Ils sont devenus délirants

Un week-end dense !
 
Après une semaine « hors sol », surréaliste et « dépassionnante » (https://flibustier20260.blogspot.com/2021/12/rien-de-passionnant-la-semaine-derniere.html), il se seront rattrapés le week-end-dernier. Car ils ont tous tenus meeting et réunion, sauf « Zézé-Amour » parti en Arménie défendre enfin les « chrétiens d’Orient » avec « Deux-Villes-liées » et pourquoi pas se préparer à demander l’asile politique local (pour « l’après »), sait-on jamais…
 
Ainsi, « Valy » (« Pète-Cresse ») se voit déjà au second tour.
Elle a raison : « Marinella-tchi-tchi » a déjà disparu de mes « thermomètres-prédictifs » (ce qui se sont récemment plantés en prétendant affreusement que « Berre-Trans » serait désigné par les « militants Républicains-démocrates » (cf. I-Cube (l'exilé): Échec et mat ! (flibustier20260.blogspot.com)) :« Ce sera Macron ou nous ! ». 

Le voilà rassuré !
Et se sent déjà tellement « plusieurs » qu’elle n’ose pas encore dire « Moi ! »
Sans doute galvanisée par les sondages, la candidate à la présidentielle a promis samedi 11 décembre « la victoire » à son parti durant son premier grand discours de campagne devant les cadres LRD réunis à « Paris-sur-la-Seine », avec un projet « radical » mêlant ordre, liberté et « fierté française ».
« Il y a quelques semaines, on nous disait enterrés, divisés, perdus. Mais nous sommes de retour, en ordre de bataille, pour la victoire » a-t-elle lancé, en se présentant comme une « gaulliste, libérale et sociale », et une « cheffe de guerre chaque fois que la France sera menacée ».
Ouh là ! La quadrature du cercle que voilà en une poignée de phrases…
Et qualifiant ses anciens rivaux de la primaire de « quatre Mousquetaires », la candidate LRD leur a lancé un « Une pour tous et tous pour une ! », au cours de l’une de ses références littéraires.
Magnifique : Elle s’y voit déjà, figurez-vous !
 
Décidément, elle m’amuse : « Mon projet est radical car la situation l’exige », a-t-elle lancé. Il serait temps de s’en rendre compte.
Car « il n’est pas question de laisser l’avenir de la France entre les mains de l’immobilisme » de « Jupiter », qui « a si peu réformé et tant dépensé », qui « aura sacrifié l’avenir au présent », « pété la caisse », quoi !
Des mots qui touchent et fédèrent…
Ni « de l’extrémisme qui se nourrit de nos problèmes sans vouloir ni pouvoir les résoudre », a-t-elle ajouté en faisant allusion aux candidats « d’extrême-droâte » qui sont plus nombreux que jamais.
Du coup, son projet est surtout radicalement… à droite. Elle entend ainsi « stopper l’immigration incontrôlée, casser les ghettos, restaurer la sécurité ».
Elle aussi ?
Autre clin d’œil à la droâte de la droâte ? « Vous n’avez pas à rougir d’être Français, et c’est cette fierté française que je veux restaurer », a-t-elle également lancé en vilipendant les « mouvements wokistes ou indigénistes », les « déboulonneurs de statues » et les « petits procureurs de notre passé ».
Ouf…
La fois où « Bling-bling » aura dit que nous étions tous Gaulois, il se sera aliéné le vote Corse et d’Outre-Mer et j’en ai changé de vocable pour le « Gauloisien » !
Et puis on ne l’a plus vu…
Elle, elle va faire un tabac chez les électeurs de « Marinella-tchi-tchi » !
 
Et elle insistera : « Je ne veux plus voir des enfants se repentir d’avoir eu des héros. »
Et alors, encore mieux : Le slogan affiché derrière elle lors de son meeting, « le courage de dire, la volonté de faire », est un slogan historique… du « F-Haine » !
Quelle récupération : Bravo !
Un choix décoiffant, pointé par de nombreux commentateurs sur « Twister », affiches (datant de 1986 et 2015) à l’appui…
Et les droits d’auteur ont été payés ou est-ce simplement du pillage ?
Car les internautes se sont également régalé d’une grosse bourde dans le discours de la candidate, qui a cité son passage à Oradour-sur-Glane, « village martyr de ma Corrèze de cœur », alors que la commune est située en Haute-Vienne, sur le chemin de la division « Das Reich » qui est allée se faire éparpillée sur le front de Normandie.
Déjà une invasion du mutant anglo-saxon…
 
