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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 7 décembre 2021

Rumeurs : Il est des coïncidences étonnantes.

Personnellement, je m’en méfie.
 
Comme de la peste, du Sida et du « Conard-virus ». Mais j’aime bien quand une rumeur se transforme en « fil rouge » qui va suivre son chemin pour se nouer avec d’autres « fils rouges » de passage et qui vont ensemble former une réalité qui au fil du temps deviendra incontournable.
Ou non d’ailleurs : Le faisceau peut très bien se déliter, s’oublier, se dissoudre tout seul ou simplement être dépassé par d’autres plus fermes, plus vivaces qui le supplanteront.
Ainsi va la vie des infos, des rumeurs et des ragots.
 
En n’omettant pas de distinguer une rumeur qui n’est pas étayée par des faits, d’un faisceau de « fil rouge » qui sont factuels avérés et issus de plusieurs sources distinctes et sans même s’épauler mutuellement.
Aujourd’hui, je vous fais étalage de deux faits qui n’ont peut-être rien à voir l’un avec l’autre, émanant de plusieurs sources différentes et avérées qui vont à elles deux rejoindre une rumeur d’actualité.
Sans pour autant l’étayer.
Suivez le raisonnement.
 
Premier fait : Le Dr Andreas Noack, chimiste autrichien paraît-il renommé en son pays, est mort quelques heures après avoir dénoncé les risques de l’hydroxyde de graphène.
Ah ?
Et c’est quoi l’hydroxyde de graphène ?
Noack, c’était un expert du carbone et le graphène, c’est justement du carbone.
Quant à l’hydroxyde de graphène, c’est un adjuvant, une nanotechnologie qui serait présente dans les injections de vaccins divers.
Et d’expliquer que c’est ce qui tue réellement les gens en s’immisçant dans l’ensemble des organes et provoquant des lésions au niveau cellulaire, « comme des nano-lames de rasoir ».
Je sais : Je m’en coupe la caouane tous les matins à me raser.
Et si on parle de vaccin, j’ai reçu ma troisième dose il y a une semaine et mes poils de barbe ne tombent pas tout seuls, mais j’ai toujours mal au bras.
Probablement l’effet du froid un peu en avance cette année (normal : On est en plein réchauffement global !)
 
Bon, lui affirmait que cela pourrait expliquer pourquoi les athlètes meurent soudainement pendant les entraînements et les matchs, ou pourquoi certains meurent instantanément si l’adjuvant a été injecté dans la circulation sanguine plutôt que dans le muscle…
On va y revenir (la seconde info)
Le plus étonnant, c’est que la semaine dernière, le 23 novembre pour être précis, le Dr Noack a été « battu à mort » après sa dernière vidéo, selon sa femme visiblement enceinte.
Le problème, c’est qu’il s’était déjà fait arrêter l’année dernière, en direct alors qu’il tournait un clip sur sa chaîne YouTube.
Que même, ses supporteurs assuraient déjà qu’il avait été battu à mort…
Une histoire fabuleuse, non ?
Le mek se fait battre à mort et un an plus tard, il meurt pour de bon : Comme c’est bizarre (étrange, dirai-je même plus)…
 
Ce n’est pas là le plus important : On est en plein étalage de « rumeurs ». Un classique.
Le plus important, c’est que l’hydroxyde de graphène aurait été trouvé dans tous les vaccins étudiés récemment (même si on ne sait pas lesquels : On nous laisse le choix…).
Cette molécule forme des structures dans le flux sanguin d’environ 50 nm de large et 0,1 nm d’épaisseur. Elles sont très fines, mais très solides. Elles agissent comme de petites lames de rasoir dans le flux sanguin qui peuvent couper les vaisseaux sanguins.
Et elles ne se décomposent pas.
Une fois dans la circulation sanguine, elles y resteront pour toujours (à moins que la personne ne reçoive une transfusion sanguine pour les éliminer).
Ou qu’elle pisse assez fort… tant que ça reste dans les fluides hydrosolubles. Pour les matériaux liposolubles, ça demande un peu plus de temps, un peu comme les métaux lourds.
Par conséquent, leur effet sur les vaisseaux sanguins est cumulatif. Plus elles restent longtemps dans la circulation sanguine, plus les vaisseaux sanguins sont endommagés au fil du temps. Cela crée des problèmes d’hémorragie dans tout le corps. Et comme le corps humain ne répare jamais ses propres lésions, n’est-ce pas, ça ne cicatrise pas, doit-on en conclure.
Nous voilà avertis…
 
