Pour votre réveillon !
C’est le soir de Noël, le petit Jean-Patrick ouvre ses
cadeaux :
« – Maman, pourquoi le père Noël m’a offert de la crème solaire ?
– Mais mon chéri, tu ne voulais pas un meilleur écran
?
– Bah si…
– Eh bien, c’est de la crème solaire ‘‘écran total’’ ! »
Jean-Marc et Jean-Paul se racontent leurs blagues de Noël !
« – Comment as-tu passé Noël ?
– Comme un cadeau !
– C’est à dire ?
– J’ai passé toute la soirée couché sous le sapin ! »
« – Comment appelle-t-on un chat tombé dans un
pot de peinture le jour de Noël ?
– Un chat-peint de Noël ! »
« – Quel spectacle les écureuils vont-ils voir
à Noël ?
– Casse-noisette ! »
« – Tu connais la blague de Noël ?
– Elle sent le sapin. »
« – Tu connais la blague de Noël ?
– Demande à ma mère. »
« – Tu connais la blague de Noël ?
– C’est une histoire de dinde. »
« – Tu connais la blague de Noël qui fait peur
?
– Oui ! Attention tu vas avoir les boules. »
« – M. et Mme Duciel ont cinq enfants, comment
s’appellent-ils ?
– Bé… Betty, Baba, Noël, Quentin, Sandra. »
« – Quelle est la ville préférée des animaux
du Père Noël ?
– Rennes ! »
« – Avec qui il est interdit de passer Noël ?
– Avec ta classe ! Car Noël, c’est Santa classe. »
« – Quelle est la différence entre un sapin et
toi ?
– Le sapin c’est un conifère et toi t’es con mais on ne
peut rien y faire. »
« – Quel est le cas préféré des psychanalystes
à Noël ?
– Do. Le cas Do. »
« – Monsieur et Madame Rlande ont un fils,
comment s’appelle t-il ?
– Gui. »
« – Que dit un sapin de Noël qui arrive en
retard le soir du réveillon ?
– Je vais encore me faire enguirlander ! »
« – Pourquoi le Père Noël est en prison ?
– Parce que conformément à l’article 226-4 du Code
pénal, « l’introduction ou le maintien dans le domicile d’autrui à l’aide de
manœuvres, menaces, voies de fait ou contrainte, hors les cas où la loi le
permet, est puni d’un an d’emprisonnement et de 15.000 euros d’amende. »
Deux copines discutent :
« – Moi, mon mari m’a envoyé une jolie carte de Noël.
– Eh bien moi, mon mari m’a envoyé plein de cartes de Noël
: Une carte visa, une master card, une carte American Express… »
« – Comment s’appelle le gâteau le plus dur du
monde ?
– La bûche de Noël ! »
Dans le salon familial, le petit Jean-Kevin
s’égosille devant le sapin de Noël.
« Père Noël, Père Noël, je veux un train électrique ! »
Après quelques secondes, il se remet à crier :
« Père Noël, Père Noël, je veux un train électrique ! »
Au bout de plusieurs récidives, son père intervient :
« – Ce n’est pas la peine de crier comme ça, le Père Noël n’est pas sourd.
– Le Père Noël n’est peut-être pas sourd, mais
grand-mère si ! »
C’est le Père Noël Juif qui entre et dit :
« Bonjour les enfants ! Qu’est-ce que je vous vends ? »
Voyant arriver des bûcherons dans la forêt un sapin
dit à un autre :
« Je n’y peux rien, mais moi Noël ça me fout les boules ! »
C’est Jean-Marc qui dit à sa femme :
« Vraiment je ne te comprends pas, voilà des mois que tu me gonfles pour que j’enlève les décorations des fêtes de fin d’année et aujourd’hui que je veux le faire tu viens me dire que c’est plus la peine car on est le 20 décembre ! »
Au boulot un gars voit un copain qui tire une gueule
pas possible, il lui demande la raison et l’autre explique :
« Cette semaine c’est Noël et ma femme a invité sa mère au réveillon, et ce n’est vraiment pas un cadeau ! »
Vers la fin décembre, un bonhomme en costume de
Père-Noël se présente à la porte d’une maison.
