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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 2 décembre 2021

Pendant qu’ils votent…

« Zézé-Amour » aura fait un « flop »
 
Et monumental le flop, alors que les nouveaux inscrits chez les militants « à jour de leur cotisation » se préparaient à voter pour le « futur perdant » : Un choix de date « à côté de la plaque »…
Au moment où je trace ces lignes (hier), évidement je n’ai pas encore les résultats de ce scrutin « à part » (et qui ne concerne que 140.000 citoyens).
Normalement, d’après les rumeurs et si tout se passe bien « Riton Chiotti » devrait ressortir vainqueur de ce premier tour.
Si le second est « Pète-cresse », il sera désigné porte-drapeau de la formation ex-gaulliste. Si c’est « Berre-transe », la lutte sera plus serrée.
On se retrouve la semaine prochaine pour voir tout ça : « Mon calendrier » m’impose un vendredi consacré à « Jean-Marc » et ses « histoires d’en rire » de la semaine ; samedi et dimanche, c’est relâche avec deux posts résumant un mois de novembre assez dense en « folles nouvelles »…
 
Mais le mois dernier se sera terminé par la pantalonnade de « Zézé-Amour » qui aura diffusé un clip de 10 minutes sur les réseaux qui n’aura pas manqué d’enflammer la toile parigote.
Tu penses : Il mettait enfin fin à un horrible suspens !
Se présentera-t-il ou ne se présentera-t-il pas ?
Tu parles que ça m’avait empêché de dormir !
Il était forcé de se présenter.
Néanmoins de cette façon-là, c’est absolument nul.
Il l’aurait fait sous les applaudissements d’une foule de partisans en délire, là ça aurait eu de la gueule et de la dynamique : Non, il s’est contenté de lire - avec une certaine conviction - ses feuillets dans une bibliothèque obscure, ponctué par des images piquées ici et là au son de la 7ème !
Je trouve que la bande musicale de « Barry Lindon » aurait été mieux adaptée, ou encore la « marche funèbre »…
Mais même pas…
 
Ce gars-là vient de franchir le pas, et on ne sait toujours pas de quoi qu’il cause, sinon d’une « Gauloisie-splendide » qui n’a jamais vraiment existé, ou alors il y a très longtemps et seulement dans le rêve collectif, dont le sien !
De journaliste-polémiste, il est devenu « politique » et ça ne le fait même pas frétiller. Je plains sa ses femmes : Qu’est-ce qu’il doit être triste dans la vie courante à galoper après ses moulins-à-vent à lui !
Mais bon : Il est en mission.
Il n’est pas là pour gagner, mais seulement réduire le score de « Marinella-tchi-tchi » selon le « vœu secret » de « Jupiter ».
Ce dernier ne veut pas d’un remake du second tour de 2017. Les « Gauloisiens » ont voté pour lui face à la « peste bonde ». Une fois.
Ils ont vu et peut-être aussi compris : Ils pourraient se décider à ne pas renouveler l’expérience et voter pour « l’aventure » et il le sait…
Sauf si elle n’arrive pas au second tour : Le rôle assigné à « Zézé-Amour » dans cette campagne.
Aidé et soutenu par les médias dans un premier temps, par « Beau-L’Orée » dont je rappelle que c’est un pote à « Bling-bling » qui lui-même ne soutient personne actuellement et qu’on suppose même qu’il finira par rallier « Jupiter »…
Il n’y a pas de hasard dans cette campagne 2022.
 
Dans le détail, 5 points à retenir de son clip diffusé sur les réseaux sociaux à la mi-journée.
 
1- Le « Grand remplacement » (dont je rappelle qu’il a été inventé par « Houle-Bec ») : « Mes chers compatriotes, depuis des années un même sentiment de dépossession vous hante (…), pour que nos enfants ne connaissent pas la barbarie, pour que nos filles ne soient pas voilées et nos fils soumis (…) nous ne nous serons pas remplacés (…) dominer, vassaliser, conquérir, coloniser ».
J’adore la rhétorique : On croirait presque entendre mes cousins « Natios’Corsi » !
 
