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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 3 décembre 2021

Quel est le sport préféré des lézards ?

C’est lézards-martiaux !
 
Jean-Marc lit les infos du matin dans le journal, Germaine tricote...
« – Tiens ils ont posé une sonde sur Mars…
– Ah… Ben c’est pas comme pour Jean-Roger !
Lui, il attend toujours la sienne !!! »
 
Quelques « revenues » pour commencer :
 
Jean-Marc visite les États-Unis.
Arrivé au Texas, il s’arrête dans un motel, et commande au restaurant une chef’s salad et un hot-dog.
Le serveur lui amène un énorme saladier rempli à ras bord, en lui disant avec un grand sourire :
« Au Texas, monsieur, tout est géant… »
À peine le malheureux a-t-il réussi à ingurgiter sa salade, on lui sert, à son grand effarement un hot-dog composé d’une baguette de pain coupée en deux, à l’intérieur de laquelle il a une saucisse de près d’un mètre.
« Au Texas », lui redit le serveur, « tout est géant… »
À la fin du repas, Jean-Marc demande où sont les toilettes.
« Au fond du couloir, à droite, la troisième porte… »
Il y va, se trompe de porte, et tombe dans la piscine. Alors il hurle :
« Ne tirez pas la chasse ! »
 
Pendant la guerre toute une ville est bombardée, les maisons, les immeubles tombent comme des châteaux de cartes.
En fouillant les décombres à la recherche d'éventuels survivants, les secouristes trouvent un petit vieux, assis sur ses toilettes, en train de se tordre de rire, un petit bout de bois à la main (*).
Alors les secouristes lui disent :
« – Et ça vous fait marrer, vous !!!
– Ben oui », fait le papy… « C’est la première fois que quand je tire la chasse d’eau, toute la maison vient avec !!! »
(*) Pour les plus jeunes (qui n’étaient pas encore né(e)s) : Il a dans les mains la poignée de la chasse d’eau, car à l'époque, on tirait vraiment la chaîne de la chasse d’eau, ce n’était pas un bouton où il fallait appuyer, comme aujourd’hui.
 
