Jean-Marc raconte…

Un banal accident domestique !
 
C’est l’histoire de Germaine (son épouse « Marie-Germaine ») qui sent comme une étrange odeur de brûlé provenant de sa cuisine : Elle a mis le feu dans sa cuisine et le détecteur de fumée sonne alors soudainement à en vriller les oreilles des voisins.
Ni une ni deux, prenant son courage à deux mains, elle tente d’étouffer l’incendie mais doit rapidement y renoncer : L’odeur est épouvantable !
Alors elle se saisit du combiné téléphonique et appelle les pompiers pour demander du secours :
« Ma maison est en feu ! », hurle-t-elle.
« Calmez-vous Madame », lui répond une voix rassurante, « et expliquez-moi comment on vient chez vous. »
Et Germaine de répondre, interloquée :
« Ben vous n’avez qu’à prendre votre joli camion rouge ! »
 
C’est l’histoire de Monica qui se promène sur la plage…
Elle aperçoit un vase qui a sans doute été transporté par les vagues.
Elle le ramasse, le trouve joli et le frotte…
Et un génie en sort, comme dans les contes de fée.
« ― Monica, tu n’as pas été sage dernièrement et je ne t’accorde qu’un seul souhait.
― Je n’ai pas besoin de la popularité, je l’ai obtenu grâce aux médias.
Je n’ai pas besoin d’argent, j’en gagne pas mal avec mes livres, mes apparitions à la télé et ma boutique sur Internet.
Mais comme je suis un peu rondelette, je voudrais que tu élimines mes poignées d’amour. »
Le génie s’exécute et vlan, elle n’a plus d’oreilles !
 
C’est l’histoire de Jean-Marc qui rate son virage et s’écrase contre un arbre.
Il s’extirpe du véhicule tout cassé-plié et réalise que seul son dentier est lui aussi cassé.
Par chance, il raconte cela au bon samaritain qui s’est arrêté pour l’aider.
« ― Mais j’en ai plein dans ma voiture. Vous voulez en essayer ?
― Wow ! Super ! Merci. »
En attendant le dépanneur, il en essaye une dizaine et en trouve un qui fait l’affaire.
« ― Dans mon malheur » dit-il, « j’ai tout de même de la chance de tomber sur un dentiste.
– Je ne suis pas dentiste, je suis croque-mort. »
 
On continue l’inventaire de Jean-Marc ?
Voici encore plusieurs raisons qui font que c’est vraiment génial d’être un homme…
11 – Vos fesses ne sont jamais un critère lors d’une entrevue pour un emploi.
12 – Vos orgasmes sont toujours réels.
13 – Quelques bières ne vous rendent pas invisible aux yeux du sexe opposé.
14 – Vous ne vous faites pas attaquer par des gars munis de casques de hockey.
15 – Vous n’avez pas à trimballer un plein sac de choses utiles partout où vous allez.
16 – Vous pouvez aller dans les toilettes publiques sans être accompagné.
17 – Votre patronyme ne change pas.
18 – Vous pouvez laisser la chambre d’hôtel sans faire le lit.
19 – Lorsque l’on critique votre travail, vous n’avez pas l’impression que tout le monde vous hait.
20 – Vous pouvez abattre un gibier pour vous nourrir.
21 – Vous pouvez utiliser la totalité de votre garage.
22 – Vous obtenez des faveurs aux simples gestes d’attention à l’égard de l’autre.
23 – Vous n’avez jamais besoin de nettoyer la toilette.
24 – Vous pouvez prendre une douche et être prêt à partir dans 10 minutes.
25 – Le sexe n’est pas une atteinte à votre réputation.
26 – La planification d’un mariage se fait automatiquement.
27 – Si une personne oublie de vous inviter à une réception, elle peut rester encore votre ami.
28 – Vos sous-vêtements coûtent 10 € le paquet de trois.
29 – Les concours de “Cheerleader” ne vous font pas perdre la tête.
30 – Vous n’avez pas à vous raser plus bas que le cou.
31 – Vous n’avez pas à étaler votre poitrine pour obtenir un sourire.
 
