour l’Ukraine.
 
Comme on pouvait s’y attendre, il y a eu très peu de fuites mais il y en a eu une assez importante concernant leur « échange approfondi » sur l’Ukraine : « Poux-tine » a poliment souligné qu’il respectait la position de la Chine, exprimée dans le plan de résolution du conflit en 12 points de Pékin, qui a été complètement rejeté par Kiev.
Mais la position russe reste inébranlable : Démilitarisation, neutralité de l’Ukraine et prise en compte des nouveaux faits sur le terrain.
Parallèlement, le ministère russe des Affaires étrangères a totalement exclu que les États-Unis, le Royaume-Uni, la « Gauloisie » et la « Teutonnie » puissent jouer un rôle dans les futures négociations sur l’Ukraine : Ils ne sont pas considérés comme des médiateurs neutres depuis l’échec du « format de Normandie », sciemment torpillé par Moscou… et le soutien qu’ils apportent à Kiev qui donne tant de fil à recoudre aux héritiers de feu la puissante « armée rouge »…
 
La journée suivante a été consacrée aux affaires : De l’énergie à la coopération « militaro-technique » en passant par l’amélioration de l’efficacité des corridors commerciaux et économiques traversant l’Eurasie.
La Russie est déjà le premier fournisseur de gaz naturel de la Chine, devant le Turkménistan et le Qatar (ce dernier cherchant des clients en Europe, on se demande bien pourquoi…).
La majeure partie de ce gaz est acheminée par le gazoduc « Force de Sibérie » qu’aucun plongeur ne pourra saboter, d’une longueur de 3.000 km, qui relie la Sibérie à la province chinoise du Heilongjiang, dans le Nord-Est du pays. Les négociations sur le gazoduc « Force de Sibérie II », qui passera par la Mongolie, progressent rapidement me fait-on savoir.
Un seul ne suffisait pas ?
 
On nous promet que la coopération sino-russe dans le domaine de la haute technologie va exploser : 79 projets pour plus de 165 milliards de dollars !
Tout y passe, du gaz naturel liquéfié (GNL) à la construction aéronautique, en passant par la construction de machines-outils, la recherche spatiale, l’agro-industrie, les corridors économiques améliorés, etc.
Le président chinois a même explicitement déclaré qu’il souhaitait lier les projets de la nouvelle route de la soie à l’Union économique eurasiatique (UEE).
Cette interpolation entre la BRI et l’UEE est une évolution naturelle : La Chine a déjà signé un accord de coopération économique avec l’UEE.
Enfin, il y aura un nouvel élan vers des règlements mutuels en monnaies nationales ― et entre l’Asie et l’Afrique, et l’Amérique latine.
À toutes fins utiles, « Vlad » a approuvé le rôle du Yuan chinois en tant que nouvelle monnaie commerciale de choix, tandis que les discussions complexes sur une nouvelle monnaie de réserve adossée à l’or et/ou aux matières premières se poursuivent.
Et dire qu’il avait jusque-là entassé des dollars « ricains » pour des jours meilleurs…
Notez que les deux pays sont également longtemps restés acheteurs de « tas d’or ».
 
Une offensive économique et commerciale conjointe s’inscrit dans le cadre de l’offensive diplomatique concertée entre la Russie et la Chine visant à remodeler de vastes pans de l’Asie occidentale et de l’Afrique.
Ils ne se sentent même plus pisser…
La diplomatie chinoise fonctionnerait comme la « matryoshka » (poupées russes empilées) en termes de transmission de messages subtils, m’a-t-on affirmé.
Parallèlement, plus de 40 délégations africaines sont arrivées à Moscou un jour avant « Xi » pour participer à une conférence parlementaire intitulée « Russie-Afrique dans le monde multipolaire », en prélude au deuxième sommet Russie-Afrique qui se tiendra en juillet prochain.
 
Les meks, après un an de guerre chez un vassal-rebelle, au moins 150.000 morts sous l’uniforme et la moitié des blindés défoncés, la puissante aviation militaire russe n’osant même plus s’aventurer au-dessus de l’Ukraine, se voit déjà conduire une « empire multipolaire » avec des chinois qui pataugent avec leurs virus et qui n’osent même pas envahir la « province rebelle » de Taiwan après plus de 40 ans d’agitation…
Voilà qui reste extraordinaire, n’est-ce pas ?
 
On m’a rapporté (probablement pour que je vous le signale) que la zone entourant la Douma ressemblait à l’ancienne époque du Mouvement des non-alignés (MNA), les batteries anti-aériennes en plus, lorsque la plupart des pays africains entretenaient des relations anti-impérialistes très étroites avec l’URSS.
Tout le monde connaît la suite qui s’acheva avec la chute du Mur de Berlin.
Mais « Poux-tine » a choisi ce moment précis pour annuler plus de 20 milliards de dollars de dettes africaines… De toute façon, ils sont insolvables et ça fait les affaires de la Banque Mondiale.
 