2- La grandeur de la « Gauloisie-éternelle » se meurt : « Vous avez l’impression de ne plus être dans le pays que vous connaissez (…). Vous vous souvenez du pays de Jeanne d’Arc et de Louis XIV, de Gaulle, des fables de la Fontaine, des clochers dans les villages, de Pasteur, de Voltaire, des poilus de 14, de Delon, de Brigitte Bardot, de Johnny, de Belmondo (…) Ce pays léger et brillant (…) est en train de disparaître (…) Il n’est plus temps de réformer la France, mais de la sauver ».
Moâ je veux bien : Je me suis même exilé pour éviter de devoir vivre avec la « peste-blonde » aux affaires.
Quand je suis revenu (pour accompagner ma Môman-à-moâ dans son calvaire), à part quelques sens-interdits dans les rues de « Paris-sur-la-plage », j’ai globalement reconnu « mon pays ».
Toujours aussi extraordinaire, à l’égal de bien d’autres, toujours aussi incroyable.
Sauf peut-être Londres et son maire… « Pakpak » estampillé d’origine. Toutefois eux sont un peu spéciaux avec leurs pubs et leurs fish & chips.
 
3- Mensonges et mépris : « Vous avez eu honte de vos impressions. Longtemps vous n’avez pas osé voir ce que vous voyiez. Puis vous l’avez dit à votre mari, vos enfants, votre famille puis vos collègues, puis à des inconnus. Bien sûr, on vous a méprisé (…) Droite ou gauche, ils vous ont menti, dissimulé la gravité de notre déclassement (…) méprisés par les puissants, les élites, les bien-pensants, les journalistes, les politiciens, les universitaires, les sociologues, les syndicalistes, les autorités religieuses ».
C’est « fous-y-n’importe-quoi ».
La seule chose que je regrette, c’est de ne plus croiser ces rastas en dreadlocks dans le métro avec une radio grosse comme une armoire sur l’épaule qui partage sa musique de crotte avec le bon peuple.
Ça, ça me manque : À chaque fois, je m’interrogeais pour savoir de quel zoo l’énergumène avait bien pu s’échapper…
 
4- Son parcours de journalisme, c’est fini : « Je me suis contenté du rôle de journaliste, d’écrivain, de Cassandre, de lanceur d’alerte. Je croyais alors qu’un politicien allait s’emparer du flambeau que je lui transmettais. Je me disais “à chacun son métier, à chacun son rôle, à chacun son combat”. Je suis revenu de cette illusion ».
Lanceur d’alerte, lui ? J’en rigole encore.
 
5- Enfin ses solutions : « Nous devons réindustrialiser notre France (…) redonner du travail à nos chômeurs (…) protéger nos trésors technologiques et cesser de les brader aux étrangers (…). Il faut relancer notre appareil productif, encourager le travail, l’apprentissage (…) préserver notre patrimoine architectural, culturel et naturel (…) restaurer notre école républicaine, son excellence et son culte du mérite (…) reconquérir notre souveraineté sur les technocrates européens (…) rendre le pouvoir au peuple ».
On dirait un meeting de la CGT !
Sauf que là, on n’a aucune piste sur les moyens à mettre en œuvre.
Passons.
 
Après cette annonce de candidature à la mi-journée, au soir, il aura répondu aux questions du factotum du JT de « FR1 ».
Évidemment, après s’être pris pour De Gaulle lançant son appel du 18 juin, il redescend dans l’arène et se prend une série de claques.
Parce que le marigot politico-politique l’aura descendu en flèche de toute part entre-temps.
Et là, chassez le naturel, il revient au galop : On aura revu une « petite-frappe » qui torturait ses victimes sur les plateaux télévisés se faire à son tour « malmener », même pas torturer…
Il n’aura pas apprécié, c’est le moins qu’on puisse dire.
Minable. Je veux dire « égal à lui-même », rien de plus ni de mieux, tellement il aura volé des images sans autorisation de leurs auteurs et abusé de quelques naïfs désabusés qui n’iront même pas déposer plainte pour saccage de leurs créations artistiques.
En revanche il a toujours le langage fleuri… hors antenne le cachotier !
 
Juste pour mieux en rire, en dix minutes pour officialiser une candidature à l’élection présidentielle, il aura entrecoupé son message d’images d’affrontements dans le pays. Mais aussi d’autres séquences, comme d’extraits de films, tel « Jeanne d’Arc » de Luc Besson, ou « Les Choses de la vie » de Claude Sautet.
Tout comme des extraits d’émissions de radio et de télévision, plus ou moins récentes.
Des dizaines de passages que certains protagonistes ont découverts à leur plus grande surprise ce mardi-là, à la mi-journée, lors de la diffusion de sa vidéo.
 