Une jolie femme lui ouvre la porte, elle ne porte qu’une petite culotte et un déshabillé transparent.
« – Bonjour madame, je viens vous demander si vous n’avez pas des vieux vêtements à donner pour l'Armée du Salut.
– Et comment savoir si vous dites la vérité ? Qu’est-ce
qui me garanti que vous êtes vraiment de l’Armée du Salut et non pas un
maniaque sexuel décidé à assouvir tous ses fantasmes avec une pauvre femme sans
défense qui est toute seule chez elle… jusqu’à 19 heures ce soir ? »
Un représentant de commerce rentre chez lui le 24
décembre au soir et trouve sa femme au lit avec le Père Noël, furieux il
injurie les deux amants, attrape le Père Noël, le frappe et le jette par la
fenêtre ensuite il envoie dans la rue sa tenue et sa hotte et s’adresse à sa
femme terrorisée :
« – Comment tu peux me faire ça ? Moi qui avait tant confiance en toi, et un soir de Noël en plus ?
– Écoute je te comprend mais je ne pouvais pas refuser », et
elle lui tend un bout de papier où est écrit :
« Cher Père Noël, j’ai 8 ans et mon papa est
souvent absent de la maison à cause de son travail, je m’ennuie beaucoup alors
au lieu de jouets cette année si je pouvais avoir un petit frère ou une petite sœur
je préférerai, Jean-Paul. »
Le papa de Jean-Marc lui demande ce qu’il a
demandé au Père Noël et Jean-Marc lui répond :
« Je lui ai demandé de passer plus souvent ! »
Le petit Jean-Marc se plaint à ses copains
d'école :
« Quel radin, ce Père Noël ! Au lieu des cadeaux, il a déposé, sous le sapin, la boite de chocolat que mes parents planquaient dans leur armoire ! »
« Noël est le seul jour de l’année où les
hommes se conduisent comme les oies du Périgord, mais sans se forcer »
(Desproges)
« L’adulte ne croit pas au Père Noël. Il vote ».
(Desproges)
« Quand on va dans un bureau de poste et qu’on
voit comment les employés des PTT manipulent les colis, on comprend mieux
pourquoi le Père Noël tient à apporter ses cadeaux lui-même. »
Si les rois mages avaient été des femmes… Que
serait-il arrivé ?
« Elles auraient demandé leur route,
… seraient arrivées à temps,
… auraient aidé à l'accouchement,
… auraient nettoyé l'étable,
… auraient fait une fondue,
… auraient apporté des cadeaux utiles.
Qu’auraient-elles dit en partant ?
… les sandales de Marie n’allaient pas avec sa robe,
… le bébé ne ressemble pas à Joseph,
… je n’en reviens pas qu’ils gardent des animaux à la maison,
… il parait que Joseph est au chômage,
… vierge mon cul ! »
C’est la nuit de Noël, deux clochards sont installés
sur un banc d’un jardin public de Madrid près de l'église San Fernando Y
Cojones de Toros.
Chacun a une casquette à ses pieds pour y recueillir l’aumône des passants.
L’un des deux clochards porte autour du cou une étoile de David, tandis que l’autre porte une croix.
À la sortie de la Messe de Minuit, les fidèles passent devant eux, sans un regard pour le clochard à l’étoile de David.
Par contre, les affaires sont florissantes pour l’autre clochard, celui qui porte la croix.
Il ne se passe pas une minute sans que résonne le bruit d'une pièce tombant dans sa casquette.
Le prêtre qui saluait ses ouailles sur le parvis de l’église et qui observait d’un œil les 2 clochards, s’approche alors.
