0 - Préambule
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existantes par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
Note de l’auteur.
C’est finalement très compliqué et difficile de faire un roman par anticipation sur des événements que tout le monde connaît après-coup et qui ne soit pas qu’un récit historique…
Le texte qui suit des « Enquêtes de Charlotte » aura trouvé son origine en juillet 2021 et il devait dès sa genèse narrer la période « août 2021 à juin 2022 », en incluant les élections présidentielles et législatives de mon pays.
On part de rien, juste une idée qui prend forme dans le précédent roman (« La croisière d’Alexis ») écrit à compter de juillet 2021 et terminé en septembre de la même année.
Celui-là aura été mis « sous presse » en décembre 2021, après lecture, relecture et « censure » d’Alexis Dubois, en qualité de « narratrice », mandatée par « mon gardien » (flibustier20260) sous le contrôle du principal personnage de la série, Paul de Bréveuil, alias « Charlotte ».
Une organisation un peu baroque, dois-je reconnaître, et surtout chronophage.
(cf. Amazon.fr - La croisière d'Alexis: Les enquêtes de Charlotte - Flibustier 20260, Dubois, Alexis - Livres).
À partir de là, on ne peut plus revenir en arrière, au moins du point de vue narratif.
Un pari.
Je m’en suis d’ailleurs expliqué dans des posts écrits à la même période et mis en ligne un peu plus tard sur mon blog, avant la fin de l’année (rubrique « Humeurs d’estives » de décembre 2021).
Avec des hypothèses un peu « farfelues » au démarrage et leurs conséquences parfois un peu « tirées par les cheveux », mais qui finalement ce sont révélées être assez justes au fil du temps et surtout « bien vues », telles que je n’ai rien eu à « corriger ».
Car, au fil du temps, les « fils rouges » de l’Histoire (la grande, celle des bouquins de classe et des thésards) se sont tissés en un écheveau complexe, rien que pour « me donner raison » : Et l’« improbable » devient alors réalité tangible.
Pour tout vous dire, j’adore ce genre de situation…
Sauf qu’il s’est passé « plein de choses » entre-temps.
D’abord la rencontre « Poux-tine/Baille-Dan » sur les bords du lac Léman, en Helvétie le 16 juin 2021.
Le commencement d’un délire russe…
On sait le premier être un « Asperger » (autiste « léger ») à tendance paranoïaque et on sait le second un peu « décrépi », usé par le temps, limite « sénile-léger ».
Le beau couple, quoi.
Mais tout le monde pensait à un « rééquilibrage » des « super-puissances » nucléaires de la planète qui pouvaient ouvrir une ère de paix durable pour l’humanité.
Pas du tout et déjà je l’avais envisagé !
C’est que je connais un peu mes « oiseaux » : l’un est un « taré », malade, à l’espérance de vie désormais limitée, l’autre est en « fin de carrière ». Ça ne peut donc que vouloir « marquer l’Histoire » définitivement avant de périr !
Logique…
Tout mon problème était de savoir comment.
C’est alors que s’enchainent différents éléments iconoclastes qui vont rythmer le début de la campagne présidentielle de 2022 tout en passant à peu près inaperçus.
Je rappelle qu’à ce moment-là, on essuie une énième vague de contamination « Conard-virus » et la situation sanitaire du pays « justifie d’un état d’urgence » en permanence reconduit telle qu’on n’en voit pas la fin.
De son côté, le monde bouge à une allure rapide tout autour de la planète, de l’Afghanistan à l’Australie en passant par le Mali et l’Ukraine.
Et en décembre 2021, coup de tonnerre, le président de la fédération de Russie tente le tout pour le tout en exigeant que l’Otan se retire sur ses frontières d’avant 1990 !
Naturellement inacceptable par quiconque et par tout le monde.
Une manœuvre qui cache en fait un échec stratégique.
Mais pas celui que l’on croit, à savoir l’effondrement de l’URSS, non, un autre assez simple à comprendre même s’il n’apparaît jamais nulle part.
