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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 17 mars 2023

Si le hasard fait bien les choses,

Ce n’est pas par hasard que tu lis ce post !
 
Attablés au comptoir d’un café, Jean-Marc et Jean-Paul discutent chacun devant sa bière matinale.
« ― Sais-tu que ta femme ne porte pas de culotte ?
― Oui, je le sais. Mais qui te l’a dit ?
― Mon petit doigt… »
 
Un homme demande à Dieu :
« ― Pourquoi les seins des femmes tombent avec le temps ?
― Ah ! Mais comment voulais-tu que je sache qu’elles marcheraient debout… un jour ? »
 
Jean-Marc et Jean-Paul se posent des « colles » :
« ― Comment peut-on marier, dans ce monde, une femme riche, belle, intelligente et jeune ?
En se mariant quatre fois, non ? »
 
À propos de hasard :
« Si le hasard fait bien les choses, tu n’as pas dû être fait par hasard. »
 
Toujours Jean-Marc et Jean-Paul, devant une autre bière matinale, philosophent :
« Tu sais, une femme s’inquiète de son avenir jusqu’au jour où elle se marie.
Et un homme s’inquiète de son avenir à partir du jour où il se marie. »
 
Ils persistent :
« ― Qu’elle est la différence entre un citron, un hamburger et un homme ?
― Je ne vois pas…
― Un citron est sûr, un hamburger est épais et  un homme c’est sûr que c’est épais !
― Bof… »
 
« ― Qu’elle est la différence entre un orteil et un pénis ?
― Arf, que veux-tu que je te réponde ?
― Qu’il n’y en a pas, ils sont tous les deux au bout d’un pied.
 
« ― Pourquoi les politiciens sont comme les couches des bébés ?
― Ah ça je sais : Il faut les changer régulièrement et ce, pour les mêmes raisons ! »
 
« ― Et tu connais la différence entre l’anxiété et le désespoir ?
― Pas vraiment. Une question d’intensité ou de durée, peut-être…
― L’anxiété, c’est quand un homme s’aperçoit pour la première fois qu’il ne peut plus deux fois.
Et le désespoir, c’est quand un homme s’aperçoit pour la deuxième fois qu’il ne peut plus une fois. »
 
« ― Il ne faut pas juger un homme par ses fréquentations.
  Je sais : Judas avait des amis irréprochables. »
 
« ― Il y a des femmes, comme ça qui n’aiment pas faire souffrir plusieurs hommes à la fois, elles préfèrent se concentrer sur le même…
― Oui, je sais : Ce sont les femmes fidèles ! »
 
Aux États-Unis, c’est l’histoire d’un type est condamné à la chaise électrique.
Curieux de nature, il ne peut résister au besoin de questionner le bourreau au moment où celui-ci l’attache à la chaise :
« ― Dites, comment ça marche, votre truc ?
― Ne vous en faites pas, je vais vous mettre au courant rapidement… »
 
Jean-Marc tambourine à la porte d’un sex-shop.
« ― C’est un scandale », hurle-t-il. « Retirez ça immédiatement ! Vous entendez, enlevez-moi ça tout de suite ! »
Voulant éviter un scandale, le gérant sort affolé :
« ― Mais enlever quoi ?
― La buée ! On n’y voit rien ! »
 
Depuis plusieurs années, Jean-Marc et Germaine font chambre à part parce que l’un et l’autre s’accusent réciproquement de ronfler.
Une nuit, Jean-Marc est réveillé par des cris d’effroi de son épouse.
Il se précipite dans sa chambre juste le temps de voir un homme s’échapper par la fenêtre.
« ― Que s’est-il passé ? » crie-t-il, bouleversé.
« ― Un type s’est introduit ici et m’a violée à deux reprises !
― Comment à deux reprises ? Pourquoi n’as-tu pas crié tout de suite ?
― Parce que je croyais que c’était toi !
Ce n’est que quand il a voulu remettre ça que j’ai compris. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, attablés devant leur bière méridienne :
« ― Sais-tu que la lumière voyage plus vite que le son ?
― Bien sûr que je le sais. D’ailleurs, n’as-tu jamais constater que certaines personnes peuvent te paraître brillantes jusqu’à ce qu’elle parlent ? »
 
C’est l’histoire de Jésus qui entre dans Jérusalem avec ses disciples et d’autres fidèles.
En marchant, il rencontre une femme qui pleure au pas de sa porte, alors Jésus lui dit :
« ― Femme pourquoi pleures-tu ?
― Mon mari est mort.
― Montre-moi ton mari. »
Alors Jésus s’approcha de l’homme et lui dit :
« Homme, lève-toi et marche. »
Alors l’homme se leva et marcha.
La femme dit alors à Jésus :
« Tu es le Seigneur, tu peux tout. »
Jésus lui répondit :
« Oui, je peux tout. »
Jésus, continuant sa marche, rencontra un homme qui pleurait sur le pas de sa porte.
Jésus lui dit :
« ― Homme, pourquoi pleures-tu ?
― Ma femme est morte.
― Montre-moi ta femme ! »
Alors Jésus s’approcha de la femme et lui dit :
« Femme, lève-toi et marche. »
Alors la femme se leva et marcha.
L’homme dit alors à Jésus :
« Tu es le Seigneur, tu peux tout. »
Jésus lui répondit :
« Oui, je peux tout. »
Continuant sa route, Jésus rencontra un autre homme qui pleurait, assis sur le pas de sa porte.
Il lui dit :
« ― Homme, pourquoi pleures-tu ?
― Je suis né russe ! » répondit l’homme.
Alors Jésus s’est assis et pleura avec lui.
 