En Asie occidentale, la Russie et la Chine semblent vouloir agir de manière totalement synchronisée. Le rapprochement entre l’Arabie saoudite et l’Iran a été lancé par la Russie à Bagdad et à Oman : Ce sont ces négociations qui ont abouti à la signature d’un accord à Pékin.
Moscou coordonne également les discussions sur le rapprochement Syrie-Turquie. La diplomatie russe avec l’Iran ― désormais sous le statut de partenariat stratégique ― est maintenue à l’écart.
Et des sources diplomatiques confirment que les services de renseignement chinois, par le biais de leurs propres enquêtes, sont désormais pleinement convaincus de la grande popularité de « Poux-tine » dans toute la Russie, et même au sein des élites politiques du pays, puisque tous les opposants sont sous les verrous ou empoisonnés comme encore tout récemment.
Ce qui signifierait, à leurs yeux, que les conspirations de type changement de régime sont désormais hors de question.
Il faut dire que Pékin fait « très fort » avec ses propres opposants à « la ligne » du parti.
Même les milliardaires de leur « tech » rentrent au bercail, queue basse…
 
Ces éléments ont joué un rôle fondamental dans la décision de « Xi » et du Zhongnanhai (le siège central du parti et de l’État chinois) de « parier » sur « Poux-tine » en tant que partenaire de confiance dans les années à venir, étant donné qu’il pourrait se présenter aux prochaines élections présidentielles et les remporter.
La Chine s’inscrit comme toujours dans la continuité…
 
Ce sommet aurait donc « définitivement » consacré la Chine et la Russie comme des partenaires stratégiques globaux à long terme, déterminés à développer une concurrence géopolitique et géoéconomique sérieuse avec les occidentaux sur le déclin, empêtrés jusqu’en « Gauloisie-éternelle » dans leurs bassines !
Tel serait le « nouveau monde » né à Moscou la semaine dernière.
En rappelant que « Poux-tine » l’avait précédemment défini comme une nouvelle politique anticolonialiste. Il s’agit désormais d’un patchwork multipolaire.
La démolition de la « Pax Americana » en deviendrait même irréversible.
 
Pour ma part, et j’en suis presque convaincu, il est certain que l’amitié sans limite proclamée en 2022 entre les deux pays masque une dépendance croissante de la Russie vis-à-vis de la Chine qui ne pourra que susciter, à terme, un certain malaise à Moscou.
Finalement ce sommet « Xi-Poux-tine » ressemblait davantage à la visite d’un seigneur à son vassal qu’à une rencontre entre égaux.
 
La « connivence » entre les deux pays est extrêmement solide, et on se bercerait d’illusions à imaginer que la Chine puisse lâcher la Russie dans son aventure ukrainienne.
S’il n’était évidemment pas question pour « Xi » de renoncer à son déplacement du fait des mandats d’arrêt délivrés par la Cour pénale internationale (la Chine n’était au demeurant pas partie au Traité de Rome l’ayant instituée), il reste que le leader chinois restera dans les mémoires comme le premier dirigeant de haut rang à avoir rencontré « Vlad » après la décision de la CPI.
La déclaration commune met en exergue les « intérêts légitimes de sécurité » de chaque pays, ce qui revient à avaliser, dans les faits, le raisonnement russe selon lequel l’Ukraine pouvait constituer une menace pour Moscou.
Quant à l’initiative de « règlement politique » de Pékin, elle permet tout à la fois à la Chine, sur la forme, de se donner le beau rôle dans le monde diplomatique, et à la Russie, sur le fond, de voir ses positions endossées par son grand voisin.
Pas mal joué, finalement.
 
Sur le plan commercial, les échanges entre les deux pays ont plus que doublé en volume depuis dix ans et, début 2023, la Russie devenait le premier fournisseur de pétrole brut à la Chine.
La durée de cette lune de miel dépasse désormais celle des trois décennies de brouille sino-soviétique (une station lunaire commune est d’ailleurs à l’ordre du jour).
Rappelons également qu’un véritable pacte de désinformation par lequel les deux pays prévoient d’échanger les bonnes pratiques dans le domaine de la désinformation a été signé en 2021 : Il a été rapporté que lorsqu’un rapport de l’université de Tsinghua tenta de convaincre les dirigeants chinois que l’économie russe n’avait pas d’avenir, « Xi-Ping-pong » aurait écrit dans la marge : "派胡言" (ce qui se traduit du mandarin par « n’importe quoi ») !
Les borgnes restent décidément les rois au pays des aveugles…
 
Par ailleurs, l’asymétrie dans la relation entre les deux pays, qui a souvent été décrite comme une inversion au regard de la situation qui prévalait dans les années 1950 et 1960, est de plus en plus importante.
Le sommet n’a vu aucune annonce majeure, ou inattendu, pas même une réitération du caractère « sans limite » de l’amitié proclamée et le plan de coopération accompagnant la déclaration commune est un catalogue de banalités.
Pékin, qui certes assiste discrètement l’effort de guerre russe via notamment la fourniture de semi-conducteurs pour ses équipements militaires, n’a manifesté aucun signe de vouloir s’engager plus avant.
 