Il se trouve qu’après l’envahissement de la Crimée, les dirigeants moscovites n’ont pas pensé une seule seconde que leurs homologues ukrainiens, embourbés dans une guerre sans fin dans le Donbass qu’ils ne parviennent pas à réduire, vont fermer le canal de Crimée du Nord qui prend sa source dans le Dniepr à Kherson pour alimenter toute la péninsule en eau potable.
Ce n’est pas que les Russes de Crimée boivent de l’eau, ils sont plutôt à la vodka, mais les cultures et les élevages ne peuvent pas s’en passer.
Et même en construisant rapidement le « pont de Crimée » jusqu’à Kertch sur les bords de la Mer d’Azov, depuis la Russie, la situation est devenue intenable sur le long terme après avoir consommé toutes les réserves des bassins de rétention et des déversoirs.
La guerre devient alors inévitable bien avant la fin du mois de février 2022 et percute alors de plein fouet la campagne présidentielle de « Jupiter » (alias « Makarond » dans les pages suivantes) !
Tous les plans visant à sa réélection deviennent dès lors particulièrement obsolètes. Chef de guerre, il sera nécessairement réélu.
D’autant mieux que tous ses adversaires de première ligne font l’erreur commune de ne pas croire un seul instant à cette invasion russe alors que les services de renseignements anglo-saxons l’annoncent clairement avant Noël.
« Carine Lapeine » leader d’extrême-droite nationaliste est une anti-atlantiste, ex-anti-européenne notoire par atavisme familial. Elle refuse l’évidence en soutien de son ex-bailleurs de fonds qu’elle a du mal à rembourser.
« Patrick Ziguinchor », le polémiste, va jusqu’à souhaiter avoir un patriote comme le dirigeant russe à la tête de notre pays !
Quant à « Mélangeons », le leader de l’extrême-gauche, de toute façon anti-atlantiste notoire également, et à l’européanisme « décalé », tout ce qui vient de Washington ou de Londres est à bannir sinon à vomir. Lui non plus ne croit pas une seule seconde à ce que la « mère-patrie » du marxisme-léninisme puisse devenir un « agresseur ».
Les dés sont jetés et ils roulent.
Ces trois-là auront perdu leurs élections à cause du dirigeant du Kremlin !
Ce qui n’empêche pas que les partisans de « Makarond », qui n’avaient pas pu anticiper ce déroulé historique, de mettre en place bien en amont des stratégies devant protéger leur candidat.
Car ça part de très loin.
L’objectif est que ce dernier ne se retrouve pas en situation de faire un match retour de l’élection 2017.
Non seulement sa concurrente aura eu cinq ans pour se préparer au duel final, mais en plus, le bilan du candidat sortant n’est pas bien fameux.
Une coagulation bien exploitée des mécontents et des déçus, des « antis » et des « tout sauf », peut facilement lui faire perdre son fauteuil.
Or, il n’a pas terminé ce pour quoi il aura été désigné par quelques confréries, certaines occultes et d’autres non, qui l’ont porté contre toute attente au cœur du pouvoir cinq ans auparavant.
Il faut qu’il termine sa tâche, empêché qu’il a été par des vents contraires et notamment la pandémie mondiale de « grippe du pangolin ».
C’est cette « articulation » que vous allez découvrir dans les pages de ce volume…
Naturellement, c’est « romancé ». Je ne peux pas révéler tous les faits, tous les acteurs, toutes les analyses, tous les « vrais-noms », tous les tenants et aboutissants sans risquer ma santé en croisant malencontreusement une « balle perdue ».
D’autant qu’il y a eu tellement de ces éléments, pour la plupart passés inaperçus, que j’ai été obligé de « simplifier », quitte à « forcer le trait » sur quelques-uns seulement et les interprétations que j’ai pu en retenir.
En en laissant quantité d’autres dans l’ombre car ils ne sont pas dirimants ou encore trop « flous » pour être vraiment crédibles et exploitables à l’heure actuelle.