Selon lui, un débit sanguin plus élevé (dû à une activité physique intense des athlètes) entraînerait des dommages plus importants aux vaisseaux sanguins causés par l’hydroxyde de graphène et expliquerait donc les décès d’athlètes parmi les personnes injectées.
Et il a le sens de la formule : « Recevoir le Vax, c’est comme jouer à la roulette russe. Les personnes qui meurent immédiatement ou peu après avoir reçu le vaccin sont comme des victimes de la roulette russe. C’est lorsque l’oxyde de graphène frappe immédiatement la paroi des vaisseaux sanguins qu’il provoque la mort ou l’effondrement immédiatement après avoir reçu le Vax. »
Voilà qui expliquerait les syncopes enregistrées après avoir reçu une dose de dope.
D’ailleurs, par précaution, les injecteurs te gardent « à vue » 15 à 20 minutes après l’injection : On n’est jamais trop prudent…
 
« Les médecins qui pratiquent des autopsies sur les victimes du Vax ne vont rien trouver. Ces médecins cherchent quelque chose de biologique comme cause de la mort, mais l’hydroxyde de graphène n’est pas biologique donc il ne sera pas visible dans leurs tests.
Il y a des photos de sang coagulé sortant du nez. Les gens saignent à mort de l’intérieur. (…)
Les athlètes de haut niveau qui meurent ont un sang qui s’écoule rapidement. Plus le sang circule vite, plus les rasoirs font de dégâts.
En tant que chimiste, si vous injectez ça dans le sang, vous êtes un meurtrier. »
(…)
« La question à poser aux fabricants de vaccins et aux politiciens est la suivante : Pourquoi ces lames de rasoir sont-elles dans les vaccins ? Comment peuvent-ils justifier leur présence dans les vaccins ?
Et maintenant, ils veulent forcer les enfants à être vaccinés dès l’âge de 5 ans avec ce truc horrible ! »
 
Rappelons que « l’empire de l’Est » est le premier pays d’Europe et du monde à mettre en œuvre un programme de vaccination de l’ensemble de la population sous peine d’amendes ou d’emprisonnement en cas de non-vaccination.
Les autres font dans le « plus consensuel »…
Même si leur plan de vaccination complet ne débutera qu’en février 2022.
 
Il n’empêche, on se pose par ailleurs quelques questions pertinentes (la seconde info) : Il y a comme une « épidémie de coïncidence » chez les sportifs et notamment les footballeurs.
Ça c’est un fait qui prend forme.
Afin de fixer les idées, chez les footballeurs, par exemple, des sportifs en principe au mieux des leurs capacités physiques, parce que c’est un sport « physique » (pas comme les Échecs)  dès qu’il est qualifié de « haut niveau », on peut obtenir une idée assez précise du nombre de décès constatés sur les terrains de foot, année après année.
Or, l’année 2021 est décidément fort particulière puisqu’on y trouve 25 noms jusqu’à présent – jusqu’à la mi-novembre, l’année n’est pas encore terminée – avec par ordre chronologique de décès, Alex Apolinário, Christopher Maboulou, Wandão, Abdul Rahman Atef, Dejan Oršuš, Reda Saki, Tremaine Stewart, Giuseppe Perrino, Robert Lima, Viktor Marcell Hegedüs, Imad Bayumi, Moira Claire Arney, Alexander Shishmarev, Dylan Rich, Jens De Smet, Guillermo Arias, Frédéric Lartillot, Antonello Campus, Bruno Stein, Niels De Wolf, Benoît Sabard, Christophe Ramassamy, Badr Laksour, Jean- Patrice Megarus, Karamoko Doukouré.
 
Deux observations peuvent être faites : La première est que, très manifestement, entre 2000 et 2010, le nombre de décès sur les terrains a nettement augmenté.
Ceci explique sans doute que depuis 2009, la FIFA impose aux joueurs un examen médical cardiologique approfondi pour les joueurs et que depuis 2011, l’UEFA réclame aussi des examens détaillés.
Du reste, depuis 2013, on observe une belle décrue de ces malheureux décès sur le terrain.
La seconde est qu’en 2021, cette tendance baissière a subi un « petit accident » statistique, que beaucoup de fans du ballon rond et quelques journalistes sportifs auront noté.
La question qui s’impose alors, c’est pourquoi une telle cassure ?
 
