Il fallait bien ça, non ?
Parce que bon, le « Conard-virus » leur avait permis de mettre
la population mondiale sous camisole, mais qu’à force de vacciner tout le monde
et d’encadrer votre propre sort d’aller et venir, ce tout le monde en a
ras-le-bol et qu’au bout, non seulement ça perturbe durablement les économies
mondiales incapables de s’adapter correctement aux yoyos imposés, mais ça
détraque même les marchés financiers : Un coup, on ne fait plus rien, on
se croise les bras, un coup il manque de tout, on manque dramatiquement de
visibilité !
Pas très raisonnable…
Bé non : Il faut foutre la trouille et le « Ô-MacKron » arrive pile-poil pour enrichir l’épisode !
Pardon : « Omicron », parce que ce que le « Nu »,
ça fait « new » chez les anglophones et que le « Xi » fait
trop « Xi-Ping-pong ». Le prochain, c’est « Pi » !
C’est qu’ils ont « des lettres » (antiques) nos virologues…
Son vrai nom scientifique, c’est le « B.1.1.529 ».
Trop complexe pour les abrutis que nous sommes…
Passons.
Découvert en Afrique du Sud, ce mutant Omicron est « un variant
détecté très récemment, les premiers échantillons datent du 9 novembre ».
Et cette mutation préoccupe car « la protéine de surface, la Spike qui est responsable à la fois de la contagiosité du virus et de l’échappement à la réponse immunitaire, montre un nombre très élevé de modifications par rapport aux formes qu’on connaissait ».
32 en tout (sur 50) : Une véritable auberge espagnole…
Car ce sont précisément ces modifications qui inquiètent les spécialistes,
puisqu’elles ont une « capacité à être transmise de façon plus
importante et d’échapper au moins partiellement au système immunitaire »,
tiens donc !
De quoi faire douter de l’efficacité des vaccins actuels.
Mais « il faut tout d’abord identifier le rôle de plusieurs des mutations centrales dans la réponse immunitaire », pour pleinement se faire peur et repartir de zéro.
Or, pour cela, un travail en laboratoire est nécessaire « pour savoir si les anticorps produits après la vaccination sont capables de neutraliser le virus ».
L’autre possibilité est une approche de terrain en recherchant « un maximum de cas de personnes infectées par ces variants, de compter les gens qui, malheureusement, ont été infectés alors qu’ils étaient vaccinés ».
La combinaison de ces deux paramètres va nous permettre de savoir si ce virus peut échapper à la réponse immunitaire naturelle et à la réponse immunitaire post-vaccinale.
Notons que l’Omicron est le deuxième variant sud-africain. Et ça n’est pas
une coïncidence. La présence d’une autre épidémie, celle du VIH, « favorise
l’adaptation du coronavirus chez des gens qui ont un système immunitaire fragile ».
Plus de huit millions de Sud-Africains sont concernés par cette infection.
Et c’est là tout le problème pour les épidémiologistes : « On pense que ce virus-là est capable d’infecter des gens qui ont déjà été infectés par des virus précédemment. »
Bref, c’est un mutant qui s’adapte aux sidaïques, voire qui vous refile le SIDA en douce, on ne sait pas encore…
En attendant, de plus en plus de pays ferment à nouveau leurs frontières
aux voyageurs étrangers. Une mesure de prévention drastique contre laquelle
l’OMS s’était à nouveau prononcée dimanche, appelant chaque État à d’abord « adopter
une approche scientifique », basée sur « l’évaluation des risques ».
Ainsi, le gouvernement nippon en dit : « Nous allons interdire toutes les (nouvelles) entrées de ressortissants étrangers du monde entier à partir du 30 novembre ».
Enfin, les Japonais revenant de neuf États d’Afrique australe et de pays où des infections au nouveau variant ont été recensées devront quant à eux se soumettre à « de strictes mesures d’isolement en fonction des risques », a précisé le chef du gouvernement.