Aussi, je vous livre tel quel ce qui n’est pour l’heure qu’un « premier jet ».
Ce manuscrit part dès fin juin 2022 à la relecture et censure de la « narratrice » et me reviendra probablement « caviardé », modifié, enrichi peut-être, censuré probablement au moins partiellement, à la rentrée automnale, quand moi je rentrerai de Balagne, afin de faire l’objet d’une mise sous presse.
Entre temps, j’aurai mis en ligne en avant-première les chapitres sur mon blog.
Rien que pour vos yeux.
Je vous souhaite une bonne lecture, en attendant mieux.
Bien à toutes et tous !
Le mot de la narratrice.
J’ai reçu le manuscrit de cet opus des « Enquêtes de Charlotte » fin juin 2022 avec juste un délai de 10 jours pour le « rewriter ».
Tâche évidemment matériellement impossible !
Aussi, après négociations ardues, finalement j’ai jusqu’à la fin de l’été pour présenter un volume acceptable pour une mise sous presse.
Pour l’avoir parcouru d’une seule traite en deux jours, et comme vous allez le découvrir, il n’y a pas trop d’erreur ni trop de contre sens ou d’incohérence.
Ce n’est pas, à mon sens, assez bien « léché » pour faire l’objet d’une impression et c’est bourré de « fautes de frappe » que je vais tenter de corriger.
Mais globalement, c’est validé par « Charlotte », mon patron, qui n’aura pas vraiment eu un rôle majeur dans les élections d’avril et juin 2022, trame de ce recueil.
Quelle que part, il reste en arrière-plan, comme d’une « vigie » qui regarde se dérouler ce qu’il sait qu’il va advenir.
Sans trop s’inquiéter.
En réalité, Paul de Bréveuil a d’autres pôles d’exigences qui le retiennent éloigné de la vie politique du pays et de l’avenir de la planète. Il est déjà ailleurs à préparer un « futur lointain » au cœur de l’océan Indien.
Aussi, s’il est attentif au fait que ce volume soit publié, du moment qu’il ne soit pas totalement faux sur ce que retiendra l’Histoire avec un grand « H » de cette période 2021/2022, ça lui convient parfaitement.
J’avoue de mon côté qu’à la première lecture, ce qui est narré correspond à ce que j’ai pu vivre. Naturellement, j’aurai fait bien d’autres choses durant ces quelques mois, que l’auteur veut ignorer dans ce volume. Il est vrai que ça aurait paru être « hors-sujet ».
Car « I-Cube » a la gentillesse de me mettre en scène quasiment en permanence tout au long de ce récit, comme dans le précédent.
Une sorte d’hommage à mon obscur rôle de simple « narratrice ».
Et je l’en remercie.
Il n’empêche que, béotienne des affaires publiques et internationales, j’aurai eu des éclairages qu’on ne retrouve habituellement pas dans les sources ouvertes d’information « mainstream » qui forment les opinions publiques.
Ce n’est pas qu’« on » veuille nous les cacher, mais elles n’apparaissent ni comme dominantes, ni comme parfaitement évidentes.
Rien que l’introduction ci-avant reste étrange.
Quoi, faire la guerre pour de l’eau au cœur de l’Europe orientale ?
Et pourtant…
Les belligérants improbables ne pouvaient-ils pas s’entendre au préalable ?
Non, car ça aurait été interprété comme une reculade de la part du Kremlin qui ne pouvait pas abandonner les russophones installés aux Donbass, tout comme ceux vivant en Crimée, j’en suis bien consciente.
Non parce que l’alliance atlantique-Nord a tout intérêt à affaiblir la Russie sans même avoir à mobiliser un seul soldat sur un champ de bataille ni tirer le moindre coup de feu !
Un peu comme ils avaient su le faire à l’occasion de la chute du « Mur de Berlin »…
À vous de découvrir tout ça et de vous rendre compte également que dès le début, notre président sortant ne pouvait pas de toute façon ne pas être réélu pour un second mandat !
À mon tour de vous souhaiter une bonne lecture.
