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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 1 décembre 2021

Campagne présidentielle sous haute tension.

Non pas à cause de « Zézé-Amour ».
 
Celui-là aura annoncé sa candidature, mais il est déjà grillé, « cramé ». Et il a fait tout ça tout seul, par ses outrances et ses « inconduites ». Tout ce qu’il peut faire désormais, c’est de « pomper » assez de voix à « Marinella-tchi-tchi » pour l’empêcher d’accéder au second tour.
C’était la mission assignée par son mentor « Beau-L’Orée » qui l’aura couvé depuis plusieurs mois. Je vous expliquerai pourquoi et comment dans le prochain roman d’été (« 2022, l’année présidentielle de Charlotte »®). Encore faut-il que le scénario imaginé l’été dernier se concrétise dans les faits…
Patience, donc.
 
Non pas à cause du congrès des « Républicains-démocrates » qui désigne cette semaine leur « champion ».
Une fois cette démarche aboutie, la « machine à perdre » va se mettre en ordre de bataille et ça pourrait conduire son candidat jusqu’au second tour.
Ça va probablement se jouer à rien, mais c’est le scénario espéré par « Jupiter » pour se faire réélire.
Parce que quel que soit ce candidat désigné, attendez-vous à un tir de barrage tous azimuts, comme en 2017 contre « Fifi-le-souteneur ».
Que ça va être saignant, une fois de plus.
 
Non pas à cause d’ingérences « exogènes », comme on le voit de plus en plus fréquemment en provenance d’une « démocratie de papier », « a-démocratique » par essence, qui d’ailleurs touche à sa fin - question de mois à mon sens - en tout cas pour l’une d’elle qui s’embourbe dans le déni autour du Donbass et quelques manœuvres géostratégiques avant de s’effondrer, justement pour éviter son effondrement renouvelé.
Mais ça, c’est plus de la science-fiction… même si les « fils rouges » annonciateurs s’accumulent densément au fil du temps.
 
Non pas à cause de la seule inconnue de ce scrutin, à savoir l’abstention au mois d’avril prochain !
Ce n’est pas tellement conséquent, puisque pour se qualifier avec une abstention « forte », le seuil est « abaissé » : Que du bonheur pour les minorités… « fortes » !
C’est d’ailleurs assez curieux : Ils sont quantités à « sonder » la côte des principales têtes d’affiche, mais absolument aucun ne vous dit que l’abstention pourrait être phénoménale.
Logique puisque ça arrange « Jupiter » qui n’a jamais été élu qu’avec 17 % du corps électoral en 2017.
Black-out total sur la prochaine mobilisation : Ça relève du « top-secret » !
 
Personnellement, j’ose espérer qu’il y aura une participation massive, qui donne de la consistance à notre démocratie, mais il faut avouer qu’entre les municipales, les territoriales et les européennes, sans même causer des deux tours des présidentielles de 2017, le grand vainqueur de tous ces scrutins ça reste l’abstention, comme le signe non plus d’un désintérêt du peuple pour ses élus, mais quasiment d’un divorce, en tout cas d’un désamour profond…
Ce qui est kon, parce que tout de suite après les présidentielles, il y a les législatives, et là, ils s’amusent déjà à anticiper le problème du manque d’assise des « Marcheurs-même-pas-en-rêve » (qui méritent décidément bien le surnom que je leur attribue) à créer « la maison commune ».
Sans même une ébauche de règlement de copropriété…
C’est dire !
 
Non, c’est à cause d’un autre phénomène, de plus en plus redoutable, tel qu’il mobilise les services de sécurité « intérieure » bien plus qu’on ne vous le prétend.
On ne le crie pas sur les toits, mais les arrestations se multiplient déjà ces dernières semaines au sein d’une mouvance qui compterait près de 3.000 militants.
« Depuis le procès de l’OAS en octobre dernier et surtout depuis que la campagne présidentielle a débuté, j’ouvre en moyenne deux dossiers par semaine pour violences physiques, menaces de mort ou cyberharcèlement à cause de cette mouvance d’ultradroite. C’est du délire ! » affirme une avocate spécialisée.
Un constat partagé par quelques médias. « J’ai fait les comptes : 12 heures seulement après la sortie de notre enquête sur les militants d’ultradroite du groupuscule Famille gallicane, qui soutiennent Éric Zemmour pour la présidentielle, j’avais déjà reçu plusieurs milliers de messages publics ou privés d’insultes ou de menaces de mort sur mes comptes Instagram, Facebook et Twitter… C’est juste hallucinant », révèle un « journaleux » spécialiste de l’extrême droâte.
 
De violentes insultes sur la toile et des agressions physiques comme le vivent ces journalistes, avant tout parce qu’ils enquêtent sur « l’ultra-droâte », il y en aurait des dizaines chaque année dans tout le pays, selon les services de renseignement. 
« Elles ne sont pas forcément données à la connaissance des médias, mais les agissements de ces individus qui se revendiquent de l’ultradroite sont fréquents », confirme une source policière.
Des personnalités politiques et publiques sont également directement visées sur les réseaux sociaux et sur les plateformes comme « Télé-gramme ». C’est justement via ce canal crypté que deux affaires liées à « l’ultra-droâte » ont été mises en lumière début novembre.
 