Autre tour de vis, celui des autorités marocaines qui ont décidé dimanche de suspendre tous les vols directs de passagers à destination du Maroc pour une durée de deux semaines à compter d’hier soir.
Une décision qui intervient en raison de la propagation rapide du nouveau variant « notamment en Europe et en Afrique, et afin de préserver les acquis réalisés par le Maroc dans la lutte contre la pandémie et protéger la santé des citoyens », a expliqué le Comité interministériel de suivi de la pandémie.
Israël, où un cas a été confirmé chez un voyageur revenu du Malawi, a également interdit dès dimanche soir l’entrée des étrangers sur son sol.
Pas de chance pour les Palestiniens qui travaillent en « terre sacrée ».
De même, les citoyens israéliens vaccinés devront présenter un test PCR et se mettre en quarantaine pendant trois jours, une mesure étendue à sept jours pour les non-vaccinés, ont précisé les autorités.
L’annonce de ces mesures est intervenue à quelques heures du début de la fête juive d’Hanoukka, la « fête des lumières », qui s’étend sur huit jours et au cours de laquelle ont lieu de nombreux rassemblements et festivités.
Les Philippines ont suspendu de leur côté leur projet de réouverture des frontières aux touristes entièrement vaccinés afin d’empêcher toute entrée du nouveau variant sur son territoire dont la population est peu vaccinée.
Manille avait annoncé la semaine dernière son projet d’autoriser à nouveau l’entrée de ressortissants de nombreux pays à partir du 1er décembre, dans un souci de dynamiser une économie fortement éprouvée par la pandémie.
Loupé !
La panique généralisée entraîne dans son sillage un chaos économique. Ce
vendredi, les bourses mondiales ont dévissé (4,5 % à « Paris-sur-la-plage »),
et le Brent plongé de 10 %. L’inquiétude prédomine dans les états-majors des
transporteurs et par ricochet sur toutes les activités…
Il y aurait même pénurie de carton d’emballage !
La folie Omicron a également envahi les médias prêts à tout pour dégainer leurs meilleurs virologues qui ignorent tout de cette souche et qui pourtant semblent tout connaître, apeurant les « Gauloisiens-vaccinés » sur du vent.
Comme d’un air de « déjà vu »…
On note qu’en seulement deux semaines, Omicron prend le pouvoir sur Delta.
Mais faut-il encore comprendre Omicron avant de paniquer, même si le
« R » (taux de reproduction) serait supérieur à 10.
32 mutations, plus de virulence, aucun vaccin, ok… mais est-il plus mortel ? Procure-t-il plus de formes graves ? C'est un peu tout ce que tout le monde souhaite savoir.
Un virus est en mutation constante et si sa diffusion accélère, ce serait tout bonnement car celui-ci perd en virulence, sa contagiosité est comme un baromètre, plus elle est grande, moins le variant présente de danger.
En effet, si le nombre de cas progresse, la courbe des décès n’accélère pas à la même vitesse. Pour l’heure et en attente des évolutions des données dans le temps, Omicron n’a rien du monstre que l’on veut bien vous décrire.
Mais qui sait aujourd’hui ?
Par ailleurs, l’Afrique du Sud elle-même ne préconise aucune recommandation spéciale à cause de sa présence sur son territoire, ce qui est bien étrange si l’on regarde l’état de panique globalisé !
Les chercheurs sur place eux-mêmes évoquent des symptômes grippaux
ordinaires, une « maladie bénigne », en tous cas, nul n’évoque
une calamité sanitaire.
Est-ce qu’au moins un seul aura pensé que plutôt que de s’exciter et de tout boucler, ne vaut-il pas mieux, au contraire, le laisser se diffuser et chasser le variant Delta, nettement plus létal ?
Omicron est « extrêmement bénin », selon le médecin qui a découvert la souche, car de nombreuses mutations « déstabilisent » le virus.