Courances, Alexis Dubois
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existantes par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
Note de l’auteur.
C’est finalement très compliqué et difficile de faire un roman par anticipation sur des événements que tout le monde connaît après-coup et qui ne soit pas qu’un récit historique…
Le texte qui suit des « Enquêtes de Charlotte » aura trouvé son origine en juillet 2021 et il devait dès sa genèse narrer la période « août 2021 à juin 2022 », en incluant les élections présidentielles et législatives de mon pays.
On part de rien, juste une idée qui prend forme dans le précédent roman (« La croisière d’Alexis ») écrit à compter de juillet 2021 et terminé en septembre de la même année.
Celui-là aura été mis « sous presse » en décembre 2021, après lecture, relecture et « censure » d’Alexis Dubois, en qualité de « narratrice », mandatée par « mon gardien » (flibustier20260) sous le contrôle du principal personnage de la série, Paul de Bréveuil, alias « Charlotte ».
Une organisation un peu baroque, dois-je reconnaître, et surtout chronophage.
(cf. Amazon.fr - La croisière d'Alexis: Les enquêtes de Charlotte - Flibustier 20260, Dubois, Alexis - Livres).
À partir de là, on ne peut plus revenir en arrière, au moins du point de vue narratif.
Un pari.
Je m’en suis d’ailleurs expliqué dans des posts écrits à la même période et mis en ligne un peu plus tard sur mon blog, avant la fin de l’année (rubrique « Humeurs d’estives » de décembre 2021).
Avec des hypothèses un peu « farfelues » au démarrage et leurs conséquences parfois un peu « tirées par les cheveux », mais qui finalement ce sont révélées être assez justes au fil du temps et surtout « bien vues », telles que je n’ai rien eu à « corriger ».
Car, au fil du temps, les « fils rouges » de l’Histoire (la grande, celle des bouquins de classe et des thésards) se sont tissés en un écheveau complexe, rien que pour « me donner raison » : Et l’« improbable » devient alors réalité tangible.
Pour tout vous dire, j’adore ce genre de situation…
Sauf qu’il s’est passé « plein de choses » entre-temps.
D’abord la rencontre « Poux-tine/Baille-Dan » sur les bords du lac Léman, en Helvétie le 16 juin 2021.
Le commencement d’un délire russe…
On sait le premier être un « Asperger » (autiste « léger ») à tendance paranoïaque et on sait le second un peu « décrépi », usé par le temps, limite « sénile-léger ».
Le beau couple, quoi.
Mais tout le monde pensait à un « rééquilibrage » des « super-puissances » nucléaires de la planète qui pouvaient ouvrir une ère de paix durable pour l’humanité.
Pas du tout et déjà je l’avais envisagé !
C’est que je connais un peu mes « oiseaux » : l’un est un « taré », malade, à l’espérance de vie désormais limitée, l’autre est en « fin de carrière ». Ça ne peut donc que vouloir « marquer l’Histoire » définitivement avant de périr !
Logique…
Tout mon problème était de savoir comment.
C’est alors que s’enchainent différents éléments iconoclastes qui vont rythmer le début de la campagne présidentielle de 2022 tout en passant à peu près inaperçus.
Je rappelle qu’à ce moment-là, on essuie une énième vague de contamination « Conard-virus » et la situation sanitaire du pays « justifie d’un état d’urgence » en permanence reconduit telle qu’on n’en voit pas la fin.
De son côté, le monde bouge à une allure rapide tout autour de la planète, de l’Afghanistan à l’Australie en passant par le Mali et l’Ukraine.
Et en décembre 2021, coup de tonnerre, le président de la fédération de Russie tente le tout pour le tout en exigeant que l’Otan se retire sur ses frontières d’avant 1990 !
Naturellement inacceptable par quiconque et par tout le monde.
Une manœuvre qui cache en fait un échec stratégique.
Mais pas celui que l’on croit, à savoir l’effondrement de l’URSS, non, un autre assez simple à comprendre même s’il n’apparaît jamais nulle part.