Deux hommes, soupçonnés d’avoir appelé à des actions violentes et d’avoir tenu des propos racistes et antisémites, ont en effet été interpellés par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) mardi 16 novembre. Selon une source proche du dossier, ils seraient considérés comme des « suprémacistes blancs » et appartiendraient à la « tendance accélérationniste », c’est-à-dire qu’ils seraient persuadés qu’il faut provoquer une « guerre raciale ».
Le magnifique terreau que voilà offert par tous les djihadistes de la planète…
Autre affaire récente qui implique « l’ultra-droâte » : La publication, toujours sur « Télé-gramme », de neuf portraits, dont celui du candidat à la présidentielle « Mes-Luches » et sa créolisation, ayant tous un viseur d’arme à feu sur le front.
Un visuel publié par les « Vilains Fachos 2.0 ».
Cette boucle raciste et antisémite composée de quelque 2.300 membres vient d’être fermée par la plateforme gouvernementale Pharos, qui lutte contre la haine en ligne.
Mardi 23 novembre, ce sont même 13 membres du groupe Recolonisation France qui ont été interpellés en « Ile-de-Gauloisie » et dans le Sud par les gendarmes de l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité.
Repéré par la DGSI à l’été 2020, ce groupuscule « survivaliste » (vous savez, ceux d’inspiration « écolologiste » radicaux, mais en détourné) aurait appelé ses membres à constituer quatre groupes armés pour se préparer à une guerre civile, qu’il estime imminente en raison de la pression migratoire (alors que les « écololos-survivalistes » te disent que la planète va faire crever l’humanité en l’affamant…).
 
Selon les derniers chiffres communiqués par la police nationale, confirmant un rapport parlementaire de l’Assemblée nationale du 6 juin 2019, « l’ultra-droâte » rassemblerait moins de 3.000 personnes en « Gauloisie-élective ». Mais « un noyau dur de 500 excités », dixit une enquêtrice, « majoritairement masculins, plutôt jeunes et bien souvent déçus par le Rassemblement national, serait déterminé à mener des actions violentes. Un chiffre stable depuis 2005, date du dernier recensement officiel de cette mouvance politique en France ».
C’est fort drôle, à mon époque (déjà un autre millénaire !) c’était « l’ultra-gôche » et des groupes comme « Action directe », Fraction Armée Rouge, etc. qui étaient l’objet d’enquêtes diverses…
Le « monde d’avant » : Ils auront été remplacés par les « fafs » dans le « monde d’après ».
 
En réalité, les services de renseignement distinguent quatre grandes familles. D’abord, les identitaires représentés par le Bastion social, l’héritier du GUD (qui tapait déjà du feuj et du gôchot dans ma fac) formé à Lyon, et par Génération identitaire, deux groupes qui ont été dissous par le ministère de l’Intérieur & des Cultes.
Deuxième grande famille : Les mouvements « localistes » comme Fraternité Bourgogne, Vent d’Est en Alsace ou encore l’Alvarium, une association identitaire angevine dissoute la semaine dernière en « Conseil des sinistres ».
On retrouve aussi le groupe des royalistes, assez peu nombreux, et enfin les fascistes et les néonazis, que les services de renseignement appellent désormais « les néopatriotes ».
« Ce sont bien souvent des survivalistes comme Rémy Daillet, le groupuscule Unité blanche ou encore Suavelos et de plusieurs suprémacistes armés ».
« Ils luttent tous contre ce qu’ils appellent « le grand remplacement » et ils ont l’habitude de lancer sur les réseaux sociaux des appels à la lutte raciale. »
 
Des individus naturellement prêts à en découdre avec la République qui, pour certains, se retrouvent dans les projets avortés de Rémy Daillet-Wiedemann. Figure de « l’ultra-droâte » en « Gauloisie-bourgeoise », le complotiste de 55 ans est soupçonné d’avoir commandité, depuis la Malaisie, l’enlèvement au printemps de la petite Mia et d’avoir monté une organisation clandestine pour commettre des attentats de grande ampleur en « Hexagonie ».
Face à cette menace grandissante, les services de renseignement ont renforcé la surveillance de l’ensemble de ces réseaux.
« Cette menace est prise très au sérieux et les services y travaillent, avec des interpellations régulières et des groupements de faits ou des associations dissous », assure-t-on au ministère de l’Intérieur & des Cultes.
« Après le signalement, nous analysons le phénomène en sources ouvertes ou fermées avec deux stratégies : L’intégration au groupe ou bien la compromission d’une personne s’y trouvant, en visant les faiblesses et les vices de cette dernière », complète un agent du renseignement territorial.
 
