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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 15 août 2022

2022, l’année électorale de Charlotte (4)

3 - Manipulations
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existantes par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Et alors, « ça va marcher » ?
« Vous verrez bien vous ai-je dit… En attendant, le schéma a été validé par tout le monde dans les circuits de décision, y compris par le Président Makarond qui n’y voit aucun piège alors que c’est bien plus compliqué que ça.
Là encore, vous verrez, parce qu’aux USA et à Chicago notamment, parmi les mécontents qui ont pris du retard sur leurs objectifs et dans leur plan de carrière, ils cherchent une tierce personne qui coche toutes les cases et pourrait remplacer Makarond au pied levé et ils se sont mis à sa recherche, même s’il n’y en a pas beaucoup qui pourraient faire l’affaire.
Restait à convaincre Ziguinchor, ou alors ça aurait été un autre, Chiotti, Ducon-Haignant chez les politiques, Brigard, Haouha, Chantelou parmi les rigolos, qui sais-je encore, puisque les candidats ne manquent pas, même si la plupart sont marqués comme étant des losers ou tout juste comme des comiques. »
D’accord, d’accord, un élément « neuf », inattendu, fait plus d’effet, j’en conviens, qu’un personnage dont tout le monde connait tout de tout.
Mais comment convaincre le Prince Robert de rentrer dans cette combine-là ?
 
« Oh lui, c’est encore plus simple et en même temps plus compliqué. Le côté simple c’est d’abord le pognon, ensuite les « poupées » qu’il aura appréciées, à tel point qu’il est revenu en user quelques-unes supplémentaires et, plus compliqué, car c’est aussi pour lui la possibilité de revenir dans le cercle étroit des soi-disant « décideurs ».
De ce point de vue-là, il faut que vous sachiez qu’en sous-main, il y a une bagarre de notoriété par médias interposés : Jacques, mon frère vous racontera tout ça mieux que moi qui ai refusé d’y participer.
En fait, les « honorables correspondants » des loges et autres club-philosophiques n’ont pas eu beaucoup trop à forcer pour lui faire croire à la réalité d’un « ordre noir », déjà fantasmé par plusieurs « peoples » de son cercle d’amis des salons dorés de l’aristocratie européenne qu’il fréquente habituellement.
Je sais, parce que pendant que vous faisiez votre « grand huit » en Corse l’été dernier, je les ai rencontrés à Kotor où ils tenaient un discret séminaire dans l’hôtel de mon pote Petros, au Monténégro : je ramenais Eurydice à Venise pour son grand carénage. »
Une sorte de « Davos des princes sans royaume » ?
« C’est un peu ça. Mais mon frère y était et il n’est que baronnet d’empire… et encore du second ! »
 
Eurydice, c’est le voilier de Paul et l’hôtel de Kotor, si mes souvenirs sont exacts, aura été cofinancé par Paul à l’époque où il était sous l’uniforme, Petros étant un camarade de promotion de sup-aéro : comme quoi, les études d’ingénieur mènent à tout… « à condition d’en sortir ! »
« Eux ne visent qu’une seule chose : la restauration de leur sainte royauté de droit divin, ou l’équivalent. Par pour eux, en disent-ils, ils n’en ont pas besoin pour assurer leur quotidien, mais pour « leurs terres » et territoires, et surtout pour leurs « sujets », « leurs gens », accaparés éhontément par « la Gueuze », les Républiques des gueux.
Ils sont nés comme ça.
Bref, reprendre ce qu’on leur a volé indûment… leur trône et leur statut de gardien de la continuité divine d’essence chrétienne. »
 
« Alors évidemment, quand « l’ordre noir » se manifeste en chair et en os pour annoncer leur « grand soir », le Prince Robert y adhère quasi-immédiatement, flatté d’avoir été ainsi remarqué et choisi : il ne pouvait pas dire non, en somme, sauf à négocier un retour d’ascenseur. Mais comme il était déjà acquis, carte blanche, il n’y avait rien à négocier.
Car quand « l’ordre noir » l’amène à penser que le meilleur moyen d’abattre la démocratie républicaine, c’est de la faire s’effondrer sur elle-même à travers des élections « truquées » qui amèneront au pouvoir un « sale feuj », qui plus est pied-noir, mettant enfin les peuples d’Europe face à leurs responsabilités séculaires, il n’y croit pas au premier jet, mais au fil du temps, il constate que c’est exactement ce qu’en pense le maître du Kremlin depuis vingt ans, le clergé occidental depuis une paire de siècles et quelques pontes du monde de la presse depuis une seule décennie, il finit par y adhérer.
Même si finalement, il ne se voit pas, au début, faire le marchepied à celui qui représente tout ce qu’il exècre au premier abord, en bon antisémite qu’il reste. »
Il accepte pour mieux pouvoir le défoncer plus tard, le laisser s’autodétruire et ainsi permettre à sa caste de reprendre la main sur le devenir politique de leurs « territoires » ancestraux devenus chaotiques.
« Il lui aura d’ailleurs dit droit dans les yeux. Un jour, il faudra que vous visionniez les images et conversations qu’ils ont eu à bard du « PC3 ». Officiellement, elles sont détruites. Mais j’ai une sauvegarde ! »
Gonflés tous autant qu’ils sont… en bon manipulateurs qu’ils sont tous !
 