Il se trouve qu’après l’envahissement de la Crimée, les dirigeants moscovites n’ont pas pensé une seule seconde que leurs homologues ukrainiens, embourbés dans une guerre sans fin dans le Donbass qu’ils ne parviennent pas à réduire, vont fermer le canal de Crimée du Nord qui prend sa source dans le Dniepr à Kherson pour alimenter toute la péninsule en eau potable.
Ce n’est pas que les Russes de Crimée boivent de l’eau, ils sont plutôt à la vodka, mais les cultures et les élevages ne peuvent pas s’en passer.
Et même en construisant rapidement le « pont de Crimée » jusqu’à Kertch sur les bords de la Mer d’Azov, depuis la Russie, la situation est devenue intenable sur le long terme après avoir consommé toutes les réserves des bassins de rétention et des déversoirs.
La guerre devient alors inévitable bien avant la fin du mois de février 2022 et percute alors de plein fouet la campagne présidentielle de « Jupiter » (alias « Makarond » dans les pages suivantes) !
Tous les plans visant à sa réélection deviennent dès lors particulièrement obsolètes. Chef de guerre, il sera nécessairement réélu.
D’autant mieux que tous ses adversaires de première ligne font l’erreur commune de ne pas croire un seul instant à cette invasion russe alors que les services de renseignements anglo-saxons l’annoncent clairement avant Noël.
« Carine Lapeine » leader d’extrême-droite nationaliste est une anti-atlantiste, ex-anti-européenne notoire par atavisme familial. Elle refuse l’évidence en soutien de son ex-bailleurs de fonds qu’elle a du mal à rembourser.
« Patrick Ziguinchor », le polémiste, va jusqu’à souhaiter avoir un patriote comme le dirigeant russe à la tête de notre pays !
Quant à « Mélangeons », le leader de l’extrême-gauche, de toute façon anti-atlantiste notoire également, et à l’européanisme « décalé », tout ce qui vient de Washington ou de Londres est à bannir sinon à vomir. Lui non plus ne croit pas une seule seconde à ce que la « mère-patrie » du marxisme-léninisme puisse devenir un « agresseur ».
Les dés sont jetés et ils roulent.
Ces trois-là auront perdu leurs élections à cause du dirigeant du Kremlin !
Ce qui n’empêche pas que les partisans de « Makarond », qui n’avaient pas pu anticiper ce déroulé historique, de mettre en place bien en amont des stratégies devant protéger leur candidat.
Car ça part de très loin.
L’objectif est que ce dernier ne se retrouve pas en situation de faire un match retour de l’élection 2017.
Non seulement sa concurrente aura eu cinq ans pour se préparer au duel final, mais en plus, le bilan du candidat sortant n’est pas bien fameux.
Une coagulation bien exploitée des mécontents et des déçus, des « antis » et des « tout sauf », peut facilement lui faire perdre son fauteuil.
Or, il n’a pas terminé ce pour quoi il aura été désigné par quelques confréries, certaines occultes et d’autres non, qui l’ont porté contre toute attente au cœur du pouvoir cinq ans auparavant.
Il faut qu’il termine sa tâche, empêché qu’il a été par des vents contraires et notamment la pandémie mondiale de « grippe du pangolin ».
C’est cette « articulation » que vous allez découvrir dans les pages de ce volume…
Naturellement, c’est « romancé ». Je ne peux pas révéler tous les faits, tous les acteurs, toutes les analyses, tous les « vrais-noms », tous les tenants et aboutissants sans risquer ma santé en croisant malencontreusement une « balle perdue ».
D’autant qu’il y a eu tellement de ces éléments, pour la plupart passés inaperçus, que j’ai été obligé de « simplifier », quitte à « forcer le trait » sur quelques-uns seulement et les interprétations que j’ai pu en retenir.
En en laissant quantité d’autres dans l’ombre car ils ne sont pas dirimants ou encore trop « flous » pour être vraiment crédibles et exploitables à l’heure actuelle.
