Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 21 août 2022

2022, l’année électorale de Charlotte (10)

9 - Poursuite de notre conversation.
 
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existantes par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
 
Il ne répond pas à ma dernière question… selon notre « pacte » d’entrée. Ce qui veut dire « oui ».
« Vous êtes diabolique, chère Alexis. Mais ce ne sont que des hypothèses dont j’ignore tout. »
Mon œil…
« Donc c’est bien ça : Ziguinchor est prié d’aller piller l’électorat extrémiste de Lapeine, voire de rallier une partie des républicains, genre Chiotty dans le Sud-Est pour affaiblir encore ce parti-là, le tout emballé dans un discours tutoyant les lignes jaunes par ses outrances.
Je me trompe ? »
Il reste silencieux.
Puis se ravise : « Vous avez l’esprit machiavélique… »
« Ce que je ne comprends pas, c’est pour quelle raison Boldoré s’est mis dans une pareille situation à vouloir soutenir son polémiste : il est plutôt « Rackchirien », si je ne m’abuse. »
« Krazoskien », corrige-t-il. « C’est un client un peu, comment dire… très vieille France. Très catho, qui va se confesser toutes les semaines avant d’aller à la messe du dimanche. On n’en trouve plus beaucoup, des comme ça : très sympathique même si c’est un requin ! »
 
« D’autant que tout ce petit-monde reste ou restait « voisin » quand ils sont parisiens. »
Ah oui ?
« Villa Montmorency c’est dans le beau XVIème arrondissement parisien. »
J’ignorais tout en le sachant ce détail de… promiscuité.
La villa Montmorency est une résidence fermée située sur une butte du quartier d’Auteuil dans le XVIème. Créée au milieu du XIXème siècle, elle est surtout connue pour abriter les résidences de personnalités aisées, du show-business et du monde industriel.
Renseignement pris ultérieurement, la villa est limitée par la rue Poussin au Sud (n° 12), la rue Bosio au Sud-Est, la rue Raffet au Nord-Est et le boulevard de Montmorency au Nord-Ouest, le tout situé près du bois de Boulogne et de l’hippodrome d’Auteuil.
Six avenues, pas plus : l’avenue de Montmorency, l’avenue du Square, celle de Boufflers, l’avenue des Sycomores, l’avenue des Tilleuls et enfin l’avenue des Peupliers.
La villa est une résidence fermée. Si le règlement de 1853 indique qu’elle abrite des « maisons unifamiliales de campagne et d’agrément », il s’agit désormais de résidences de luxe et d’hôtels particuliers.
Le premier règlement interdit l’accès des lieux aux « individus tenant guinguette ou bal public (…) et aux femmes de mauvaise vie ». Cet espace privé a des règles de copropriété strictes et contraignantes définies dans le cadre d’une association syndicale qui gère l’ensemble depuis 1853 (interdiction pour les employés de maison d’entrer avec un véhicule, interdiction de diviser les villas en plusieurs locations — chaque appartement doit faire au minimum 150 m² —, hauteur maximale de neuf mètres pour les maisons, harmonisation obligatoire des façades, etc.).
Un gardien à l’entrée en contrôle l’accès en vérifiant les permissions d’entrée. Des caméras de surveillance sont installées et des panneaux rappellent qu’il est interdit aux non-résidents d’y pénétrer, sous peine de poursuites.
L’enlèvement des ordures est réalisé avec de petites bennes électriques pour ne pas déranger les résidents.
Pour le géographe Renaud Le Goix, « la villa Montmorency est certainement la forme la plus aboutie d’enclosure dans Paris intra-muros ».
 
Historiquement, le terrain appartient à l’origine à comtesse de Boufflers-Rouverel, une libertine proche de la reine Marie-Antoinette. Acquis en 1773, il porte le nom de clos d’Aligre. Dès l’origine, la propriété est murée et l’actuelle villa réemploie l’ancienne fermeture.
La villa est créée lors de l’achat en 1852 par la Compagnie du chemin de fer de Paris à Saint-Germain, dirigée par les frères Pereire, du château de Boufflers et de son parc, œuvre de Jules Hardouin-Mansart, à la famille de Montmorency, en vue de réaliser à la place la gare d’Auteuil et un projet immobilier de luxe.
Les frères Pereire conservent le nom de « Montmorency » afin d’attirer une clientèle huppée. Le lotissement est prévu pour se trouver sur la partie pentue de l’ancien parc, afin de dégager la vue des résidences.
 