Quant à « Sœur-Âne », elle est restée perdue sur son nuage au point qu’elle aurait fait une « rêve ».
Un rêve d’union.
« Comment ne pas entendre les Français qui nous appellent à l’union ? », a-t-elle lancé devant des militants réunis dimanche à Perpignan.
Elle qui aura été « unionée » à plusieurs reprises, par le père de deux de ses gamins et le père de son troisième, ça ne manque pas de sel, finalement : Une experte !
« Sans union il n’y a pas de destin pour la gauche ! »
Ni pour elle…
« La division, c’est la résignation, l’impuissance, l’abstention ! »
« On va me dire : “Elle veut l’union, mais elle rêve !” Eh bien oui, je rêve ! », a-t-elle ajouté.
Dans cette ville tenue par le « Air-Haine », « Sœur-Âne » a aussi eu ces mots :
« Je viens, disent-ils, dans un fief de l’extrême droite, dans un milieu hostile, dans une ville vouée au repli. Mais il n’y a pas de fief en France, il n’y a pas de chasse gardée, de terre interdite. Il n’y a qu’une République ! »
Donc elle a lancé « un appel à l’unité de la France », se présentant en candidate « de la concorde », « de la réconciliation de la France avec elle-même et de l’apaisement d’une France divisée ».
De Gaulle n’aurait pas fait mieux, à mon sens…
Et elle aura été entendue au moins par les Kanaks et les Caldoches : Eux, ils ont tourné le dos à l’indépendance à plus 96 % !
Quant aux « métros », pas bien certain qu’ils aient entendu cet appel vibrant à s’unir à une « gôche-soce » qui n’est même plus l’ombre d’elle-même…
Tragique, l’autisme-appliqué !
 
« Rassembler », c’est également le mot d’ordre de « Ya-Nique-Yoda ».
Mais seulement sur « l’alternative heureuse de l’écologie » !
Le candidat « écololo-bobo » à la présidentielle avait tenu réunion samedi, mais dans l’Aisne. Son premier meeting, sobre et de petit calibre, dans une campagne qui peine à décoller et à faire taire les appels à l’union…
Pour lui, seul le défi climatique peut unir derrière lui : « La planète brûle avec les méga-feux, coule avec les inondations, ce dérèglement climatique est sans aucun doute le plus grand défi de notre siècle, défi universel parce qu’on touche à notre destin d’humain, de terrestre ».
Il a peut-être raison, même si « La Niña » est en train de rafraîchir le Pacifique équatorial…
C’est assez drôle : Quand ils parlent d’union, les « écololo-bobos » ne parlent pas de la même chose : Il a ainsi continué à justifier son refus d’une primaire à gôche, mais promis qu’il proposerait « dans les prochaines semaines aux forces vives, sociales, politiques du pays de se parler pour partager notre projet et notre campagne. »
Et de rajouter : « J’appelle tous les écologistes et les humanistes à nous rejoindre. ».
Moâ, quand j’entends le mot « humaniste », je pense aussitôt aux « frères trois-points ».
Ne sait-il pas que les loges maçonniques ont déjà choisi leur candidat et que ce n’est pas lui ?
Pourtant, au sein même des « Verdoyants », l’idée d’une primaire de la gôche fait des émules. Même « Sa-Mère-Noël », la figure respectée et ancien candidat à la présidentielle en 2022, estime qu’il « aurait tout intérêt » à participer à « la Primaire populaire », organisée par un mouvement citoyen.
 