Ça se passe de nos jours en « Ritalie ».
Un homme va à confesse :
« ― Pardonner-moi, mon père, car j’ai péché. Pendant la dernière guerre, j’ai caché un réfugié dans mon grenier.
― Ce n’est pas un péché.
― Je lui ai fait payer un loyer.
― Ce n’est pas très charitable, mais vous couriez un risque.
― Oh merci, mon père ! Mais j’ai encore une question à vous poser.
― Je vous écoute, mon fils.
― À votre avis, dois-je lui dire que la guerre est finie ? »
C’est une variante de celle où un « brave » cache une réfugiée dont il abuse durant l’occupation nazis…
 
Parmi les revenues du moment :
Un journaliste est venu interroger un homme de 95 ans :
« ― Hé bien, mon brave monsieur, quel est le secret de votre longévité ?
― J’ai une vie bien réglée, moi, monsieur, le matin, à 6 heures pétante, je fais pipi. Et vers 6 heures 30 je fais caca !
― Ha bon ? … Et ensuite ?
― Ben ensuite… Je me lève, tudiou ! »
À l’origine elle visait « le Chi » sur ses vieux jours…
 
Lu pour vous, une annonce dans un hebdomadaire d’annonces matrimoniales :
« Haïtien recherche compatriote pour partager misère noire. »
 
C’est l’histoire d’une femme qui dit, au petit-déjeuner, à son mari :
« J’te parie que tu ne sais même pas quel jour on est aujourd’hui ! »
Son mari, qui ne le savait visiblement pas, fait semblant d’être indigné :
« Bien sûr que j’le sais ! »
Il prend son manteau et va travailler.
Vers 10 heures de ce matin-là, on sonne à la porte, la femme ouvre et un livreur lui présente un énorme bouquet de fleurs.
Puis, vers 13 heures, on sonne encore.
Cette fois, le livreur lui remet une magnifique boîte de chocolat.
Enfin, à 15 heures, un troisième livreur se présente à la porte avec cette fois, une superbe robe.
La femme en a les larmes aux yeux. Elle s’exclame :
« C’est le plus beau jour du passage des éboueurs de ma vie ! »
 
Dans le train, deux passagers réalisent qu’ils ont le même œil au beurre noir. Amusés, ils engagent la conversation, et se racontent mutuellement l’origine de leurs ennuis.
Le premier explique :
« ― Je vends des billets d’avion à Orly.
Une femme est arrivée très en retard pour prendre son train.
Elle avait une poitrine si généreuse que j’en ai perdu mon latin.
Au lieu de lui dire ‘‘Je crois, Madame, que votre avion est en train de sonner’’, l’embarquement s’apprêtant à fermer, ma langue a fourché et j’ai lui ai dit ‘‘Je vois, Madame, que votre sein est en train de trôner’’ !
Et elle m’a alors donné un coup de poing.
― C’est curieux », dit l’autre, « il m’est arrivé exactement la même chose.
Je soupais hier avec ma femme et au lieu de dire ‘‘Tu peux me passer encore un peu de soupe, chérie’’, ma langue a fourché, et j’ai dit : ‘‘Pourquoi je gâche ma vie avec toi, grosse conne !’’ »
 
Dans un cirque, juste avant la représentation du soir, le géant et le nain ont besoin de se vidanger la vessie.
Ils se retrouvent ensemble aux urinoirs.
Bizarrement, le nain n’arrête pas de cligner des yeux en regardant le géant.
Celui-ci commence à avoir des doutes et demande tout de go au nain s’il est homo.
« Non, c’est que ça me gicle dans la figure ! »
 
Entendu pour vous :
« ― Je te connais. Tu acceptes de me marier uniquement parce que je viens d’hériter du ranch en Floride, de mon oncle Jean-Pierre…
― Totalement faux ! Je me moque de qui tu as hérité ! »
 
Germaine aperçoit son mari, Jean-Marc, debout sur la balance, dansla salle de bains.
Il tente, tente tant bien que mal, de rentrer son ventre le plus possible.
« ― Même si tu essaies de rentrer ton ventre, ça ne t’aidera pas.
― Erreur. Ça m’aide beaucoup puisque je peux voir les chiffres sur la balance ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant leur bière vespérale :
« ― Ça va mal à la maison ces temps-ci.
― Comment ça ?
― Ma femme fait la tournée des bars tous les soirs…
― Allons bon ! Elle est devenue alcoolique elle aussi ?
― Non. Elle me cherche. »
 
Jean-Paul rapporte à Jean-Marc le contenu de l’entretien annuel d’évaluation avec son DRH :
« ― Il m’a demandé s’il m’arrivait de boire de l’alcool au travail.
Je lui ai répondu ‘‘Non. Jamais’’.
― Et c’est vrai ?
― Certain ! Jamais !
Sauf les jours où j’arrive saoul, naturellement… »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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