La villa, constituée d’une cinquantaine de maisons séparées par des allées, avec une place centrale comprenant une fontaine, est bâtie en 1860 d’après les plans de l’architecte Théodore Charpentier. Elle compte 50 lots à l’origine, 106 en 1977 et environ 120 maisons de maître actuellement. Leur style architectural général rappelle celui des villas balnéaires de Deauville ou d’Arcachon de la fin XIXème siècle.
Le 15 septembre 1918, durant la Première Guerre mondiale, une bombe explose dans la villa Montmorency, sur le n° 12 avenue des Tilleuls, lors d’un raid effectué par des avions allemands.
 
C’est seulement à partir des années 1970 que des personnalités du monde du spectacle commencent à y vivre, rejointes à partir des années 1980 par des grands entrepreneurs et leur famille, le caractère fermé de la villa s’accentuant avec la montée des prix de l’immobilier dans les années 2000.
Si la sécurité est assurée par un grand nombre de gardes, elle a montré plusieurs défaillances : en 2003, une propriétaire est assassinée dans son appartement. En 2005, des cambrioleurs ligotent l’architecte Olivier-Clément Cacoub. Un autre cambriolage a lieu en 2008 : le footballeur brésilien Thiago Silva y est victime d’un vol avec un préjudice estimé à un million d’euros. En avril 2021, une fête clandestine organisée par des influenceurs s’y déroule, entraînant l’intervention de dizaines de policiers en pleine nuit.
Et le 12 septembre 2020, un groupe de Gilets jaunes et de manifestants hostiles à l'« oligarchie » réussit à s’introduire dans la villa.
 
Pour la petite histoire, je note que parmi les résidents célèbre, Victor Hugo s’installera trois mois dans une maison de la villa Montmorency, accompagnant son fils François-Victor, interné à la clinique du docteur Blanche, situé dans le même arrondissement, en 1873.
Au début du XXème siècle, l’écrivain André Gide y fait construire un chalet moderniste, qu’il juge lui-même assez laid, et y mène une vie d’ermite, recevant en 1916 par hasard le poète Guillaume Apollinaire, revenu des tranchées.
Après la guerre, ses voisins vont poser des serrures sur les entrées de la villa, officiellement pour prévenir la présence de prostituées à la suite de la destruction de l’enceinte de Thiers toute proche, officieusement pour protester contre Gide, qui laissait les patients de la Fondation italienne, une clinique du quartier désormais fermée, se promener dans les allées.
 
Le prix de l’immobilier est très élevé dans ce lotissement, du fait des nombreuses maisons à l’architecture remarquable qui le composent et surtout de son caractère privé, qui en fait un refuge pour de nombreuses personnalités très fortunées. Cet ensemble est toutefois également habité par des petits propriétaires qui refusent de voir leurs charges augmenter inconsidérément.
Vincent Boldoré, y habitait depuis 1983 et jusqu’en 2014. Nicolas Krasosky et son épouse depuis 2012, leur domicile étant en fait accessible depuis la rue Pierre-Guérin mitoyenne.
Et il y en a encore quantité d’autres, dont Isabelle Adjani, Maxime Aiach, fondateur d’Acadomia, Alain Afflelou, Jean-Paul Baudecroux, fondateur et actionnaire du groupe NRJ2, Tarak Ben Ammar, homme d’affaires tunisien, Henri Bergson, philosophe français, Sarah Bernhardt, comédienne, Carole Bouquet, jusqu’en 2006, Philippe Yacé, homme politique ivoirien, président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire de 1960 à 1980, président du conseil économique et social de 1985 à 1998. Jusqu’en 2004, Jean-Paul Bucher, industriel, Jean-François de Canchy, haut fonctionnaire, Grégoire Chertok, banquier depuis 2010, Michel Cicurel, autre banquier, Laurent Dassault, industriel, Dave et Patrick Loiseau, Depardieu, acteur avant de se réfugier rue du cherche-midi. Dominique Desseigne, jusqu’en 2001, Céline Dion, Mylène Farmer jusqu’en 2020, Félix Fournery, peintre et dessinateur de mode, s’y installa avec son atelier, Paul Gémon, polytechnicien, journaliste et patron de presse, André Gide, écrivain, je l’ai déjà cité, Alain Goldman, producteur, Gilles Jacob, critique de cinéma, depuis 1979, « Nono » La Garde Air dont il était question, à partir de 2006, Xavier Niel, dirigeant d’entreprise de 2005 à 2011, Paul Roussel, statuaire, Jean-Jacques Rousseau, philosophe, Jean-François Roverato, ancien PDG du groupe Eiffage, donc Thiago Silva, footballeur brésilien en 2019, Georges Tranchant, ancien homme politique et homme d’affaires depuis 1984, Sylvie Vartan, chanteuse depuis 1978, Johnny Hallyday y habita avec elle, André Vermare, statuaire, Prix de Rome de sculpture en 1899, résidant de 1908 à 1916, Rika Zaraï, chanteuse et écrivain de 1984 à 2012.
On compte également plusieurs membres de familles d’entrepreneurs ou de riches héritiers qui possèdent une maison, comme Corinne Bouygabbesse, fille de Francis et sœur de Martin, Wladimir Taittinger, fils de Jean Taittinger, Christine de Vaureix, née Vuitton et nombre « d’happy-few » qu’on oublie.
Une petite enclave très « bon chic-bon genre » d’entre-soi huppé.
Ceci expliquerait donc tout cela…
Et à tous les coups, le Prince Robert doit y avoir sa garçonnière et quelques « menus personnels » à sa disposition.
Ce qui me sera confirmé plus tard, mais en location : il reste discret sur ses avoirs.
 