S’adressant au clochard portant l’étoile de David, il lui dit :
« Monsieur, excusez-moi de vous déranger, mais je tenais à vous faire une remarque : Vous savez que l’Espagne est un pays très catholique… C’est pour cela que vous n’obtiendrez jamais la charité en arborant un signe judaïque tel que l’étoile de David, surtout à la sortie d'une église… »
À ce moment-là, le clochard se tourne vers son compagnon et lui dit :
« Dis-donc Moshé, tu te rends compte, ce gars-là veut nous apprendre notre métier ! »
Une femme et son époux discutent avant de dormir, de
leur fils qui doit les quitter le lendemain afin de faire son service
militaire.
« – Tu sais chéri, comme notre fils n’est pas très au courant des choses de la vie, il n’a que 21 ans. Ce serait bien si tu pouvais lui glisser un mot à propos de tu sais quoi, avant son départ. Sinon, il risque de se faire taquiner par ses nouveaux copains à la caserne.
– Tu as raison. Le courage m’a toujours manqué jusqu’à
présent, mais demain au réveil je lui en parlerai. »
Le lendemain matin, l’homme tente de parler à son fils
mais les mots lui restent dans la gorge.
Il accompagne donc son fils à la gare se promettant bien de lui en glisser un mot avant son départ.
Il prend un verre au bar avec son fils en attendant le train et s’apprête à tout lui dire mais n’y arrive toujours pas.
Pendant que son fils monte dans le train, le papa se sent coupable d’avoir échoué dans son rôle de père et se met à courir vers le train qui se met à rouler.
Sentant qu’il va enfin se libérer d’un poids énorme il crie à son fils qui a sorti sa tête par la fenêtre :
« LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS ! »
« L’autre jour, alors qu’on prenait une Seize
ensemble, une copine à moi me dit :
– J’ai un problème avec mon petit ami : Il ne veut pas
me dire qu’il m’aime, sauf pendant qu’on fait l’amour !
– C’est normal, » que je lui réponds, « au beau milieu de l’action, un mec normalement constitué dirait n’importe quoi.
Tiens, je suis sûr qu’une fois bien lancé, si tu lui dis : ‘‘Dis-moi que tu es le Père-Noël’’, il te dira : ‘‘Je suis le Père-Noël’’ !...
« – Maman, pourquoi le père Noël m’a offert de la crème solaire ?
– Bah si…
– Eh bien, c’est de la crème solaire ‘‘écran total’’ ! »
– C’est à dire ?
– J’ai passé toute la soirée couché sous le sapin ! »
« – Moi, mon mari m’a envoyé une jolie carte de Noël.
« Père Noël, Père Noël, je veux un train électrique ! »
Après quelques secondes, il se remet à crier :
« Père Noël, Père Noël, je veux un train électrique ! »
Au bout de plusieurs récidives, son père intervient :
« – Ce n’est pas la peine de crier comme ça, le Père Noël n’est pas sourd.
« Bonjour les enfants ! Qu’est-ce que je vous vends ? »
« Je n’y peux rien, mais moi Noël ça me fout les boules ! »
« Vraiment je ne te comprends pas, voilà des mois que tu me gonfles pour que j’enlève les décorations des fêtes de fin d’année et aujourd’hui que je veux le faire tu viens me dire que c’est plus la peine car on est le 20 décembre ! »
« Cette semaine c’est Noël et ma femme a invité sa mère au réveillon, et ce n’est vraiment pas un cadeau ! »
Une jolie femme lui ouvre la porte, elle ne porte qu’une petite culotte et un déshabillé transparent.
« – Bonjour madame, je viens vous demander si vous n’avez pas des vieux vêtements à donner pour l'Armée du Salut.
« – Comment tu peux me faire ça ? Moi qui avait tant confiance en toi, et un soir de Noël en plus ?
