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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 29 août 2022

2022, l’année électorale de Charlotte (18)

17 - Détour en Corse
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existantes par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Le surlendemain, c’est Gustave qui me convoque : il se sera fait tirer les oreilles par le ministère. Le document, en provenance de Matignon qui leur aura été remis est arrivé tout noir !
Évidemment, Gustave n’est pas encore au courant de tous les tenants et aboutissants de notre petit détour rue de Babylone : il était coincé dans les embouteillages aux portes parisiennes alors que j’avais pris la précaution de prendre une chambre en ville à proximité du siège du Kremlin-Bicêtre.
Coups de téléphone précipités à la suite de cette engueulade.
Paul lui confirme depuis la Normandie, j’imagine, puisque je l’ai ramené jusqu’au Bourget, à la fois le contenu de l’entretien dont je venais de retracer les grandes lignes la veille, et le procédé particulier de contre-espionnage relatif au document remis.
Un « bleu de méthylène » que ça s’appelle dans leur jargon particulier[1].
« Oh mais c’est grave ça ! Très grave ! »
J’imagine que Paul lui aura dit de faire tourner le logiciel BBR.
« Les bleus ? Entendu ! »
Et je l’entends dire ensuite : « Quel numéro IP, la nanopuce ? » Je le vois noter précipitamment un numéro de plusieurs chiffres ponctués de points.
Le document était donc piégé en conclus-je…
Bien joué : il va y en avoir au moins un dont la carrière va être bloquée. J’ai appris par la suite qu’il ne sera même pas arrêté, les pontes de DGSI préférant se servir dudit individu comme d’un agent de désinformation malgré lui.
Encore une combine de services totalement paranoïaques !
L’entretien se poursuit un long moment. Et sans le haut-parleur, je n’ai que la moitié de la conversation, encore que, Gustave ne parle pas beaucoup mais prend des notes.
 
Quand il raccroche, c’est pour appeler son correspondant au ministère et lui expliquer le détail du piégeage du document et comment ils vont pouvoir exploiter la situation par la suite.
Naturellement, l’honorable correspondant en veut un second exemplaire.
« Il n’y a pas de minute ni de grosse. Un seul original : tu connais comme moi les règles de sécurité. Tu laisses les services de ton premier ministre s’expliquer avec ça et prendre leurs responsabilités… » s’exclame-t-il. « Moi-même, je ne sais pas ce qu’il y avait dedans, mais si tu m’offres à déjeuner, je pourrai t’expliquer de quoi il retourne. »
Une façon habile comme une autre de déjeuner, dans quelques jours, aux frais de la princesse…
Et puis, il se retourne vers moi.
« Bon, Alexis, le patron m’a donné des instructions en ce qui vous concerne. »
Je le savais…
« Voilà la situation : le Team des Balbuzards va être créé et devenir opérationnel sous peu. « L’actionnaire » voudrait que vous l’accompagniez dans l’étape suivante. Moi, je suis chargé de monter une « sphère de sécurité » autour de ses gamins et je vais mobiliser le groupe HLM pour ça.
On va également mobiliser le groupe ADN pour assurer une veille en Normandie et vous partez en Corse pour suivre la mise en place d’une troisième « sphère » sur place. »
En Corse ? Mais qu’est-ce qu’il va y faire, le patron ?
Et puis je lui rappelle que je suis chargée de suivre les débats politiques autour de la campagne électorale qui va démarrer incessamment sous peu : il y a une primaire prévue chez les socialistes le 14 octobre, brillamment remportée par la maire de Paris avec 70 % des voix dès le premier tour faute de candidat assez affûté en face d’elle, elle qui a toujours affirmé que sa seule ambition c’était la capitale… une autre primaire chez les écologistes à la fin du mois de septembre, qui a failli envoyer une ayatollah « verte » au casse-pipe, et une troisième les 1er et 4 décembre chez les Républicains qui fera un lit douillet parsemé d’épines de ronces à la seule femme du quintette de postulants…
« Eh bien vous suivrez ça sur place… en télétravail ! »
S’il y a la télé, la presse et internet, pourquoi pas, mais j’ai le souvenir de mes vacances de l’année dernière où, même avec une clé 4G, avoir du réseau ce n’était pas toujours très aisé. Quant à la presse, c’est plutôt « régime sec » hors la presse locale.
Enfin, pourquoi pas, c’est vraiment une très belle région.
« Je vais où ? »
Il ne sait pas…
 