Et après, c’est assez facile finalement, une fois cette étape franchie ? questionne-je.
« Naturellement : lui œuvrant en bon chrétien pour que l’islam et les juifs se massacrent entre eux, que ce soit au Moyen-Orient ou en Europe, du moment que ça doit mettre le pays sans dessus-dessous, pour se rêver ensuite en homme providentiel comme un De Gaulle, que ce soit lui ou un de ses cousins de prince de sang royal, parce que lui ne l’est pas, histoire de refaire des unités nationales, il n’y voit que du feu, bien au contraire. »
C’est comme ça qu’il aura été convaincu de jouer à l’homme de « l’ordre noir » qui veut bouter les mahométans hors du pays ?
 
« C’est assez aisé à concevoir : il est persuadé, avec beaucoup d’autres, que l’islam mène une guerre de civilisation contre le monde chrétien et que ce dernier se laisse faire, ne réagit pas à la hauteur de la menace qu’ils pensent réelle.
Alors pourquoi ne pas mettre, provisoirement, un mouchoir sur son antisémitisme natif et envoyer à l’abattoir un brave soldat qui ne demande que ça contre les mahométans qui font la loi dans les rues et les « no-go-zones de « son » pays à lui, son bien, celui de sa caste si ce n’est de sa famille ?
Après tout, il est marié à une authentique princesse d’origine prussienne qui vit ses étés au Monténégro dans sa splendide villa au-dessus de Kotor.
Et je pense même que ça l’aura amusé de jouer les sionistes devant Ziguinchor : tous les envoyer en Palestine se frotter aux djihadistes locaux dans un vaste ghetto !
Un double jeu qu’il maitrise parfaitement… et qui doit le réjouir en plus ! »
D’accord, admettons. « Mais je ne comprends pas comment votre frère s’est embarqué dans ce jeu de dupes ni encore moins comment, vous qui dites en permanence que vous ne faites pas de politique, vous pouvez vous rendre complice de ce qui ressemble à de la manipulation de masse.
Expliquez-moi ! »
J’ai failli rajouter « je vous en conjure », presqu’implorante…
 
Il m’expliquera tout ça plus tard. Toutefois, il m’affirme que son « frère (m’)expliquera lui-même, et je suppose que ses liens de confraternité maçonnique y sont pour quelque chose.
Mais il n’y a pas que ça.
Vous irez le rencontrer, pour des tas de raisons, notamment les volumes à réécrire de mon pseudo biographe sur « ma vie d’avant », I-Cube, qu’il faudra bien faire éditer à un moment où à un autre[1].
Et vous lui poserez vous-même la question. Il se fera un grand plaisir de se faire valoir à vos yeux. »
Il marque une pause et reprend, devant mon air incrédule…, voire « cruche » (je sais faire ça très bien…)
« Vous savez, un avocat, ça mange à toutes les râteliers : c’est fait pour défendre toutes les causes et leurs contraires. Je suis certain qu’il aura été socialiste à l’époque de Thieriment, Rackchidien par la suite, Krasoskyien convaincu postérieurement, qu’il est redevenu un socialiste déterminé du temps du Président Landau et qu’il est nécessairement Makaronnien de la première heure depuis au moins plus d’une paire d’année depuis…
Un avocat, quoi.
Savez-vous qu’il a même été élu eurodéputé d’une mouvance centriste à un moment donné de sa vie pour complaire à son beau-père du moment sur une liste subventionnée par le beau-père soi-même ? »
Non, j’ignorais…
Il cherchait quoi au juste ?
« Il cherchait à défendre les intérêts dudit beau-père, le professeur Risle, à l’occasion des lois bioéthiques alors en préparation[2].
Un personnage, mon frère ! »
Je ne sais pas si dans la bouche de Paul, c’est un compliment, vu la façon dont il l’énonce, ou une crasse bien pesée à l’égard de son aîné…
 