« Je lui ai demandé de passer plus souvent ! »
« Quel radin, ce Père Noël ! Au lieu des cadeaux, il a déposé, sous le sapin, la boite de chocolat que mes parents planquaient dans leur armoire ! »
« Elles auraient demandé leur route,
… auraient aidé à l'accouchement,
… auraient nettoyé l'étable,
… auraient fait une fondue,
… auraient apporté des cadeaux utiles.
Qu’auraient-elles dit en partant ?
… les sandales de Marie n’allaient pas avec sa robe,
… le bébé ne ressemble pas à Joseph,
… je n’en reviens pas qu’ils gardent des animaux à la maison,
… il parait que Joseph est au chômage,
… vierge mon cul ! »
Chacun a une casquette à ses pieds pour y recueillir l’aumône des passants.
L’un des deux clochards porte autour du cou une étoile de David, tandis que l’autre porte une croix.
À la sortie de la Messe de Minuit, les fidèles passent devant eux, sans un regard pour le clochard à l’étoile de David.
Par contre, les affaires sont florissantes pour l’autre clochard, celui qui porte la croix.
Il ne se passe pas une minute sans que résonne le bruit d'une pièce tombant dans sa casquette.
Le prêtre qui saluait ses ouailles sur le parvis de l’église et qui observait d’un œil les 2 clochards, s’approche alors.
S’adressant au clochard portant l’étoile de David, il lui dit :
« Monsieur, excusez-moi de vous déranger, mais je tenais à vous faire une remarque : Vous savez que l’Espagne est un pays très catholique… C’est pour cela que vous n’obtiendrez jamais la charité en arborant un signe judaïque tel que l’étoile de David, surtout à la sortie d'une église… »
À ce moment-là, le clochard se tourne vers son compagnon et lui dit :
« Dis-donc Moshé, tu te rends compte, ce gars-là veut nous apprendre notre métier ! »
« – Tu sais chéri, comme notre fils n’est pas très au courant des choses de la vie, il n’a que 21 ans. Ce serait bien si tu pouvais lui glisser un mot à propos de tu sais quoi, avant son départ. Sinon, il risque de se faire taquiner par ses nouveaux copains à la caserne.
Il accompagne donc son fils à la gare se promettant bien de lui en glisser un mot avant son départ.
Il prend un verre au bar avec son fils en attendant le train et s’apprête à tout lui dire mais n’y arrive toujours pas.
Pendant que son fils monte dans le train, le papa se sent coupable d’avoir échoué dans son rôle de père et se met à courir vers le train qui se met à rouler.
Sentant qu’il va enfin se libérer d’un poids énorme il crie à son fils qui a sorti sa tête par la fenêtre :
« LE PÈRE NOËL N’EXISTE PAS ! »
– C’est normal, » que je lui réponds, « au beau milieu de l’action, un mec normalement constitué dirait n’importe quoi.
Tiens, je suis sûr qu’une fois bien lancé, si tu lui dis : ‘‘Dis-moi que tu es le Père-Noël’’, il te dira : ‘‘Je suis le Père-Noël’’ !...
Fais l’expérience, tu vas voir !
Quelques jours plus tard, je la revois et elle me raconte qu’elle a tenté l’expérience :
– Le soir du jour où on s’est vus, on a fait l’amour.
Alors je lui ai d'abord dit : ‘‘Dis-moi que tu m'aimes’’, et il m’a aussitôt répondu : ‘‘Je t'aime’’. Ensuite je lui ai dit : ‘‘Dis-moi que tu es le Père-Noël’’, et là, il a eu une seconde d’hésitation avant de me répondre : ‘‘Je suis le Père-Noël’’…
– Ha ! Tu vois je te l’avais bien dit ! Et ensuite, il
ne t’a pas demandé pourquoi tu lui avais posé cette question ?
– Non, il a juste voulu savoir pourquoi je l’avais giflé… »
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une énième bière (de Noël)
persistent à se poser des colles :
« – Qu’obtenez-vous lorsque vous croisez un
bonhomme de neige avec un vampire ?