Ce sera la Balagne, par un vol régulier direct sans escale ni à Nice ni à Marseille. Presque incognito pour une fois. Je me fais expliquer durant le vol, qui dure une heure et demi, avec un détour par le poste de pilotage, pour signature d’autographes : incognito, tu parles ! Paul est trop connu dans le milieu aéronautique pour passer inaperçu très longtemps. Même pas une heure !
Nous sommes accompagnés de Florence, la mère des enfants de Paul, qui aura laissé leurs gamins aux bons soins de ses propres parents qui logent quai de Montebello, chez Paul, pour quelques jours.
Toujours aussi sympathique, Florence. Que vient-elle faire avec nous dans les combines de Paul ?
« Oh, c’est très simple, enfin, ce n’est pas ce que voulais dire : Paul m’a, en quelle que sorte, fait racheter la maison des Veyle, sur les hauteurs de la commune. Je n’y suis pas retournée depuis des années, 2004 ou 2005. C’est moi qui étais chargée des travaux de transformation du lieu pour recevoir l’exposition de la Guilde des Joailliers[2]. Il paraît que le coin a bien changé en 15 ans.
Je n’y avais jamais remis les pieds : une grande redécouverte en somme ! »
C’est ce qu’elle voulait dire…
Paul m’en dira plus sur place. « La Corse, c’est une île avec assez peu de ports et encore moins d’aéroports. Tout peut y être contrôlé en claquant dans les doigts, déjà par la Police de l’Air et des Frontières, par les douanes, par la gendarmerie en plus du logiciel BBR : c’est presque un paradis sécuritaire qui ne dit pas son nom. »
Une prison à ciel ouvert en quelle que sorte…
« Oui. Ouverte mais qui peut devenir une nasse dont il est quasiment impossible de sortir sans laisser de trace.
Et pourquoi spécialement la Balagne ? C’est une île dans l’île : Pas plus de trois routes, facilement blocables. Pourquoi Calvi ? Deux carrefours routiers seulement. Celui de l’aéroport et celui à cent mètres du pied de la citadelle. Un jour, les taxis calvais ont bloqué la ville avec cinq voitures : même les pompiers ne pouvaient plus passer !
Un endroit parfait pour vivre en paix…
En plus, ce n’est pas loin de la plage, deux supermarchés, et un aéroport à proximité. Non seulement c’est idéal pour les vacances de nos gosses, ils grandissent et les baignades dans la Manche, ça va un temps, mais en plus on va pouvoir y faire venir les avions du « Balbuzard-team » et les planquer sous un hangar en bord de piste, à l’abri des satellites espions. Reste plus qu’à accueillir les pilotes et les mécanos. Or, comme c’est une ville balnéaire, il y a de la place dans les hôtels de la commune, hors saison.
Vous allez voir, Alexis : il y a deux villes. Celle que vous avez vue en saison, avec du monde partout, des boutiques sur deux boulevards, le Wilson et l’axe Joffre/Clémenceau, et des cafés-restaurants sur le port.
Et puis la ville hors saison que vous allez découvrir, où il n’y a plus personne, la plupart des boutiques fermées, l’activité sur le port réduite au strict minimum, mais une école, un collège et un hôpital qui fonctionnent grâce à la légion étrangère stationnée en permanence un peu plus loin. Plus sa zone d’activité qui offre du boulot aux locaux. Bref, ça vit, mais au ralenti, et ça prépare uniquement la saison touristique suivante. »
Charmant, comme bled.   
 