Aussi, je vous livre tel quel ce qui n’est pour l’heure qu’un « premier jet ».
Ce manuscrit part dès fin juin 2022 à la relecture et censure de la « narratrice » et me reviendra probablement « caviardé », modifié, enrichi peut-être, censuré probablement au moins partiellement, à la rentrée automnale, quand moi je rentrerai de Balagne, afin de faire l’objet d’une mise sous presse.
Entre temps, j’aurai mis en ligne en avant-première les chapitres sur mon blog.
Rien que pour vos yeux.
Je vous souhaite une bonne lecture, en attendant mieux.
Bien à toutes et tous !
Paris, I3
Le mot de la narratrice.
J’ai reçu le manuscrit de cet opus des « Enquêtes de Charlotte » fin juin 2022 avec juste un délai de 10 jours pour le « rewriter ».
Tâche évidemment matériellement impossible !
Aussi, après négociations ardues, finalement j’ai jusqu’à la fin de l’été pour présenter un volume acceptable pour une mise sous presse.
Pour l’avoir parcouru d’une seule traite en deux jours, et comme vous allez le découvrir, il n’y a pas trop d’erreur ni trop de contre sens ou d’incohérence.
Ce n’est pas, à mon sens, assez bien « léché » pour faire l’objet d’une impression et c’est bourré de « fautes de frappe » que je vais tenter de corriger.
Mais globalement, c’est validé par « Charlotte », mon patron, qui n’aura pas vraiment eu un rôle majeur dans les élections d’avril et juin 2022, trame de ce recueil.
Quelle que part, il reste en arrière-plan, comme d’une « vigie » qui regarde se dérouler ce qu’il sait qu’il va advenir.
Sans trop s’inquiéter.
En réalité, Paul de Bréveuil a d’autres pôles d’exigences qui le retiennent éloigné de la vie politique du pays et de l’avenir de la planète. Il est déjà ailleurs à préparer un « futur lointain » au cœur de l’océan Indien.
Aussi, s’il est attentif au fait que ce volume soit publié, du moment qu’il ne soit pas totalement faux sur ce que retiendra l’Histoire avec un grand « H » de cette période 2021/2022, ça lui convient parfaitement.
J’avoue de mon côté qu’à la première lecture, ce qui est narré correspond à ce que j’ai pu vivre. Naturellement, j’aurai fait bien d’autres choses durant ces quelques mois, que l’auteur veut ignorer dans ce volume. Il est vrai que ça aurait paru être « hors-sujet ».
Car « I-Cube » a la gentillesse de me mettre en scène quasiment en permanence tout au long de ce récit, comme dans le précédent.
Une sorte d’hommage à mon obscur rôle de simple « narratrice ».
Et je l’en remercie.
Il n’empêche que, béotienne des affaires publiques et internationales, j’aurai eu des éclairages qu’on ne retrouve habituellement pas dans les sources ouvertes d’information « mainstream » qui forment les opinions publiques.
Ce n’est pas qu’« on » veuille nous les cacher, mais elles n’apparaissent ni comme dominantes, ni comme parfaitement évidentes.
Rien que l’introduction ci-avant reste étrange.
Quoi, faire la guerre pour de l’eau au cœur de l’Europe orientale ?
Et pourtant…
Les belligérants improbables ne pouvaient-ils pas s’entendre au préalable ?
Non, car ça aurait été interprété comme une reculade de la part du Kremlin qui ne pouvait pas abandonner les russophones installés aux Donbass, tout comme ceux vivant en Crimée, j’en suis bien consciente.
Non parce que l’alliance atlantique-Nord a tout intérêt à affaiblir la Russie sans même avoir à mobiliser un seul soldat sur un champ de bataille ni tirer le moindre coup de feu !
Un peu comme ils avaient su le faire à l’occasion de la chute du « Mur de Berlin »…
À vous de découvrir tout ça et de vous rendre compte également que dès le début, notre président sortant ne pouvait pas de toute façon ne pas être réélu pour un second mandat !
À mon tour de vous souhaiter une bonne lecture.
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