Qu’importent les refus de « Maître Yoda », « Mes-Luches », de « Rousse-Aile » du PCF (le quoi ?), la proposition de « Sœur-Âne » d’organiser une primaire a au moins fait des heureux : Les partisans du mouvement la « Primaire populaire », justement.
Ce processus, porté par l’association de citoyens « 2022 ou jamais », propose de désigner un candidat unique à « gôche », via une primaire en ligne, a vu son nombre de soutiens bondir depuis mercredi, passant de moins de 240.000 à plus de 270.000 ce dimanche.
Le collectif était en outre dans la rue ce samedi, dans une quarantaine de villes, pour tenter de mettre la pression sur les candidats de gôche.
« Depuis des mois on nous disait non. On a réussi à embarquer une candidate, puis deux candidats. Maintenant, on est là pour donner aux autres le goût de la victoire ! », a notamment lancé leur « porte-la-parole » mouvement à une tribune du rassemblement parigot.
Dans les semaines à venir, ces derniers ont prévu, partout sur le territoire, d’aller causer à leurs camarades « écolologistes », « socialios » et « insoumis » de Perpignan ou même du département. Avec pour objectif de les convaincre de faire pression sur leurs partis respectifs, pour les forcer à se lancer dans une mécanique d’union de la « gôche », malgré le refus des têtes d’affiche nationales !
« Il y a une déconnexion énorme entre ce que veut la base militante de gauche, qui souhaite en grande majorité le rassemblement, et les cadres nationaux des partis », affirme même le maire de Cintegabelle (l’ex-fief de « Tonton Yoyo ») à la tête de la fédération « soce » de Haute-Garonne, et néanmoins « porte-la-parole » de « Sœur-âne ».
« L’union de la gauche, elle existe déjà au niveau local, et elle est voulue depuis longtemps par la très grande majorité des militants », assure un adhérent « Soce » de la fédération de l’Aude.
Le rassemblement par la base, c’est un pari mais il veut y croire. « J’ai envie d’être optimiste, et nous devons être à la hauteur de la situation ».
C’est vrai finalement : Plutôt que de se prendre des baffes chacun dans son coin, pourquoi ne pas prendre une déculottée « tous ensemble, tous ensemble ! »
 
Avec des « amis » pareils, la gôche n’a plus besoin d’ennemis en disent « Menuet-Valse » et « Stéph-Le-Folle » qui ont tous les deux sorti la sulfateuse de gros calibre, ce week-end, pour descendre leurs (anciens) camarades de route.
Le premier signe une tribune dans le « Journal du dimanche », reprenant un de ses thèmes privilégiés : « Immanquablement, la gauche se meurt ».
Tu n’y es pour rien, naturellement, l’exilé catalan…
Il y critique « le spectacle affligeant que la gauche donne d’elle-même ces derniers jours », qui, selon lui « relève davantage de l’évidence que de la surprise ».
« Elle meurt chaque jour un peu plus, et ce, depuis des années. C’est non sans nostalgie et amertume que je constate que la gauche s’éteint par reniement de ses valeurs et de son histoire. Ce n’est pas faute de m’être battu pour que ce moment n’arrive pas. »
Bé voyons…
« Parce qu’elle refuse de voir le réel et ostracise tous ceux qui veulent l’affronter, la gauche meurt. Elle meurt de son aveuglement. (…) La gauche meurt de son passéisme. (…) La gauche meurt de sa paresse », poursuit l’ancien « Premier sinistre » soce (l’avant-dernier aussi).
Ah bon ? Ce n’est plus un « force de progrès » ?
Et depuis quand au juste ?
Depuis toujours, même si on aura fait croire le contraire à bien des acéphales (autistes).
Et il conclut par un : « Elle pourra imaginer tous les subterfuges, organiser toutes les primaires, se réunir autour de partis moribonds ou de tribuns déclinants, se jeter dans les bras de figures tutélaires fantasmées qui sont à l’origine de sa perte, elle a déjà perdu. »
Enfin un point de vue respectable de la part d’un « trisomique-chef »…
 
Et le second, qui critique la tribune du premier, n’est pas moins en verve.
Le maire « Soce » du Mans et également « ex-sinistre » de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » du temps où il faisait « capitaine de pédalo », a déploré sur CNews et Europe 1 le « manque de discours, de grandes propositions, de marqueurs » à gôche, appelant les candidats, dont « Sœur-Âne », à présenter « un vrai projet » pour « convaincre les gens ».
« On ne gagne en politique que lorsqu’on arrive à convaincre les gens du projet que l’on porte. »
Mais les convaincre de quoi au juste ?
On ne saura probablement jamais…
 
Comme je vous l’indiquais, de son côté, « Riton-Zézé-Amour » était en campagne… en Arménie. Le candidat de la « droâte-de-l’extrême-droâte » y a appelé à mieux défendre l’Arménie, nation « chrétienne » au milieu d’« un océan islamique ».
C’est assez marrant de la part d’un séfarade…
Il avait emmené dans ses valises son « ami » « Phiphi-Deux-Villes-Liées » sorti de son « Puit-du-cinglé », qui désormais et visiblement n’hésite plus à s’afficher avec le candidat à la présidentielle.
Ce qui n’était pas le cas avant : Il s’est donc passé quelque chose entre eux deux.
La larme à l’œil « Phiphi » a même rendu un vibrant hommage au candidat avant leur départ : « Plus je regarde Éric, plus je me dis “ce qu’il défend, c’est ce pourquoi je vis, c’est ce pourquoi je souffre, il défend la civilisation” ! »
Bé dis donc : On est bien défendu, là, pas de doute…
À l’arrivée, le comité d’accueil ne leur était pas vraiment favorable : Une vingtaine de manifestants, parmi lesquels des « Gauloisiens », ont accueilli « Riton » en lui criant « Raciste ! » et en brandissant des pancartes en « Francilien-natif » : « Pas bienvenu, Éric Zemmour ».
« On est là pour informer les Arméniens de qui est Éric Zemmour. C’est un homme très dangereux, c’est un fasciste ».
Et eux savent de quoi il retourne…
 
Pendant ce temps-là, loin des débats entre « losers », « Jupiter » aura visité, pour une ultime virée dans le cadre de sa tournée entamée au début de son quinquennat, la Hongrie, sur les traces de « Zézé-Amour » et « Marinella-tchi-tchi ».
Joli pays, la Hongrie, son beau Danube bleu, Sissi et son pont-aux-chaînes, son pinard, ses hongroises et ses bains turcs… où il aura rencontré le « Premier sinistre » local, le souverainiste « Vick-Tor-Or-banne », avec qui il s’est souvent opposé : « Jupiter » y défendant la vision d’une Europe unie et solidaire, notamment sur le dossier sensible de l’accueil des migrants, tandis que le second se faisait le porte-parole du camp nationaliste, souvent qualifié de « populiste » par ses critiques.
Dire qu’ils étaient prêts à passer en zone euro… « mais ça, c’était avant » !
Loin du foin délirant de la campagne qui s’anime, il aura abordé « certains dossiers prioritaires (mais pas tous) des prochains mois au niveau européen, en particulier (seulement) les transitions climatique et numérique, le renforcement de l’Europe de la défense, le développement de l’Europe sociale et la gestion européenne de l’asile et des migrations ».
On en saura plus dans la semaine.
Il prend du repos au large comme il peut, tant qu’il le peut encore.
D’autant qu’il y a de quoi se réjouir : « La France est plus belle ! » qu’il en aura prétendu après le 3^ème vote sur l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie.
Je ne suis pas bien certain qu’il fasse l’unanimité sur le caillou, mais on verra bien les suites à en donner…
En réalité, les Caldoches et Kanaks ne voulaient probablement pas louper les mois électoraux qui s’annoncent comme « trop fort » : On peut les comprendre !
 
En définitive, en cette période d’avant, d’avant « la trêve des confiseurs », ils se démènent, s’agitent, racontent des balivernes, mais ils restent encore drôles, persuadés chacun d’être en mesure de renverser la table, de bousculer l’Histoire, de faire mentir tout le monde et tous les sondages.
Ceux-là restent imperturbables… hors la montée en puissance de « Pète-Cresse » avant qu’elle ne fasse « pschitt ».
Moâ, je guette le moment où elle va se faire démolir en plein vol, se faire descendre en flamme et sans parachute.
Et ça devrait venir par « canal habituel », à savoir « Libé » (ce torchon), Médiapart, « Le Monde » (cet autre torchon).
Plus grave et plus dur si ça déboule par le « Figue-à-rot » (ce énième torchon).
L’avenir va nous le dire…
 
(Pour votre information, je n’ai toujours pas digéré comment ces trois torchons ont pu traiter de l’assassinat de mon « Papa-à-moâ-même » et comment ils ont pu soutenir son assassin sans honte ni vergogne, qui en a pris tout de même pour 15 ans avant de mourir à son tour la santé ravagée, sans aucun recul « journalistique » ni surtout la moindre once de regret.
Mais c’est une autre histoire et elle ne vous regarde pas).