« Comme dans toutes les villes balnéaires, figurez-vous. Ce n’est pas mieux sur la côte Normande, sauf du côté de Deauville-Trouville qui s’anime les week-ends dès qu’il fait beau. Même Cabourg est désert en hiver. Pareil sur la côte basque ou à Quiberon… »
Il y a pourtant des grandes villes à proximité.
« Mais les villes de province, à 19 heures c’est désert hors un ou deux axes dédiés à la restauration. Il n’y a rien à faire le soir dans le pays, hors l’axe PLM. Et encore, à Lyon, c’est seulement autour du quartier Bellecour. C’est comme à Lille autour de la Place du Général De Gaulle ou Marseille et sa cannebière : rien ailleurs. »
C’est partout pareil, en somme…
Encore pire à Calvi : c’est un peu le trou du cul du bout du monde !
« D’autant mieux que si à Nice, Bastia ou Ajaccio, ils ont des théâtres, à Calvi, il n’y a rien. En plus ces cons de Corses, ils ont accès à des billets d’avion à bas prix payés par leurs impôts locaux de la communauté territoriale et les aides de l’État au nom de la « continuité territoriale » avec la possibilité de réserver deux, trois, quatre passages sans frais supplémentaire pour un seul passage sur le continent. »
Et alors ?
« Et alors, ils réservent parfois des avions entiers qui finissent par décoller quasiment vides… »
Quelle idée !
« Résultat, les pinzuti qui veulent s’y déplacer, ils n’ont pas la possibilité de réserver de siège et restent chez eux ou vont ailleurs. »
Quel intérêt ?
« Aucun. Mais il vaut mieux pour Florence et les enfants avoir le statut d’îlien : ils pourront venir plus facilement durant les vacances scolaires. C’est le but, parce que c’est dépaysant à souhait, dès qu’il fait meilleur qu’en Normandie, et que dans les années à venir ils vont grandir ! »
Je vois.
« Mon » Paul pense à sa sécurité, mais aussi à ses gamins…
 
« En ce qui me concerne, j’ai également des amis sûrs sur place. Et en cas de problème, je peux toujours me retirer chez Jean Vecchia à Saint-Florent et/ou le sémaphore d’entrée qu’il entretient patiemment : je l’ai déjà fait.
Ou à Girolata, en Corse du Sud. Là, c’est encore mieux : on ne peut y accéder que par la mer. Ou à dos d’âne. Et seuls les ânes locaux connaissent le chemin. Inutile de vous dire qu’on voit arriver les menaces de très loin, avec ou sans le logiciel BBR. Au moins trois heures à l’avance. »
Va-t-il installer un serveur de sauvegarde du logiciel à cet endroit ?
« Non, on en a déjà trois, c’est suffisant. Mais avec une liaison satellitaire, doublée d’une liaison par fibre, j’aurai un terminal de gestion dès l’été prochain. »
Je me disais aussi…
 
La maison, c’est une vieille bâtisse entourée de gigantesques eucalyptus. Elle est posée au pied d’un énorme rocher qui domine la baie, à peu près à mi-hauteur de la colline qui la surplombe et va jusqu’à la croix des autrichiens posée à son sommet. C’est aussi une croix dite de Saint-Jean.
Aucun charme en soi, sauf la vue à couper le souffle qui porte loin.
Même les bruits de la ville en contrebas y viennent mourir, mais très étouffés par le bruissement des feuilles d’arbre dans le vent.
Une sorte de parallélépipède sur deux niveaux, au toit à faible pente aux tuiles rouges et rondes à laquelle on accède au bout d’une route qui se tortille entre des maisons nettement plus luxueuses, entourées de jardins plantés de cyprès et de pins.
Il faut poursuivre après le portail d’entrée sur un chemin de terre à peine carrossable, mal entretenu qui longe un champ de citronniers et d’amandiers plus que centenaire, tout tordus, et contourne le gros rocher qui donne son nom à tout le lotissement et au domaine. Il en passe près une fontaine et son bassin de rétention et les derniers mètres sont en pente sévère après un virage en épingle à cheveu peu commode et raviné parce que mal entretenu.
Florence est ravie…
C’est Guido qui nous pilote dans un pick-up de fortune Toyota.
Guido, c’est le métayer colombien ou péruvien embauché avec son épouse, péruvienne ou colombienne qui vivent là avec leurs deux enfants et ont investi la maison attenante, d’un seul niveau, elle. L’ancienne réserve du matériel agricole réaménagée à leur profit…
Florence me guide.
« Nous avions fait une grande salle de réception au rez-de-chaussée là où il y avait les commodités, une grande salle à manger et deux chambres. Au premier étage, on avait également une grande salle à manger que j’ai transformé en une série de six chambres avec un couloir transversal et deux salles de bains.
Ça correspond aux fenêtres.
Et s’il n’y avait qu’un seul escalier, qui plus est en extérieur et non couvert, j’en ai aménagé un autre à l’intérieur. Nous avions déplacé les cuisines dans la grange tout en aménageant deux appartements. Il y avait un tracteur d’avant-guerre, probablement la première, quand je suis arrivée la première fois et deux vieilles voitures d’un autre siècle : une Aronde et une Peugeot 201 ! »
Ah oui, elles devaient dater.
« Tous les toits ont dû être repris. Enfin, tous, ce n’est pas ce que je voulais dire. »
 