Contactés, plusieurs médias et journalistes confirment en effet n’avoir reçu aucune demande de la part de l’équipe de « Zézé-Amour » afin d’utiliser ces séquences dans le clip de campagne. LCI et BFMTV interrompent même la diffusion.
« Nous n’avons pas été sollicités pour l’utilisation de ces images », fait notamment savoir BFMTV, qui, après une première diffusion de sa vidéo, a décidé de ne pas la reprogrammer pour le moment, « n’ayant pas les autorisations en tant que chaîne de télévision pour la diffusion de certaines images. »
Une décision également prise par LCI, qui a coupé l’annonce après quelques minutes d’antenne, estimant avoir montré « l’essentiel de cette vidéo. »
Même chose pour les différentes entreprises audiovisuelles du service public, dont les vidéos sont particulièrement utilisées dans le clip de « Zézé-Amour » : « Nous n’étions pas au courant » assurent dans une déclaration conjointe l’INA, Radio -Gauloisie et « Trans-Télévisions ».
Le journaliste indépendant Clément Lanot affirme également n’avoir accordé aucune autorisation.
De son côté, CNews, ancien employeur du polémiste et dont quelques passages sont repris tout au long de ces dix minutes, nous fait savoir qu’elle « ne commente pas (ses) pratiques commerciales. »
De son côté, la société cinématographique Gaumont a fait savoir qu’elle se réservait le droit d’engager des actions contre le polémiste.
Car, en cas d’infraction constatée, il s’agirait là d’une violation des droits d’auteur, avec une peine allant jusqu’à 300.000 euros d’amende et trois ans d’emprisonnement.
Bref, vents de fronde : Une équipe d’amateurs entourait « Zézé-Amour » qui se foutait pas mal des droits d’auteur pour la circonstance.
 
Et évidemment, le monde politique se sera gaussé !
Le porte-la-parole du « Air-Haine » : « Quelle est la valeur ajoutée de cette candidature ? Est-ce qu’elle apporte quelque chose de plus ou est-ce que, finalement, on est sur une candidature qui divise le camp national ? Tout ce qui vient parasiter une candidature contre Emmanuel Macron en réalité sert Emmanuel Macron. Éric Zemmour n’est pas en capacité de se qualifier pour le second tour. Il y a un problème de maîtrise de soi et de sérieux dans cette candidature. Éric Zemmour a du mal à installer une crédibilité, on ne le voit pas comme un homme politique, encore moins comme un président de la République. »
Lui, il a tout compris…
 
Le candidat PCF : « La haine est son métier. La polémique, son seul objet. Pour nous, c’est tout l’inverse. Les jours heureux, la république sociale porteuse des valeurs universelles de la Révolution française : liberté, égalité, fraternité. C’est ça, ma France. »
La secrétaire d’État chargée de l’Économie sociale, solidaire et responsable : « Quelle meilleure réponse à l’annonce de la candidature d’Éric Zemmour et de ses promesses rabougries que la panthéonisation de Joséphine Baker, elle qui nous rappelle avec force la grandeur de notre nation ouverte et progressiste ? »
C’est vrai qu’on déplaçait son cercueil (vide) au Panthéon à celle-là…
Même que la rue Soufflot et tout le quartier en aura été bouleversé, je peux en témoigner
 
Un des vice-président (Marcheur-même-pas-en-rêve) de l’Assemblée nationale : « Dans les images anxiogènes, il n’y a rien sur la délinquance de rue des gens qui s’adressent des doigts d’honneur. Par ailleurs, la première civilité, c’est de regarder ses interlocuteurs dans les yeux. Ce n’est pas une candidature, c’est une mauvaise publicité. Tête basse. »
Moâ, j’aurai dit que c’était un gag !
Le directeur de campagne du candidat LFI à la présidentielle : « Il paraît que Zemmour vient de se déclarer candidat à l’élection présidentielle de 1965 ? »
Bien vu…
Je vous en passe et des meilleurs pour n’en retenir qu’un : Le maire de Bézier.
Pas franchement un opposant hystérique.
« Sa principale limite, c’est qu’il est déprimant. Il n’est pas seulement décliniste, il est déprimant » (…). « Quand on écoute Éric Zemmour, qui sait flatter parfaitement les bas instincts, on se dit qu’il a pour programme, pour projet, d’éteindre la lumière de la France. »
 
Côté programmatique, il faut dire aussi qu’on n’a pas grand-chose. Non seulement il ne fait pas rêver, mais s’il fait ainsi le constat d’une « Gauloisie » bureaucratisée, désindustrialisée et trop dispendieuse, notamment au travers de son modèle social, et on ne peut qu’être d’accord avec une telle analyse.
Mais pour répondre à ces défis, il se concentre sur seulement trois sujets primordiaux : La réforme de l’État, la valorisation de l’entreprenariat et la réforme du modèle social (ce qu’il ne dit pas dans son clip).
 