Rentrée à la maison, Marie-Valérie très embêtée, annonce à son petit frère Jean-Robert :
« ― Il m’arrive une sacrée tuile ! Le docteur dit que je suis enceinte.
― Ah, formidable ! » s’écrie Jean-Robert vraiment tout joyeux.
« ― Comment ça, tu te réjouis que je sois enceinte ?
Papa va me tuer !
― Peut-être, mais quand tu auras avoué toutes tes conneries à Papa, il signera mon carnet de notes sans même le regarder ! »
 
Un jeune cadre dynamique explique à son collègue de travail :
« ― Ma femme a enfin trouvé un job à mi-temps !
― Ah oui… Dans quel secteur ?
― Elle garde les enfants de notre femme de ménage ! »
 
Marie-Chantal papote avec Germaine devant un thé.
« ― J’ai enfin eu les poissons tropicaux dont je rêvais tant !
― Ah oui ? Où les mets-tu ?
― Dans ma baignoire !
― Mais que fais-tu quand tu veux prendre ton bain ?
― J’ai pensé à ça ! Je vais leur mettre des bandeaux sur les yeux ! »
 
Jean-Paul se présente pour décrocher un poste dans une entreprise.
Le directeur lui précise :
« ― Ce que nous recherchons avant tout, c’est quelqu’un de responsable.
― Alors là, vous ne pouvez pas tomber mieux ! Dans tous mes emplois précédents, chaque fois qu’il se passait quelque chose, on disait que c’était moi le responsable ! »
 
Une « revenue » de très loin…
Un motard fonce sur son engin à très vive allure sur une route déserte quand il se trouve nez à nez avec un petit moineau.
Il fait tout ce qu’il peut pour éviter le malheureux oiseau, mais, rien à faire, la collision est inévitable !
Il voit, dans le rétroviseur, la malheureuse petite bête faire des pirouettes sur le bitume, puis tomber sur le dos, ailes étendues.
Pris de remords, il s’arrête, ramasse la bestiole inconsciente, achète une petite cage, et l’y installe douillettement, avec un peu de pain et une soucoupe d’eau pour quand elle se réveillera.
Le lendemain, l’oiseau se réveille, voit les barreaux de la cage, le morceau de pain et la soucoupe d’eau, se prend la tête entre les ailes et s’exclame :
« Nom d’une buse ! J’ai tué le motard et me voilà en taule ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, chacun devant une bière au café du coin, se posent des devinettes :
« ― Quelle est la différence entre un appel anonyme et un Tampax ?
― Comment veux-tu que je sache ?
― Avec le Tampax, on sait qui est au bout du fil ! »
 
Une femme désire que l’on n’envoie pas de fleurs lorsqu’elle sera décédée.
Elle préfère qu’on envoie de l’argent à l’association de la maladie qui l’aura emportée.
Son amie lui dit :
« Et si tu meurs dans un accident de voiture, est-ce que j’envoie mon chèque à Renault ? »
 
Une vieille fille vient de mourir. Dans son testament c’était inscrit qu’elle voulait que sur sa pierre tombale, se soit écrit :
« Est née vierge, a vécu vierge et est morte vierge. »
Le marbrier qui gravait les pierres tombales n’avait pas assez de place pour écrire tout cela, alors il a écrit :
« Renvoyée non décachetée ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une autre bière :
« ― Donne-moi le temps utilisé dans les phrases qui suivent : Ma copine chérie était enceinte…
― C’est l’imparfait ?
― Très bien. L’imparfait, bien sûr !
― Et : Ma copine chérie est enceinte…
― Le présent ?
― Bien joué ! Ma copine chérie sera enceinte…
― Le futur ?
― Eh bien non ! C’est l’imparfait du préservatif ! »
 
Germaine dit à son mari :
« Chéri, je trouve qu’il manque de magie dans notre vie de couple. »
Alors, Jean-Marc lui répond :
« C’est vrai ça ! Disparais donc ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul…
« ― Peux-tu me nommer six jours de la semaine ne finissant pas par « di » ?
― Euh, pas lundi, ni mardi. Pas mercredi, pas plus que jeudi, ni vendredi ni samedi. Il y a dimanche et aucun autre ! C’est con ta question !
― Faux ! Il y a avant-hier, hier, aujourd’hui, demain, après demain et effectivement Dimanche ! »
 