SOCIALISME : Vous avez deux vaches. Vos voisins vous aident à vous en occuper et vous vous partagez le lait.
COMMUNISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous fournit en lait.
FASCISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous vend le lait.
NAZISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous prend la vache blonde et abat la brune.
DICTATURE : Vous avez deux vaches. Les miliciens les confisquent et vous fusillent.
FÉODALISME : Vous avez deux vaches. Le seigneur s’arroge la moitié du lait.
DÉMOCRATIE : Vous avez deux vaches. Un vote décide à qui appartient le lait.
DÉMOCRATIE REPRÉSENTATIVE : Vous avez deux vaches. Une élection désigne celui qui décidera à qui appartient le lait.
DÉMOCRATIE DE SINGAPOUR : Vous avez deux vaches. Vous écopez d’une amende pour détention de bétail en appartement.
ANARCHIE : Vous avez deux vaches. Vous les laissez se traire en autogestion.
CAPITALISME : Vous avez deux vaches. Vous en vendez une, et vous achetez un taureau pour faire des petits.
CAPITALISME DE HONG KONG : Vous avez deux vaches. Vous en vendez Trois par votre société cotée en bourse en utilisant des lettres de créance ouvertes par votre beau-frère auprès de votre banque.
Puis vous faites un « échange de dettes contre participation », assorti d’une offre publique, et vous récupérez quatre vaches dans l’opération tout en bénéficiant d’un abattement fiscal pour entretien de cinq vaches.
Les droits sur le lait de six vaches sont alors transférés par un intermédiaire panaméen sur le compte d’une société des îles Caïman, détenue clandestinement par un actionnaire qui revend à votre société cotée les droits sur le lait de sept vaches.
Au rapport de ladite société figurent huit ruminants, avec option d’achat sur une bête supplémentaire. Entre temps vous abattez les deux vaches parce que leur horoscope est défavorable.
CAPITALISME SAUVAGE : Vous avez deux vaches. Vous équarrissez l’une, vous forcez l’autre à produire autant que quatre, et vous licenciez finalement l’ouvrier qui s’en occupait en l’accusant d’avoir laissé la vache mourir d’épuisement.
BUREAUCRATIE : Vous avez deux vaches. Le gouvernement publie des règles d’hygiène qui vous invitent à en abattre une. Après quoi il vous fait déclarer la quantité de lait que vous avez pu traire de l’autre, il vous achète le lait et il le jette. Enfin il vous fait remplir des formulaires pour déclarer la vache manquante.
ÉCOLOGIE : Vous avez deux vaches. Vous gardez le lait et le gouvernement vous achète la bouse.
FÉMINISME : Vous avez deux vaches. Le gouvernement vous inflige une amende pour discrimination. Vous échangez une de vos vaches pour un taureau que vous trayez aussi.
SURRÉALISME : Vous avez deux girafes. Le gouvernement exige que vous leur donniez des leçons d’harmonica.
CAPITALISME EUROPÉEN : Vous avez deux vaches. On vous subventionne la première année pour acheter une 3ème vache. On fixe des quotas la deuxième année et vous payez une amende pour surproduction. On vous donne une prime la 3ème année pour abattre la 3ème vache.
MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE BRITANNIQUE : Vous avez deux vaches. Vous tuez une des vaches pour la donner à manger à l’autre. La vache vivante devient folle. L’Europe vous subventionne pour l’abattre. Vous la donnez à manger à vos deux moutons.
CAPITALISME A LA FRANÇAISE : Vous avez deux vaches. Pour financer la retraite de vos deux vaches, le gouvernement décide de lever un nouvel impôt : La CSSANAB (cotisation sociale de solidarité avec nos amis les bêtes).
Deux ans après, comme la France a récupéré une partie du cheptel britannique, le système est déficitaire. Pour financer le déficit on lève un nouvel impôt sur la production du lait : le RAB (Remboursement de l’Ardoise Bovine).
Les vaches se mettent en grève. Il n’y a plus de lait. Les français sont dans la rue : ‘‘DU LAIT, ON VEUT DU LAIT’’.
La France construit un laitoduc sous la manche pour s’approvisionner auprès des Anglais. L’Europe déclare le lait anglais impropre à la consommation. Le laitoduc ne servira jamais. On lève un nouvel impôt pour l’entretien du laitoduc.
 
Devinettes de Jean-Marc à Jean-Paul :
 
« Qu’est-ce qui a 40 boules et qui rend les vieilles dames folles ?
Le jeu du Bingo ! »
 
« Un astronaute qui commet un crime dans l’espace sera-t-il puni ?
Non car il s’agit d’un crime sans gravité. »
 
Jean-Paul, inquiet, à Jean-Marc :
« Peut-être qu’un jour on devra chasser pour se nourrir et je ne sais même pas où vivent les lasagnes ! »
 
Le même, devant une bière en compagnie de Jean-Marc :
« J’ai trouvé une solution pour ne plus craindre l’épidémie de coronavirus et vivre normalement !
J'ai éteint la télé ! »
 
Germaine résume le discours du ministre de la santé Allemand :
« – Il paraît que le succès du déconfinement dépend de notre intelligence collective…
– Quoi ? Il dit quoi ?
– Il dit qu’on va tous mourir… »
 
C’est l’histoire d’un grand antiquaire qui parcourt la campagne pour dénicher au meilleur prix des meubles ou des objets anciens.
Il arrive dans une ferme et voit un petit chat qui boit son lait dans une écuelle qu’il identifie immédiatement comme datant de l’époque romaine.
Une pure merveille !
Cachant du mieux possible son enthousiasme, il dit au paysan :
« – Ma femme a toujours eu envie d’avoir un chat. Si vous voulez vous débarrasser de celui-là, je vous l’achète…
– Pourquoi pas ? » Répond le fermier. « Si vous me donnez deux cents euros, il est à vous.
Marché conclu ! » dit l’antiquaire.
Il sort deux billets de cent euros, les donne et ajoute nonchalamment :
« – Pour qu’il ne soit pas trop dépaysé, je vais emmener son bol…
– Ah non ! » fait le fermier. « Le bol vous le laissez ici !
Depuis le début de l’année, il m’a déjà fait vendre quinze chats… »
 
Jean-Eugène un vieux paysan gagne au tiercé et tout content va au bistrot fêter ça avec ses copains.
Il leur dit :
« Allez tournée générale ! »
Et puis demande à ses amis :
« – J’aimerai faire un cadeau à ma femme mais je n’ai pas d’idée.
– Offre-lui une télévision couleur
– Oh mais elle en a déjà une.
– Eh bien une machine à laver alors.
– Oh mais elle en a déjà une aussi.
– Je sais, offre-lui un balai à chiottes, tu verras c’est bien pratique.
– Oh ben oui c’est une bonne idée car elle n’en a pas. »
Jean-Eugène quitte le bistrot et va acheter son balai et l’offre à sa femme.
Quelques jours plus tard, les amis de Jean-Eugène lui demandent :
« – Alors ta femme était contente de son cadeau ?
– Oui elle était contente de son balai. Elle s’en est servie trois jours… Mais finalement elle est revenue au papier, elle trouve ça plus pratique !!! »
 
À l’occasion de son quarantième anniversaire, Jean-Marc va effectuer son premier saut en parachute.
Voici les conseils pratiques de son moniteur :
« Quand tu fais de la chute libre, tant que tu vois les vaches comme des fourmis, il n’y a pas de danger…
Quand tu commences à voir les vaches comme des vaches, il est temps d’ouvrir ton parachute…
Et quand tu vois les fourmis comme des vaches… Il est trop tard ! »
 
C’est l’histoire d’une jeune fille qui vient prendre place dans le confessionnal.
Elle se penche à la grille du parloir et commence :
« – Pardonnez-moi mon père, parce que j’ai péché.
– Allez-y mon enfant, parlez, quel pêché avez-vous commis ?
– Mon père, j’ai commis le péché de vanité. Deux fois par jour, je me contemple devant le miroir en me disant que je suis magnifique. »
À ce moment-là, le curé se penche à la grille et observe longuement la jeune fille, puis il lui dit :
« Mon enfant, j’ai une bonne nouvelle pour vous : Ce n’est pas un péché, c’est simplement une erreur. »…
 
Pendant la répétition du mariage, le futur marié prend le curé à part, et lui dit à l’oreille :
« Écoutez monsieur le curé, voici 10 billets de 100 €.
En échange, je voudrais que vous modifiiez un peu le schéma classique de la cérémonie…
En particulier, je voudrais que, quand vous vous adresserez à moi, vous laissiez tomber la partie où je dois promettre ‘‘d’aimer, honorer et respecter mon épouse, renoncer aux autres femmes et lui être fidèle à jamais’’. »
Le curé prend le billet sans mot dire, et le futur marié s’en va satisfait et confiant.
Le jour du mariage, le moment fatidique de la promesse approche.
Le curé se tourne vers le marié et lui dit en le regardant droit dans les yeux :
« Promets-tu de te prosterner devant elle, d’obéir à chacun de ses ordres, de lui apporter le petit déjeuner au lit tous les matins, et de jurer devant Dieu et ta femme exceptionnelle que jamais au grand jamais, tu ne regarderas une autre femme ? »
Le jeune-homme ravale sa salive, rougit, regarde autour de lui avec angoisse et répond d’une voix à peine perceptible :
« Oui je le veux ! »
À la fin de la cérémonie, le marié s’approche du curé.
« On avait fait un marché ! »
Alors le curé lui remet les 10 billets de 100 € dans la poche et murmure à son oreille :
« Elle m’a fait une meilleure offre. »
 
Un peintre à un admirateur :
« – J’ai vendu ma dernière peinture 800 €.
– Et si je fournissais la peinture, ce serait combien pour un tableau identique ? »
 
Solutions des contre-pets de la semaine dernière :
« Avec leur nouveau règlement sur les Punitions, ils nous eMMerdent ! »
« Ah ! Quelles Putes BRaillardes ! »
« Le tisserand se mit à Limer après avoir pris le TRain »
 
Propositions de la semaine :
« Ce politicien était réputé comme un grand nom dans les colloques. »
« La chanteuse laisse caresser ses tresses pendant les infos. »
« Sans fin, ni cesse ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
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