Paul poursuit. « On a en effet une source et une maison de berger plus haut qui alimente un réservoir équipé d’une pompe pour donner un peu de pression aux douches et radiateurs. Mais le plus important n’est pas là ! »
Et ils m’emmènent tous les deux sous l’escalier extérieur situé entre les deux bâtiments qui se prolonge en sous-sol. Car il y a un sous-sol : « C’est l’accès aux grottes qui ont tant plu aux Veyle et dans lesquelles Florence a réussi à aménager les salles d’exposition de la biennale des Joailliers. C’était très réussi. »
On passe à côté d’une petite porte blindée ouverte et battante et on descend encore dans la pénombre pour déboucher sur deux vastes salles en sous-sol qui sont encombrées de poussière et de quelques cailloux tombés sur le sol bétonné depuis les parois des rochers qui forment « la caverne ».
J’ai du mal à en voir le fond, parce que ça se prolonge sur le côté après un décroché qu’il faut contourner et que l’éclairage aurait besoin d’être ravaudé.
« Nos visiteurs arrivaient de l’autre côté, par les ascenseurs accolés au rocher. Un gros boulot de terrassement que de faire passer les deux cabines le long du granit, ainsi que les gaines d’aération. »
« Et il ne dit rien des réseaux et des écoulements d’eau ! Enfin, ce n’est pas ce que je voulais dire. Il y avait aussi les câbles électriques et surtout le réseau de sécurité… » rajoute Florence dans mon dos.
 
« Finalement, c’est assez bien conservé, ça a bien vieilli », ajoute-t-elle. « Pas trop d’humidité, le cuvelage a bien tenu et le drainage également. C’est qu’il y a de la flotte partout, ici. La nappe phréatique déborde à chaque coin de ruissellement. Ou presque. » Ce n’est pas tout-à-fait ce qu’elle voulait dire, une fois de plus
Ça ne se voit pas et on n’a aucune odeur de moisi…
« Sauf que Guido m’a dit que s’il a trafiqué un peu le chauffage dans l’annexe, ici, l’hiver c’est inhabitable. Il va falloir que tu voies ça, ma chérie ! »
Dans un mois, il fait venir ses hydravions et les équipages pour leurs prises en main.
« Si tôt ? »
« Mais tu connais les entreprises locales : il ne faut pas tarder à commencer à les contacter… »
Tout un poème, paraît-il, les fameuses « entreprises locales ».
 
Nous remontons pour déjeuner : Ida aura préparé un gratin de légumes et des desserts, ravie d’avoir du monde à sa table pour accompagner ses enfants et son mari qui s’occupe d’un barbecue posé au pied du rocher, pas très loin des ascenseurs, à proximité d’un figuier, derrière un caroubier.
Et nous déjeunons sur une des deux tables en granit posées devant la maison, les voitures étant parquées derrière sur une étendue couverte de feuilles d’eucalyptus sèches. Dans le temps, ces lourdes tables fixées au sol servaient à concasser les amendes du domaine.
Et la conversation s’engage rapidement, les deux gamins, un peu intimidés et devant retourner en classe assez rapidement, s’éclipsent dès qu’ils peuvent le faire.
Nous nous retrouvons seuls à trois pour finir notre repas commencé à sept.
Paul m’indique que le couple est là depuis l’été dernier, embauché par Jean Vecchia quand sa fondation luxembourgeoise a racheté le domaine.
« Que sont devenus les Veyle ? » demande Florence.
« Tu sais bien que le père est mort assassiné ici. La mère est également décédée, d’une tumeur au sein pas soignée assez rapidement. Quant à la fille, elle est sortie de prison et vit en Grande-Bretagne. C’est ma correspondante londonienne, Lady Joan, qui a mis la main dessus quand elle a appris que le domaine était en vente. »
La salope de Caroline…
Ça tombe comme d’un couperet de la bouche de Florence… et c’est bien ce qu’elle en pense.
[1] Le bleu de méthylène est par exemple utilisé pour suivre l’écoulement d’une fuite dans les parties cachées d’un bâtiment.
[2] Cf. « Les enquêtes de Charlotte », épisode « Le feu », à paraître aux éditions I3

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