« Mais, Maître, si j’ai donc bien compris, votre « combine » de loges maçonniques… »
Il m’interrompt : « Qui vous as dit que c’était une combine « que » des frères humanistes ? »
Ah ? Et de qui d’autres alors ?
« Ne soyez pas plus bête que vous en avez l’air, vous qui êtes si bien informée… par ailleurs et de sources sûres puisque journalistiques ! »
Il veut dire quoi par-là ?
« D’abord, au risque de vous décevoir, je cotise comme je vous laissais le supposer à différents « clubs ». Le Racing, bien entendu, le yacht-club de Deauville… »
Et celui de pétanque de Saint-Trop’ ?
« Non. Ramatuelle et Saint-Tropez sont surfaits. Je préfère le club hippique de la même ville Normande, c’est plus… « aristocratique » (fait-il avec des guillemets formés par ses doigts) et je suis de la région par mon grand-père qui y a longtemps vécu. Et côté « philosophique » et entregent il est préférable de se montrer au club de la Pendule, à l’Interallié ou dans quelques think-tanks et autre confréries de gourmets, comme les taste-andouilles ou « La cave du prince ».
Ne croyez pas que la maçonnerie s’étale dans tous les domaines de la vie publique ou des médias. D’ailleurs, dans ma propre loge, il s’agit surtout de se retrouver une fois par mois entre copains et de se faire une bonne table. Ce qu’on n’a pas pu faire régulièrement avec les mesures de restriction consécutives à la pandémie.
Et puis je vais vous apprendre une chose que vous semblez ignorer, comme beaucoup de « profanes » : il y a deux types de loges. Les unes sont dites « opératives » et s’occupent effectivement plus assidument de la vie publique et du monde des affaires que d’autres, alors que la mienne est dite « spéculative », c’est-à-dire qu’on ne se réunit que pour débattre de points philosophiques plus ou moins pointus. Donc rien à voir avec l’actualité politique. »
Enregistré…
 