Il reste malgré tout difficile pour les services policiers et l’institution judiciaire d’identifier avec précision les profils très divers de ces hommes prêts à en découdre : « Pour résumer, ce sont des gens qui conjuguent haine du système et haine du multiculturalisme en France » (la « créolisation »), résume une source policière qui suit depuis vingt ans ces phénomènes.
Antisémitisme, racisme, sexisme, homophobie, complotisme… Sous la forme de caricatures, de vidéos conspirationnistes ou de commentaires haineux, certains s’affichent en faveur de « Zézé-Amour » alors que d’autres revendiquent de ne soutenir « aucun candidat du système ».
Sur le site Jeune nation de l’identitaire Yvan Benedetti, qui vient de déclarer sa candidature à la présidentielle de 2022, l’ancien membre du RN invite par exemple ses soutiens à assister à des rencontres militantes « garanties sans Licra ajouté et Crif zéro pourcent ».
Des théories complotistes contre la communauté juive mais aussi contre les francs-maçons ou encore contre les pro-avortement qu’on retrouve sur des boucles « Télé-gramme » sur lesquelles des dizaines de personnalités sont vilipendées en raison de leurs origines ou de leurs appartenances religieuses.
 
Et ce qui inquiète surtout les services de renseignement, c’est la volonté de ces groupuscules de faire converger des luttes nationalistes et xénophobes avec les théories complotistes à la mode.
« Le regain de cette droite antisémite, avec la recrudescence des survivalistes et autres adeptes de la collapsologie, est le pire des scénarios pour nous », reconnaît un enquêteur.
Ce dernier craint « un agglomérat des mécontentements difficilement contrôlable ».
Antivaccins, anti-pass sanitaire, anti-antennes relais 5G, « Gilets jaunes »… Tout est bon pour les leaders de « l’ultra-droâte » pour enrôler de nouveaux soldats et gonfler les rangs de groupuscules qui n’ont au départ absolument rien en commun.
« Regardez, l’affaire Mia : La maman de la petite fille était proche de la mouvance One Nation, qui prône une approche de la société par le bien-être et la méditation poussés à l’extrême. Elle n’avait donc au départ rien à voir avec un survivaliste comme Rémy Daillet. Et pourtant, l’enlèvement de la petite Mia a bien été le résultat de cette rencontre improbable », rappelle un maître de conférence associé à l’université de Paris et spécialiste des réseaux sociaux.
 
Une stratégie souvent très proche de la propagande salafiste où les plus fragiles se font prendre dans les filets de leurs gourous, estime celui qui travaille aussi avec l’Observatoire du conspirationnisme.
Quelle convergence !!!
« En trois clics, vous pouvez créer une boucle nationale fermée, puis une déclinaison de cette boucle en région. C’est devenu très simple pour eux de se coordonner et de décider de passer ou non à l’action. »
Un phénomène qui interpelle aussi la justice et en particulier le Parquet national antiterroriste (Pnat). Cette juridiction a été saisie à dix reprises depuis 2018 pour des affaires relatives à « l’ultra-droâte », contre aucune les années précédentes.
À moins de cinq mois de l’élection présidentielle, les partisans de « l’ultra-droâte » n’ont sans doute pas fini de faire parler d’eux, d’autant qu’ils ont trouvé avec « Zézé-Amour » un pôle d’attraction.
« Dans les équipes de campagne qui se montent aujourd’hui autour d’Éric Zemmour, il y a ce qu’on appelle un compromis nationaliste, qui est une notion qui vient de la longue histoire de l’extrême droite française », confirme un historien spécialiste de l’extrême droâte européenne.
Entre un contexte électoral qui se radicalise dangereusement et une crise sanitaire à rallonge où les théories du complot sont devenues légion, « l’ultra-droâte » pourrait bien devenir une sérieuse menace pour notre démocratie.
« Même si ce n’est pas une menace plus importante que celle liée au terrorisme islamiste, nous savons que nous aurons malheureusement, un jour ou l’autre, un Anders Breivik français », prévient un magistrat du Pnat.
 
Voilà qui est clair : Dans les « 500 » surexcités, il y en aura bien une poignée qui passeront tôt ou tard du verbiage à la lutte armée et à l’action terroriste.
Ça tombe évidemment sous le bon sens.
La question ce n’est ni où, ni comment, mais quand ?
Si c’est maintenant, à l’occasion de la trêve des confiseurs, ça aura naturellement un impact important comme aura pu avoir les attentats de Toulouse de Mohamed Merah (et son complice, le « troisième homme », « Ahmed-le-diabolique », une création littéraire de votre serviteur. Cf. « Parcours olympiques ») : « Bling-bling » aura probablement perdu sa réélection en partie pour cette raison.
Et on se souvient aussi des effets du précédent en Hispanie avec les attentats de Madrid…
Si c’est plus tard, durant la campagne, ce serait encore pire pour le président sortant. Mais lui a encore la ressource de rebondir politiquement.
 
Pour conclure, cette campagne présidentielle va devenir, est déjà, « sous haute tension ».
Peut-être qu’elle ne débouchera même pas sur un scrutin - une autre option comme pour les municipales - si « les choses » s’emballent.
La portée de la « cinquième vague » peut également très bien déboucher sur une sixième autour de Pâques 2022.
En bon marin, je vous dirai que c’est la 7ème vague qui est réputée la plus dangereuse.
En mer seulement…
À suivre sérieusement.

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