« Oui, mais vous, qu’est-ce que vous faites dans cette histoire-là ? »
Je reviens à mon idée fixe, de « l’homme qui ne fait pas de politique » mais qui s’en mêle tout de même dans un jeu pour le moins trouble.
« Oh moi… D’abord, pendant le premier confinement, si je n’avais pas vu mon frère depuis longtemps, il m’a appelé au secours sur le plan financier. Pour deux raisons : personnelle d’abord, des collaborateurs en télétravail, des dossiers qui n’avançaient pas devant les tribunaux fermés, leurs greffes en panne, mais des frais fixes à honorer et des banquiers injoignables qui ne savaient pas encore tout des prêts consentis par l’État.
Vu que je le sais fragile et de longue date sur le plan de la gestion de son cabinet, je lui ai ouvert une ligne de crédit confortable sur ma fondation Luxembourgeoise.
Ça l’aura dépanné utilement.
Mais, le sagouin, au lieu de dire « merci », au fil du temps, parce qu’il était en ligne directe avec ma gestionnaire Lady Thornner que vous connaissez, il s’est mis à rechercher ce que c’était que ce fonds luxembourgeois et nous aura questionnés sur son origine… Je pense qu’il voulait être rassuré qu’il ne s’agissait pas pour lui de faire du recel de fonds « détournés » ou d’origine illégale. C’est que la visite d’Eurydice sur lequel il a grimpé cet été l’aura tout de même impressionné.
Comme il a vu que tout était régulier, je suppose qu’il se sera posé beaucoup de questions sur la véritable origine de mes fonds. Et il s’est fait pressant à ce sujet, mais par la bande, comme d’un fourbe qui veut savoir sans rien avoir à demander : un vrai curé dans un confessionnal à qui on apporte des informations sous le coup du secret professionnel et qui en fait son beurre en toute bonne conscience. »
J’imagine très bien : il m’avait fait l’impression d’un ecclésiastique pris la main dans le pot de confiture de la fornication débridée, à moitié « interdite » seulement, parce qu’avec des « robots-poupées », à bord du « PC3 »[3].
Très marrant avec le recul et avec cet éclairage-là.
 
« Alors je l’ai rassuré et je lui ai balancé l’histoire de la compagnie de croisière. Je savais qu’il viendrait à bord : il fallait seulement que je lui fasse savoir que ça existait et que si c’était un peu « particulier », c’était clean, avec des capitaux blancs comme neige. »
Ah ! Donc c’est pour cela que j’ai été également conviée à bord à cette période-là ?
« Exactement ! Vous réfléchissez vite, quand vous le voulez. »
Qu’est-ce que ça veut dire, ça, encore ? Que je ne le peux pas tout le temps ?
« D’abord le premier confinement vous avait un peu épuisée. Et prendre le frais au soleil et au grand-air à l’occasion du second était une bonne idée. Ensuite Aurélie avait besoin de se ressourcer et comme vous la connaissiez bien, vous étiez toute indiquée pour l’accompagner. D’autant que vous êtes une excellente observatrice et que j’avais besoin de vous mettre sur l’épisode suivant, à savoir les élections de 2022. »
Aurélie est meilleure que moi, au jeu de l’observation…
« Vous faire rencontrer le Prince Robert au moment où il « coince » Ziguinchor à l’abri de tous les regards de la planète, ça ne pouvait que vous faire vous poser quelques questions dont vous allez rechercher les éléments de réponse dans les mois qui viennent ! »
Ah bé voilà… On y vient !
Conspirationniste à souhait, mon Paul de Bréveuil.
« Et la seconde raison, c’est que Jacques recherchait aussi à l’époque des capitaux pour contrer une prise de pouvoir d’un groupe de médias qui était surendetté. »
« Bouygabbesse » ?
« Non l’autre. Celui de feu « Jean-Luc La Garde-aire ». Son fiston est un quasi-nul en affaire. Autant son père est parti de rien avec une usine automobile, d’ailleurs située pas très loin du « Château sur Cher » de Mylène et aura bâti un empire dans les médias qui aura soutenu « Rackchi » jusqu’au bout, autant le gamin s’est retrouvé avec une montagne de dettes à honorer et aura fait appel à un fonds de pension américain pour éviter le dépôt de bilan.
Seulement voilà, ce n’était pas suffisant et il aura fait entrer dans son capital social un autre milliardaire franco-français, lui-même pote du Président « Rackchi » et de son successeur, Krasosky, un loup dans la bergerie quoi, le milliardaire breton en la personne de Boldoré.
Lui aussi parti de rien, juste une usine de menuiserie familiale, pour désormais peser plusieurs milliards dans la logistique et avec en main un portefeuille de groupe de médias influents.
Il était question de sauver le soldat « Nono » là où « Makarond » a fait le dos rond.
Parce qu’il lui a été suggéré, par la bande, d’instrumentaliser le fameux Ziguinchor, soutenu par Boldoré : d’une pierre deux coups et sans dépenser un centime ni se compromettre… »
Astucieux… seulement si ça fonctionne.
Ainsi, ce serait le Président Makarond qui serait à l’initiative de la manœuvre, via « son ami » Vincent, qui profite des faiblesses de « Nono » qui n’a pas vu venir le coup de ses actionnaires qatari… « qui eux-mêmes n’ont rien à refuser à Krasosky ! Probablement ! »
« Voilà, vous avez tout compris : ils ont tous intérêt à diviser l’extrême droite soit au profit de leur ami Makarond, soit au profit de ce qui reste de la droite de gouvernement et leur ami Krasoski.
Et même le prince Robert qui croit au renouveau de l’aristocratie…
Fabuleux, non ? »
 