Il affirme ainsi vouloir diminuer la dette publique, mais sans jamais dire de combien, ni comment.
La réduction du périmètre de l’État à ses fonctions régaliennes n’est pas non plus abordée, tout au plus appelle-t-il à la lutte contre l’excès de normes avec la création d’un « Haut-Commissariat à la simplification administrative ».
Cette proposition, bien que paradoxale, dans la mesure où ce serait à l’État de lutter contre ses propres excès, n’est peut-être pas dénuée d’intérêt au regard de la tâche herculéenne à accomplir.
Enfin, il accélérerait le passage aux 39 heures dans la fonction publique pour régler les problèmes de sous-effectifs, mais ne précise pas s’il s’agit de 39 heures payées 39 ou payées 35.
Il a par ailleurs quelques intuitions intéressantes sur la réforme de l’État, même si le tout est encore trop flou et trop peu travaillé au regard de l’ampleur de la réforme qu’il serait nécessaire de conduire pour libérer l’économie « Gauloisienne ».
 
La valorisation de l’entreprenariat, par exemple : Il s’agit de défendre la compétitivité des entreprises hexagonales en supprimant les impôts de production, en augmentant la progressivité de l’impôt sur les sociétés, tout en relevant le plafond du taux réduit de cet impôt afin de redonner des marges de manœuvre aux TPE et PME.
Il exonérerait les donations d’entreprises aux descendants afin de pérenniser les PME familiales : Pourquoi pas puisque c’est déjà largement le cas…
Et il ne veut pas augmenter le SMIC.
Des premières propositions intéressantes dans la mesure où elles visent à réduire le poids de la fiscalité qui pèse sur le secteur économique, mais là encore, on aurait aimé plus de précisions et des indications sur le financement.
 
On regrettera bien évidemment que la question du temps de travail ne soit pas abordée, surtout que le pays souffre chaque année d’un déficit par rapport à ses concurrents.
Il veut ainsi faire passer l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans au lieu des 62 ans actuels.
Il souhaite également réformer l’aide médicale d’État en resserrant drastiquement les critères d’attribution, lutter contre l’assistanat et la fraude sociale, le tout en réservant le bénéfice des aides aux « natifs » et aux étrangers payant des impôts. Selon le polémiste, ces réformes permettront de financer les baisses d’impôts promises.
Elles permettraient probablement de dégager des marges de manœuvre financières.
Cependant, la réforme des retraites n’a pas été abordée sous l’angle de la capitalisation puisque cela pourrait dynamiser le secteur privé en lui facilitant l’accès au capital, tout en constituant un puissant outil de souveraineté pour le pays.
Il faudra faire beaucoup mieux pour libérer l’économie « Gauloisienne ».
En attendant, absolument rien dans son clip sur ces sujets : Ce n’était peut-être pas le moment non plus…
 
Tout le problème sera de savoir si, maintenant, il sera capable de tenir la distance jusqu’au mois d’avril 2022 et fera au moins acte de présence dans les urnes.
Il y a plusieurs étapes à franchir : Les 500 parrainages.
Il paraît qu’il en a déjà 300.
Des promesses, peut-être, maintenant il faut concrétiser…
Des financements : On compte au minimum 8 millions d’euros, ne serait-ce que pour imprimer des bulletins et des professions de foi.
Il peut gager ses droits d’auteur, mais seulement à hauteur d’1,5 méga-euro, et pour le reste il faudrait qu’un banquier fasse le pari qu’il atteigne les 5 % des suffrages pour que ses frais soient remboursés par mes impôts.
Pas évident quand on sait que même « Marinella-tchi-tchi » aurait du mal à mobiliser « ses banquiers »…
 
Naturellement, il y a toujours la possibilité de lancer une souscription ouverte au public, mais c’est un long chemin parsemé d’embûches. Et ça n’a jamais bien marché.
Sauf dans deux cas : Le « Bling-bling-au-thon » (pour rembourser le parti), mais à condition de bénéficier de fonds « à blanchir » et d’un réseau d’adresses fourni.
On se souvient ainsi que le Maire de Meaux avait refusé de montrer sa comptabilité avant de la détruire…
Et la campagne de « Jupiter ». Mais lui aussi avait déjà des fonds « à blanchir » et « on » lui a fourni « des adresses » de citoyens lambda qui ne savent toujours pas qu’ils bénéficiaient d’un crédit-d’impôt.
« Zézé-Amour » pourra-t-il bénéficier du même « miracle » ?
 
C’est probablement la question que doit se poser le « cabinet noir de Jupiter » : Faut-il qu’il aille plus loin et éviter au patron de rencontrer « Marinella-tchi-tchi » pour une revanche de 2017, ou est-il suffisamment nul pour le laisser tomber ?
Réponse en début d’année prochaine, après les fêtes.

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