Contrairement à la panique déclenchée par les grands médias occidentaux, le
président du Comité consultatif ministériel sur les vaccins, a déclaré dimanche
à Sky News que si l’Afrique du Sud, qui a été la première à identifier le
nouveau variant, compte actuellement 3.220 personnes infectées par le « Conard-virus »
et si le variant semble se propager rapidement, il n’y a pas eu de réelle
augmentation des hospitalisations : « Les cas qui se sont produits
jusqu’à présent étaient tous des cas légers, légers à modérés, et c’est bon
signe », ajoutant toutefois qu’il est encore trop tôt pour conclure et que
rien n’était encore certain…
Plus important encore, il a déclaré que le grand nombre de mutations trouvées dans le variant omicron semble déstabiliser le virus, ce qui pourrait le rendre moins « apte » que la souche delta dominante.
C’est qu’un virus est un être vivant : Il cherche à ne pas mourir bêtement pour favoriser « sa lignée ».
Tuer le patient porteur n’a aucun intérêt, alors il s’adapte.
En réalité, il s’agit de 50 mutations dont 32 sur la seule protéine spike,
dit comme ça, Omicron peut être un cauchemar pour certains et une bénédiction
pour les laboratoires.
Moderna comme Pfizer ont d’ores et déjà annoncé travailler sur une formule améliorée, et ce, dans un délai de 100 jours, une précipitation qui devrait davantage inquiéter qu’Omicron lui-même !
En réalité, au regard des données disponibles, un nouveau vaccin n’est pour le moment absolument nécessaire que pour les labos.
Alors, pour quelles véritables raisons pareil affolement ?
La détection d’Omicron et la frousse interplanétaire qu’elle provoque et
qui ne s’explique pas devrait nous alerter.
Les États ont-ils des intérêts à créer la zizanie à l’intérieur des cerveaux ?
Bien évidemment, car le travail en cours et qu’ils ont entrepris ensemble sous le prétexte pandémique n’est pas clos, le crédit social (un peu à la chinoise) pas encore activé.
Car le sujet est bien ici : Le contrôle de nos libertés à l’ère du numérique.
Instaurer une société basée sur la peur de l’autre et le repli sur soi, la
restriction des libertés, prépare les individus à ce contrôle total par son
acceptation.
Avec l’aide de cette pandémie, le monde entame la restructuration de la condition humaine et le basculement vers le XXIIème siècle.
À moins que, justement, ce « mutant » se « sociabilise » et que nous vivions avec lui comme avec tous les autres : En bonne intelligence, protégé par nos systèmes immunitaires qui réagissent au quart de tour et provoquent nos fièvres et nausées grippales saisonnières.
Pas plus que d’habitude, quoi.
On me dira aussi que par « principe de précaution » bien
compris, tous les responsables s’abritent derrière des comités scientifiques
qui font foi… et la loi.
C’est qu’à part « Jupiter » abrité chez nous par son immunité présidentielle, tous les « sinistres » du monde « démocratiques » sont des justiciables comme les autres devant la justice « libre et indépendante ».
Alors, comment fais-tu pour te protéger des juges qui passe une fois la bataille terminée ? Bé tu ouvres le parapluie, style « c’est pas moi, c’est l’autre » (l’autre étant ici un comité scientifique).
D’ailleurs, la même mécanique fonctionne dans tous ces comités Théodule : Ce n’est pas un « super scientifique » qui cause, mais tous ses collègues, qui ne vont pas se déjuger eux-mêmes, dans une belle dilution des responsabilités dans le « collectif ».
Du pain béni pour « Big Pharma » : Il suffit de les prendre un à un, les uns derrière les autres et on est parti pour un « grand frisson » supplémentaire.
C’est pour ça que je me prépare psychologiquement à ma quatrième dose, prévue pour juin 2022, si je survis jusque-là !
Et j’ai même pris langue avec ma toubib pour Noël 2022… mais elle ne sait pas encore si elle n’aura pas changé de métier à ce moment-là !
Pas très raisonnable…
Bé non : Il faut foutre la trouille et le « Ô-MacKron » arrive pile-poil pour enrichir l’épisode !