« Bon, je crois que j’ai compris cette partie-là de… « mise en musique » de « l’hypothèse du clown » : Ziguinchor est censé piquer des voix à la mère Carine Lapeine avec son discours habituel pour qu’elle n’accède pas au second tour de 2022.
C’est bien ça ? »
Il opine de la tête.
« Et c’est selon le vœu du sortant qui réclame de l’aide à « ses propres réseaux » qui eux veulent qu’il termine ce pour quoi il aura été envoyé jusqu’à l’Élysée en 2017, à l’occasion d’un second et dernier mandat ? »
Dernier, ce n’est pas certain, « mais c’est ça : vous avez compris. »
Je ne relève pas…
« Quel est votre intérêt à prêter main-forte à celui que vous n’appréciez pas, si j’ai bien compris, et aux intérêts financiers qui sont derrière ? Vous ne leur devez rien que je sache ! »
« Je ne leur dois rien et ils ne me doivent rien non plus : chacun sur sa planète pour le moment.
D’abord ce n’est pas que je n’apprécie pas Makarond : un, il s’est mal entouré de conseillers du soir « foireux et officieux », ce qui est dommage ; deux, il m’aura énervé aux Chagos la dernière fois qu’on s’est croisé[4]. Pensez, je lui montre une partie de l’avenir de l’humanité et il ne pige strictement rien : un vrai gamin immature ! Tout autant dommage pour le Président de la 5ème puissance nucléaire avec droit de veto à l’Onu…
Mais ce n’est pas grave, parce qu’il va y revenir et relancer l’idée des « petits réacteurs nucléaires » à sels fondus à un moment ou à un autre, comme je le lui ai suggéré aux Chagos. Trop tard pour mes propres projets et sur une mauvaise technologie, celle des transuraniens alors que celle que je vise est à base de thorium, beaucoup plus sûre.
Ensuite, pour que vous compreniez bien, je suis peut-être ingénieur de formation, mais un ingénieur passé sous les drapeaux. Et un militaire, c’est un légaliste, un légaliste patriote dans l’âme.
Mes ancêtres aussi : ils ont servi tous les régimes depuis plusieurs siècles.
Vous savez, le métier d’un militaire c’est de tuer pour ne pas être tué soi-même et pour défendre sa patrie ― en plus, à la mienne, je lui dois beaucoup pour avoir volé sur des zincs d’enfer, mon rêve de gamin à moi que je n’oublie pas ― et peu importe l’identité du détenteur de l’autorité légale et quel dessein il poursuit.
En réalité, on s’en fout, du moment que c’est pour le pays.
Si ça n’avait pas été Makarond mais un autre, c’aurait été du pareil au même pour moi !
Vous comprenez ? »
Pas tout-à-fait : « Si je ne m’abuse, vous êtes également citoyen d’honneur de plusieurs villes des USA, vous êtes pareillement Pair d’Angleterre et vous êtes décoré d’un ordre vaticanais très fermé… Autrement dit, votre patrie est pour le moins multiple… »
Oui, bien sûr : « Vous oubliez que j’ai tout de même participé, avec Gustave, à empêcher un coup d’État qui visait à éliminer le président Landau[5], homme que je n’appréciais pas plus… et même le Président Makarond un peu plus tard. »
Ce qui est vrai, j’avais oublié.

[1] Cf. « Les enquêtes de Charlotte », épisodes « Au nom du père - tome I et II », prochainement repris aux éditions I3
[2] Cf. « Les enquêtes de Charlotte », épisodes « Au nom du père - tome I et II », prochainement repris aux éditions I3
[3] Cf. « Les enquêtes de Charlotte », épisodes « La Croisière d’Alexis », aux éditions I3
[4] Cf. « Les enquêtes de Charlotte », épisode « Dans le sillage de Charlotte », aux éditions I3
[5] Cf. « Les enquêtes de Charlotte », épisode « Mains invisibles », aux éditions I3

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