Jean-Marc s’inquiète auprès de Germaine :
« ― Je me demande bien ce que tu ferais si je n’étais pas là pour tout faire dans la maison.
― C’est simple je me remarierais.
― Comment ça ?
― Il me faudrait quelqu’un pour te remplacer.
― Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour monter et tondre ma pelouse l’été ?
― Oui.
― Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour faire les courses ?
― Oui.
― Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour descendre les poubelles ?
― Oui.
― Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour conduire ma voiture ?
― Oui.
― Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour utiliser mes clubs de golf.
― Ah non !
― Comment ça ?
― Il est gaucher. »
 
Juste avant de recevoir quelques amis pour dîner, Germaine se plaint à son mari :
« ― C’est pas possible, Jean-Marc ! Regarde les vieux vêtements que je suis obligée de porter. Je n’ai plus rien à me mettre !
― Ce n’est pas si mal…
― Pas si mal ? Tu vas voir, tes amis vont me prendre pour la cuisinière de la maison !
― Peut-être, mais ils changeront d’avis après le repas. »
 
Dans la série des inventaires de Jean-Marc : Les dix qualités d’un pénis
1- Il a le sens de la famille, la preuve : Il est toujours prêt.
2- C’est un être intelligent : Il a la tête plus grosse que le corps.
3- C’est un individu plein de vaillance : Il se lève toujours debout quand on a besoin de lui.
4- C’est un dur de dur.
5- Il a un grand cœur : Il donne toujours du plaisir à sa partenaire.
6- Il peut travailler dans n’importe quelle position, aussi bien de jour que de nuit.
7- Plein de courage, il n’a pas peur d’aller au fond des choses.
8- Côté médical : Il a toujours une crème antigercure à la portée de la main.
9- Il a la peau douce comme celle d’un bébé.
10- Côté pratique pour ces dames : Il peut servir de jouet ou comme outil à leur bonheur.
 
Ces 7 défauts :
1- Il a un trou dans la tête.
2- Il a un cerne autour du col.
3- Il a deux gosses à sa charge.
4- Son plus proche voisin est un trou du cul.
5- Il travaille au noir.
6- Il paye en liquide.
7- Il s’évanouit après son travail.
 
C’est l’histoire de la malheureuse épouse d’un gangster qui vient d’être guillotiné et qui promène son petit garçon dans un parc.
Sa voisine s’émerveille :
« ― Mon Dieu ! Comme ce garçon a grandi !
― Oui ! C’est sûr qu’il aura au moins une tête de plus que son père ! »
 
C’est l’histoire d’un monsieur agé avec les dents carriées se présente à la caisse du resto pour payer sa facture.
Une soucoupe pleine de cure-dents est disponible, alors il en prend un et se dépêche à curer ses dents tout en attendant sa monaie de la caissière.
Une fois ses dents nettoyées, il replace le cure-dents dans la soucoupe et en s’adressant à la caissière, il lui dit tout bas :
« ― Vous devez vous en faire voler beaucoup !
― Non pas du tout… Les gens ont la gentilesse de les remettre après usage… »
 
C’est une religieuse d’antant qui, un jour est prise de panique car elle engraissait trop vite.
Elle se rend chez le médecin pour lui faire part de ses inquiétudes et apprendre quoi faire pour que ça cesse.
Après examen le médecin lui dit :
« ― Vous êtes enceinte.
― C’est impossible vous vous trompez sûrement Docteur, je suis au couvent et depuis toujours et je ne sors jamais.
― Avez-vous couché avec un homme ?
― Non, mais non, jamais !!!
― Essayer de vous souvenir, il y a environ 6 ou 7 mois, vous n’avez pas eu de relation avec un homme ?
― Non, non, je vous assure docteur !
― Il s’est surement passé quelque chose ?
― Oh, il y a 6 mois, il y a eu un incendie au couvent et j’étais presqu’étouffée par la fumée, je ne pouvais plus marcher et un pompier m’a amenée dans une chambre chez des voisins et il m’a aidé un bon moment… et dire que pendant tout ce temps-là je pensais qu’il me faisais la respiration artificielle… »
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !