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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 16 décembre 2021

2022, un scrutin sous contrôle ?

Probablement que oui.
 
Ce n’est pas très compliqué à comprendre : La « Gauloisie-éternelle » possède un indéniable atout, sa façade atlantique !
C’est simple : Tu débarques à Brest ou à Cherbourg, et c’est tout droit jusqu’à l’Oural, premier obstacle, d’ailleurs facilement surmontable puisque les Tartares l’ont fait, et jusqu’à Vladivostok et Pékin. Même les Ardennes, les nazis ont démontré que ça ne posait pas vraiment de problème technique pour une force d’invasion…
Bon, il y a des chemins plus courts et même des plus faciles, mais ça reste une porte d’entrée sur le continent Européen très praticable.
Dès lors, pour devenir « président » de ce qui pourrait devenir « un verrou », comme a pu en jouer à une époque le Général De Gaulle, il faut être atlantiste.
Et tant qu’à faire, au moins pour aller jusqu’à Berlin et Varsovie, il faut pouvoir cumuler cette qualité avec une europhilie chevillée à l’âme et au corps.
Un truc qui fait plaisir à tout le monde et lève bien des obstacles politiques (et économiques).
 
Or, en cette fin d’année, tout le problème est de savoir qui sera présent au second tour de l’élection du mois d’avril prochain.
On a « Jupiter », c’est une certitude : Il coche toutes les cases.
Et quelques « trublions » : On va dire une « brune » aux charmes incendiaires des andalouses, mais je n’y crois même plus, deux « blondes » et deux extrémistes patentés.
Les autres comptent pour du beurre…
L’un est de la « Gôche de la gôche » et l’autre se positionne à la « droâte de la droâte ». Deux anti-atlantistes notoires : Éliminés d’emblée !
Et peu importe l’opinion que peut en avoir le bon peuple consulté.
En plus, ils ont une tendance naturelle à être europhobes… Avec mille nuances, bien sûr.
Remarquez, l’un est pour une « créolisation » débridée, l’autre est un antitout, anti-islamique, raciste (il a déjà été condamné et se présente en qualité de repris de justice) et probablement antisémite, même s’il est « feuj » de naissance… ce qui démontre que ce n’est pas si incompatible que ça…
Il n’empêche, il n’est plus à « un détail » près, assimilant Pétain à « un juste » parmi « les justes »…
On aura décidément tout entendu, même l’absurde historique.
 
Notez qu’ils ont un avantage tactique indéniable vu depuis l’Élysée : En les faisant mousser, à partir de mille canaux, notamment dans les « médias-aux-ordres », ils divisent leurs propres camps et se partagent inutilement le « gâteau » de l’opinion publique (et les plateaux du Paysage Audiovisuel) au nom de l’égalité de tous devant la loi et du « temps d’antenne »…
Magnifique : « Poux-Toux » à l’égal de « La-Salle » ou « Cheminable » !
Diviser pour mieux régner, c’est tactiquement incontournable depuis les Horaces et les Curiaces, même que Machiavel et ses successeurs auront abondamment décliné le concept un peu plus tard.
 
La « brune » assise sur un désastre est déjà probablement entrée dans les poubelles de l’Histoire. Il reste donc les deux « blondes » pour un match ambiguë contre « Jupiter ».
Un homme qui « aime les femmes » plutôt « mûres » dans lesquelles il doit inconsciemment retrouver le profil « de la mère » et satisfaire ainsi son complexe Œdipien, qui va devoir lutter, combattre même des profils similaires à sa dulcinée…
Une « branlée entre cadors » aurait été plus virile, mais la virilité, s’il l’aime peut-être, ce n’est possiblement pas comme tout le monde : Il est trop fin pour ça, voire « trop fini », quoiqu’en dise l’un des impétrants (et quelques autres).
Et puis en 5 ans, il aura appris à patiner ses coups de griffes… à ajuster ses coups, à ne pas paraître trop brutal : Parfait pour une « combat de femmes » !
Ça va être un régal.
 
Reste donc les « deux blondes », mais déjà l’une est trop europhobe et trop anti-atlantiste pour complaire sur le plan international aux « néo-con-ricains » qui s’alarment.
L’élire c’est prendre une série de raclées pendant 5 ans qui vont surgir en « escadrilles serrées », comme les « emmerdes » du « Chi ».
Elle n’y arrivera pas.
Alors que l’autre, qui est un peu la surprise de la primaire de « Droâte & du centre », coche toutes les cases.
Notez que ses concurrents, à cette étape-là, également, surtout « Barre-Niée ». J’avais d’ailleurs parié sur lui et puis ses « soutiens » sont restés silencieux et il paraissait bien fatigué, finalement.
Peut-être le contre-coup du « Brexit » qui aura été un divorce fort compliqué !
Quant au virage « centre-droât » de « Berre-Trans », il n’aura pas fonctionné, pas plus que celui de « Chiotti » vers les « souverainistes » : Ce dernier ne cochait plus « toutes les cases »… et ça lui aura été fatal.
 
« Pète-Cresse », c’est la droâte « versaillaise ». Bon chic bon genre, libérale sur fond d’autorité. Une droâte classique pourrait-on dire. Celle qui jadis affrontait la gôche dans des duels plus ou moins nobles, mais certainement plus intéressants que ceux d’aujourd’hui.
Passons sur le fait qu’elle est une femme : C’est à la fois un argument et un contre-argument, selon la personne à qui l’on s’adresse. Pas sûr que son sexe lui fasse gagner tant de points que ça, au même titre que toutes les autres femmes ayant déjà été candidates à l’élection présidentielle.
Peut-être est-ce rassurant de se dire que les « Gauloisiens » ne sont pas insensibles aux charmes les plus simples des BCBG, de la bourgeoisie quelque peu hautaine, loin de ceux de « Ségololo » et de sa « bravitude » déplacée : N’est pas « née-bourge » qui veut.
 
Le vernis craque vite, même quand on a fait l’ENÂ. Or, elle l’a fait elle aussi mais en passant par la très selecte-HEC et elle a le portefeuille personnel à la hauteur pour avoir eu un mari qui s’en est foutu plein les fouilles durant des années, notamment celles de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » du temps où « Jupiter » n’était encore que « sinistre de l’économie des laborieux ».
Le point faible et en même temps une complicité tacite qui les empêcheront de débattre de « choses qui fâchent » : Un atout de la dame.
À ce jeu-là, c’est certain que « Marinella-tchi-tchi » fait plutôt bulldozer avec sa tronche bouledogue.
Question de « faire bander » l’électeur, la prime va à « Valy »… si ça peut avoir une incidence.
 
On en est arrivé là parce que « Zézé-Amour » et « Mes-Luches » ont parfaitement joué leur partition et sont en réalité le revers de la même médaille : Ils se donnent de la valeur l’un l’autre. Vous avez un côté pile, les martyrs de la censure. Côté face, les hérauts de l’antifascisme.
C’est tellement drôle, finalement…
D’ailleurs, en début d’après-midi à Villepinte, les organisateurs du premier meeting de « Zézé-Amour » ont fait un point presse où ils ont informé les journalistes que leur staff et celui de « Mes-Luches » s’étaient mis d’accord pour que le premier, pour commencer son discours, attende que le second ait fini le sien !
C’est dire le niveau de complicité… assez inattendu.
Le « porte-la-parole » de « Riton » a dit qu’il s’agissait d’un accord de « courtoisie démocratique » !
Mais si…
Ainsi, chacun des deux compères a pu bénéficier de sa retransmission en direct sur les chaînes d’info sans se chevaucher, tandis qu’au même moment leurs troupes se tapaient dessus avec enthousiasme.
Épisode assez drôle…
 
Et soyons honnêtes, il faut reconnaître quand même un mérite à « Mes-Luches » qu’il est celui qui a su imposer à la « Gôche-Gauloisienne » toutes les idées, les thèses et les pratiques de l’extrême gôche.
Une réussite indéniable, doublée d’un inconvénient parce que la gôche dite « de gouvernement » est désormais un groupuscule qui plafonne à 5 % dans les meilleurs sondages.
La tactique aura été également assez simple : Quand des femmes et des hommes politiques estampillés « de gôche » ont tenté d’ouvrir le débat sur le séparatisme, la question de l’antisémitisme et le danger terroriste lié à l’islam politique, ils se sont fait traiter de racistes, de néo-colonialistes et de néoconservateurs américains !
C’est ainsi que d’estimables personnalités comme « Menuet-Valse » ou « Nanar-Caza-nova » se sont vues marginaliser, accablées de critiques insultantes et finalement chassées du jardin d’Éden de la « gôche » idéale.
Il faut dire que le premier ne méritait pas autre chose.
Le second, ma foi…
 
En réalité, toutes les voix qui se sont aventurées à rappeler les bases émancipatrices de la laïcité ont été réduites au silence par les intellectuels et les journalistes inventeurs de la « gôche anti-laïque ». Un oxymore !
Pendant 25 ans, cette « nouvelle gôche » est restée solidement assise sur le couvercle de la cocotte-minute indifférente à la pression qui montait.
Au bout d’un certain temps, la marmite a fini par lâcher un gros pet de vapeur. Et de la nuée tourbillonnante a surgi « Zézé-Amour », leur fiston adultérin.
Un hasard ?
Pas du tout : Une belle manouvre d’entourloupe. Et elle ne pouvait pas mieux tomber.
Et celui-là est d’ailleurs parfait dans son rôle, mélangeant tout, les femmes, les immigrés, le maréchal Pétain, le couscous et l’affaire Dreyfus, que ça part dans toutes les directions et sans contrôle.
 
Et l’extrême gôche, dans un beau moment de déni refuse de reconnaître sa progéniture. Elle ne veut pas entendre brailler son bébé « Zézé-Amour ». Elle organise des manifestations avec les antifas, la CGT, Sud et toute la galaxie indigéniste pour l’empêcher de s’exprimer.
Si la « gôche radicale » préfère manifester son indignation plutôt que d’argumenter contre lui, c’est parce qu’elle n’a plus d’argument et qu’elle offre à « Zézé-Amour » l’opportunité de sortir de la naphtaline son vieux déguisement antifasciste et de s’inventer un nouveau destin.
Qui n’est pas encore vraiment fixé : Il faut se compter d’abord.
 
À l’inverse, la force de « Valy » réside forcément ailleurs. C’est d’abord, ainsi que l’a décrite « Zézé-Amour » dans son premier meeting, l’héritière du « Chi », de « GisKard-A-la-Barre », « Juppette » et consorts. Elle serait, toujours selon lui, la porteuse de la flamme de la lâcheté incarnée par la « droâte ».
J’adore ce mek pour ses raccourcis tellement kons que s’en est drôle !
Elle ne lui fait pas peur. Il lui aurait préféré le fidèle « Chiotti », dont il s’est empressé de (re)conquérir les électeurs une fois sa défaite prononcée.
Mais il a tort de la prendre de haut. Car elle est effectivement la bonne élève de la droâte du « Chi » qui l’appelait « la bosseuse » (une habitude des « prépas » de grandes-ékoles pour affronter « les colles »).
Elle a aussi beaucoup appris auprès de lui. D’abord sa conseillère, elle devient plus tard sa « sinistre de l’Enseignement supérieur », puis du Budget.
Elle est donc au courant de ce qu’il ne faut pas dire des « petits-secrets » honteux des atlantistes : Une case de plus de cochée !
 
De plus, elle sait parler quand il s’agit de fric. Elle l’a largement prouvé pendant les débats des élections régionales. Au-delà, elle cache une stratège qui connaît les ficelles de la politique. Elle n’est pas là pour simplement flirter avec le pays.
Mais il y a autre chose. Un aspect que « Zézé-Amour » semble oublier, ou du moins fait-il semblant. Les « Républicains-démocrates » ont bien joué leur coup en jouant la montre : Le gagnant de la primaire fermée s’est fait attendre.
Le résultat n’a eu d’autant plus que l’effet coup de poing.
« Pète-Cresse » dynamite ainsi assez bien la campagne du leader du nouveau parti Reconquête, notamment parce qu’elle est potentiellement la seule à pouvoir grappiller des voix partout.
Partout ! Chez les entrepreneurs déçus de « Jupiter », les « droâtards » effrayés par « Zézé-Amour », les Parigots de moins en moins tentés par « Sœur-Âne », les anciens fillonistes désespérés… etc.
La liste est à rallonge.
 
Et puis, cerise sur le gâteau, « Marinella-tchi-tchi », qui n’était pas préparée à affronter autant de rivaux, trop de nuages noirs se sont amoncelés au-dessus de sa tête, peut se faire du souci. Elle est presque dépassée et pas seulement dans les sondages.
« Blondes », professionnelles, énergiques, les deux candidates expérimentées ont énormément de points communs et peuvent chacune séduire le même type d’électorat. La bataille va être rude pour la fille du « Menhir » qui se prélassait dans son désert personnel, sans concurrence directe.
L’éventualité d’un second tour « Pète-Cresse »/« Jupiter » est probablement plus humiliante encore pour elle que d’imaginer « Zézé-Amour » participer au round final.
La pauvre « Marinella-tchi-tchi » va être attaquée sur tous les flancs : Économie plus libérale, immigration, autorité…
Dur.
 
Et à qui croyez-vous que cela va-t-il profiter ?
Pour l’heure, les sondages donnent « Pète-Cresse » gagnant du second tour.
Bénéfice de l’effet d’annonce, à n’en pas douter. Et puis il faut bien un adversaire pugnace pour rendre la victoire plus glorieuse, n’est pas ?
Mes modèles « prédictifs » donnent toujours « Jupiter » gagnant au second tour.
C’est normal : On ne saura que vers la fin janvier/début février comment les choses vont tourner.
Pour l’heure, je prends quelques « repos » pour vous retrouver l’année prochaine, après avoir épuisé les billets de mon « journal d’estives » concocté cet été pour vous.
J’aurai probablement avancé sur le volume des « Enquêtes de Charlotte » provisoirement nommé « 2022, année électorale de Charlotte® ». Parce que quelle que soit l’issue de ce scrutin, tous ses « faux-nez », « fausses-barbes », « coups tordus », « à trois bandes » et ses innombrables « idiots utiles » de Lénine sont déjà en place et jouent leurs partitions millimétrées à la perfection, telle que ça ne se voit toujours pas vraiment : Et pourtant, ils sont déjà en place !
Depuis des mois…
Et il me faut « remonter » tout ça pour donner de la cohérence au récit à venir de ce « scrutin sous contrôle ».
 
Pour l’heure, toute la question est de savoir si ce sera un plan de bataille gagnant pour « Jupiter ».
Mais il y en a qui savent déjà, soyez en sûrs et certains.
Ça va se savoir plus largement après la « trêve des confiseurs ».
 
Joyeuses fêtes à toutes et tous !
À l’année prochaine !
 
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