On pourrait penser qu’il s’agit par exemple d’une forme (subtile) de suicide, tant il est vrai qu’à la suite des confinements, ces suicides augmentent. C’est, bien évidemment, une explication parfaitement incongrue mais il n’en reste pas moins que ces confinements ont été l’occasion, pour beaucoup d’entre nous, de manger trop gras, trop salé et trop sucré comme l’expliquent certains articles journalistiques pointilleux qui n’hésitent pas à relier les problèmes cardiaques en général et actuellement en augmentation, avec ces mauvaises habitudes.
On admettra que le joueur de foot classé est rarement en surpoids, mais soyons humains et imaginons qu’il aurait pu faire des « écarts-compensateurs » plutôt funestes.
 
La pollution atmosphérique alors ? « Ils » balancent tellement de choses dans l’air que nous respirons que, comme le rappelle régulièrement la presse « aux ordres », que ça provoque 38.000 morts dans le monde dont 48.000 rien qu’en « Gauloisie-première-de-la-classe » (et ce n’est pas une erreur de typographie ou de clavier : Vous avez bien lu, 38 et 48 dans l’ordre défini par nos « sachants autistes-trisomiques »).
Dès lors, il est vraisemblable d’imaginer qu’un joueur de foot, qui consomme beaucoup d’oxygène pour s’agiter sur son hectare de pelouse tondue rase en « petit-shorts » avec des airs supérieurs, engouffre ainsi un nombre considérable de PM10 et de PM2,5 au point de clapoter entre deux passes.
Mais ça pourrait être aussi autre chose.
 
Par exemple, il serait aussi un peu trop rapide d’écarter le réchauffement climatique dont la presse nous prévient, surtout récemment, qu’il pourrait déclencher tout un tas de petits soucis cardiaques, notamment chez les nouveau-nés.
Or, chacun sait que les « footeux » sont considérés comme de « grands-bébés ».
Ce même réchauffement doit clairement agir sur le cœur de nos footballeurs.
Il ne restera plus qu’à comprendre pourquoi le réchauffement s’est fait sentir de façon plus aiguë cette année…
 
Enfin, on ne pourra pas non plus écarter que certaines drogues peuvent avoir des conséquences néfastes sur le jeu de nos beaux-athlètes du muscle : Comme le mentionnent très sérieusement quelques articles, la consommation trop régulière de certaines plantes qui font voir « la vie en rose » peut provoquer des désordres cardiaques et on ne peut pas écarter que certains de ces joueurs s’enfilent quelques lignes superlatives avant d’aller taper dans la baballe…
On le comprend, les hypothèses ne manquent pas et le mystère s’épaissit de jour en jour à mesure que se multiplient les cas de sportifs, de joueurs qui, soudainement fatigués, s’effondrent sur le terrain (ou de certains journalistes en plein direct).
 
Naturellement, les « complotistes » antivax mettront les petits soucis cardiaques observés sur les terrains, et partout ailleurs, tel l’ANSM ou le Journal des Cardiologues américains en publiant l’un comme l’autre des études montrant un lien clair entre vaccination et problèmes cardiaques…
Et comme 1 + 1 = 2, sauf en relativité générale et chez Vandamme, non seulement on a le constat, mais en plus nous avons l’explication.
Bien sûr, tous les deux seront contestés, et contestables par la doxa des acéphales (autistes et trisomiques), mais pour l’heure, personne n’aura curieusement fait le rapprochement.
 
Ce n’est pas que je m’inquiète pour l’hydroxyde de graphène : J’en ai métabolisé bien d’autres et des notoirement plus sévères.
Et ce n’est pas les quelques millilitres d’une dose qui pourraient inquiéter mes toubibs, mais bien plutôt les hectolitres, que dis-je, les mètres-cubes de liqueurs diverses à haut potentiel de dangerosité ingérés depuis que je suis devenu adulte.
Il n’empêche, ces deux « fils rouges » là vont probablement alimenter une rumeur qui pourrait enfler prodigieusement, parce qu’ils expliqueraient au moins ces petits phénomènes bizarres post-vaccinations, très, très dois-je rajouter, anecdotiques.
C’est un peu de l’ordre du : « Il s’est vacciné. Dans le quart d’heure qui a suivi, il est mort d’être passé sous un bus ! »
 
Il n’empêche que j’ai mal au bras du Pfizer, mais, vous allez le découvrir dans mon « journal d’estives 2021 », l’AstraZeneca a le mérite de rendre indolores les piqûres de méduse !
Un effet inattendu à mettre au crédit - dans la même veine des ragots antivax - du vaccin « Anti-Conard-virus »…
Moâ, j’admire les progrès de la science.

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