« Néanmoins, avec un « clown » comme Ziguinchor, qui pourrait devenir plus à droite que l’extrême-droite, ne craint-on pas en « haut lieu » qu’il fasse apparaître Corine Lapeine comme d’une aimable candidate bien soft et pâlichonne, un peu molle même, finalement ? »
C’est le risque de la manœuvre, bien sûr.
« Et c’est bien pour cela que sa meilleure réponse à une attaque sur sa droite sera de se calmer afin de paraître plus « crédible ». »
Pourquoi pas ?
« Mais imaginez un second tour entre elle et lui, vous feriez quoi ? »
« Ne soyez pas ridicule, jeune-fille. Le vote d’extrême-droite représente entre un quart et un tiers de l’électorat. On en est arrivé là après des décennies et des décennies de déceptions des opinions. Si le président sortant ne peut faire guère mieux, il comptera forcément pour un semblant de « front républicain ».
D’autant mieux encore si on divise ce front fasciste ou néo-fasciste en deux afin d’ouvrir la voie à un troisième homme issu des partis de gouvernement.
Comme ceux-là sont tous compromis, étrillés des meilleurs talents, ça devrait passer. »
Sauf s’ils trouvent l’homme du recours…
« Et quel est-il ? À gauche, ils n’ont personne à la hauteur, même pas Mulot qui aura été ministre durant le quinquennat qui s’achève et on s’attend à ce qu’il soit émietté d’une façon ou d’une autre dans les prochains mois, je vous l’ai déjà dit. Probablement des affaires de cul, naturellement, comme je viens de le dire.
Montre-Bourg n’a pas les qualités et c’est une girouette si peu fiable car sans ossature idéologique que c’est comme s’il n’existait pas. L’ex-président Landau est toujours trop con mais pas assez pour vouloir sérieusement y retourner. Tous les barons, y compris Valse sont déjà grillés et les autres sont des dinosaures en passe de rendre leur âme à Dieu.
Quant à la droite, à part l’ex-commissaire au Brexit, aucun ne coche toutes les cases pour faire un bon candidat, même pas le frère Bertrande. Qui a eu bien tort de se défroquer de son tablier de maître ! »
Il peut y en avoir d’autres, une socialiste, un ou une Krazoskiste. L’ex lui-même d’ailleurs…
« Celui-là, de ce que j’en sais, il préfère rester dans l’ombre et tirer les ficelles depuis ses bureaux de la rue Miromesnil. De toute façon, il faut qu’il règle avant ses problèmes judiciaires : ça ne serait pas sérieux s’il venait à être condamné pour une de ses casseroles qu’il a nombreuses !
Quant à une femme issue de la droite, elle n’est peut-être pas encore née », lâche-t-il avec un certain mépris amusé. « Même MKM n’est plus dans le jeu, sciée depuis belle-lurette… »
« Donc, pour vous c’est plié… »
Il est comme tout le monde : il n’en sait rien.
Même s’il venait de valider incidemment mon propos…
« Mais c’est l’opinion de mon frère. »
 
« Mais attendez, Boldoré, c’est quand même l’homme qui aura prêté son yacht à Krasosky au lendemain de son élection contre Ségolaine. Qu’est-ce qu’il vient faire dans cette arithmétique électorale ? »
Lui, il roule pour l’ancien président battu par Landau en 2012.
« Donc, Krasosky fait le lit de Makarond ? »
Et pourquoi pas ? Mais il n’est sûr de rien.
« Ce n’est pas improbable… »
Et ce sera confirmé par la suite.
 
Sur ce, une sorte de harpie bien habillée interrompt notre conversation en se plantant devant notre table.
Une belle et grande femme, la soixantaine, charpentée, à la chevelure blonde volumineuse, au moins autant que sa poitrine : j’ai rarement vu des seins aussi imposants, sauf qu’ils sont bien maintenus et qu’elle passe son temps à ramener les bords de l’échancrure de sa veste pour éviter que le tout ne déborde.
S’en est presque gênant, parce qu’on ne voit que ça !
Alors qu’elle a de jolis yeux et un visage gracieux qui cache son âge avancé, trahi par les rides de la peau du cou qu’elle n’a pas pensé ni à dissimuler ni à faire retendre.
« Madeleine, ma secrétaire… » fait-il à mon attention.
« Maître, je vous rappelle que votre rendez-vous de 14 heures vous attend au cabinet depuis une bonne demi-heure… et qu’il a un avion à prendre ! » fait-elle sur un ton de reproche impitoyable en jetant un œil malveillant sur moi.
« Chère Alexis, le devoir de ma charge m’appelle. Je suis désolé de devoir vous quitter. Mais je vous propose de poursuivre cette conversation passionnante dès que possible.
Vous me le promettez ? »
Bien sûr : je suis payée pour lui tirer les vers du nez sur d’autres sujets à venir.
Et, mal à l’aise, il se lève et suit sa Madeleine mettant fin à notre conversation…
En revanche, quand c’est à mon tour de vider ma tasse de café, le maître d’hôtel en profite pour m’apporter l’addition !
Le mufle !
Il m’invite et il n’a même pas payé !
Décidément, la galanterie ou le simple savoir-vivre se perd bien vite dans ce pays.
Heureusement, j’ai la carte de la boutique, parce que ma semaine de salaire y serait passée…
Ravi de se faire payer via la game-boy de la maison, le maître d’hôtel m’offre de prendre un verre de cognac pour me remettre de mes émotions.
« Merci, mais sans façon ! Je reprends la route… »

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire