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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 26 décembre 2021

Journal d’estives 2021 (13/17)

Pollution varoise…
 
Après le sable saharien, le nouvel épisode de pollution de l’air est en fait la conséquence de l’important incendie qui sévit au même moment dans le Var.
Si nous sommes « enfumés », c’est à cause du violent incendie qui a déjà ravagé 5.500 hectares de végétation dans le Var.
Une alerte à la qualité de l’air a été émise par la préfecture et QualitAir, le service de surveillance de la qualité de l’air local.
La presse locale nous apprend que depuis la fin de matinée du 17 août les stations de mesures enregistrent de fortes concentrations en particules en suspension en provenance du Sud du pays et engendre un dépassement du seuil d’alerte pour la journée.
En attendant, chose absolument étonnante, alors que je suis étalé en bord de plage avec ma Nichée qui s’adonne à ses chamailleries nautiques habituelles, je vois passer un essaim d’abeilles, ou de guêpes, en nuage compact, qui vole en zigzag vers les Baléares à quelques mètres du sol…
Un suicide collectif genre « secte Aoun » ou « Le temple solaire » ?
 
Le lendemain, le vent aura commencé à balayer la pollution aux fumigènes des incendies varois.
Le lever de soleil, un soleil rouge sanguin, était magnifique, et désormais on peut voir les étoiles dans le ciel, en tout cas les plus lumineuses, car l’atmosphère est moins « laiteuse ».
Passé la soirée chez mon voisin du dessus : Toujours impayable avec ces airs bourrus d’ours de Muro (Balagne).
Le pôvre, il ne sort plus de chez lui : Non vacciné pour des raisons de santé (il cumule plein d’ALD et plusieurs handicaps), il n’a pas accès au pass-sanitaire.
Résultat, il ne descend même pas en ville pour acheter son pain quotidien, son journal et boire son jus matinal.
Mais il s’organise pour le faire faire par d’autres. Sauf le café : Il le fait lui-même.
Le chemin pour accéder chez lui, d’où il a une vue sur 180° sur tout le massif et jusqu’à la mer, est infernal.
Des trous partout sur le revêtement, des bosses monstrueuses et en plus des dos d’âne. J’en ai 17 sur mon parcours habituel, lui en a 14, au moins autant que les membres du conseil municipal.
Devinez quoi ?  
Le « voisin du dessus », il aura peint leur nom sur chacun d’entre eux !
C’est vrai qu’au lieu de faire des dos d’âne avec les impôts locaux, ils auraient pu penser à reboucher les trous…
 
Et finalement j’aborde une pente cassée que j’arrache tout ce que je veux de mon « tas de boue à roulettes ».
J’y vais doucement, mais ça grince à en attaquer son béton.
Ce qui m’aura fait rire, c’est que devant moâ, il y a une voiture bordelaise qui emprunte le même chemin, complètement perdu, son GPS à la ramasse.
Et que bien sûr je lui bloque la case « retour » pour lui coller au kul d’autant que c’est tellement étroit qu’il n’y a pas moyen de faire demi-tour, hors les accès aux jardins privatifs.
Or, toutes les portes sont fermées…
Il m’a laissé le dépasser et plusieurs heures plus tard, je me rends compte qu’il a réussi à se dégager de ce piège circulatoire.
Mais au prix de combien d’efforts ?
 
Le jour suivant, je constate qu’il n’y a pas trop de monde « en ville ». C’est tout de même curieux : Si ça circule bien en voiture, les parkings sont pleins comme un œuf à deux jaunes. Question métaphysique : Où sont les gens ?
Pas dans les restaurants, pas dans les boutiques, pas dans les rues…
Peut-être à la plage.
Il faut dire que la plage que je fréquente avec ma « Nichée » aura perdu 5 à 6 mètres de profondeur (sa largeur) sous l’effet du vent et de la mer. Du coup, ça s’entasse un peu, oubliant les « gestes barrières » parmi les touristes.
On les reconnaît, ils sont tout pâle (ou rose) alors que moi je fais « châtaigne ».
Notez qu’ils ont raison : Pour entrer en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », il faut un pass-sanitaire valide. Pareil pour grailler dans un restaurant ou boire un café.
Il n’y a que des « Corsi » pour tomber malade ou s’infecter ! Eux, ils sont plus forts et plus beaux que tous les autres : Ils n’ont pas besoin de se faire vacciner pour faire barrage à la pandémie !
 
Notez que la konnerie n’a toujours pas reçu de vaccin. J’ai pu observer un touriste débarquer ses bagages dans sa location mettre ses warnings dans la cour de son lieu de villégiature.
Pourquoi pas, des fois qu’on ne voit pas sa tire ?
Mais quand c’est fini, il va ranger sa chignole sur le parking en oubliant d’arrêter le bidule qui clignote toute la nuit.
Résultat, le lendemain, il ne peut même pas ouvrir les portières qu’il lui faut un dépanneur qui ne parvient pas à démarrer son tas de ferraille sur roues : La voiture ne reconnait pas la clé !
Il n’y a plus qu’à la mettre sur un plateau, retour à l’usine agréée pour débuguer l’ordinateur et lui de devenir piéton dans l’intervalle : De belles vacances en perspective !
 
Au soir on se fait une table sur la plage de Calvi avec ma Nichée au complet qui veut s’offrir un coucher de soleil.
Coup de téléphone, prise de RDV, installation de table prévue sur le sable.
Quand on arrive, à l’heure, plus de place disponible !
Ils se sont faits incendier sur les réseaux sociaux comme pas permis.
Moâ, je n’aurai pas fait comme ça, parce que sur les réseaux, on s’expose à des répliques qui peuvent parfois devenir assassines.
J’aurai pris mon téléphone et aurai réservé plusieurs tables de six personnes, durant plusieurs soirées d’affilée.
Et n’y serai pas allé, ou alors juste pour vérifier que les tables réservées sont laissées vides et les saluer en laissant un commentaire du genre : « Merci à vous ! On a découvert un chef un peu plus loin qui nous a régalé ! Bonne soirée… »
Mais bon, la jeunesse a d’autres codes de conduite que les miens.
 
Et puis ma « Nichée », pour une partie reprend l’avion pour aller à un mariage en Bretagne, pendant que l’autre utilise sa voiture louée pour aller se promener aux abords de la Restonica, en amont de Corti.
Les journées sont belles, le ciel est dégagé de ses « vapeurs », la lumière est splendide, le temps idéal pour des randonnées.
Sauf que la rando, forcément ça monte avant de redescendre : Donc ce n’est pas pour moi.
Et puis, je ne sais pas pourquoi, mais l’une d’elle tombe amoureuse d’un « tableau » multicolore déniché dans une brocante et vendue à prix d’or.
Une ânerie qui ira décorer son intérieur parigot. Probablement les chiottes…
Sauf que compte tenu de ses dimensions, ça ne rentre pas dans un coffre de « tas de boue à roulettes ».
Et puis j’ai déjà des kilos de sifflard, lonzu, coppa, prizuti, et autres cochonnailles à leur ramener, sans compter les bouteilles de pinard et les grappas locales, plus le linge excédentaire : Tout ne rentre pas dans leurs avions !
Ils en avaient fait l’expérience l’année précédente et j’ai dû ramener de Bastia l’équivalent d’une grosse valise… mais en bouts en vrac dans la malle.
Si en plus je dois ramener le chaton, puisque malade et pris de pitié je l’ai amené se faire soigner chez le vétérinaire et que celui-ci l’aura tatoué donc et inscrit à mon patronyme comme « ma » propriété, comme indiqué ci-avant, je ne vais probablement pas l’abandonner.
Ce qui veut aussi dire, sciure pour chat et divers accessoires indispensables dont il faudra bien s’équiper au moins pour prendre le bateau.
Un chat du maquis qui va vivre toute la journée à regarder voler les pigeons parigots, c’est un psy pour chat qu’il va falloir que je dégotte.
Des inconvénients d’être père de famille…
 
Ceci dit, c’est année faste : Ce jour-là, sur la plage je me fais draguer par deux « teutonnes » aux mensurations plaisantes et appétissantes.
Ceux-là débarquent en quantité sur la fin du mois.
J’aurai même croisé des norvégiens et des suédois, vous ai-je dit, ce qui est plutôt rare sous mes tropiques, des danois, des autrichiens, plein d’autrichiens et des « ritaux » plus un couple d’amis avec leurs trois gamins qui devaient partir pour le Maroc : Ils se sont rabattus sur la « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » au dernier moment et en restent tout béats d’admiration !
Ceux-là reviendront jusqu’à plus soif…
Sauf que leur « pitchoune », le second de la fratrie, il accumule les konneries depuis toujours et une bonne partie de leur séjour se passera dans les services de « bobologie » des différents centres médicaux de l’île dont ils font le tour…
Remarquez, il y a l’air conditionné et ils ont l’habitude de faire des monographies de ce type d’établissement…
Ils vont pouvoir compléter leur atlas…
 
La mer est vraiment délicieuse : 27° quand il fait à peine 31° sur le bord de sable avec une faible brise de mer. Les méduses vont et viennent, mais comme l’eau est limpide sous le soleil, je parviens à les voir de loin et à les éviter.
Ce qui fait que je reste parfois plus d’une heure à patauger lentement dedans.
Le temps s’écoule lentement et les journées paraissent pourtant si courtes.
D’autant que je suis en panne pour le roman « La croisière d’Alexis® », recueillant, quand j’en ai le temps et le loisir, des éléments pour le suivant.
Pour le premier, où la ligne directrice est qu’Alexis est plongée dans un univers de robots à bord d’un des navires de « Charlotte », une idée qui remonte à l’année dernière au moment où j’achevais l’écriture de « L’année Covid de Charlotte® » dont les chapitres s’égrènent sur ce blog en ce moment, je me rends compte que la réalité avance beaucoup plus vite que ma propre capacité d’anticipation : J’apprends ainsi qu’Elon Musk va faire des robots humanoïdes qui restent bluffant !
J’ai vu la vidéo et franchement, on n’est plus très loin de mes « poupées ».
Enfin, celles de « Charlotte ».
 
Pour le reste, les écololos-bobos évitent de se déchirer pour les prochaines présidentielles, alors qu’on évacue l’Afghanistan dans le désordre.
C’est assez drôle, finalement : Les uns vont faire de la figuration et ambitionnent de « changer le monde » sans se rendre compte que le monde aura changé sans eux.
Quant aux autres, ils se résignent enfin à tirer les conséquences de leurs inconséquences depuis deux décennies. Je ne comprends pas comment ils ont pu rester aveugles aussi longtemps…
Il va bien falloir un jour ou l’autre que les « super-puissances » admettent leur impuissance à se protéger efficacement juste en fermant leurs frontières.
Même en « pistant » et en « traçant » tous les éléments étrangers qui se promènent librement sur leur territoire.
L’IA aura fait de tels progrès en quelques années, le fichage de tous également avec cette affaire de « Conard-Virus », qu’il est, comme en Chine, assez facile de mettre en place un « contrôle social » efficace.
On entre de plain-pied dans le contrôle numérique de la planète qui coûtera toujours moins cher que d’envoyer des « boys » se faire trouer le cuir sous d’autres cieux.
Et ce sera même bien plus efficace.
 
Est-ce souhaitable, est-ce déontologique ? Éthique seulement ?
Ce n’est même pas la bonne question, puisque ça se fera de gré ou de force. La bonne question est : Est-ce que ce sera efficace pour éradiquer toute forme de violence, y compris terroriste ?
Bien sûr, si on met en place un système d’opérations « Homo » (pour homicide), sans jugement préalable et donc, hors système judiciaire qui lui ne fait passer qu’après les exactions de ces quelques minorités ravageuses.
On y parviendra probablement dans la génération future du milieu du siècle actuel.
Si et seulement si on parvient à en contrôler les dérives, naturellement et faire accepter leurs conséquences « liberticides ».
Le champ de la Liberté va se réduire encore tel que nous le connaissons : En fait, il va se déplacer.
Et il s’agira de piloter ces changements avec une once de bon sens : Faire croire que le vocable « Vous savez qui » est un propos antisémite formellement interdit est justement « hors du bon sens ».
On lui préférera « Vous ne devez pas savoir qui » ou « ceux que vous devez ignorer » : C’est complètement débile comme stigmatisation et ça va peser pour les prochaines élections présidentielles.
Le manque de mesure : Quelle époque !

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