La confirmation par Poutine ― mais par lui seul ― à cette occasion, de la construction du gazoduc « Force de Sibérie 2 » illustre la dépendance nouvelle de Moscou vis-à-vis de Pékin pour l’exportation de ses hydrocarbures, mais aussi pour son commerce en général : La Chine est devenue, et de loin, le premier partenaire commercial de la Russie ― représentant entre 30 et 40 % de ses échanges ― l’inverse n’étant évidemment pas vrai.
« Poux-tine » a été vu raccompagnant personnellement « Xi » à sa voiture et n’a pas été avare de propositions nouvelles pour l’approfondissement de la coopération entre les deux pays.
Il a évoqué la réorientation du commerce agricole russe vers l’Est, l’assistance de Pékin pour le développement des régions les plus reculées du pays (l’Extrême-Orient et l’Arctique), l’emploi du Yuan dans les transactions commerciales (dont les réserves russes ont été accrues au détriment de celles libellées en dollars), et l’invitation aux sociétés chinoises de prendre la place des firmes occidentales qui quittent le pays du fait des sanctions.
À ce stade, il s’agit davantage de preuves d’amour que d’un projet de vie commune.
 
Enfin, la relation entre les deux grands pays reste empreinte d’une certaine méfiance mutuelle.
De fait, tout cela ne fera pas et ne sera sans doute jamais une alliance au sens strict du terme.
Certes, des exercices militaires conjoints de grande ampleur sont désormais organisés, et de même que des patrouilles conjointes dans l’environnement maritime de la Chine.
En sus des ventes d’armes, de grands programmes de défense sont désormais envisagés. Mais Pékin n’interviendra pas à l’Ouest pour défendre la Russie, et Moscou n’interviendra pas à l’Est pour défendre la Chine.
Et les terrains de rivalité ou de désaccords ne manquent pas, de l’Asie centrale aux Balkans en passant par l’Arctique.
 
Si la Russie ne craint guère que des hordes de Chinois déferlent un jour sur l’Extrême-Orient du pays, elle constate sans doute avec inquiétude le déséquilibre démographique qui s’accroît entre les deux rives de l’Amour et semble craindre une forme de « grand remplacement » à bas bruit.
Sauf que les deux pays sont entrés activement l’un et l’autre depuis plusieurs années dans leur « transition démographique ». Par la force des choses en Russie, par la contrainte en Chine.
Et on imagine qu’elle s’interroge sur le sens du maintien d’un musée mettant en exergue « des siècles d’agressions russes » dans la ville frontalière de Heihe, pourtant promise, avec l’ouverture d’un nouveau pont sur le fleuve, pour symboliser l’amitié entre les deux pays et la dynamique de leur relation commerciale.
Ou, sur l’apparente volonté de Pékin de mettre désormais en exergue les noms chinois de villes ou de lieux conquis par Moscou, Vladivostok redevenant Haishewai.
De son côté, la Chine, si elle bénéficie sans doute indirectement de la guerre en Ukraine en ce qu’elle fixe les forces américaines en Europe, s’inquiète probablement des conséquences à moyen terme de l’aventure lancée par « Poux-tine ».
 
Dès lors, il paraît raisonnable d’émettre l’hypothèse que la Chine souhaite que la Russie ne soit ni trop forte, ni trop faible.
Pékin n’aime pas le chaos, et l’effondrement du régime, a fortiori de l’État ne serait pas une bonne nouvelle pour Pékin : Elle préférerait forcément et nettement que la Russie soit son Canada plutôt que son Mexique !
 
Quoi qu’il en soit, deux illusions sont dissipées : La première est que nous, occidentaux sommes les principaux responsables de cette « entente cordiale ».
Personnellement, je m’en félicite, au moins jusqu’à un certain point.
Les sanctions imposées à la Russie depuis 2014 et surtout depuis 2022 ont un effet mécanique de réorientation du commerce russe vers l’Est, mais ce mouvement est d’abord et avant tout le produit des choix stratégiques délibérés des deux pays depuis plus d’une décennie.
La seconde découle de la première : Prétendre séparer Moscou de Pékin, a fortiori de ramener la Russie dans le giron européen, n’est pas pour l’heure une option diplomatique réaliste.
 
Ce qui a mon sens est un contresens que je déplore, une injure à l’Histoire du monde chrétien, de la civilisation « Judéo-chrétienne » dont le berceau historique reste la Méditerranée.
Et ce sera étendue sur tout le globe par la seule force du Verbe, hors la civilisation confucianiste et depuis moins longtemps islamique.
C’est là les « trois mondes » qui restent incompatibles entre eux : On le vit (presque) en paix sous nos latitudes (quoiqu’en disent quelque célèbre acteur porno qui fait dans la littérature et d’autres zélés-pourfendeurs de nos bassesses qui font « politique »).
Ils peuvent vivre en bon voisinage, je n’en doute pas une seule seconde, mais que la patrie de « Poux-tine » devienne la vassale de « l’empire du milieu » aurait tendance à me faire hurler : D’abord d’effroi puis ensuite de rire !
 
Quel gâchis : Ce n’est pas une génération qui va être perdue, mais au moins deux sinon trois !
De quoi en rester écœuré jusqu’à ma mort (que du coup j’aspire désormais à être rapide…)
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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