– Des gelures. »
« – Comment appelle-t-on un bonhomme de neige en
vacances sous les tropiques ?
– Une flaque d’eau »
« – Que portent les bonshommes de neige sur la
tête ?
– Des calottes glaciaires. »
« – Comment un bonhomme de neige perd-il du
poids ?
– Il attend que le temps se réchauffe. »
« – Comment appelle-t-on un bonhomme de neige
avec un pack de six ?
– Un bonhomme de neige abdominal. »
Une charmante petite fille monte sur les genoux du
Père Noël qui lui demande :
« – Alors, ma mignonne, quels cadeaux voudrais-tu recevoir à Noël ?
– Qu’est-ce que tu racontes là, gros plein de soupe ?
Ne me dis pas que t’as pas reçu mon courriel ! »
Tchétchénie, la veille de Noël. Le sergent instruit
une jeune recrue :
« Fais attention, les Tchétchènes sont tous affreux, avec de longues barbes… Si tu en vois un, tire immédiatement, c’est lui ou toi. »
Tard la nuit, le soldat voit un type s’approcher.
Pour ne pas se faire surprendre, il tire de sa mitraillette, jette une grenade et vient au rapport chez le sergent :
« Chef, j’en ai tué un, d’affreux barbu ! »
Le sergent le regarde longuement et soupire :
« À cause d’abrutis comme toi, ça fait plusieurs années qu’on est privé de Père Noël. »
Quelques jours plus tard, je la revois et elle me raconte qu’elle a tenté l’expérience :
– Le soir du jour où on s’est vus, on a fait l’amour.
Alors je lui ai d'abord dit : ‘‘Dis-moi que tu m'aimes’’, et il m’a aussitôt répondu : ‘‘Je t'aime’’. Ensuite je lui ai dit : ‘‘Dis-moi que tu es le Père-Noël’’, et là, il a eu une seconde d’hésitation avant de me répondre : ‘‘Je suis le Père-Noël’’…
– Non, il a juste voulu savoir pourquoi je l’avais giflé… »
– Une flaque d’eau »
« – Alors, ma mignonne, quels cadeaux voudrais-tu recevoir à Noël ?
« Fais attention, les Tchétchènes sont tous affreux, avec de longues barbes… Si tu en vois un, tire immédiatement, c’est lui ou toi. »
Tard la nuit, le soldat voit un type s’approcher.
Pour ne pas se faire surprendre, il tire de sa mitraillette, jette une grenade et vient au rapport chez le sergent :
« Chef, j’en ai tué un, d’affreux barbu ! »
Le sergent le regarde longuement et soupire :
« À cause d’abrutis comme toi, ça fait plusieurs années qu’on est privé de Père Noël. »
« As-tu été sage cette année ? Que voudrais-tu comme cadeau ? »
Sans dire un mot, le gamin cogne le Père Noël.
« – Pourquoi tu me fais mal ? » demande ce dernier, abasourdi.
« – Ça, c’est pour l’année dernière ! »
« C’est déjà tard, il faut aller au dodo… Regarde : même les dames dans la télé commencent à se déshabiller ! »
« Docteur, aidez-moi ! Je ne crois pas en moi-même ! »
« – Qu’est-ce que tu veux comme cadeau de Noël ?
Une porte s’ouvre à la volée :
« Au feu ! Apportez de l’eau dans la chambre 17, ça brûle ! »
Une autre porte s’ouvre, et une tête échevelée déclare :
« Et dans la chambre 18, du champagne ! »
« – Venez fêter Noël avec nous !
– C’est si aimable de votre part ! »
« – Tu sais, fiston, tu es déjà grand, et je dois t’avouer que Père Noël n’existe pas. C’est moi qui t’apportais les cadeaux…
Et Joyeux Noël…
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