C’est qu’ils ont « des lettres » (antiques) nos virologues…
Son vrai nom scientifique, c’est le « B.1.1.529 ».
Trop complexe pour les abrutis que nous sommes…
Passons.
Et cette mutation préoccupe car « la protéine de surface, la Spike qui est responsable à la fois de la contagiosité du virus et de l’échappement à la réponse immunitaire, montre un nombre très élevé de modifications par rapport aux formes qu’on connaissait ».
32 en tout (sur 50) : Une véritable auberge espagnole…
De quoi faire douter de l’efficacité des vaccins actuels.
Mais « il faut tout d’abord identifier le rôle de plusieurs des mutations centrales dans la réponse immunitaire », pour pleinement se faire peur et repartir de zéro.
Or, pour cela, un travail en laboratoire est nécessaire « pour savoir si les anticorps produits après la vaccination sont capables de neutraliser le virus ».
L’autre possibilité est une approche de terrain en recherchant « un maximum de cas de personnes infectées par ces variants, de compter les gens qui, malheureusement, ont été infectés alors qu’ils étaient vaccinés ».
La combinaison de ces deux paramètres va nous permettre de savoir si ce virus peut échapper à la réponse immunitaire naturelle et à la réponse immunitaire post-vaccinale.
Et c’est là tout le problème pour les épidémiologistes : « On pense que ce virus-là est capable d’infecter des gens qui ont déjà été infectés par des virus précédemment. »
Bref, c’est un mutant qui s’adapte aux sidaïques, voire qui vous refile le SIDA en douce, on ne sait pas encore…
Ainsi, le gouvernement nippon en dit : « Nous allons interdire toutes les (nouvelles) entrées de ressortissants étrangers du monde entier à partir du 30 novembre ».
Enfin, les Japonais revenant de neuf États d’Afrique australe et de pays où des infections au nouveau variant ont été recensées devront quant à eux se soumettre à « de strictes mesures d’isolement en fonction des risques », a précisé le chef du gouvernement.
Autre tour de vis, celui des autorités marocaines qui ont décidé dimanche de suspendre tous les vols directs de passagers à destination du Maroc pour une durée de deux semaines à compter d’hier soir.
Une décision qui intervient en raison de la propagation rapide du nouveau variant « notamment en Europe et en Afrique, et afin de préserver les acquis réalisés par le Maroc dans la lutte contre la pandémie et protéger la santé des citoyens », a expliqué le Comité interministériel de suivi de la pandémie.
Israël, où un cas a été confirmé chez un voyageur revenu du Malawi, a également interdit dès dimanche soir l’entrée des étrangers sur son sol.
Pas de chance pour les Palestiniens qui travaillent en « terre sacrée ».
De même, les citoyens israéliens vaccinés devront présenter un test PCR et se mettre en quarantaine pendant trois jours, une mesure étendue à sept jours pour les non-vaccinés, ont précisé les autorités.
L’annonce de ces mesures est intervenue à quelques heures du début de la fête juive d’Hanoukka, la « fête des lumières », qui s’étend sur huit jours et au cours de laquelle ont lieu de nombreux rassemblements et festivités.
Les Philippines ont suspendu de leur côté leur projet de réouverture des frontières aux touristes entièrement vaccinés afin d’empêcher toute entrée du nouveau variant sur son territoire dont la population est peu vaccinée.
Manille avait annoncé la semaine dernière son projet d’autoriser à nouveau l’entrée de ressortissants de nombreux pays à partir du 1er décembre, dans un souci de dynamiser une économie fortement éprouvée par la pandémie.
Loupé !
Il y aurait même pénurie de carton d’emballage !
La folie Omicron a également envahi les médias prêts à tout pour dégainer leurs meilleurs virologues qui ignorent tout de cette souche et qui pourtant semblent tout connaître, apeurant les « Gauloisiens-vaccinés » sur du vent.
Comme d’un air de « déjà vu »…
32 mutations, plus de virulence, aucun vaccin, ok… mais est-il plus mortel ? Procure-t-il plus de formes graves ? C'est un peu tout ce que tout le monde souhaite savoir.
Un virus est en mutation constante et si sa diffusion accélère, ce serait tout bonnement car celui-ci perd en virulence, sa contagiosité est comme un baromètre, plus elle est grande, moins le variant présente de danger.
En effet, si le nombre de cas progresse, la courbe des décès n’accélère pas à la même vitesse. Pour l’heure et en attente des évolutions des données dans le temps, Omicron n’a rien du monstre que l’on veut bien vous décrire.
Mais qui sait aujourd’hui ?
Par ailleurs, l’Afrique du Sud elle-même ne préconise aucune recommandation spéciale à cause de sa présence sur son territoire, ce qui est bien étrange si l’on regarde l’état de panique globalisé !
Est-ce qu’au moins un seul aura pensé que plutôt que de s’exciter et de tout boucler, ne vaut-il pas mieux, au contraire, le laisser se diffuser et chasser le variant Delta, nettement plus létal ?
Omicron est « extrêmement bénin », selon le médecin qui a découvert la souche, car de nombreuses mutations « déstabilisent » le virus.
Plus important encore, il a déclaré que le grand nombre de mutations trouvées dans le variant omicron semble déstabiliser le virus, ce qui pourrait le rendre moins « apte » que la souche delta dominante.
C’est qu’un virus est un être vivant : Il cherche à ne pas mourir bêtement pour favoriser « sa lignée ».
Tuer le patient porteur n’a aucun intérêt, alors il s’adapte.
Moderna comme Pfizer ont d’ores et déjà annoncé travailler sur une formule améliorée, et ce, dans un délai de 100 jours, une précipitation qui devrait davantage inquiéter qu’Omicron lui-même !
En réalité, au regard des données disponibles, un nouveau vaccin n’est pour le moment absolument nécessaire que pour les labos.
Alors, pour quelles véritables raisons pareil affolement ?
Les États ont-ils des intérêts à créer la zizanie à l’intérieur des cerveaux ?
Bien évidemment, car le travail en cours et qu’ils ont entrepris ensemble sous le prétexte pandémique n’est pas clos, le crédit social (un peu à la chinoise) pas encore activé.
Car le sujet est bien ici : Le contrôle de nos libertés à l’ère du numérique.
Avec l’aide de cette pandémie, le monde entame la restructuration de la condition humaine et le basculement vers le XXIIème siècle.
À moins que, justement, ce « mutant » se « sociabilise » et que nous vivions avec lui comme avec tous les autres : En bonne intelligence, protégé par nos systèmes immunitaires qui réagissent au quart de tour et provoquent nos fièvres et nausées grippales saisonnières.
Pas plus que d’habitude, quoi.
C’est qu’à part « Jupiter » abrité chez nous par son immunité présidentielle, tous les « sinistres » du monde « démocratiques » sont des justiciables comme les autres devant la justice « libre et indépendante ».
Alors, comment fais-tu pour te protéger des juges qui passe une fois la bataille terminée ? Bé tu ouvres le parapluie, style « c’est pas moi, c’est l’autre » (l’autre étant ici un comité scientifique).
D’ailleurs, la même mécanique fonctionne dans tous ces comités Théodule : Ce n’est pas un « super scientifique » qui cause, mais tous ses collègues, qui ne vont pas se déjuger eux-mêmes, dans une belle dilution des responsabilités dans le « collectif ».
Du pain béni pour « Big Pharma » : Il suffit de les prendre un à un, les uns derrière les autres et on est parti pour un « grand frisson » supplémentaire.
C’est pour ça que je me prépare psychologiquement à ma quatrième dose, prévue pour juin 2022, si je survis jusque-là !
Et j’ai même pris langue avec ma toubib pour Noël 2022… mais elle ne sait pas encore si elle n’aura pas changé de métier à ce moment-là !
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